En ce beau dimanche de juin, nous voilà parties, Yvonne et moi, dire un petit bonjour à Montmartre. Paris la grande ville a dans ses.

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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


Slide 6

En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


Slide 11

En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
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http://www.jackydubearn.fr/


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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


Slide 15

En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


Slide 16

En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
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http://www.jackydubearn.fr/


Slide 19

En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


Slide 21

En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
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http://www.jackydubearn.fr/


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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
[email protected]
http://jackydubearn.over-blog.com/
http://www.jackydubearn.fr/


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En ce beau dimanche de
juin, nous voilà parties,
Yvonne et moi, dire un petit
bonjour à Montmartre.

Paris la grande ville a dans
ses murs une multitude de
parcs
et
jardin
dont
certains sont parmi les plus
beaux du monde.
Montmartre ne manque pas
de verdure ! C’est un îlot de
nature et de verdure, un
village dans Paris et dans le
cœur des Parisiens.
Connus et chantés dans le
monde entier, Montmartre
et le Sacré-Cœur font partie
de
tous
les
circuits
touristiques.

Et la curieuse basilique du Sacré-Cœur, qui domine la colline, a une bien
curieuse histoire !

La basilique du Sacré-Cœur, dite du Vœu national, située au sommet
de la butte Montmartre, est un édifice religieux parisien majeur, dont la
construction fut décrétée par une loi votée par l’Assemblée nationale
en juillet 1873. Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an
(en 2006), c'est le second monument de France le plus visité après la
cathédrale Notre-Dame de Paris.
A l'automne 1870, au cœur de l’"année terrible", un notable parisien,
Alexandre Legentil, prononce un vœu solennel, promettant au SacréCœur de Jésus, en amende honorable de tous les méfaits commis
dans le monde et pour obtenir ses secours devant les périls qui
menacent la France, la construction d’un édifice religieux qui lui sera
consacré.
Appel est fait à l’Assemblée nationale pour que ce monument soit
déclaré d’utilité publique, ce qui devait permettre les achats et
expropriations nécessaires. Il était de plus stipulé que cette
construction ne serait édifiée que grâce à des fonds provenant de
souscription. Il sera demandé de verser, non une somme importante,
mais ce qui est possible à chacun.

78 projets furent présentés en réponse à l’appel d’offres, et ce fut l’architecte
Paul Abadie qui remporta l’offre.

Mais nous étions montées pour faire du tourisme, pas de l’histoire, et
admirer Paris du haut de la Butte Montmartre. Et nous n’avons pas été
déçues !

Le ciel était clair et Paris s’offrait à nous dans toute sa magnificence.

De tous côtés, des escaliers enfouis dans la verdure montaient à l’assaut de
la Butte. On a même vu un pigeon sautiller d’une marche à l’autre comme un
touriste facétieux.

Ah ? Un escalier un peu moins
ombragé, peut-être…Mais cela
ne rebute pas les touristes. La
Butte Montmartre se mérite !!!

Les
pelouses
sont
encore
interdites pour le farniente, mais
les pigeons n’en ont cure ! Ce
sont eux les vrais rois de la Butte !

Comme toujours, au fil des heures, une jeunesse cosmopolite et bon enfant
prenait possession des marches escaladant les derniers contreforts et
menant au Sacré-Cœur : des chants, des rires, des ébauches de danse…

Les
animations
sont
permanentes et spontanées :
une jeune femme, avec sa
valise et son nez rouge, vient
faire son numéro de clown.
Cela lui permettra peut-être de
recueillir un peu de monnaie.

Un jeune garçon, en équilibre sur
le mur qui surplombe le vide de
l’autre côté, tourne, virevolte,
jonglant avec un ballon.
Nous sommes restées un moment
à l’admirer, et pas une seule fois le
ballon n’a arrêté sa danse, et pas
une fois il n’est tombé dans le
vide ! (il n’est pas tombé du tout,
d’ailleurs !!!)
C’est une démonstration d’une
dextérité époustouflante !

Dans un des jardins en contrebas, un groupe de musiciens offrait des chants
de marin. Le public, conquis, mimait les chants avec les musiciens.
La banderole portait l’inscription : "Montmartre au chœur"…

Nous sommes tombés en arrêt devant ce panneau, sans doute réalisé par
quelque technocrate consciencieux, et nous nous sommes demandés ce
que les touristes de passage pouvaient en retirer comme information
concrète !

Mais nous voulions aussi aller Place du Tertre, quelques pas plus loin.
Nous avons donc contourné la Basilique, pour continuer notre
exploration.

A l’entrée de la place, deux
garçons de café très
« couleur locale » font une
petite pause bien méritée,
car l’affluence est grande
partout. Et j’étais PRESQUE
chez moi, regardez le nom
du café derrière !

Là, au centre de votre écran, et vous tournant le dos, je vous présente ma fille
Dominique et son copain Franz arrivant sur la Place du Tertre.

La Place du Tertre est le domaine des peintres en tous genres et de tous
styles. Et 30 minutes, vous pouvez vous faire faire votre portrait, ou vous
faire caricaturer. Vous trouvez le petit souvenir par cher. Et vous prenez un
bain de foule !!!

Le dessin, le lavis, la peinture à l’huile, l’aquarelle… Les couleurs
éclatantes ou les camaïeux en gris, en beige, en ocre… Vous voyez de
tout, vous admirez de tout !

Diversité des styles, vous dis-je :

Je voudrais pouvoir vous restituer l’ambiance de ce lieu hors du temps…

Tout cela est épuisant ! Déjà 16 h30… Sur le côté de la place du Tertre,
cette tonnelle accueillante nous fait signe. Une petite halte, une petite
boisson…

Nous avons laissé les enfants et pris un taxi. La plongée dans la grand-ville,
avec ses bruits, ses immeubles, son trafic, avait quelque chose d’irréel,
comme si nous avions changé de planète…

Et la Tour d’Horloges de la
Gare St Lazare était là pour
nous rappeler que, dans
n’importe quel pays, dans
n’importe quelle planète, de
toute façon l’heure nous
rattrapait toujours…
Nous sommes rentrées la
tête, le cœur et… l’appareil
photos emplis d’images.
Ce fut un beau dimanche…

Photos : Yvonne
Texte : Jacky
Musique : Féérie – Florian Bernard au synthé

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix
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