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Plan Agir pour la Jeunesse
Un an après
Bilan d’étape et perspectives
De l’expérimentation à l’action
29 septembre 2009 - 28 septembre 2010
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Le plan Agir pour la Jeunesse, premier point d’étape :
une double ambition, une mobilisation collective
 “Reconnaître la valeur de la jeunesse” : c’est l’ambition de
l’ensemble des partenaires qui ont travaillé à l’élaboration du livre
vert, remis au Gouvernement en juillet 2009
 “Agir pour la Jeunesse”, c’est la ligne directrice volontariste du
Président de la République (Discours d’Avignon, 29/09/09), c’est une
exigence d’action sur tous les fronts : orientation, formation,
insertion, logement, santé, accès à l’autonomie...
 Une mobilisation collective et transversale de l’ensemble des
membres du Gouvernement, pour mettre en cohérence l’action en
faveur de la jeunesse, et accompagner les jeunes à chaque étape de
leur parcours.
 Agir pour la Jeunesse, c’est une politique de long terme, de
terrain, qui associe l’Etat, les collectivités locales et les acteurs
associatifs.
2
Le plan Agir pour la jeunesse, perspectives et deuxième
étape : accompagner les jeunes par la mise en place de
parcours personnalisés

Pour répondre à la diversité des attentes et à la diversité des situations des
jeunes, nous mettons en place, pour chaque jeune, de véritables Parcours
Individualisés, Sécurisés et Territorialisés (PIST)

Ces parcours doivent traiter de toutes les préoccupations des jeunes :
formation, orientation et insertion, autonomie, engagement

Pour être opérationnels, ces parcours doivent s’inscrire dans un territoire
pertinent
Pour être efficients, ils doivent être personnalisés
Pour être pérennes, ces parcours doivent être sécurisés



Mettre en place des parcours individualisés, territorialisés et sécurisés, tel est
le fil rouge de l’action du Gouvernement pour mettre en œuvre la politique
de jeunesse et la 2ème étape de ce Plan
3
Le plan Agir pour la Jeunesse, un
premier point d’étape placé sous le
signe de l’action et des réalisations
concrètes
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Le plan Agir pour la Jeunesse, un an après
Le Plan Agir pour la Jeunesse, un an après, c’est :
- une mobilisation interministérielle sans précédent, avec
un ministère de la Jeunesse de plein exercice, à la fois
“trait d’union” et relais entre tous les ministères;
- un premier pas vers une meilleure coordination de tous
les acteurs de la jeunesse : Etat, partenaires associatifs,
mais aussi institutionnels, comme les Missions Locales, ou
privés, qui se sont engagés à travailler ensemble au service
d’un meilleur accompagnement de la Jeunesse
Et un résultat :
80% des mesures annoncées déjà mises en œuvre,
100% des mesures amorcées
et une volonté commune d’aller encore plus loin aujourd’hui en
s’appuyant sur cette mobilisation
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Le plan Agir pour la Jeunesse, un an après, ce sont des
résultats sur 4 parcours fondamentaux :
1 / L’orientation et le rattrapage scolaire
2/ La formation
3/ L’accompagnement renforcé vers l’autonomie de tous les jeunes
en difficulté :
-les jeunes en difficulté d’insertion professionnelle
-les étudiants en difficulté financière
-les jeunes de moins de 25 ans entrés dans la vie active et qui ont de
faibles revenus
-tous les jeunes en difficulté financière, sur la question de l’accès aux soins
4/ L’implication de tous pour faire émerger une génération citoyenne
engagée
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Premier parcours : l’orientation et le rattrapage
scolaire (1/2)
En matière d’orientation
 Des avancées significatives :
- le vote de la loi sur l’orientation et la formation professionnelle tout
au long de la vie en novembre 2009
- la mise en place d’un service dématérialisé d’orientation,
www.monorientationenligne.fr, géré par l’ONISEP
- la nomination de J.R.Pitte, délégué à l’information et à l’orientation
pour bâtir la 2è phase du service public d’orientation
- une réforme du lycée (annoncée le 13 octobre 2009), qui met
l’orientation et l’accompagnement des jeunes au cœur de la vie
scolaire
- le livret de compétences, lancé dès cette rentrée, pour mieux
valoriser le potentiel des jeunes et prendre en compte toutes leurs
aptitudes
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Premier parcours : l’orientation et le rattrapage
scolaire (2/2)
En matière de rattrapage scolaire
 Une mobilisation inédite :
- 4 millions d’euros dédiés à l’identification des jeunes décrocheurs,
la publication d’un décret dédié au décrochage, un système de
partage d’informations entre académies lancé;
- Plus de 200 millions d’euros dédiés dans le cadre du Fonds
d’expérimentation Jeunesse, pour trouver des solutions surmesure, oser de nouvelles expérimentations, encourager les jeunes
et impliquer leurs parents : par exemple, la Malette des parents, qui
a été étendue à la rentrée 2010 à 1300 collèges;
- 10 000 places ouvertes en écoles de la 2ème chance d’ici à la fin
2010, soit 85% de l’objectif de 12 000 places déjà atteint, avec 62
écoles, réparties dans 14 régions et 32 départements.
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Deuxième parcours : la formation
 Avec :
- La création d’un portail de l’alternance avec tous les partenaires et
chambres professionnelles, avec près de 60 000 offres ouvertes en
ligne aujourd’hui, et une campagne de sensibilisation menée auprès
des jeunes (400 000 SMS envoyés par Pôle emploi)
- Des ateliers de l’alternance mis en place dès début 2010, qui
déboucheront sur un grand plan en faveur du développement de
l’alternance d’ici la fin de l’année
-Le prolongement des mesures d’aides à l’embauche dans le cadre
de l’alternance, jusqu’à la fin de l’année
- L’entrée en vigueur dès cette rentrée du décret interdisant les
stages hors cursus, après une large consultation de l’ensemble des
partenaires, pour mettre fin aux abus
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Troisième parcours : l’accompagnement renforcé vers
l’autonomie de tous les jeunes en difficulté (1/2)
- Pour les jeunes en difficulté d’insertion professionnelle:
- 120 millions d’euros engagés en 2010, dont :
- 55 millions pour renforcer l’accompagnement des jeunes présents
dans les Missions Locales
- 35 millions pour renforcer l’allocation CIVIS, qui peut désormais
atteindre 450 euros/mois contre 300 auparavant
- 30 millions supplémentaires pour le Fonds pour l’insertion
professionnelle des jeunes, notamment pour aider les jeunes à la
mobilité
- 40 000 places supplémentaires en CIVIS, financées dans le cadre du Plan de
relance, soit près de 200 000 jeunes qui auront été accompagnés en 2010.
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Troisième parcours : l’accompagnement renforcé vers
l’autonomie de tous les jeunes en difficulté (2/2)
- Pour les étudiants en difficulté financière :
Un dixième mois de bourse est mis en place en 2 étapes, dès cette rentrée,
pour répondre à l’allongement de l’année universitaire (=+11%
d’augmentation des bourses étudiantes)
- Pour les jeunes de moins de 25 ans qui sont entrés dans la vie active de
manière durable et qui ont de faibles revenus:
Le rSa jeunes, mis en place depuis le 1er septembre, permet aux jeunes
qui travaillent ou qui ont déjà travaillé, de bénéficier d’un complément
de revenu d’activité, même avant d’avoir eu 25 ans (fin de la barrière de
l’âge) ou au rSa socle s’ils ont épuisé leurs droits à l’allocation chômage
- Pour faciliter l’accès aux soins des jeunes en difficulté financière :
L’aide à l’acquisition de la complémentaire santé a été doublée, passant
de 100 à 200 euros, et une visite de prévention gratuite pour les jeunes
est expérimentée dans 5 départements.
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Quatrième parcours : faire émerger une génération
citoyenne engagée
- Le Service Civique a été mis en place en un temps record, dès mai
dernier et piloté par une agence dédiée.
- En 4 mois :
- plus de 8000 jeunes déjà inscrits pour rechercher une
mission de volontariat ;
- dans des domaines très variés, allant de la promotion du
développement durable à l’action humanitaire;
- plus d’une centaine d’agréments ont été délivrés à des
organismes d’accueil (collectivités territoriales,
associations…etc).
- Une campagne de communication sera lancée dès octobre pour
promouvoir ce dispositif auprès des jeunes et du grand public,
notamment des recruteurs
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Au total, un an après l’annonce du Plan :
- des mesures concrètes, des moyens mobilisés;
- une réponse aux attentes et aux besoins d’une
jeunesse plurielle;
- avec un fil rouge : mener des actions solidaires et
justes, pour valoriser le travail et l’engagement des
jeunes, et accompagner ceux qui en ont le plus
besoin;
- avec une exigence : lutter davantage contre les
préjugés et les idées reçues sur la jeunesse, pour la
préparer à son autonomie et lui redonner confiance.
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La deuxième étape du plan Agir
pour la Jeunesse : changer d’échelle,
changer d’image, mieux
accompagner les jeunes vers
l’autonomie et la responsabilité
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Changer d’échelle
Mutualiser nos efforts pour être plus efficace : la
création des laboratoires territoriaux pour la jeunesse
Un laboratoire = des synergies et un pilotage local cohérent, entre
tous les acteurs (Conseils Régionaux, Généraux, Missions Locales,
associations, services de l’Etat…etc).
 Chaque laboratoire coordonne et pilote des actions considérées
comme essentielles pour sécuriser et accompagner l’accès des
jeunes à l’autonomie.
 Pas d’abandon des expérimentations existantes, mais ajout sur
ces territoires des expérimentations particulièrement réussies sur un
autre territoire (Mallette des Parents par exemple)
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Changer d’échelle
Mutualiser nos efforts pour être plus efficace : la
création des laboratoires territoriaux pour la jeunesse
 des champs d’actions prioritaires : la lutte contre le décrochage
scolaire et l’orientation, l’autonomie des jeunes, l’insertion
professionnelle, l’engagement civique et citoyen;
 8 territoires choisis pour leur spécificité et la qualité des
expérimentations déjà engagées : Marseille, Lille, Loire-Atlantique, Isère,
Morbihan, l’agglomération de Nancy, la Plaine-Commune, et La Réunion;
 Des moyens mobilisés : 2 à 4 millions d’euros supplémentaires engagés
par territoire, dans le cadre du fonds d’expérimentation pour la jeunesse
(FEJ) soit une enveloppe de 25 millions d’euros supplémentaires environ
engagés pour la Jeunesse dans ce cadre.
Avec l’apport des collectivités locales et des partenaires privés que nous
mobilisons, le montant consacré aux labos devrait pouvoir doubler pour
atteindre 50 millions d’euros sur le territoire.
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Changer d’échelle
Agir de manière coordonnée au niveau régional pour
mieux lutter contre le décrochage scolaire
 Un constat : une responsabilité multiple dans le suivi des jeunes
décrocheurs : directions de la jeunesse, rectorats, missions locales…etc.
 Une nécessaire mutualisation des initiatives, pour un meilleur suivi
 26 millions d’euros supplémentaires sont engagés pour la création de
plateformes de coordinations locales pérennes
 Ces plateformes facilitent la prise en charge des jeunes, les
accompagnent plus tôt et de manière plus organisée, identifient les jeunes
sortis de formation initiale sans diplôme et de leur proposer une solution
adaptée à leur situation.
 En lien avec le DIO, une équipe nationale de suivi des plateformes sera
mise en place dans les prochaines semaines, par la DGESCO et la DJEPVA.
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Changer d’image
Adopter un autre regard sur les jeunes
 L’image spontanée portée sur la jeunesse est faite d’idées reçues, de
raccourcis : 1 Français sur 2 a une image des jeunes très négative
(AFEV/AUDIREP "Les Français et les jeunes" 31 mars 2010)
 En mai dernier, suite notamment au débat sur les apéros géants un
groupe de travail sur l’image des jeunes a été lancé, et une concertation
menée avec les partenaires jeunesse, les associations, des représentants
des medias
 Deux orientations ont été arrêtées pour adopter un autre regard sur les
jeunes :
- revaloriser l’image des jeunes au sein de la société, notamment celle
véhiculée par les medias;
- encourager l’expression des jeunes et leur volonté de s’engager dans la
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société civile.
1/ Revaloriser l’image des jeunes (1/2)
Pour revaloriser l’image des jeunes dans les medias, 3 mesures :
1/ Nous proposerons au CSA d’intégrer dans leur baromètre diversité un critère
jeunesse. Ce baromètre vise à contribuer aux actions en faveur de la cohésion
sociale et de la lutte contre les discriminations en veillant à ce que la
programmation de la radio et de la télévision reflète la diversité de la société
française. Il permet de prendre conscience de l’image donnée à une catégorie de la
population. Jusqu’alors, il ne prenait pas en compte les jeunes.
2/Une mission sera lancée, visant à identifier le traitement des jeunes dans les
journaux télévisés depuis deux ans, afin de disposer de données très récentes et
particulièrement révélatrices de l’évolution du traitement médiatique des
comportements, évènements, actualités relatives à la jeunesse. Elle pourrait être
confiée à l ’INA.
3/Un travail avec France Télévisions est amorcé, qui vise à :
- la promotion sur le service public des multiples talents des jeunes dans le cadre
des programmes courts et des soirées évènementielles. Une première action sera
menée d ’ici fin octobre pour valoriser les initiatives des jeunes des quartiers
- la revalorisation de l ’image des jeunes, notamment dans le cadre de la Charte de
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parrainage des programmes d’après 20h.
1/ Revaloriser l’image des jeunes (2/2)
 Pour revaloriser l’image des jeunes dans la société et favoriser une
meilleure connaissance de la jeunesse, deux mesures :
1/ Un Observatoire de la Jeunesse va être créé. Il éditera chaque
trimestre des notes d’information sur les jeunes et leurs initiatives,
réalisera chaque année un état des lieux de la jeunessse, et synthétisera
l’ensemble des données statistiques les concernant. Cet observatoire sera
hébergé par l’INJEP.
2/ Le baromètre Jeunesse, lancé ce mois-ci, sera pérennisé et réalisé au
moins une fois par trimestre, afin de suivre régulièrement les perceptions
et l’opinion des jeunes sur toute une série de sujets d’actualité, et de
mieux prendre en compte leurs attentes.
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2 / Encourager l’expression des jeunes dans les
instances décisionnelles
Avec 4 mesures concrètes :
 La création d’un statut de pré-majorité associative : un décret paraîtra dans
les prochaines semaines, qui permettra aux mineurs de plus de 16 ans de
diriger des associations;
 La création d’un collège “jeunes” au sein du Conseil économique, social et
environnemental (CESe): leur nomination est en cours et leur mandat
débutera le 1er octobre;
 La réforme du Conseil national de la Jeunesse, pour mieux prendre en
compte les demandes des jeunes : une consultation sera lancée dès octobre,
qui associera l’ensemble des organisations et partenaires concernés. Ce
Conseil aura de nouveaux pouvoirs élargis, et pourra notamment saisir le CESe;
 Une mission, qui sera confiée d’ici à la fin de l’année à une personnalité,
pour améliorer la participation des jeunes aux instances décisionnelles et
consultatives de la société civile et politique : elle sera notamment conduite
en lien avec la HALDE, afin d’identifier les freins et discriminations empêchant
les jeunes d’accéder aux responsabilités.
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3/ Accompagner les modes d’expression des jeunes
dans la vie sociale, qu’ils soient festifs ou culturels
 Dans la lignée du débat sur les apéros géants, il s’agit tout d’abord
d’améliorer l’accompagnement des jeunes lors des évènements festifs qu’ils
organisent, avec deux actions :
- une circulaire rédigée par le Ministère de l’Intérieur et le MJSA permettra de
mieux accompagner les jeunes lors des évènements festifs qu’ils organisent.
Un référent départemental sera désigné pour échanger avec les jeunes sur le
cadre réglementaire à respecter et les aider à mettre en place des actions de
prévention;
- une série de mesures pour renforcer la prévention et la lutte contre la
surconsommation d’alcool chez les jeunes seront annoncées cette semaine
avec Roselyne Bachelot, à l’issue de la réunion conclusive du groupe de travail
dédié à cette thématique;
 Plus globalement, il s’agit aussi de donner aux jeunes les moyens
d’exprimer tous leurs talents : nous avons lancé cet été un appel à projets
dédié à l’expression culturelle des jeunes, avec la Fondation Total et en lien
avec le Ministère de la Culture, pour encourager des projets qui faciliteront
l’accès des jeunes à la culture, et valideront leurs compétences artistiques pour22
leur insertion professionnelle.
Mieux accompagner les jeunes vers l’autonomie et la
responsabilité
 Dans l’après-crise, et pour mieux préparer le rebond, l’accent devra être
mis tout particulièrement sur la question des ressources des jeunes en
recherche d’emploi, et sur celle de leur accompagnement socioprofessionnel.
 Objectifs :
- expérimenter dans des délais raisonnables pour tester
l’efficacité des mesures, adapter notre politique aux besoins des jeunes sur
le terrain;
- s’adresser à tous les jeunes confrontés aux difficultés d’entrée
sur le marché de l’emploi, qu’ils soient peu qualifiés, ou déjà diplômés
(bac + 3).
 Notre volonté : faire confiance aux jeunes en renforçant les moyens de
leur autonomie, et en leur donnant plus de responsabilités.
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Mieux accompagner les jeunes vers l’autonomie et la
responsabilité
Expérimenter un revenu contractualisé d’autonomie pour
les 18/25 ans à faible niveau de qualification
 Cadre de l’expérimentation :
- un revenu garanti, 250 euros, pendant une durée maximale de 2 ans, dégressif la
deuxième année, pour des jeunes à faible niveau de qualification;
- des droits, mais aussi des devoirs : en contrepartie, le jeune s’engage à entrer
dans un dispositif d’accompagnement, à rechercher activement un emploi ou à
suivre une formation, et à ne pas refuser les offres qui lui sont faites;
- il est accompagné par un référent tout au long de son cursus;
- territoire cible : un appel à projet sera lancé auprès des missions locales dans
toute la France pour participer à l’expérimentation.
 Calendrier :
- les missions locales seront sélectionnées en novembre, début de
l’expérimentation en décembre;
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Aller plus loin sur les ressources des jeunes
Expérimenter un revenu contractualisé d’autonomie
pour les jeunes diplômés de licence (a minima)
 Cadre de l’expérimentation :
- un revenu garanti, 250 euros, pendant une durée maximale d’un an, pour des
jeunes diplômés de licence et plus, à la recherche d’un premier emploi et inscrits
à Pôle emploi depuis 6 mois;
- un accompagnement renforcé, assuré par l’APEC et mis en place spécialement
pour les jeunes diplômés, que le jeune devra impérativement suivre;
- Il s’agit de mettre en place une aide à la recherche d’un premier emploi pour les
jeunes diplômés qui ont perdu les avantages étudiants (bourses, restos U,
logements CROUS…etc.).
 Calendrier :
- mise en œuvre de l’expérimentation en décembre 2010.
 Nombre de jeunes concernés par les deux expérimentations : 9500, dont 5500
toucheront le revenu garanti
 Coût total des 2 expérimentations “ressources” : 20 millions d’euros
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Conclusions
 Une première étape concrète, efficace et sur-mesure pour
répondre à la diversité des préoccupations de la jeunesse, qui va
changer durablement le visage de la politique de la jeunesse en
France
Une seconde étape nécessaire, pour changer le regard de la
société sur la jeunesse, et montrer la confiance qu’on accorde aux
jeunes, deux dimensions indispensables de leur réussite
 Un suivi constant et régulier qui sera réalisé avec l’ensemble des
partenaires de la jeunesse, les organisations et associations.
 Une réussite qui tiendra aussi beaucoup à la bonne volonté de
tous de participer à la nouvelle gouvernance des dispositifs, et à la
coopération sans faille entre acteurs locaux et nationaux, pour
faire réussir les jeunes et agir concrètement pour la jeunesse.
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