Je ne sais pas parler d`amour pourtant dans - Les cordées

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Transcript Je ne sais pas parler d`amour pourtant dans - Les cordées

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Cordée APF Mélusine

Partager ensemble un message
d’amour, en toute simplicité…
Bonne lecture à vous tous!


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L'amour dans nos vies
Comment parler d'amour lorsqu'il remplit nos cœurs,
Qu'il éclate en nos âmes comme mille soleils,
Dessine dans nos nuits son plus bel arc-en-ciel,
Et nous repeint la vie en de douces couleurs !
Chacun en a besoin, chacun en lui espère.
Et pourtant, bien souvent, c'est nous qui le chassons.
Par manque de confiance, par manque d'abandon,
Avec notre air maussade, nos paroles amères.
Car l'amour se cultive, et, s'il frappe à nos cœurs,
Nous devons lui ouvrir sans nulle résistance.
Il entrera alors, amenant l'assurance
De jours ensoleillés et d'éternel bonheur...
Jacky Questel


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Amour
Moi qui longuement ai cherché l'Amour,
Les heures, les jours, les années sont passées,
Si parfois la vie me semblait morose.
Un jour nos destins se sont croisés,
Aujourd'hui, je suis comblé,
Nous rions et pleurons en symbiose
Je l'aime, elle m'aime, nous nous aimons.
Il est enfin arrivé
Cet Amour que nous méritons

Qu'il fleurisse jour après jour...
Yanis (et Valérie)


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Amour
Je ne sais pas parler d'amour
pourtant dans mon cœur un bruit sourd
une musique lancinante
au rythme de ton âme tremblante.
Je ne sais pas parler d'amour
pourtant jour après jour
ma peau appelle la tienne
que rien ne la retienne.
Je ne sais pas parler d'amour
un lien qui nous unit tour à tour
nous retient main dans la main
à l'instinct même dans le lointain.
Je ne sais pas parler d'amour
je ne sais que le vivre
un bonheur qui me rend ivre
un peu plus chaque jour
Valerie Schoonbaert


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Surprise
Le froid nous engluait dans sa gangue embrumée
Ce matin de janvier, quand tu es apparu.
Ténébreux, isolé en ce monde inconnu,
Si différents de tous. Un feu s'est allumé.
Soudain, dans la cohue, nos yeux se sont croisés
Et comme deux aimants, ils se sont retenus
Dans ce bal endiablé, dans ce tohu-bohu.
Réalité vécue. Récit d'autre côté.
C'est un même sang chaud qui abreuve nos cœurs,
Sur un même métier furent tissées nos vies,
Les motifs différent ainsi que les soucis,
L'air que nous respirons à la même douceur,
Ici, sur notre sol, en ce pays d'espoir.
Au sommet d'une tour, brûle un grand encensoir.

Marie-Agnès


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Sur l'amour
Ne changez pas. Le désir de changer est l'ennemi de l'amour.
Ne changez pas. Aimez vous comme vous êtes.
Ne changez pas les autres. Aimez les comme ils sont.
Ne changez pas le monde. Il est dans les mains de Dieu et
il sait ce qu'il fait. Et si vous faites cela...le changement se
produira merveilleusement et à son heure. Lâchez prise
et laissez vous porter par le courant de la vie
désencombrée de vos bagages !
Père Antony de Mello


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A mon ami
On s'est rencontré sur planète Internet
Les circonstances étaient pour le moins originales je crois
Tous ces mots sans voix qu'on se disait du bout des doigts
Rapidement nous avons atteint les limites du Net.
Celles des Webcam et de tout ce monde virtuel
Où l'on ne se connaît pas vraiment
De l'autre côté de cet écran
Se découvrirait-on des atomes crochus bien réels?...
Se rencontrer ailleurs que dans un espace tridimensionnel
Où l'on a pour seul langage des codes binaires n'expliquant que le
rationnel...


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J’ai trouvé

J'ai trouvé chez toi
Tout ce que je n'avais pas,
Du bonheur et de la tendresse,
De la douceur et de l'ivresse,
De l'amour, des sourires ,
De la chaleur et l'envie de rire.

J'avais oublié,
A quel point on se sent tout petit,
Quand l'autre est dans nos bras,
Qu'on le serre et qu'on lui parle tout bas.

J'ai trouvé dans le vert de tes yeux,
Des lagons et des marécages.
J'ai trouvé de la lumière sur ce bout de rêve bleu .
Ou les oiseaux ne vivent plus en cage,
Où la terre a changé de paysage.
J'avais oublié,
A quel point on se sent tout petit,
Quand l'autre est dans nos bras,
Qu'on le serre et qu'on lui parle tout bas.
J'avais oublié le bonheur et la tendresse
La douceur et puis l'ivresse
L'amour et les sourires
La chaleur et l'envie de rire
J'ai trouvé chez toi...
...tout ce que je n'avais pas...
...Je t'aime

Charbonnier Florian


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Peut-on écrire une lettre d'amour à son père. A
notre époque si dénuée de sentiment qu'elle les
confond tous sous une même appellation, j'en
doute. Pourtant, ce que l'on éprouve pour son
père
est de l'Amour qui n'a rien à voir avec ce qui nous
lie à notre copain, mari ou femme.
C'est en tout cas le 14 février, il y a quelques
années, que j'ai offert ce poème à mon père.


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Mon cœur voudrait te dire
Mon regard étonné et soucieux à la fois
Se noie dans un abîme obscur, illimité,
Et pourtant, c'est bien vrai, cet inconnu, c'est toi,
Mon père, être secret, au cœur démesuré.
Sous les coups de burin, le grincement des limes,
Tu étouffes les cris de ton sang passionné
Et tais pudiquement les richesses intimes
Que tes yeux trop brillants ont du mal à sceller.
Comme le cèdre bleu qui transcende nos cœurs,
En maître incontesté, monarque fabuleux,
Tu régis notre vie, ses joies comme ses pleurs,
Et couves tes rameaux sous ton feuillage anxieux.
Tu effrayais l'enfant qui tremblait à tes pieds.
Tu l'inquiètes toujours bien qu'il soit déjà vieux,
Bien que tu lui prodigues tes soins dévoués
Avec empressement, à toute heure, en tout lieu.
Tu as su procurer à mon âme gamine
L'amour qui m'a créé et qui m'a fait rimer,
Éblouissant et clair, en pointe cristalline.
Et par ces mots, papa, je veux t'en remercier.
Marie-Agnès


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Je bute sur la fin mais en faut-il une je ne peux l'admettre...
Pour que nos douze ans, fassent une addition
Que ce vol d'oiseaux nous mène toujours plus haut
Les années se sont rajoutées sans y faire attention
Quel nom donner à ses oiseaux ?
Comment parler de ces moments aussi beaux
Te rappelles-tu de cette année de galère
Sans un sou dans les poches de mon pantalon
Ce n'était pas la bohème, ce n'était pas hier
Quatre bouts de bois, un carrelage, mon intention
Un dessous de plat je n'étais pas peu fier
De ce présent utile, il n'avait aucune prétention
Sans raison, un cadeau qui se voulait ordinaire
Un cadeau ordinaire qui se voulait sans prétention
Utile mon invention devait être
De cette attention il est devenu protection
Une main qui protège, accompagne sans paraître
Quoi que fut, notre convention
Cette main de soutien, cette main de maître
Fut-elle à la hauteur de la situation
Les années se sont rajoutées à cette union hors pair
Il aura fallu se battre pour que notre réunion
Soit à la hauteur des nos espoirs sans se défaire
Voila maintenant trente quatre ans
Nous faisons une sacrée paire et ce n'est pas pour me déplaire
Jean Luc


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Bonne journée à
tous...