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I. Organisation et fonctionnement de l’INERA
II. Ressources
III. Forces de l’INERA
IV. Faiblesses de l’INERA
V. Menaces sur l’INERA
VI. Opportunités de développement de l’INERA
L'INERA est l’Institut du CNRST spécialisé dans le
domaine des recherches environnementales et
agricoles.
L’organisation et le fonctionnement de
l’INERA sont basés sur:
•
Les structures des recherches,
•
Les programmes de recherche,
•
Les organes de gouvernance.
DRREA DU SAHEL
*Di
*
Katchari
DRREA DU
NORD-OUEST
CREAF de
*Kamboinsé
DRREA DE L’EST
*Saria
DRREA DE L’OUEST
*
*
DRREA DU
CENTRE
*
Kouaré
Farako-bâ
Niangoloko
CREAF/Kamboinsé
DRREA de l’Ouest/Farako-Bâ (Bobo-Dioulasso)
DRREA du Centre/Saria (Koudougou),
DRREA de l’Est/Kouaré (Fada-N’gourma)
DRREA du Nord-Ouest/Di (Tougan),
DRREA du Sahel/Katchari (Dori)
CREAF
Kamboinsé
DRREA
Ouest
DRREA
Centre
DRREA Est
DRREA
Nord-Ouest
DRREA Sahel
Station de
Kamboinsé
Station de
Farako-Bâ
Station de
Saria
Station de
Kouaré
Station de
Di
Station de
Katchari
Antenne:
Saponé
Station de
Banfora
Sites de
recherche
Sites de
recherche
Sites de
recherche
Antennes:
Pobé-Mengao
Djalafanka
Sites de
recherche
Station de
Niangoloko
Antennes:
Kou, Balla
Antennes:
Houndé
Dindéresso
Sites de
recherche
INERA = 16 programmes de recherche organisés autour
des 04 départements scientifiques :
Département Productions Végétales (DPV)
Département Productions Forestières (DPF)
Département Productions Animales (DPA)
Département Gestion des ressources
naturelles/système de production (GRN/SP)
Des laboratoires centraux et les cellules de télédétection
et de Macro-économie et filières sont des outils d’appui
affectés aux départements scientifiques.
Les principaux organes de gestion de l’INERA sont:
•
le Conseil Scientifique et de Gestion (CSG);
•
le Comité de Direction;
•
Les Comites de gestion des centres (CGC);
•
les Commissions des Programmes;
•
les Comités techniques (régionaux et nationaux).
L'INERA compte 573 agents repartis en trois grandes
catégories de personnels :
Le personnel chercheur, au nombre de 164;
Le personnel technique, au nombre de 166;
Le personnel d’Administration et d’Appui, au
nombre de 243.
Le budget de recherche est assuré par des financements
extérieurs.
Ce budget qui traduit la capacité des chercheurs à
mobiliser des ressources a évolué comme suit:
2007: 1 184 494 222 FCFA
2008: 1 431 177 983 FCFA
2009: 1 711 097 616 FCFA
2010: 2 510 164 314 FCFA
L’INERA dispose de nombreux acquis de
recherche qui ont fait l’objet :
• de l’ouvrage Bilan de 10 ans de recherche
1988 – 1998 publié en 2002;
• de plus de 300 fiches techniques
disponibles sur le site: http//www.inera.bf
Effective depuis 1985, la régionalisation de la
recherche agricole a contribué:
• à rapprocher davantage la recherche des
utilisateurs de ses résultats;
• à la mise en place de programmes régionaux
en vue de contribuer à la diversification, la
spécialisation et l’accroissement des
productions agricoles tout en gérant
durablement les ressources naturelles.
L’INERA a développé un réseau de partenariat avec:
• les structures et programmes de développement;
• les autres structures nationales et sous régionales
de recherche ;
• les organisations de producteurs;
• les ONGs,
• les universités (nationales et étrangères);
• les CIRA et CRA
• les organisations sous-régionales et régionales;
• les communautés économiques régionales.
L’INERA dispose d’un important personnel qualifié,
sollicité aussi bien à l’extérieur que par d’autres
départements ministériels:
• 04 Directeurs de recherches,
• 17 Maîtres de recherche;
• 41 Chargés de recherche;
• 05 Attachés de recherches;
• 73 Ingénieurs de recherche;
• 27 Techniciens supérieurs;
• 70 Techniciens;
• 49 Observateurs.
• Insuffisance du personnel (administratif et technique);
• Manque de plan de carrière pour certaines catégories
de personnel;
• Manque de plan de formation du personnel;
• Financement des programmes de recherche basé
exclusivement sur des ressources extérieures;
• Insuffisance d’infrastructures;
• Manque d’équipements et de logistique;
• Vétusté des équipements et matériels existants;
• Problèmes de communication.
• Expropriation des terres: cas du CREAF;
• Problèmes de titres fonciers dans les DRREA;
• Problèmes de sécurité des infrastructures et
équipements de recherche (clôture,
gardiennage, etc,);
• Dégradation des terres, des infrastructures.
• Insuffisance du personnel technique et
administratif (recrutement à compte goutte);
• Départs à la retraite et démissions sans
remplacements;
• Départs des chercheurs pour manque de
perspectives de carrière.
• Menace sur la capacité à traiter des questions de
recherche relevant de la souveraineté nationale par
insuffisance de financement national (cas des
ressources phylogénétiques, biotechnologies,
régionalisation de la recherche, etc.);
• Perte de matériels génétiques, de données,
détérioration d’équipements du fait d’une non
autonomie en matière de fourniture continue
d’électricité, etc.
Manifestation d’engagement politique pour la recherche:
• Création du MRSI;
• Plan stratégique de recherche scientifique adopté
en 1995 et en cours de relecture;
• Récente loi portant régime juridique applicable aux
emplois des Enseignants-Chercheurs, des
Enseignants Hospitalo-universitaires, et des
Chercheurs;
• Etc.
Existence de stratégies et programmes de
développement dans le secteur agricole:
• Ministère de l’Agriculture et de l’Hydraulique: Plan
d’Investissement dans le Secteur Agricole (PISA);
• Ministère des Ressources Animales: Plan d’Action
d’Investissement du Secteur de l’Elevage (PAPISE);
• Ministère de l’Environnement et du Développement
Durable : Plan d’Action Décennal (PAD).
• Alignement du plan stratégique de la recherche
agricole avec celui du CORAF/WECARD et du FARA
dans l’optique de la mise en œuvre du PDDAA
(Programme Detaille pour le Développement de
l’Agriculture en Afrique);
• Existence de nombreux fonds compétitifs de
recherche agricole;
• Etc.