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Turquie
Situation georgraphique
 La Turquie, en forme longue la République de Turquie ou la
République turque, en turc Türkiye et Türkiye Cumhuriyeti
prononciation, est un pays situé aux confins de l'Asie et de
l'Europe. Elle a des frontières avec la Grèce, la Bulgarie, la
Géorgie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan (Nakhitchevan), l'Iran,
l'Irak et la Syrie. Il s'agit d'une république parlementaire
dont la langue officielle est le turc. La Turquie est bordée au
nord par la mer Noire, à l'ouest par la mer Égée et au sud
par la partie orientale de la mer Méditerranée : le bassin
Levantin. La Thrace orientale (Europe) et l'Anatolie (Asie)
sont séparés par la mer de Marmara et les détroits du
Bosphore à l'est et des Dardanelles à l'ouest (ces trois bras
de mer forment ce qu'on appelle les Détroits).
 La Turquie est un pays d'Asie, avec 3 % de son territoire en
Europe (la Thrace orientale). Par sa localisation
géographique, à cheval sur deux continents, au carrefour
des axes Russie - Méditerranée et Balkans - Moyen-Orient,
sur l'antique route de la soie, aujourd'hui sur le tracé
d'oléoducs d'importance stratégique, la Turquie a toujours
été un carrefour d'échanges économiques, culturels et
religieux. Elle a fait le lien entre l'Orient et l'Occident, d'où
sa position géostratégique de premier plan qui se renforce
au vu des événements politiques qui secouent tant le
Moyen-Orient que le marché des hydrocarbures ou les
tensions liées au problème de l'eau.
 La Turquie moderne, fondée sous l'impulsion de Mustafa
Kemal Atatürk en 1923 sur les ruines de l'Empire ottoman
défait par la Première Guerre mondiale, est une république
démocratique, unitaire et constitutionnelle . Depuis lors, elle
n'a eu de cesse de se rapprocher de l'Occident en se joignant,
par exemple, à des organisations de coopération : l'OTAN,
l'OCDE, l'OSCE, le Conseil de l'Europe ou le G20. La Turquie
est officiellement candidate depuis 1963 à l'entrée dans la
Communauté économique européenne (CEE), l'actuelle
Union européenne (UE), avec qui elle a conclu un accord
d’union douanière en 1995, en vigueur depuis 1996. Les
négociations pour l'entrée de la Turquie dans l'UE sont
officiellement en cours depuis 2005. Parallèlement, la Turquie
a su conserver des liens privilégiés avec les pays à population
majoritairement musulmane comme elle, ainsi qu'avec le
Moyen-Orient et l'Asie centrale en participant notamment à
l'Organisation de la conférence islamique, l'Organisation de
Coopération Économique, et le Conseil turcique.
 Historiques
 La péninsule anatolienne (ou Asie Mineure), qui représente
aujourd'hui 97 % de la Turquie moderne, compte parmi les
régions du globe qui ont continuellement été habitées tout au
long de l'histoire de l'humanité. Les premières implantations
comme celles de Çatalhöyük, Çayönü, Hacılar, Göbekli Tepe et
Mersin comptent parmi les plus anciennes au monde. Le
toponyme turc Göbekli Tepe se traduit en français par «la
colline au nombril », en référence à sa forme. Sur ce site
repose le plus ancien temple de pierre jamais découvert
(datation estimée entre 11 500 et 10 000 avant notre ère1).
L'agglomération de Çatal Höyük située dans la plaine de
Konya, en Anatolie centrale, sur les bords de la rivière
Çarşamba, est l'un des plus grands sites du Néolithique du
Proche-Orient. Il fut fondé vers 7000 avant J.-C. et devint un
centre important seulement entre -6500 et -5700.
 La Turquie moderne, fondée sous l'impulsion de Mustafa Kemal
Atatürk en 1923 sur les ruines de l'Empire ottoman défait par la
Première Guerre mondiale, est une république démocratique,
unitaire et constitutionnelle . Depuis lors, elle n'a eu de cesse de
se rapprocher de l'Occident en se joignant, par exemple, à des
organisations de coopération : l'OTAN, l'OCDE, l'OSCE, le
Conseil de l'Europe ou le G20. La Turquie est officiellement
candidate depuis 1963 à l'entrée dans la Communauté
économique européenne (CEE), l'actuelle Union européenne
(UE), avec qui elle a conclu un accord d’union douanière en 1995,
en vigueur depuis 1996. Les négociations pour l'entrée de la
Turquie dans l'UE sont officiellement en cours depuis 2005.
Parallèlement, la Turquie a su conserver des liens privilégiés avec
les pays à population majoritairement musulmane comme elle,
ainsi qu'avec le Moyen-Orient et l'Asie centrale en participant
notamment à l'Organisation de la conférence islamique,
l'Organisation de Coopération Économique, et le Conseil
turcique.
 La langue officielle est le turc (Peuples turcs), mais le kurde est
parlé par les Kurdes, qui représentent 24 % de la population.
 La Turquie est un pays d'Asie, avec 3 % de son territoire en
Europe (la Thrace orientale). Par sa localisation
géographique, à cheval sur deux continents, au carrefour
des axes Russie - Méditerranée et Balkans - Moyen-Orient,
sur l'antique route de la soie, aujourd'hui sur le tracé
d'oléoducs d'importance stratégique, la Turquie a toujours
été un carrefour d'échanges économiques, culturels et
religieux. Elle a fait le lien entre l'Orient et l'Occident, d'où
sa position géostratégique de premier plan qui se renforce
au vu des événements politiques qui secouent tant le
Moyen-Orient que le marché des hydrocarbures ou les
tensions liées au problème de l'eau.
 Le premier empire à émerger en Anatolie a sans nul doute été
l'Empire hittite, du XVIIIe au XIIIe siècle av. J.-C. Par la suite, les
Phrygiens, un autre peuple indo-européen, ont gouverné ces terres
jusqu'à leur anéantissement par les Cimmériens au VIIe siècle av.
J.-C. D'autres peuples indo-européens se sont succédé en Anatolie,
dont les Lydiens et les Lyciens.
 Vers -1200, la côte ouest de l'Anatolie subit l'invasion des Grecs
éoliens et ioniens. Puis l'Empire perse achéménide domine toute
l'Asie Mineure aux VIe et Ve siècles av. J.-C.. En 334 av. J.-C.,
Alexandre le Grand, débutant ses grandes conquêtes, envahit
l'Anatolie, qui se divise après sa mort en royaumes grecs comme
ceux de Bithynie, de Cappadoce, de Pergame ou du Pont.
 Ces derniers sont submergés par la conquête romaine. En 324 apr.
J.-C., l'empereur romain Constantin Ier choisit Byzance comme
nouvelle capitale de l'Empire. Elle est dénommée Constantinople,
la nouvelle Rome. Conquise par le sultan Mehmed II en 1453, elle
devient Istanbul.
 L'Empire seldjoukide et les premiers Turcs d'Anatolie

Les Balkans sont conquis dès la fin du XIVe siècle et la Serbie est entièrement annexée
en 1459. 1453 voit la prise de Constantinople par les troupes du sultan Mehmet II. C'est la
fin de l'Empire byzantin.

C'est à cette époque que de nombreux chrétiens slaves, grecs ou arméniens, pauvres et
démunis, se convertissent à l'islam pour ne pas payer le haraç (impôt sur les nonmusulmans) et deviennent ottomans.

Au XVIe siècle, l'Empire trouve sa place dans le jeu diplomatique européen où il est un
allié traditionnel de la France, dans une alliance de revers contre les Habsbourg dès le
règne de François Ier.

L'Empire décline à partir du XVIIIe siècle. La défaite à la bataille de Vienne de 1683
marque le début du déclin effectif et des premières pertes territoriales. Au XIXe siècle,
l'Empire désagrégé tente de se reconstruire en se modernisant par de nombreuses
réformes. Mais cette période de réformes, appelée Tanzimat, s'achèvera en 1876 sans
empêcher la perte de la Grèce, de l'Égypte ou de l'Algérie. À la fin du siècle, ce sont les
Balkans qui retrouvent leur liberté. Dans le même temps, les populations arméniennes
se révoltant pour obtenir davantage de droits et de libertés deviennent un véritable
problème au sein de l'Empire. Le sultan Abdülhamid II ordonne de les massacrer entre
1894 et 1896. Les massacres hamidiens feront 200 000 victimes arméniennes6.

En 1912, l'Empire ottoman perd, à l'issue de la guerre italo-turque, la Tripolitaine et la
Cyrénaïque (Libye) ainsi que Rhodes.
PERSONALITES
 Mustafa Kemal Ataturk

 Atatürk était un leader nationaliste turc et le
fondateur et le premier président de la République de
Turquie.

 Mustafa Kemal Atatürk est né en 1881 à Salonique
(Thessalonique, maintenant) dans ce qui était alors
l'Empire Ottoman. Son père était mineur officiel et,
plus tard, un marchand de bois. Atatürk était 12, il est
envoyé à l'école militaire, puis à l'Académie militaire à
Istanbul, obtenant son diplôme en 1905.
 En 1911, il sert contre les italiens en Libye, puis
dans les guerres balkaniques (1912-1913). Il a fait
sa réputation militaire à repousser l'invasion
alliée dans les Dardanelles en 1915.

 En mai 1919, Atatürk a commencé une révolution
nationaliste en Anatolie, organise la résistance à
l'accord de paix imposé à la Turquie par les Alliés
victorieux. Cela était particulièrement centré sur
résister aux tentatives grecs de s'emparer de
Smyrne et son arrière-pays. Victoire sur les Grecs
lui permit d'obtenir la révision de l'accord de paix
dans le traité de Lausanne.
 En 1921, Atatürk établit un gouvernement
provisoire à Ankara. L'année suivante le
Sultanat Ottoman a été officiellement aboli
et, en 1923, la Turquie est devenue une
République laïque dotée d'Atatürk comme
son président. Il a établi un régime de parti
unique qui a duré presque sans interruption
jusqu'en 1945.
 Il a lancé un programme de réforme révolutionnaire
de social et politique de modernisation de la Turquie.
Ces réformes comprennent l'émancipation des
femmes, l'abolition de toutes les institutions
islamiques et l'introduction de codes juridiques
occidentaux, robe, calendrier et alphabet, remplacer
l'écriture arabe par un Latin. À l'étranger, il poursuivit
une politique de neutralité, établir des relations
amicales avec les voisins de la Turquie.

 En 1935, lorsque les noms de famille ont été
introduits en Turquie, il reçut le nom d'Atatürk, ce qui
signifie « Père des Turcs ». Il meurt le 10 novembre
1938.

 Bucur Kara
 Une belle actrice, mais sur une femme triste et
malheureuse avec la belle actrice Burcu Kara fait
connaissance dans le spectacle, où elle interprète
le rôle de Havin Duygu, et bientôt vous pourrez
voir dans un rôle très particulier, celui de s'arrête
une fois la série avant de Zeynep. Ce qu'ils ont en
commun les deux personnages est une belle
femme de mélancolique, extrêmement sensible,
souffrant par amour, et qui ne mérite pas tous les
faits dont il a obligé d'aller.
 Ph.d., avec des rêves de star TV Burcu est
diplômé de la Finance, mais lorsqu'il est connu
et je voulais travailler pour la télévision : \"(...)
de l'école, je voulais vraiment faire de la
télévision. Que ce soit devant ou derrière la
caméra. J'ai dessiné des technologies \".
Encore une fois, la chance sourit lui un jour où
il a travaillé comme journaliste. Sa beauté ne
pouvait rester neremarcată par les fabricants
de téléviseurs, et donc Burcu fut choisi comme
présentateur sportif de la presse.
 De l'actualité sportive pour le cinéma et la télévision série il
ne était qu'une étape. Expérience et la popularité acquise
comme présentateur de nouvelles sportives, plus de
nombreuses apparitions dans des publicités et le désir
d'affirmer à la série mondiale, chacun d'eux ont
recommandé comme une nouvelle étoile... et son évolution
a confirmé cela.

 De l'actualité sportive aux films et feuilletons bien que
semble improbable, Burcu est une personne timide et cette
timidité a réussi à ne gagner qu'à l'aide de la caméra,
comme même, elle avoue: « une fois que je suis passé
devant la caméra, je me suis débarrassé de la timididate, j'ai
appris à avoir plus confiance en moi. »
 Après que qu'il ont abandonné comme un
présentateur de nouvelles de sports, Burcu a été
consacrée à un spectacle sur grand écran, et
beaucoup pensaient qu'il serait en proie à elle. Et
pourtant, Burcu ne faisait pas cette étape, car, ditelle, \"J'ai jamais voulu devenir actrice. Je voulais
vraiment être un présentateur, produisant le
spectacle, mais, vous le savez, il y a un dicton qui dit
« quand la vie prévoit quelque chose pour vous, vous
ne faites qu'afin de vivre ». Comme il était avec moi.
Ce que j'ai vu moi-même, ai trouvé de l'autre. »

 Engin Altan Düzyatan

 Engin Altan Düzyatan a commencé à agir pendant ses jours de
lycée. Il rejoint l'Université Dokuz Eylül pour étudier le théâtre. Il
a fait suivre son cours et s'installe à Istanbul où il a commencé sa
carrière d'acteur professionnel.[1] Il a fait ses débuts à l'écran
dans la série de télévision Ruhsar et a continué à apparaître dans
Yeditepe İstanbul, benim Koçum et Alacakaranlık. En 2005, il a
joué dans les films Beyza'nın Kadınları réalisé par Mustafa
Altıoklar et Kalbim Zamanı. En 2007, Düzyatan est apparue dans
la série Sevgili Dünürüm Haluk Bilginer, SumruYavrucuk et Nevra
Serezli. Ses prochains rôles ont été dans les films Cennet (2008)
et Mezuniyet (2009). En 2009, il joue médecin Serdar Batur dans
la série Bir Bulut Olsam avec Melisa Sozen et Engin Akyürek,
rédigés par Meral Okay.
Cuisine turque
 La cuisine turque qui bénéficie de l'héritage
ottoman est à la charnière des saveurs
asiatiques, orientales et méditerranéennes. En
effet, la cuisine turque est l'une des plus riches
dans le monde. La cuisine turque s'est enrichie
grâce aux migrations des Turcs au cours des
siècles, de l'Asie centrale à l'Europe. Parmi les
éléments que les Turcs ont apportés d'Asie
Centrale figurent le yaourt et la yufka (pâte
feuilletée - phyllo) qui constitue la base du
baklava et des börek.
 En plus d'avoir été influencée tout au long de son
histoire par ses pays voisins (Grèce, Moyen-Orient,
Balkans, Iran ou Arménie ), la Turquie leur a
également grandement rendu la pareille. Aussi, on
trouvera un grand nombre de plats communs à la
gastronomie libanaise, grecque, turque ou
arménienne. Par sa position géographique qui
permet une diversité climatique, la Turquie
préserve le caractère hétérogène de sa cuisine.
Toutefois, les traditions d'un passé lointain sont
bien conservées. Parmi spécialités turques les plus
connues on compte les dolma, döner et autres
kebab, mantı, beğendi, börek/beurek, pilav/pilaf,
baklava et kadayıf. La cuisine turque est riche en
pâtes, viandes, poissons, légumes et desserts.
 Dolma provient du verbe dolmak (se remplir) en
turc. Le mot dolma veut dire tout simplement
« farci », « plein », « rempli ». Sarma vient du verbe
sarmak qui veut dire « emballer », « entourer » en
turc. Quand les feuilles des légumes (feuilles de
vigne, chou, poirée) sont utilisées pour préparer le
dolma, ce plat est aussi appelé sarma.
 La célèbre feuilles de vigne farcies au riz (ou au
bulgour) avec ou sans viande, appelé aussi sarma,
yaprak sarması en Turquie mais plus connu sous le
nom de dolma. Il peut se manger froid mais peut
aussi (voir plus en Turquie) se manger chaud
comme plat principal.
 Il n'est pas possible de lister toutes les recettes de dolma.
Toutefois, les légumes les plus communément farcis dans la
cuisine turque sont les suivants : feuille de vigne, courgette,
aubergine, poivron, poirée, chou et potiron. Si le dolma (ou
bien sarma) contient de la viande hachée, il est
invariablement servi chaud avec du yaourt, de la menthe
séchée, de l'origan, du poivron rouge et de l'huile. Le dolma
à l'huile d'olive comprend tous les types de dolmas cuits sans
viande.
 La farce utilisé pour les dolmas à l'huile d'olive comprend
du riz, des arachides, du poivre noir, du sel, de la poudre de
cannelle, de la menthe, du persil, des fruits secs (raisin ou
figue) et une grande quantité d'oignon.
 Un autre dolma, spécialité de la Turquie, est la moule
dolma. Les moules sont remplies avec un mélange de riz et
d'épices, dans les villes côtières du pays.
 Dans la cuisine ottomane, la combinaison des
fruits avec de la viande et du riz était
fréquente. Le melon ou quince dolma figurent
par exemple dans la cuisine de Palace. Le
dolma sans viande est aussi appelé yalancı
dolma en turc, ce qui veut dire « faux dolma ».
C'est une appellation de l'époque ottomane.
Les Ottomans pensaient que le dolma devait
contenir de la viande.
 Le dolma peut être un mézé ou bien un plat
principal en Turquie.
 Pilav : riz blanc traditionnel, le plat d'accompagnement le
plus fréquent en Turquie. Toutefois, il y a des plats de riz
spéciaux comme etli pilav (riz avec de la viande), nohutlu pilav
(riz avec des pois chiches), acem pilavı (une recette spéciale
de l'époque ottomane. Acem veut dire « iranien » en turc. Les
ingrédients comprennent du riz blanc, de l'eau, de la viande
de mouton coupée en cubes, des oignons, du beurre, des
pistaches, des raisins, de la cannelle), iç pilav, özbek pilavı, etc.
 Bulgur pilavı : le boulgour (blé concassé) est fréquemment
utilisé dans la cuisine turque. Quelques köftes
(particulierement içli köfte) et mezes (par exemple kısır) est
préparé avec du boulgour. Le pilav au boulgour est aussi
commun que le riz en Turquie.
 Mantı : le mantı peut être décrit comme la pâte turque. Des
boulets de pâtes contenant de la viande hachée et de l'oignon
sont bouillies dans l'eau. Un plat de mantı est toujours servi
avec du yaourt, du sumak (une sorte d'épice), de l'origan, de
la menthe sèche, du poivron rouge, de l'ail et de l'huile.
 Un baklava ou baclava (du persan bâqlavâ) est un dessert
traditionnel commun à tous les peuples de la Perse et de
l'ancien Empire ottoman. Il est le gâteau national en
Bulgarie, en Grèce, en Turquie et dans les cuisines des
Balkans (Albanie, Bosnie, Serbie, Croatie et Roumanie), du
Moyen-Orient et du Maghreb.
 Il en existe de nombreuses variantes, en fonction des
terroirs et des régions. C'est un mets assez sucré et
constitué de pâte phyllo, de sirop de sucre (remplacé par
du miel en Grèce) et, selon les recettes, de pistaches, de
noix ou de noisettes.
 Le loukoum ou rahat loukoum est une confiserie d'origine
turque, intégrée dans les gastronomies traditionnelles
balkaniques, maghrébines et du Moyen-Orient, c'est-à-dire
dans tous les pays liés à l'Empire ottoman. Il est fait d'une
pâte à base d'amidon et de sucre, aromatisée, saupoudrée
de sucre glace et parfois garnie de fruits secs1,
généralement des pistaches, des noisettes ou des amandes.
 Le loukoum est un petit cube à la consistance à la fois
moelleuse et élastique, due à un gel d'amidon de fécule de
maïs ou de pomme de terre ou autre, enrichi en sucre et en
miel, aromatisé le plus souvent à l'eau de rose. Les
loukoums sont saupoudrés par un mélange de sucre glace et
d'amidon. Certains loukoums sont enrichis avec des fruits
secs comme des amandes, des graines de sésame ou des
pistaches. On trouve aussi des loukoums aux fruits parfumés
au citron, à la fraise ou à la noix de coco. Les loukoums à la
noix de coco sont décorés de noix de coco râpée et
contiennent une noisette.
 Le riz au lait est une spécialité culinaire sucrée composée pour
l'essentiel de riz cuit dans du lait sucré et servi tiède ou froid.
C'est un mets traditionnel de différentes cultures. Entremets
sucré préparé traditionnellement dans une casserole, il est bouilli
ou cuit au four, parfois moulé comme un gâteau. Il peut être
mélangé à des œufs battus, nappé de caramel, aromatisé à la
vanille, à la cannelle ou accompagné de raisins.

 Le thé, (çay) en turc, provient souvent de la région de Rize sur la
mer Noire ; peut être plus ("foncé" : koyu) ou moins ("clair" : açık)
fort, il demande une infusion assez longue (15 minutes) soit dans
un samovar soit dans un çaydanlık, sorte de théière bouilloire à
deux étages, dont la partie bouilloire se trouve en bas et la théière
en haut ; il est servi traditionnellement dans des petits verres en
forme de tulipe en versant d’abord le thé de la partie supérieure
(ce thé non dilué s’appelle dem) et en le diluant avec l’eau de la
partie inférieure du çaydanlık ;
 le café turc '(Türk kahvesi) est préparé dans une petite casserole
nommée cezve ; il est servi avec le marc, très sucré (şekerli),
moyennement sucré (orta), peu sucré (az şekerli) ou sans sucre
(sade), accompagné d’un verre d’eau; après consommation, la
coutume est de renverser la tasse sur la soucoupe et de lire
l’avenir dans les motifs laissés par le marc de café sur les bords de
la tasse, ce qu'on appelle le fal ;
 la sauge (ada çayı, mot à mot thé de l’île) : infusion sucrée de
couleur jaune ;
 l’hibiscus (assez rare) : infusion sucrée de couleur rouge, au goût
de grenadine ( Le carcadet (de l'arabe karkandji) est une boisson à
base de fleurs d'Hibiscus esculentus (Abelmoschus esculentus),
séchées puis infusées).
 le sahlep : boisson sucrée au goût de cannelle à base de racine
d’orchidée, se boit en hiver.
 Boissons froides non alcoolisées
 l’ayran est préparé en diluant du yaourt dans de l’eau ; il est




souvent servi comme accompagnement d’un repas rapide à
midi (pide, lahmacun, döner...) ;
şalgam suyu (jus de betterave) : jus pimenté ou pas d’un
légume intermédiaire entre la betterave et le navet ; il se boit
en alternance avec le rakı ;
la boza est une boisson sucrée très épaisse à base de farine
d’orge.
le kusburnu suyu (jus d'églantier) est une boisson sucrée
produite traditionnellement à Gümüşhane qui lui consacre un
festival chaque été.
le Şalgam suyu : le şalgam est un légume ressemblant à la
carotte, une espèce particulière de rutabaga. On y ajoute
d'autres ingrédients (farine, ail, jus de carotte, levure) pour en
faire le şalgam suyu, jus de şalgam.
Tinéraire de la tournée
 Toutes les chambres et suites SU propose des intérieurs
élégants et d'éclairage. Chacune dispose d'un balcon privé
avec canapé et un réfrigérateur de 100 produits qui peuvent
détente alege.Pentru, vous disposez d'un spa complet avec
hammam, sauna et salles de massage. En outre, l'hôtel SU
incluent un salon de coiffure et une galerie marchande.
 Les restaurants offrent un large éventail de choix, de la
cuisine méditerranéenne à la japonaise ou internationale.
En outre, vous pourrez déguster des collations et des
boissons au restaurant de la piscine et bar de plage.
 SU hôtel est situé à 1,5 km du centre-ville et à 15 minutes
en voiture de l'aéroport international d'Antalya.
 Prix de la chambre varie en fonction de la vue et
l'hébergement. Par exemple, une vue sur la mer la nuit
coûte € 150
La Mosquée bleue

La Mosquée bleue ou Sultanahmet Camii est une des mosquées
historiques d'Istanbul, la plus grande ville de Turquie et la capitale de
l'Empire ottoman (de 1453 à 1923). La mosquée est l'une des mosquées
les plus connues sous le nom Mosquée bleue pour les mosaïques bleues
qui ornent les murs de son intérieur.

Elle fut construite entre 1609 et 1616, pendant le règne de sultan
Ahmet Ier. Comme beaucoup d'autres mosquées, elle comporte
également une tombe du fondateur, une médersa et un hospice. La
mosquée Sultanahmet est devenue l'une des attractions touristiques les
plus populaires d'Istanbul.

Elle est le point de départ des caravanes de pèlerins musulmans vers La
Mecque et reçoit le privilège islamique de présenter six minarets, fait
unique au monde : seule la Ka'ba en dispose de sept, la Mecque étant
l'endroit où il doit y en avoir le plus grand nombre. C'est d'ailleurs à
cause de Sedefhar Mehmet Ağa qu'un septième minaret dut y être
érigé. Il en paya les frais. L'architecture a été conçue pour que le sultan
puisse se rendre dans sa loge à l'étage à dos de cheval.
 Après la paix de Zsitvatorok et le résultat
défavorable de la guerre avec la Perse, le sultan
Ahmet Ier décida de construire une grande
mosquée à Istanbul pour apaiser Dieu.
 Ce serait la première mosquée impériale depuis
plus de quarante ans.
 Alors que ses prédécesseurs avaient payé pour
leurs mosquées avec leur butin de guerre, Ahmet
Ier a dû retirer les fonds du Trésor, parce qu'il
n'avait pas remporté de victoires remarquables.
 Cela a provoqué la colère des oulémas, les
juristes musulmans.
 La mosquée devait être construite sur le site du
palais des empereurs byzantins, face à la basilique
Ayasofya (à cette époque, la mosquée la plus
vénérée à Istanbul) et l'hippodrome, un site d'une
grande signification symbolique.
 De grandes parties de la rive sud de la mosquée
reposent sur les fondations, les voûtes de l'ancien
Grand Palais.
 Plusieurs palais, déjà construits à la même place,
ont dû être achetés (à un prix considérable) et
détruits, en particulier le palais de Sokollu Mehmet
Paşa, et de grandes parties du Sphendonè (tribune
courbes avec structure en U de l'hippodrome).
 La construction de la mosquée a débuté en août
1609, lorsque le sultan lui-même vint donner le
premier coup de pioche.
 Il avait l'intention que cela devienne la première mosquée de




son empire.
Il a nommé son architecte royal Sedefhar Mehmet Ağa, un
élève et assistant principal du fameux architecte Mimar
Sinan comme l'architecte en charge de la construction.
L'organisation du travail a été décrite dans ses moindres
détails en huit volumes, stockés maintenant dans la
bibliothèque du palais de Topkapı.
Les cérémonies d'ouverture ont eu lieu en 1617 (bien que
sur la porte de la mosquée est noté 1616) et le sultan a pu
prier dans la loge royale (Hünkâr Mahfil).
Le bâtiment n'était pas encore terminé en cette dernière
année de son règne, comme les dernières factures ont été
signées par son successeur Mustafa Ier. Connue comme la
mosquée bleue, La Mosquée de Sultanahmed est l'un des
monuments les plus impressionnants du monde.

Elle est l'un des éléments inclus dans le complexe construit par
Ahmed I pour rivaliser avec Ayasofya. Le sultan Ahmet Ier qui
commanditait cet édifice impérial sur l'emplacement de l'ancien
palais byzantin voulait en effet démontrer que les architectes
ottomans n'avaient rien à envier à leurs prédécesseurs chrétiens. Le
plan de la mosquée s'inspire donc de celui de la cathédrale de
Justinien, édifiée près de mille ans plus tôt, mais aussi des édifices
construits au siècle précédent par l'architecte Sinan, en particulier
de la Mosquée Süleymaniye (mosquée de Soliman le Magnifique) et
de la Mosquée Bayezid (mosquée de Bayezid II), plus directement
inspirées par leur modèle byzantin. Sa coupole, en particulier, tente
de s'approcher des dimensions de celle d'Ayasofya (23,5 m de
diamètre, contre 30 m à Ayasofya, et 27 5 m pour la mosquée de
Soliman[réf. nécessaire]). Cette coupole est soutenue par quatre piliers
massifs dits en « pattes d'éléphants » et contrebutée par quatre
demi-coupoles. 260 fenêtres inondent l'édifice de lumière.
L'intérieur est décoré de 21 043 carreaux de faïence d'Iznik à
dominante bleue, dont la mosquée tire son surnom.

La mosquée a été représenté sur le verso des billets de 500 livres
turques de 1953-1976. 1
 La mosquée Sultanahmed est l'une des deux mosquées de Turquie
qui dispose de six minarets, l'autre est à Adana. Lorsque le nombre
des minarets a été révélé, le sultan avait été critiqué pour
présomption, car il s'agissait, à l'époque, du même nombre qu'à la
mosquée sainte de la Ka'ba à La Mecque. Il a surmonté ce problème
en payant pour la construction d'un septième minaret pour la
mosquée de La Mecque.
 Quatre minarets sont aux coins de la mosquée. Chacun est
cannelé, les minarets en forme de crayon à trois balcons (ṣerefe)
avec des consoles stalactites, tandis que les deux autres à la fin de
l'esplanade n'ont que deux balcons. Jusqu'à récemment, le muezzin
ou l'appelant aux prières devait grimper sur un étroit escalier en
colimaçon cinq fois par jour pour annoncer l'appel à la prière.
Aujourd'hui, un système de sonorisation est utilisé, et l'appel peut
être entendu à travers la partie ancienne de la ville, relayé par
d'autres mosquées dans les environs. De grandes foules de Turcs
et touristes se réunissent au coucher du soleil dans le parc situé
devant la mosquée pour entendre l'appel à la prière du soir, au
coucher du soleil et la mosquée est brillamment éclairée par des
projecteurs colorés.
Sainte-Sophie (Constantinople)
 Sainte-Sophie est une ancienne église
chrétienne de Constantinople du VIe siècle,
devenue une mosquée au XVe siècle sous
l'impulsion du sultan Mehmed II. Elle est édifiée
sur la péninsule historique d'Istanbul. Depuis
1934, elle n'est plus un lieu de culte mais un
musée. Son esplanade est à la mesure de la
gloire de Byzance. Souvent surnommée la
Grande Église, la basilique est dédiée au Christ,
« Sagesse de Dieu », selon la tradition
théologique chrétienne. La dédicace du
sanctuaire est célébrée le 25 décembre
 Les premières basilique.
 La première basilique consacrée à la « Sagesse Divine »
(Ἁγία Σοφία / Hagía Sophía) a été voulue par l'empereur
Constantin en 330, après sa conversion au christianisme. Elle
fut probablement érigée sur les ruines d'un ancien temple
d'Apollon, sur une colline surplombant la mer de Marmara.
C'est l'empereur Constance II qui consacra ce premier édifice,
le 15 février 360. C'était alors la plus grande église de la ville,
elle était communément appelée Μεγάλη Ἐκκλησία (Megálē
Ekklēsíā, « la Grande Église »). On suppose qu'il s'agissait d'un
bâtiment en pierre au toit de bois. Au début du Ve siècle,
l'empereur Arcadius ratifia la déposition et l'exil de
l'archevêque de Constantinople saint Jean Chrysostome, à la
suite d'un bras de fer avec le patriarche Théophile
d'Alexandrie que Jean avait été chargé de juger. L'édifice fut
alors incendié lors d'une émeute en 404.
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Il fut reconstruit en 415 par l'empereur Théodose II. Le bâtiment retrouva un
plan basilical classique sous la direction de l'architecte Roufinos. La basilique
fut consacrée le 8 octobre 415. Un siècle plus tard, elle subit une nouvelle fois
le même sort funeste, le 13 janvier 532 pendant la sédition Nika, qui a embrasé
la ville de Constantinople pendant six jours. Des vestiges subsistent devant le
mur ouest de l'édifice actuel depuis 1935. De ces ruines, on distingue un
escalier de cinq marches accédant à un portique, et trois portes vers le
narthex. Le bâtiment faisait 60 mètres de large.
Après les émeutes de Nika en 532, l'empereur Justinien entreprend de
refonder l'édifice dont il pose lui-même la première pierre.
En 1453, immédiatement après la prise de Constantinople, la basilique fut
convertie en mosquée, conservant le même nom, Ayasofya4, comme symbole
de la conquête. À cette époque, le bâtiment était très délabré : plusieurs de
ses portes ne tenaient plus. Cet état de la basilique a été décrit par plusieurs
visiteurs occidentaux, comme le gentilhomme cordouan Pero Tafur5 et le
Florentin Cristoforo Buondelmonti6. Le sultan Mehmed II ordonna le
nettoyage immédiat de l'église et sa conversion en une mosquée.
Contrairement aux autres mosaïques et peintures murales des églises de la
ville, la mosaïque de Marie dans l'abside de Sainte-Sophie ne fut pas, pour des
raisons obscures, recouverte de lait de chaux par ordre de
Mehmed II7.
Pendant cent ans, elle fut couverte d'un voile puis eut le même traitement que
les autres7. Le sultan suivant, Bayezid II, fit ériger un nouveau minaret, en
remplacement de celui construit par son père.
 Le mihrab, dirigé vers La Mecque, flanqué des deux
chandeliers colossaux de Soliman le Magnifique. Il est
situé dans l'abside, à l'emplacement de l'autel.
 Au XVIe siècle, le sultan Soliman le Magnifique (15201566) rapporta deux chandeliers colossaux de sa
conquête de la Hongrie. Ils furent placés de chaque
côté du mihrab. Mais au cours du règne de Selim II
(1566-1577), le bâtiment commença à montrer des
signes de fatigue et dut être stabilisé par l'ajout de
contreforts externes massifs. Ces travaux d'envergure
furent accomplis par le grand architecte ottoman
Sinan, qui construisit les deux autres grands minarets
de l'extrémité ouest du bâtiment, la loge originale du
sultan et le mausolée de Selim II, au sud-est, en 1577.
Les mausolées de Murad III et Mehmed III furent
construits à ses côtés dans les années 1600.
 D'autres additions ont été réalisées plus récemment,
comme le minbar (estrade pour les sermons) décoré
de marbres, et la loggia pour le muezzin. Le sultan
Murad III (1574-1595) plaça des deux côtés de la nef
les deux grandes urnes hellénistiques en albâtre,
transportées depuis Pergame. Le sultan Mahmud Ier
ordonna la restauration de l'édifice en 1739 et ajouta
un medrese (une école coranique, actuellement la
bibliothèque du musée), une soupe populaire (pour la
distribution aux pauvres), une bibliothèque et, en
1740, une fontaine d'ablutions rituelles (Şadirvan),
transformant ainsi le bâtiment en un külliye, c'est-àdire un vaste complexe social. Dans le même temps
furent construits une nouvelle galerie pour le sultan,
ainsi qu'un nouveau mihrab.
 La mieux connue des restaurations de Sainte-Sophie fut celle
menée entre 1847 et 1849 par le sultan Abdülmecid, accomplie par
plus de 800 ouvriers dirigés par deux architectes italo-suisses, les
frères Gaspare et Giuseppe Fossati. Les travaux portèrent sur la
consolidation de la coupole et des voûtes, le redressement des
colonnes et la révision de la décoration intérieure et extérieure.
Les mosaïques de la galerie furent nettoyées. Les ancien lustres
furent remplacés par de nouvelles suspensions plus facilement
accessibles. Des panneaux circulaires gigantesques furent
accrochés aux quatre piliers centraux, inscrits des noms d'Allah, du
prophète Mahomet et des quatre premiers califes Abu Bakr, Omar,
Uthman et Ali, ainsi que de ceux des deux petits-enfants de
Mahomet : Hassan et Hussein, par le calligraphe Kazasker İzzed
Effendi (1801-1877). En 1850, les Fossati construisirent une
nouvelle galerie du sultan dans le style néo-byzantin, reliée au
pavillon royal situé derrière la mosquée. À l'extérieur du bâtiment
furent érigés un nouveau bâtiment pour le gardien du temps et un
nouveau medrese. Les minarets furent modifiés de manière à
égaliser leurs hauteurs respectives. La restauration achevée, la
mosquée fut rouverte dans de fastueuses cérémonies, le
13 juillet 1849.