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Etal-Civil île Cherbourg
PUBLICATIONS
André Desaint, ajusteur à l'Arsenal, 55,
rue de la Paix prolongée, Cherbourg et
Yvette Castel, s. p. 6, rue de l'Union,
Cherbourg.
MARIAGES
Lucien Lenioigne et Marcelle Gosselin.
Jules Machu et Odette Malot.
Raymond Oheix et Lucienne Le Barbanchon.
Henri Adam et Marie-Therese Bourbon.
Désiré Dewitte et Madeleine Crestey.
Jean Le Duc et Marie Lequertier.
Léon Meyran et Suzanne Marion.
DECES
Victor Roussel, 42 ans. monteur en
chauffage central, 46, rue du Val-de-Saire.
Henri Groult; 53 ans, s. p. 46, rue du
Val-de-Saire.
Madame Marie DESTRES, à Hainneviile, ses
Enfants et Petits-Enfants ;
Monsieur Louis PILLON et Madame, née
DESTRES, à Hainneviile, leurs Enfants et
Petits-Enfants ;
Monsieur Alexandre TOUPOTTE et Madame, née DESTRES. à Hainneviile, leurs
Enfants et Petits-Enfants ;
Monsieur Lucien DESTRES. à Hainneviile :
Ses Neveux et Nièces ;
Monsieur et Madame Charles LENEFVETJ,
à Flcttemanville-Hague :
Monsieur et Madame Auguste TRAVERT, à
Flottemanville-Hague, leurs Enfants et
Petits-Enfants ;
Monsieur et Madame Joseph LENEPVETJ- a
Nouainviile et leurs Enfants ;
Monsieur Louis GERMAIN, à Querqueville,
ses.Enfants et Petits-Enfants ;
Ses Cousins et Cousines ;
Mademoiselle Blisa DIVETAIN ;
Sa Fidèle Servante :
Les Familles DESTRES. PILLON. PARIS,
TOUPOTTE. TRAVERT. PASQTJIER, TYMEN, TOSTAIN. BRETON. FUEL. VILDIEU et CAMELOT ;
Ont ia douleur de vous faire part de la
mort, de
Monsieur Joseph DESIRES
décédé en son domicile, à Tonnevilte, Ferme.
de la Souhardière, le 21 Janvier 1D33, à lâge
de 81 ans, nv.ui des Sacremen's de l'Eg!;-
LES PENSIONS
ET LA LOI DE FINANCES
DU 31 DÉCEMBRE 1937
L'analyse ci-dessous de la loi de finances Indiquera aux retraités les modifications apportées à la législation des pensions.
Les avances sur pension payées par la
poste font l'objet d'une perception de
1 fr. 20 (au lieu de 1 fr.) par opération.
Certains fonctionnaires de l'Etat qui
ont opté pour le régime de la Caisse Nationale des Retraites pour la vieillesse,
peuvent, s'ils sont encore en activité de
services, formuler — dans le délai d'un
an — une nouvelle option pour le régime
antérieur auquel ils étaient affiliés.
Les veuves dont le mari a été retraité
par anticipation en application de la loi
du 18 août 1936 et qui se sont mariées
avant la cessation de l'activité seront réputées réunir les conditions d'antériorité
du mariage — 2 ans — pour avoir droit
a la retraite, si cette condition s'était
trouvée remplie à la date à laquelle le
fonctionnaires aurait été atteint par la
limite d'âge avant l'application de la loi
du 18 Août 1936.
Les Officiers démissionnaires avant la
guerre qui, avec leurs services de guerre,
ont réuni 15 ans de services effectifs,
peuvent demander une pension proportionnelle.
Les majorations spéciales accordées
aux militaires de la Gendarmerie, sont
portées à 178 francs pour l'adjudantchef et l'adjudant; 143 francs pour le
maréchal des Logis chef et 113 francs
pour le gendarme. L'indemnité de fonction des militaires de la gendarmerie entre en ligne de compte pour l'évaluation
de la pension.
De nouveaux taux de pension pour les
inscrits maritimes sont fixés par l'article
149 de la loi.
L'article 150 est très important en ce
qui concerne les droits à pension d'invalidité des militaires: Sous le nom de présomption médicale, on a rétabli en quelque sorte la présomption légale qui fut
supprimée par l'article 72 de la loi du 28
février 1933.
Le décret-loi du 30 octobre 1935 qui
menaçait de dissociation le Ministère
des Pensions est abrogé.
Les veuves qui auraient pu bénéficier
d'une allocation complémentaire e t qui
n'ayant pas exercé leurs droits dans le
délai de 5 ans s'étaient laissées forclore,
peuvent à nouveau — dans un délai de
C mois — demander une allocation complémentaire.
I
TRIBUNE LIBRE
»
M. G. Fougère nous écrit :
« Monsieur le Directeur, .,
Depuis plusieurs semaines déjà, j'étais tenté de mettre à profit l'hospitalité de la Tribune Libre.
Une polémique s'était en effet instaurée
dans vos colonnes au sujet de la liberté de la
Presse. Mais ce que j'avais à écrire était si
court, si court, que j'ai dû attendre une
deuxième occasion d'intervenir et faire ainsi d'une pierre deux coups.
Museler la Presse ? Pourquoi donc ? . 'our
taire et reléguer le scandale ? Sans doute.
Il n'y aurait certes pas de scandale si personne n'en causait.
Mais au profit de qui ce silence ? Quels en
seraient les grands bénéficiaires : (est-il même nécessaire de répondre à cette question),
seraient-oe les braves gens ou les fripouilles
les honnêtes gens ou les profiteurs ?
Tout le monde connaît l'effet de la crainte
du gendarme. Le gendarme d'aujourd'hui
c'est la presse. Qu'elle veille les deux yeux ouverts et qu'elle soit sans pitié Les plaies pour
guérir ont bsoin du grand jour et de l'air
pur
Voilà mon primo et voici mon secundo :
Conseil de Prud'hommes UN MÉDECIN SUPPRIME LES HÉMORROÏDES
•
INCOMPETENCE
Des dockers employés au service des escales avaient cité leurs employeurs devant la
juridiction prud'hommale, pour obtenir le
règlement de leur compte, selon la loi de 40
heures, en tenant compte du rajustement des
salaires de 20 p. 100 prévu au contrat collectif. M" Védie. avocat, soutint les revendications des demandeurs. M° Eoche-Duval,
avoué, demanda au Conseil de se déclarer
incompétent, et subsidiairement dire mal
fondée la demande des dockers.
Le Conseil, considérant qu'il s'agissait bien
d'un différend survenu relativement à l'application d'une convention collective, a estimé que ce différend devait être soumis aux
procédures de conciliation et d'arbitrage. Se
déclarant incompétente, l'Assemblée a renvoyé les demandeurs à se pourvoir devant la
juridiction compétente, en l'espèce la Commission paritaire départementale de conciliation. Les dépens ont été mis à la charge des
requérants.
UN PEU DE MUSIQUE
Dans un orchestre de dancing, un musicien avait été engagé par le chef en qualité
de violon-saxo-accordéon (le jazz a de ces
exigences !) pour la période comprise entre
le 27 mars et le 15 octobre, moyennant une
rémunération journalière de 60 francs. Le 7
juillet, bien qu'il eût fait auditionner l'instrumentiste avant de lui signer son contrat,
le chef déclara au musicien pelyphone qu'il
ne remplissait pas les conditions imposées,
jouant mal des différents instruments pour
lesquels il était engagé, et avait une attitude regrettable.
Le contrat fut résilié au 22 juillet.
Le musicien évincé a cité le chef devant
les prud'hommes, en réclamant, par l'intermédiaire de M" Chevreuil, avocat, le montant
de ce qu'il devait toucher jusqu'à l'expiration de son engagement, soit 5.950 francs,
250 francs pour frais de costume, 250 francs
comme part dans les bénéfices du bal offert
au profit de l'orchestre, le prix d'un voyage
de retour à Paris : soit 94 francs. Au total
6.544 francs, plus les intérêts de la dite somme.
Le chef, par l'organe de M" Védie, demandait au Conseil de rejeter comme mal
fondée la demande du violoniste-saxo-accordéoniste.
Le Conseil, dans son jugement, a tenu
compte de ce que le demandeur avait obtenu un certificat élogieux de la Direction de
rétablissement qui l'employait ; mais il a
constaté aussi que le demandeur ne fournissait pas la preuve qu'il n'avait pu trouver
d'embauché à son départ de Cherbourg, à
une époque où les bons musiciens devaient
être recherchés pour l'Exposition de Paris.
En conséquence, le Conseil a accordé au
musicien une somme de 3.000 francs, à litre
de dommages-intérêts, et l'a débouté du surplus de sa demande.
Des milliers-de personnes qui souffraient des
tourments terribles tausSs uar les hémorroïdes, se
sont vues du Jour au lendemain débarrassées de
celte horrible Infirmité en employant VEOEROM
du D' Mlot. remède d'une efficacilé sans pareille.
être sans opération. Aujourd'hui le n'ai même plus
le souvenir de mes souffrances. »
VKGEÏIOM du D' Mlot est le seul produit de ce
genre ne contenant que des plantes et des huile%
médicinales précieuses dont la science vient ri»
découvrir le pouvoir de pénétration à travers la
peau Jusqu'à la racine même du mal où elles calU n Remède Rapide
ment, déconpeslinnnent,. suppriment toute Irrita
Voyez, par exemple, ce qu'écrit M. Ribaud. ;i tion et cicatrisent
Lyon : • .10 souffrais cruellement d'hémorroïdes
Faites cet Essai
Gratuit
dpnuis quatorze ans et ayant essavé de nombreux
remèdes coûteux sans résultats définitifs. Je sonArheiei aujourd'hui même dans une pharman*
geais a une opération, quand un Médecin spécia- une boite de VEGEBOM du II' Miot à Frs : 9,30
liste m'ordonna l'emploi de VEGEnOM du D' Miot. Vous serez soulagé dès la première application
Avec une première application les douleurs ces- SI. après trois jours d'usase. vous n'êtes pas ravi
sèrent commo par enchantement et je pus passpr des résultats obtenus, envoyez l'étiquette de la
une nuit tranquille pour la première fois depuis boite au LAHORATOIRE .1ESSEL. 58. rue de Chézy
un mois. Peu A peu les pertes de santr s'arrêtèrent A Neuilly-sur-Seine. qui vous remboursera son prix
et quelques jours après J'avais retrouvé mon bien- d'achat par retour du courrier.
LA QUESTION DES TRAMWAYS
LE CHOMAGE
Le personnel de la Compagnie des
Tramways réclame une majoration de
20 % des salaires qui lui sont assurés.
La Compagnie déclare ne pouvoir aller
au-delà de 5 % dans la voie des augmentations.
Ce différend est soumis à la Ville de
Cherbourg qui a concédé l'exploitation
des transports par tramway à cette
Compagnie.
Mais on sait que depuis de longues années le Conseil Municipal accueille toutes les demandes de modification de t a rifs de la Compagnie à son corps défendant, en dégageant sa responsabilité dans
les conséquences des remaniements qu'elle ne fait qu'homologuer.
Et il est certain qu'une augmentation
nouvelle du tarif des tramways, loin de
favoriser l'exploitation, ne ferait que
l'entraver.
Et puisque la Compagnie se déclare
incapable de donner satisfaction à son
personnel, on estime que la Ville doit être
laissée juge de la situation qui ne peut,
dit-on, être dénouée que par son intervention, sous forme d'une contribution
aux frais d'exploitation.
Le Conseil d'Etat a estimé en effet que
la partie concédante d'un service public
ne pouvait se désintéresser des résultats
de l'exploitation dudit service. Elle doit
d'accord avec le concessionnaire envisager les moyens propres à permettre à
celui-ci d'obtenir un rendement satisfaisant, faute de quoi, la résiliation du cont r a t de concession peut être envisagée.
Nos édiles vont avoir à statuer sur la
demande de la Compagnie.
Ils seront d'autant plus incités à agir
avec la plus grande circonspection que
la ville et la Cie de-) Tramways sont en
différend et que le Conseil de Préfecture
interdépartemental a été saisi par le Conseil d'Etat à l'effet d'évaluer l'indemnité que la ville devra verser à la Compagnie — laquelle lui réclame environ 2 millions %.
Voilà donc une question bien épineuse
à l'horizon.
Elle implique l'étude de la substitution
éventuelle du service des autobus au service des tramways. A ce sujet, il nous revient que l'expérience de Caen est nettement déficitaire et d'autre part que la
Compagnie des Tramways de Cherbourg
n'a pas à se louer d'avoir supprimé le service Queroueville-Urville par voie ferrée, lequel était d'un rendement supérieur
à celui des autobus tel qu'il est organisé.
Le fonds de chômage qui avait cesse
de fonctionner l'été dernier, est de nouveau mis à contribution depuis le 1er décembre.
Jusqu'à présent il n'a groupé qu'ur
nombre relativement peu important d'assistés. La Commission administrative veille à ne secourir qu'à bon escient les sanstravail qui ont recours à ses offices. Elle
écarte ceux — peu nombreux d'ailleurs —
qui par leur inconduite se montrent indignes de bénéficier de la sollicitude publique.
Si jusqu'à ces temps derniers, l'effectii
des chômeurs inscrits s'est maintenu audessous de ceux des précédents hivers, i!
est a craindre que cette situation soit de
courte durée.
En effet, de grandes entreprises dont
les travaux arrivent au moins en partie a
expiration, sont en train de procéder à
des licenciements du personnel qui
étaient d'ailleurs prévus.
Après l'entreprise Tlveg. ce sont les
chantiers Levaux qui. ainsi que nous
l'avons dit, sont appelés à effectuer de.:
travaux à Brest; ceux de Brécourt, étant
en voie d'achèvement. De même à l'Aviation Maritime, les chantiers Boussiron
doivent se séparer d'une partie de leur
personnel.
Dans quelle mesure les ouvriers et manœuvres licenciés retrouveront-ils de
l'embauche dans d'autres chantiers ? On
l'ignore.
L'administration de la Marine entreprend en divers endroits, particulièrement sur la côte, l'édification d'ouvrages
qui fourniront des emplois à la maind'œuvre inoccupée.
Mais il est à craindre qu'une partie du
personnel en expectative eie congédiement ne trouve pas à se réemployer avant
le printemps. D'ici la- le fonds da secours,
dont le Bureau paritaire de placement
assure la gestion, aura très certainement
à multiplier son action en raison de la
recrudescence inévitable du chômage.
L'installation des membres de la Chambre
de Commerce.
La dernière et récente élection consulaire
s'est terminée sur un chapelet d'équivoques.
Quitte à me répéter une fois encore, je tiens
à dire que je fais mon affaire propre des
équivoques sur les personnes.
J'ai promis un pamphlet, je le tiendrai. Son
édition relève du proche avenir. Je ne veux
donc ni abuser de l'hospitalité de la Tribune
Libre, ni empiéter sur le domaine de ma
presse personnelle.
Dans les colonnes de « Cherbourg-Eclair »
je ne traiterai que la question idéologique.
Certes, j'aurais eu beau jeu de critiquer
dans sa forme le presque unique discours
d'installation, celui du Président de la Chambre de Commerce.
J'ai devant les yeux les longues colonnes du
« Cherbourg-Eclair », Une observation immédiate s'impose. Deux discours sont en présence : un de 300 lignes et l'autre de dix lignes. Les sots n'en déduiront rien, c'est entendu. Tant pis pour les sots.
Moi, j'en déduis que (dussè-je subir une
b?.
fois de plus le reproche de m'annexsr la perEt vous prient d'assister aux Convoi, Sersonne que je félicite sincèrement) M. le Prévice et Inhumation qui auront lieu en l'Efet de la Manche est un homme très intelliglise de Tonaevil.e, le Lundi 24 Janvier, à 10
gent, extrêmement subtil et fort avisé. Bref
heures précises.
,
un homme assez indépendant pour ne faire
Une Messe Huitaine sera célébrée à son
intention, en l'Eglise de Tcnnevilie, le Lundi
Toutes ces dispositions seront publiées et que ce qu'il veut, assez personnel pour vouloir
ce qu'il fait.
31 Janvier 193S, à 9 heures du matin.
ocmmentêes dans le journal « Le Retraité »
Dans son discours de dix lignes, pas d'eau
qui paraîtra au début de Février prochain.
Abonnement: 5 francs nar an. Prix du nu- bénite de la République. Pas de Panthéon loMonsieur Emile SIMON et Madame née AL- méro: 0 fr. 60.
cal : Aux grands hommes la Patrie reconLAIS, ses père et mère :
naissante. Les grands hommes locaux se décernent assez de lauriers pour n'y pas voir
Monsieur Michel SIMON, son frère ;
s'ajouter une distribution préfectorale. Vive
Monsieur et Madanics Jules ALLAIN ;
Monsieur et Madame Casimir TOURNAILLE, notre Préfet.
Monsieur et Madame Emile SIMON ;
et
leur
fils;
Par contre le discours du Président de la
Ses grands-parents ;
Monsieur LEGÊNDRE, Madame née SI- Monsieur et Madame Paul TOURNAILLE, Chambre est un amalgame de médiocre alCONGEDIEMENT POUR IVRESSE
L'ACTIVITÉ DES MINES
et leurs enfants;
lure. Amalgame de self compliments et de forMON et leurs enfants ;
Monsieur BLANDAMOUR, Madame née SI- Monsieur et Madame Emile LEMONNIER, PL mules de justification répétée jusqu'à la maUne Société chargée d'un déchargement de
DE DIÉLETTE
nie et même jusqu'à la hantise.
leurs filles;
MON et leurs enfants ;
bois pour le compte d'une Maison locale fut
Ce discours est un tissu d'équivoques sur les- invitée par celle-ci à renvoyer un contreMonsieur et Madame Victor LAURENCE, et
Monsieur Rémy SIMON ;
quels il sied de ne pas rester et vivre pendant maître, qui était ivre. Satisfaction lui fut
leur fils;
Notre confrère le journal « L'InformaMonsieur Marcel SIMON
deux ans jusqu'à la prochaine consultation donnée, mais le salarié réclama à ses emMonsieur Emile TOURNAILLE et son fils;
tion » publie l'entrefilet suivant concerMonsieur QUETûEVILLE, Madame née Monsieur
électorale.
et Madame René TOURNAILLE,
n a n t les mines de Diélette.
ployeurs une indemnité de brusque congéALLAIN et leur fils ;
Je pourrais répondre à ce discours point diement de 1.110 francs.
et leurs enfants;
Monsieur Georges ALLAIN Madame née Monsieur
c Depuis la reprise de l'exploitation, qui
par
point.
Ce
serait
trop
long
et
j'en
relève
et
Madame
Gustave
LEJEUNE,
et
Le défendeur conclut à faire prouver par
BOUILLON et leur fils ;
remonte aux premiers mois de 1937. l'exseulement quelques-uns.
leurs filles;
témoins
que
s'il
avait
congédié
le
réclamant,
traction a porté sur 53.12SI ternies. Les expéMonsieur Léon ALLAIN ;
Madame Veuve Pierre GUILHOU, et ses enOn y parle beaucoup de propriété indi- c'est que ce dernier s'était trouvé plusieurs
ditions, inaugurées au mois de mai, représenMadame Veuve Maurice ÀLLATN et ses enfants, et petits-enfants;
viduelle. Pas un mot de la propriété com- fois en état d'ébriété.
tent jusqu'à Sn décembre 1937 un ensemble
fants ;
merciale...
Le
Conseil,
avant
de
faire
droit,
a
autorisé
de 41.550 tonnes. Tome la production de 1938
Madame Veuve Rcgsr ALLATN ;
Remercient bien sincèrement toutes les
On y parle de confiance faite par l'élec- le dit défendeur à faire la preuve du motif
étant vendue dans des conditions avantageuSes oncles, tantes, cousins et cousines ;
personnes qui leur ont témoigné des marques teur. Pour qui connaît les récents événe- allégué par lui, le demandeur était admis à
ses, la Société compte augmenter son exLas familles SIMON. ALLAIN, BOUIL- de sympathie à l'occasion du décès de
ments, quel défi !
faire la preuve contraire.
traction, de manière à réaliser une moyenne
LON, NOËL, DUPONT, LEBLOND ;
On y dit toutefois, fort justement* que l'hisL'enquête
a
permis
d'établir
que
le
contremensuelle de 12.000 tonnes. Les embarqueMadame
Veuve
TOURNAILLE
Les parents et amis ;
toire du port de Cherbourg est « passionnan- maître a manqué plusieurs fois à l'embauLES ÉCLAIREURS DE FRANCE
ments se font toujours au moyen d'un caisnée Alexandrine, Ernestine PERKOTTE
Ont la douleur de vous faire part de la
te comme un roman d'aventures ». Cela, c'est che, malgré plusieurs avertissements; que des
son.
Pour faciliter ceux-ci. la Société envisaperte cruelle qu'ils viennent d'éprouver ep.
vrai, très vrai, encore plus vrai que ça.
témoins ont constaté son état anormal
A CHERBOURG
ge d'améliorer les installations présentes ou
Une Messe Huitaine sera célébrée pour le
«
Aventures
»
voilà
bien
le
mot
qui
conla personne de leur cher petit
« Ces faits constituent, dit le jugement, la
encore, de relier la mine par un câble aérien
repos de son âme en la même église, le Mer- vient à ce « Roman » si mal bâti depuis la
GILBERT
faute grave suffisante pour permettre' à
à Couville et d'acheminer de là le minera
ciécede au domicile
de ses parents à Touria- credi vingt-six janvier à huit heures.
guerre.
l'employeur
de
renvoyer
sur-le-champ
l'auà
Cherbourg par la voie ferrée >.
viile le 22 Janvier 1938, à l'âge de 10 mois.
C'était vraiment u n sympathique auMal bâti, oui. Ne devrait-il pas venir à teur de la faute « susceptible de faire perdre
P.
F.
G.
12,
r.
T.-Carrée,
Cherbourg.
T.
3-27
Les opérations par caisson ont donné
Et vous prient de bien vouloir assister lux
ditoire qui se trouvait réuni mercredi
l'esprit le moins averti que le combat que je le droit au congé».
convoi, service et inhumation qui auront lieu
dans le grand salon de l'Hôtel de l'an dernier des résultats satisfaisants.
livre depuis douze ans n'aurait été qu'un feu
Le contremaître a été débouté de sa de- soir
le Lundi 24 Janvier, à 15 heures, en l'Eglise
Ville, pour entendre les Chefs Lebou- Mais il faut compter avec la période des
de paille si moi qui n'ai pas de galons com- mande et condamné aux dépens.
Saint-Joseph des Miellés, sa paroisse.
cher «Vieux loup noir» (que beaucoup tempêtes. La semaine dernière, u n n a merciaux, moi qui ne suis rien, moi qui n'ai
On se réunira à Ja maison mortuaire, rue Monsieur et Madame Gustave DUBOST, et pas le soutien d'une coalition d'intérêts, d'un
connaissent par ses émissions mensuel- vire est venu à Cherbourg attendre un
2jC2jC3fC
Thiers. N» 73. Tourlaville.
leur fille, à Equeurdreville;
les à Radio-Normandie) et Duncombe moment d'accalmie pour se rendre à Diéconsortium du profit, d'une société amicale
î! ne sera pas envoyé de faire-part, le pré- Monsieur Charles DUBOST, retraité de la de petits ambitieux de province, si je n'avais
«Flèche d'or», notre Commissaire ré- lette. Finalement, nous, dit-on. il a dû
UNE FOURNÉE MANQUÉE
sent avis en tenant hsu.
Marine et Madame, à Bricquebec;
gional adjoint et ardent propagandiste renoncer à aller prendre le chargemem
eu l'appui de la vérité, la base matérielle des
de minerai qu'il devait transporter en
P. F. G. 96. rue Thiers, Tourlaville T. 5-35. Madame DUBOST. religieuse au Bon-Sau- faits, la justesse de mes prévisions, le conUn ouvrier boulanger réclamait à son pa- du Scoutisme.
Angleterre.
veur;
trôle des événements et la sanction des redou- tron une somme de 1.000 francs, pour conL'on remarquait dans l'assistance :
Monsieur Jules DUBOST;
tables échéances.
gédiement abusif.
MM. Simon, troisième adjoint, président
Monsieur et Madame LEDIAGON, et leurs
Me dressant contre toutes les équivoques,
Engagé au salaire de 250 francs par semai- du Comité E. d. F., de Peyrelongue, préCHRONIQUE "CINÉMTOGRAPHIQUE
enfants, à Equeurdreville;
je relève dans le « Roman d'Aventures » les ne, il estimait ne pouvoir être tenu pour res- sident du tribunal civil, vice-président
Vous êtes priés d'assister à la Messe qui
points suivants :
ponsable d'une fournée manquée, comme du Comité E. d. F. colonel Vitard, resera ce;érjree. en la Basilique Sainte-Trinité Mademoiselle Louise DUBOST;
« LES DEl X GC-SSES >
Du projet initial de la Chambre de Com- c'eût été le cas pour les brigadiers et les se- présentant la ligue coloniale et Mariti:e Mardi vinjt-cmq janvier 1933, à huit heu- Monsieur Marcel DUBOST, adjudant à SunA L'OMNIA
conds
boulangers,
dont
les
salaires,
aux
termerce,
rien
ou
à
peu
près
n'a
été
exécuté.
res pour le repos de l'âme de
dhouse, Madame et leurs enfants;
me et le Rotary-Club, Houyvet, proviC'est la transposition à l'écran de la ce.eLa Chambre de Commerce voulait un port mes de la convention collective, sont fixés à seur du Lycée, le censeur des études. Mlle
Les Familles DUBOST, BORDES, LEDIAde répartition, base essentielle de tout son 385 et 322 francs par semaine. Le patron pré- Potigny, l'active C. L. des Eclaireuses, bre pièce de Pierre Decourcelie : « Les deui
Monsieur Charles HAUBERDON
GON, MAHAUT, JEANNETTE, ANDRE;
tendait avoir le droit de se séparer de son plusieurs professeurs du Ivcée et ce Gosses » que l'Omnia a porté à son affiche
projet. Personne n'en parle plus.
Les Parents et les Amis;
Sous-Officier d'Intendance
cette semaine.
ouvrier, en respectant, comme il l'a fait, le nombreux sympathisants.
La
Chambre
de
Commerce
voulait
déplaà la Z"" C. O. A.
Remercient bien sincèrement toutes les per- cer la station de transbordeurs par la créa- délai-congé d'usage.
Chacun connaît les douloureuses aventure;
sonnes qui leur ont témoigné des marques tion dans le port des Miellés d'appontements
M. le Maire, retenu par d'autres obli- de Fanfan et Claudinet, l'un fils adoptif et
Il est défendant d'avoir agi avec esprit
décédé accidentellement le 8 Janvier 1938 dans de sympathie à l'occasion du décès de
gations
s'était
aimablement
excuse,
l'autre
neveu d'un ivrogne brutal e't sans
à la cote 5. Il n'y eut heureusement qu'un d'animosité, de malveillance, de mauvaise foi
Ea vrngt-septiême année et dont les Obsèques
ainsi que MM. Biard, directeur du scrupules : La Limace. Fanfan vit avec cevou avec intention de nuire.
commencement
d'exécution
à
cette
mortelle
Militaires, Service et Inhumation ont eu lieu
Madame Veuve DUBOST
Le Conseil, saisi de ce litige, se trouva di- «Cherbourg-Eclair », Ondedieu et Cou- forams depuis que son père, le comte de Kererreur.
en l'Eglise de Rouen.
née HAREL
sin, membres du Comité.
lor, qu'une méprise a fait croire que cet er.par moitié, sur l'appréciation des faits.
t
La Chambre de Commerce voulait une Ga- visé
Ê
En conséquence, on renvoya l'affaire deEn une courte et charmante impro- fant n'était pas le sien, le leur a remis pour ie
De la part de :
Une messe huitaine sera célébrée pour le re Maritime d'une valeur de 15 millions maxi- vant
venger.
Plus tard. La Limace voudra faire
bureau de jugement présidé par M
visation. M. Simon présenta nos deux
repos de son âme en l'église d'Equeurdreville ma. Il y en a maintenant une qui en vaut 75 le jugele de
paix Rogeon, en qualité de dépar- «Sachems» ; naviguant avec maîtrise chanter le comte et celui-ci réclame son fils.
Madame Veuve Charles HAUBERDON Comet fort mal'placée d'ailleurs.
le Vendredi 28 Janvier, à 7 heures 30.
titeur.
Darmi les écueils de notre terminologie Celui-ci s'étant enfui, le forain présentera
merçante, sa Mère ;
Le jugement déclare l'ouvrier boulanger Scoute, il rappela l'origine de leurs « To- Claudinet à sa place. Finalement, les de KerMademoiselle HAUBERDON, sa Sœur ;
Le Quai. C'est aux agents maritimes qu'on
P. F. G. 12, r. T.-Carrée, Cherbourg. T. 3-27
non recevable en sa demande et l'en débou- tems» inspirés, le premier d'Akéla, le lor retrouveront leur enfant grâce à Claudile doit.
Les Familles HAUBERDON. MENARD
Vieux loup de l'admirable livre de la net qui meurt.
te pour les motifs suivants :
PICQUENOT, SERRAIN ;
'
L'interprétation groupe un nombre imporAttendu... Que le louage de services fait Jungle de Rudyard Kipling, et le second,
La Darse avec des profondeurs suffisanSes Parents et Amis.
c'est à la ville et au Département qu'on sans détermination de durée peut toujours du symbole offert par Lord Baden-Po- tant de vedettes. Dorville tient avec sa bonMesdemoiselles Jacqueline et Simone OLI- tes,
homie
coutumière, le ro'.e pittoresque de La
cesser par la volonté d'une des parties con- wel, aux chefs des délégations étrangèla doit.
Remerciements à l'Eglise.
VIER;
tractantes, à la condition d'observer les dé- res, lors du «Jamboree» de Godollo : Limace. Germaine Rouer et Maurice Escance
Monsieur Jacques CROISIER, et son épouse
16, rue de l'Onglet.
sociétaires de la Comédie Française, sont parLes grands travaux qui ne constituent hé- lais d'usage (Art. 23 du Code du Travail, une Flèche d'Or.
née BOUDET;
en époux de Kerlor. Annie Ducaux est
las, qu'un commencement, c'est au Député modifié par la loi du 29 juillet 1928) ;
« Vieux LOUP Noir » exposa ensuite les faits
Monsieur Edouard OLIVIER, retraité de la Appell qu'on les doit.
Attendu qu'aux termes mêmes du dit arti- origines du Scoutisme, ses méthodes, sensible. Serge Grave et Jacques Tavoli tienMarine;
Et la Chambre de Commerce, par la voix cle, pour que la résiliation puisse donner lieu l'aide efficace qu'il apporte en temps nent avec sincérité le rôle des deux gosses. CiMadame Veuve LE MEHATJTE, née CROI- de son Président, appose sa signature au pied à dommages-intérêts, il faut que la partie qu'auxiliaire de la famille et de l'école, tons errire Marguerite Pierry. Surville, RoMonsieur et Madame René JEANNE et leurs
SIER, et son fils;
de ces œuvres. Elle s'approprie les plumes du qui a rompu le contrat ait abusé de son droit pour l'éducation des jeunes garçons, en- gers...
Enfants;
paon.
Monsieur Edouard CROISIER, instituteur;
de résiliation ;
fin sa portée sociale.
***
Monsieur et Madame Charles ATJBRY et Monsieur Fernand CROISIER;
Mais ce qu'il faudrait, c'est achever le port.
Attendu que le dit article prescrit aux triH
insista
sur
ce
fait
i
m
p
u
t
a
n
t
que
le
«
L'AMOUR
VEILLE »
Impossible,
Les
avances
de
l'Etat,
les
avances
bunaux
de
mentionner,
et
par
suite
de
disleurs Enfants;
'
Mademoiselle Marguerite CROISIER;
c Appell » ont été faites sur la totalité des cuter, le motif allégué de rupture du contrat Scoutisme ne constitue pas une révoluAU CENTRAL-CINEMA
Monsieur et Madame Emile AUBRY, et leurs Monsieur Pierre DAVY, son épouse née OLI- travaux
tion
pédagogique,
mais
une
école
de
ciElles ont été englouties dans des inu- de travail, et s'il facilite l'admission de la
Le Centra! passe en ce moment « L'Amour
VIER, et leur fille;
Enfants;
tilités
preuve d'un abus de droit de résiliation, rien visme par l'étude de la nature, l'exalta- veiile » d'après la pièce de R. de Fiers et CailRobert LEPARQUIER, son épouse,
tion des sentiments civils de l'enfant, le lavet. En voici le scénario :
dans
le
texte
ne
permet
de
dire
qu'il
abroge
Monsieur et Madame Edouard LEJUEZ et Monsieur
née OLIVIER, et leurs enfants;
Le port est inachevé. Le port est inacheva- la règle suivant laquelle le fardeau de la développement de l'individu en dehors
Jacqueline aime son cousin André de Jttvileur Fils;
de toute considération de race, d'opi- gny.
ble.
Mademoiselle Denise OLIVIER;
preuve incombe à celui qui a subi la ruptu- nion,
Eile sait qu'il est frivole, qu'il a pour
Mademoiselle Odette LEJUEZ;
de confession et de classe sociale.
Madame Veuve Auguste BOUDET, ses enLe
Président
de
la
Chambre
laisse,
dit-il,
re
(Cassation
Ch.
civ.
18
mars
1930),
qu'il
ne
maîtresse une vedette des Folies-Bergère. CeMonsieur et Madame Louis LEJUEZ et leurs
fants et petits-enfants:
le livre ouvert à de « nouvelles andaces ». Au- suffit pas à un employé, pour obtenir une Puis exposa les différents programmes la ne fait qu'aiguiser son désir de l'épouser
des meutes, troupes et clans, unités corEnfants;
Monsieur René BOUDET, Madame et leurs daces, oui. Nouvelles, non.
indemnité, de démontrer que le congédie- respondantes aux différentes
étapes au iieu du timide Ernest, qu'elle juge tin parLes Familles JEANNE, AUBRY, LEJUEZ
enfants:
Il serait audacieux d'achever un port avec ment dont il a été l'objet lui a été préjudi- psychologiques
ti vraiment trop sage. Jacqueline épouse Ande l'éducation du garBACON, GROULT, DELISLS, BARBAN- Monsieur Jules BOUDET. Madame, leurs en. une caisse vide, n n'y a pas eu d'Ancienne ciable;
il
faut
encore
qu'il
administre
la
preu.
dré. Mais elle lui découvre une autre liaiCHON;
fants et petits-enfants;
audace à vider la caisse pour un simple em- ve d'une faute commise dans l'exercice de çon.
son
: sa cousine Lucienne de Morfontaine
Parents et Amis;
Les Familles: CROISIER OLIVIER, LE bryon.
son droit de congédiement (cassation ch. req.
Son ardente conviction lui permit de qui se venge d'un mari infidèle et lointain
Remercient bien sincèrement toutes les MEHATJTE. DAVY, LEPARQUIER, BOUIndubitablement, aujourd'hui,
quelque 29 mars 1931).
se jouer des difficultés d'une tache ren- Jacqueline décide de se venger à son tour
personnes qui leur ont témoigné des maïques DET, GUICHET, VAUDECREME, DECOUX, chose existe que je suis d'ailleurs le seul à utiAttendu que X... ne fait pas cette preuve due plus ardue par la diversité de l'au- L'espoir de reconquérir André par la jaloude sympathie à l'occasion du décès de
liser cent pour cent (aussi puis-je en cau- et n'offre pas de justifier que son congédie- ditoire composé de jeunes garçons et de sie n'est-il pas une excuse valable pour prenEPATLLY, LENEVEU;
ser).
Monsieur Joseph LEJUEZ
ment est basé sur un autre motif que ce- parents. Les uns et les autres furent vi- dre un amant ? Jacqueline court chez ErMonsieur le Receveur des P. T. T.
Ce qui est vrai, c'est que ce qui existe d'inu- lui indiqué par l'employeur.
vement intéressés* et nous avons la cer- nest. La gaucherie de cet amoureux éperdu
Une Messe Huitaine sera célébrée pour le Le Personnel des P. T. T.;
tile
ou
du
moins
de
superflu
est
dû
à
la
freine son ardeur vengeresse. Elle ne tromrepos de son âme en l'Eglise Notre-Dame du
Attendu que le patron est seul juge de la titude que « Vieux Loup Noir » a pleineRemercient
bien
sincèrement
toutes
les
perChambre de Commerce. Ce qui existe d'uti- question de savon si un salarié s'acquitte à ment réussi dans cette tâche et a de pe pas André. Ce simulacre de représailles
Vœu le Vendredi vingt-huit janvier, à huit
sonnes
qui
leur
ont
témoigné
des
marques
le
et
même
d'indispensable
a
été
fait
ou
sans
heures.
son entière satisfaction des fonctions qu'il tout cœur servi la cause du Scoutisme. suffit à lui ramener son mari.
de sympathie à l'occasion du décès de
elle, ou contre elle, ou surtout malgré elle.
Henri Garât est parfait dans'un rôle d'homlui confie et n'est pas tenu de prouver l'in- Qu'il trouve ici l'expression de notre r e Madame Veuve Marcel OLIVIER
Il est osé de tirer orgueil de l'œuvre accom- suffisance de capacités de celui-ci. (Cassa- connaissance.
me à femmes; la charmante Jacqueline FranP. F. G. 10, rue Tour-Carrée (Tél. 3-27)
plie ou « quelque fierté d'avoir écrit les Der- tion 6 nov. 1933, 20 mai 1935).
cell
a mis beaucoup d'entrain dans son rôle
née Renée CROISIER
«Flèche d'Or» commenta avec hunières (oh I) pages da livre de Leur entrepriAttendu que dans ces conditions et le con- mour des projections de scènes Scoutes d'ingénue libertine; Gabrielle Dorziat mériDame employée des P. T, T.
se des Miellés » Heureusement ce livre est trat
dont s'agit n'étant à durée indéterminée, prises au cours des mille et une activités te une mention spéciale parmi un lot d'artisUne Messe huitaine sera célébrée pour le baptisé c Roman >.
le patron pouvait y mettre fin en observant df>" Eclaireurs : Camp Ecole de Cappy. tes de talent : Alice Ficld. Stephen, Léon BcMonsieur et Madame Louis GERMAIN à repos de son âme en l'église Saint-Clément,
Quant
au
«
planétarisme
»
du
gros
comle
délai
d'usage; que l'employé ayant béné- Camp National d'Algérie, «Jamborees» liêres, Pizani.
le Samedi 29 janvier 1938, à 8 heures.
Tourlaville;
de Birkenhedd et de Vogelenzand,
merce et au « sateDitisme » du moyen et du ficié d'un préavis d|une semaine en confor***
Camps régionaux et de troupes, dans
Monsieur et Madame André GERMAIN et
P. F. G. 12, r. T.-Carrée, Cherbourg. T. 3-27 petit ce fut la matière de mes développe- mité de cet usage, son action n'est pas fonlesquels
les délégations E. d. F. de Nor« LA GRIFFE DU HASARD »
leurs enfants, à Bretteville;
ments d'hier, ce sera encore celle de mes dé- dée.
mandie furent toujours brillamment reMonsieur et.Madame Eugène LEPRAIST et
veloppements de demain.
Par ces motifs etc...
A L'ELDORADO
présentées. L'on avait vraiment l'impresleurs enfants;
Monsieur et Madame Gustave GORNET;
Que ce discours d'installation puisse jeter
C'est un film policier gai. de René Pujoi
sion
de vivre une passionnante journée
***
Ses beau-frère et sœur ;
de l a poudre aux yeux des Ignorants, peutMonsieur et Madame Albert PICOT;
de Scoutisme ; de la joyeuse «Gym.» que l'Eldorado joue en ce moment avec « I*
être, mais j'ose espérer que tous ne seront pas
Monsieur et Madame Jean LIOT, et leurs Monsieur et Madame Henri GORNET;
matinale au traditionnel feu de Camp, Griffe du hasard ». Il nous entraine dans le
L'EXCUSE DE L'EMPLOYEUR
victimes d'un illusionisme opportuniste.
Ses neveu et nièce ;
enfants;
le
solennel lever des couleurs, «l'enfu- monde très spécial du « gang » parisien, dans
ETAIT VALABLE
Mademoiselle Simone GORNET ;
Madame Marie LIOT, et ses enfants:
Notre Préfet ne l'est pas. n a, avec notre
mante » activité des « cuistots », la cons- ce fameux « milieu ? si curieux et on assiste
Monsieur André GORNET ;
Monsieur et Madame Auguste LEPRAIST;
Maire, de bonnes raisons de ne pas l'être.
truction des 1.000 «astuces» du camp aux tribulations d'un bien bizarre inspecteur
Un garagiste ayant engagé un directeur
Ses petits-neveu et nièce ;
Monsieur et Madame Paul FREMY, et leurs
pour en assurer le confort, l'émouvante de police qui, ne payant pas de mine, est cecommercial
aux
appointements
mensuels
de
Quand,
avec
une
ingénuité
voulue
par
la
Mademoiselle
GARDIEN
;
enfants;
2.000 francs, dut se séparer de lui, par me- cérémonie de la promesse, se dérou- pendant plein d'astuce et qui mènera à bien
Mesdemoiselles Germaine et Louise LELes Familles VASLET, HAMEL, HASNE, Vérité qui se venge, le Président de la Cham- sure
laient sous nos yeux, sous le signe du une tâche redoutable.
d'économie
bre termine par cette considération : « Que
PRAIST;
LETULLIER, FRITOT, LETTJRC ;
s
Ce policier est incarné par le joyeux Larchic «Esprit Scout».
Le directeur commercial par l'intermédiaiserait notre action sans bases financières soMadame Veuve Victor LIOT;
Les parents et amis ;
quey qui donne tout son piquant a cette avenre
de
M"
Védie
réclama
à.
son
employeur
lides
?
»
les
distingués
représentants
de
notre
Les Familles GERMAIN LEFEVRE, LIOT
Cette partie du programme ne fut ture gaie, sans assassins ni cadavres, Autour
francs à titre de préavis et 6.000 frs
Remercient bien sincèrement toutes les Département et de notre Cité peuvent mesu- 2.000dommages-intérêts
LEPRAIST, PIGNOT, LECRIVAIN, LUCAS'
pour congédiement
pas la moins intéressante et plus d'un de cet excellent artiste jouent Georges Ripersonnes qui leur ont témoigné des marques rer à son aune ce discours de congratulation, de
CHAULIEU;
jeune sera sûrement acquis au Scoutis- gaud, Germaine Aussey, Louvigny, Marcel
ne justification et surtout d'inopportune van- abusif.
de sympathie à l'occasion du décès de
Les Anciens Combattants;
tardise.
M" Chevreuil, avocat du. garagiste fit va- me par les photos de « Flèche d'Or ». Ce Simon, Alconer et une ravissante débutante.
Reine Poulet.
Remercient sincèrement toutes les personMonsieur TARDIF Frédéric,
€ La flatterie allonge les oreilles, mais la loir que ce dernier avait offert a son em- ne sera pas là sa moindre récompense.
même programme passe « Savoy Hôtel »
- qui leur ont témoigné des marques de
ployé les 2.000 francs d'indemnité de préavis,
M. le Proviseur clôtura cette char- unAufilm
vérité
les
écorche
>.
Tant
pis
pour
ceux
que
Propriétaire,
Ancien
Combattant,
qui se déroule dans l'ambiance d'un
sympathie à l'occasion du décès de
mais qu'il avait dû congédier son collabora- mante soirée en remerciant le public et
Je martyrise une fols encore.
grand
palace où toutes les femmes sont folles
teur
dans
un
but
d'économie,
la
contribution
Une messe huitaine sera-célébrée, pour le
nos chers conférenciers, et en souhai- du beau
maître d'hôtel Andréi. Une riche
Monsieur Charles LEFEVRE
G. FOUGERE.
du directeur commercial ne lui ayant raprepos de son âme, en la Basilique Saintetant, ce qui ne saurait manquer, un dé- cliente, Natascha
Daschenko est assassinée
Ancien combattant de 1870-71
porté qu'un chiffre d'affaires minime penTrinité, le Samedi dix-neuf Février 1938, à
Inlassable militant.
veloppement toujours croissant de no- dans
son
appartement
et une dénonciation acdant le premier trimestre de prospection.
huit heures.
tre Scoutisme E. d. F. à Cherbourg.
cuse
Andréi
qui
est
aussitôt arrêté. Au cours
Et en particulier les Anciens Combattants
Le Conseil a admis cette excuse et tenant
Qu'il nous soit permis de remercier les de la reconstitution du crime, André! s'échappour la gerbe qu'ils lui ont.offerte.
(P. P. G., 10, r. T.-Carrée, Cherb. Tél. 3-27)
compte de l'offre faite par le défendeur l'a
personnes qui ont contribué au succès pe ce qui semblerait faire croire à sa culpaCONSULTEZ
condamné à payer, au directeur congédié une
de
cette soirée et particulièrement M. bilité, mais finalement, on apprendra qu'il
somme de 2.000 francs pour un mois de préaHamm dont la bénévole collaboration fut accusé par la gérante de l'Hôtel qu'il avait
MOS PETITES ANMOHCES
vis.
- ' .
s nous
fut si précieuse.
•••••••H**********.