20

e

édition

On y

24 janvier

>

4 février

2014

CENTRE WALL ONIE-BRUXELL

P A R I S

ES

Pour tout savoir sur le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris

www.cwb.fr

20

e

édition

On y

24 janvier

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4 février

2014 20 ans ! 20 ans d’éclosion de talents et désormais l’âge de tous les possibles.

Le festival On y danse a permis la découverte de talents aujourd’hui incontour nables, entre autres , Nicole Mossoux et Patrick Bonté, Claudio Bernardo, Michèle Noiret, Karine Pontiès, Claudio Stellato, Louise Vanneste. Le festival valorise les différents types de structures de Wallonie et de Bruxelles qui accompagnent et soutiennent nos artistes. Ces lieux de recherche et d’expression se tournent vers les démarches contemporaines et les nouvelles écritures de la scène chorégraphique et en assurent l’excellence. Saluons l’engagement de Charleroi Danses, de L’ L, du Centre culturel Jacques Franck, des Brigittines, du Grand Studio. Détonante et originale, cette 20 e édition poursuit sa quête d’exigence. Les compagnies programmées explorent les relations entre différents arts et disci plines et interrogent notre monde et ses mouvements. L’intimité avec Mike Alvares, la danse comme combat pour Bruce Blanchard, l’impertinence avec la compagnie Opinion Public, les trajectoires ludiques de Mauro Paccagnella, un voyage singulier avec t.r.a.n.s.i.t.s.c.a.p.e et la pyrotechnie avec Gwendoline Robin qui nous offre de spectaculaires bougies d’anniversaire.

Anne Lenoir Directrice du Centre Wallonie-Bruxelles à Paris Le festival est soutenu par le Ministère de la Culture et de la Communication (France).

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VENDREDI 24 ET SAMEDI 25 JANVIER, 20 h Soirée Hip Hop en 2 parties Mike Alvarez

Entre « moi » et « je »

Danseur hip hop depuis 1983,

Mike Alvarez Une pièce pour un danseur et une marionnette.

s’est produit dans de nombreux spectacles Chorégraphie, interprétation :

Mike Alvarez

. Régie :

David Coppe

. Création lumière :

Dimitri Joukovski

. Régie :

Quentin Lenoir

. Construction marionnette :

Natacha Belova

. Durée :

45 min.

nationaux et internatio naux et a multiplié les Soliste en technique de danse « poppin’& lockin’ » et « footwork », « danseur debout »,

Mike Alvarez

a souvent été comparé à une marionnette. Porté par ailleurs par les questionnements à l’œuvre dans l’essai sur le théâtre de marionnettes d’Heinrich von Kleist, l’évidence est désor mais devenue celle de travailler avec une marionnette.

Mike Alvarez a ainsi souhaité travailler à la rencontre de deux pratiques, chercher leurs points de convergence et divergence et faire une création dans cet espace de métis sages, technique et artistique. Dans cette démarche, il a notamment rencontré le metteur en scène

Jean-Michel d’Hoop

(compagnie Point Zéro), la danseuse et chorégraphe

Nicole Moussoux

puis

Natacha Belova

, plasticienne qui lui a construit la marionnette.

concours et prix.

Renonçant à la compétition, il choisit de se consacrer à la chorégraphie, à la formation et au dévelop pement de son art. Il est attentif à tous les styles dits Hip Hop, se nourrit de différentes techniques et veille à travailler avec des danseurs et artistes d’horizon et de génération différents.

“

A ssis, regardant comme chaque soir cette marionnette, je m’interroge, je pense à mon passé, je me questionne sur mon futur, fixant bizarrement cette marionnette comme si je voyais en elle un reflet... Le reflet de mon double. Je me suis donc inventé un jeu de rôles, où il y avait «Moi» et «Je» et j’ai tenté de trouver des réponses à toutes sortes de questions.

” Mike Alvarez

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6

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suite de la soirée

Bruce Blanchard

Up

D’abord danseur et choré graphe,

Bruce Blanchard

s’intéresse également

Plus qu’un spectacle, sous Mobutu.

Up

est avant tout le déploiement d’un combat, celui de Bruce Blanchard, né au Congo, d’un père champion de boxe et militaire

à l’enseignement au sein de l’école qu’il a créée à Gand : le B.O.S.S. Dance Complex. A partir du Hip Chorégraphie :

Bruce Blanchard

et

Manuel Antonio Pereira

. Danse :

Bruce Blanchard

. Mise en scène, dramaturgie :

Manuel Antonio Pereira

.

Assistante à la mise en scène :

Agnès Guignard

. Musiciens :

Sabine Kabongo

(chant),

Dj Courtasock

(platines),

Bilou Doneux

(batterie, guitare, basse). Collaborations musicales :

Kris Van Hees

(trompette),

Steven Van Gool

(basse, recording),

One celled parasite

(mastering). Lumières :

Jean-Jacques Deneumoustier

. Costumes :

Rosa Gasquet

. Durée :

60 min

.

Hop et du « Krump » – sa spécialité – il explore des formes de danses variées : danse africaine, jazz et danse contemporaine. Il participe à plusieurs Combat d’une vie forgée à coup d’épreuves, de tentations, de dérives et de rédemptions. Que peut nous dire un corps qui a enregistré un parcours si singulier ? Mis en scène par Manuel Antonio Pereira,

Up

est un portrait nourri par le Hip Hop, les influences afro-américaines, les streetfights et la rage du sport en milieu populaire. Mais c’est aussi un dia logue intime entre danse et musique. Glissant instinctive ment du free style vers le jazz, la danse contemporaine et africaine, Bruce Blanchard partage le plateau avec une chanteuse, un batteur-guitariste et un DJ. Ensemble, ils nous offrent une expérience d’une vitalité renversante. La danse comme moyen de « boxer le réel » !

« Juste Debout » interna tionaux et il est lui-même juré du « Juste Debout mondial 2013 », événement incontournable du Hip Hop. À New York et Los Angeles, il collabore avec des danseurs et musiciens, comme au Broadway Dance Institute.

© Dati Bendo

7

8

MARDI 28 ET MERCREDI 29 JANVIER, 20 h Opinion Public

Bob’Art

Bob’Art

propose une satire sur les dérives de l’art contemporain.

Chorégraphie :

Etienne Béchard

. Danseurs :

Etienne Béchard

,

Johann Clapson

,

Sidonie Fossé

,

Victor Launay

,

Arthur Louarti

. Musiciens :

Livio Luzzi

,

Raphaël Tholance

. Comédien :

Simon Béchard

. Durée :

1 h 10

.

Spectacle engagé,

Bob’Art

se présente comme une satire comique des effets de mode élitistes qui règnent sur l’art contemporain. Avec malice, humour et une danse réjouis sante, les danseurs redonnent au public sa place centrale d’acteur de l’opinion et ce, pour son plus grand plaisir. Fondée en 2010,

Opinion Public

est composée de cinq danseurs animés par un style chorégraphique qui mêle une technique classique exigeante à des recherches contempo raines avec une véritable liberté d’approche et de Les danseurs, artistes pluridisciplinaires, se sont rencontrés au Béjart Ballet Lausanne et en ont gardé le goût de danser ensemble et de raconter le monde d’aujourd’hui. Par leur danse riche, virtuose et physique, leur dernière création s’inscrit dans la lignée de l’enseignement reçu de Maurice Béjart.

mise en scène. L’absurde, mais aussi la gravité peuvent surgir d’une création aux accents poétiques ou politiques.

© Odile Vanhellemont © Odile Vanhellemont

9

VENDREDI 31 JANVIER ET SAMEDI 1

er

FÉVRIER, 20 h Wooshing Machine /

BLOOM (Studio #1 & Studio #2)

Projet

Conti Sparsi

Mauro Paccagnella

est danseur, acteur et choré graphe italien installé à Bruxelles depuis 20 ans.

BLOOM Studio #1.

Solo pour Lisa Gunstone, une floraison, un épanouissement.

BLOOM Studio #2

. Solo de Mauro Paccagnella, réponse au masculin au

Studio #1

.

Son parcours artistique alterne la chorégraphie, la mise en scène et l’acte performatif. Concept, mise en scène :

Mauro Paccagnella

. Danse, interprétation :

Lisa Gunstone

,

Mauro Paccagnella

. Création sonore :

Vincent Epplay

.

Création lumières et régie :

Simon Stenmans

. Costumes :

Lieve Meeussen

et

Wooshing Machine

. Regard extérieur :

Claire Croizé

. Durée :

20

et

35 min

. Il est interprète dans de nombreuses compagnies belges (Frédéric Flamand, Karine Ponties, Fatou Après une épique tétralogie wagnérienne, le chorégraphe Mauro Paccagnella revient à des constellations plus intimes et à des formes plus épurées. Depuis 2012, sous le titre de

Conti Sparsi

, il développe avec des interprètes issus de différents horizons artistiques une série de tableaux dansés qui se répondent les uns aux autres. Le premier volet de ce cycle,

BLOOM

(floraison), est composé de deux solos,

Studio #1

, dansé par Lisa Gunstone, et

Studio #2

, la réponse au masculin proposée par Paccagnella lui même. Dans chacun des solos, un danseur confronte les limites de son corps à celles d’un espace scénique délimité par un carré de 4x4 m au sol. Un même point de départ, et des propositions différentes. Une pièce pleine d'humour et de gravité, intime et délirante. Traoré, Olga de Soto…) et danse dans les films de Thierry De Mey et Nicole Mossoux.

© Thibault Gregoire

BLOOM Studio #1

10

BLOOM Studio #2

© Mauro Paccagnella

11

LUNDI 3 FÉVRIER, 20 h Soirée en 2 parties Gwendoline Robin

De terre et de feu

Plasticienne et performeuse,

Gwendoline Gwendoline Robin interroge les notions de mouvement autour de l’utilisation de matériaux explosifs.

Conception et interprétation :

Gwendoline Robin

.

Assistance mouvement :

Ida De Vos

. Durée :

25 min.

Ce solo chorégraphique, première partie du projet

J’ai toujours voulu rencontrer un volcan

, sera une magnifique introduction au travail plastique si particulier de Gwendoline Robin. Au milieu des tensions corporelles et des détonations, du feu et des éclats lumineux, de cercles de verre et de terre, le corps de la danseuse « court, marche, traverse, s’immo bilise, tourne sur lui-même, explose mais essaie de toujours tenir debout. » La musique cristalline des tubes s’envole dans les airs, tandis que résonnent en alternance les craque ments du verre cassé. Dans les mouvements et les sons, au fil des magnifiques tableaux successifs brossés par la chorégraphe et pyro technicienne, l’énergie de cette danse unique investit l’espace en posant les bases d’un autre rapport visuel entre corps, matière et objets.

Robin

est diplômée de l’ENSAV de Bruxelles où elle vit et travaille. Depuis 1997, elle réalise des installations et performances autour des corps et des matériaux explosifs. Parallèlement, elle a travaillé avec le metteur en scène Boris Charmatz, le compositeur Garrett List, le chorégraphe Pierre Droulers. Professeur à l’Académie des Beaux-Arts de Tournai (Belgique), artiste associée aux Halles de Schaerbeek pour la saison 2007, elle présente ses travaux lors de festivals internationaux. Ses installations éphémères la mettent toujours en scène et en situation, dans une recherche constante de la relation physique et visuelle des objets dans un espace.

12

© Nicolas Joubard © Lotte van Stekelenburg

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14

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suite de la soirée t.r.a.n.s.i.t.s.c.a.p.e

est née en 2003 de la rencontre entre l’architecte

Landscape duet

suivi de

Distorsions urbaines

Durée totale :

60 min.

plasticien

Pierre Larauza

et la danseuse chorégraphe

Landscape duet

, vidéo-danse

Distorsions urbaines

, un voyage voluptueux à travers la danse, l’architecture et le cinéma.

Emmanuelle Vincent

, désirant confronter et Conception, chorégraphie, scénographie :

Pierre Larauza

et

Emmanuelle Vincent

. Danseurs :

Charles Ngombengombe

,

Sara Tan

,

Emmanuelle Vincent

. Chanteur accordéoniste :

Mathieu Ha

. Violoncelliste :

Guillaume Martigné

. Performeurs :

Thy Truong Minh

,

Olga Mandel Ndaya

,

Pierre Larauza

.

(Version en installation ou sur scène).

croiser leurs disciplines avec les arts visuels et les arts sonores. Basé depuis 2004 à Bruxelles, le binôme Au-delà d’un spectacle de danse,

Distorsions urbaines

convoque la musique et l’architecture à travers un ensemble à géométrie variable où danseurs, performeurs et musi ciens coexistent autour de bulles transparentes oxygénées.

a collaboré avec des vidéastes, informaticiens, graphistes, ingénieurs du son, compositeurs, musi Un abécédaire kaléidoscopique entre Hong Kong, Bruxelles et Mtwapa : trois villes aux échelles différentes, trois temps superposés, pour décliner une vision poétique de trois ter ritoires. Les danseurs incarnent une vision animale symbo lique , la mouche, le poisson rouge et la poule, et explorent les distorsions et contaminations possibles dans ces espaces de vie où vitesse, mouvements et échelles s’entrechoquent.

ciens, acteurs et danseurs internationaux. Chaque création s’affirme comme une pièce interdisciplinaire qui s’inscrit dans un rapport particulier à l’espace urbain.

SOIRÉE DE CLÔTURE MARDI 4 FÉVRIER, 20 h

Landscape duet

suivi de

Distorsions urbaines

15

16 Mike Alvarez

Entre « moi »et « je »

Coproduction Centre chorégraphique de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Centre Culturel Jacques Franck. Soutien à la création et à la diffusion : trans-form.

Opinion Public

Bob’Art

Contact : [email protected]

Contact : [email protected]

Bruce Blanchard et Manuel Antonio Pereira

Up

Production Groupe Tsek / BOSS Dance Complex.

Coproduction Charleroi Danses Centre chorégraphique de la Fédé ration Wallonie-Bruxelles / Lézarts Urbains / Théâtre d’Aurillac - Scène régionale d'Auvergne. Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service de la Danse, de Wallonie-Bruxelles Théâtre/ Danse et de Wallonie-Bruxelles International, Centre Culturel Jacques Franck, Théâtre Varia et Studio B flat.

Wooshing Machine / Mauro Paccagnella

BLOOM (Studio #1 & Studio #2)

Projet

Conti Sparsi

Production : Wooshing Machine. Coproduction Les Charleroi Danses. Brigittines, En résidence au Théâtre des Doms à Avignon, Le Phare - Centre choré graphique National du Havre Haute Normandie. Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service de la Danse, de Wallonie-Bruxelles Théâtre/ Danse et de Wallonie-Bruxelles International.

Wooshing Machine est accompagnée par GRAND STUDIO.

Wooshing Machine est en résidence administrative au Théâtre Les Tanneurs.

Contact : [email protected]

Contact : [email protected]

t.r.a.n.s.i.t.s.c.a.p.e Emmanuelle Vincent et Pierre Larauza

Lanscape duet

Production : t.r.a.n.s.i.t.s.c.a.p.e.

Coproduction CCDC Hong Kong City Contemporary Dance Company et VIDEOTAGE. Sponsors : Olympus et Special Camera Service.

Soutien : Wallonie-Bruxelles Interna tional.

Distorsions urbaines

Production : t.r.a.n.s.i.t.s.c.a.p.e.

Coproduction Le Manège Mons / CECN2 Centre des écritures contem poraines et numériques, TechnocITé, dans le cadre du projet Transdigital, Transcultures et L’Abattoir-Centre National des Arts de la Rue. En résidence à la Chartreuse-Centre National des Ecritures du Spectacle et au Studio du Théâtre du Manège Scène Nationale de Maubeuge.

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service de la Danse, de Wallonie-Bruxelles Théâtre/ Danse et de Wallonie-Bruxelles International et de GRAND STUDIO.

Contact : [email protected]

Gwendoline Robin

De terre et de feu

Projet accompagné par GRAND STUDIO.

Contact : www.gwendolinerobin.be

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Agenda Festival

VENDREDI 24 ET SAMEDI 25 JANVIER, 20 h

Mike Alvarez

I

Entre « moi » et « je »

suivi de

Bruce Blanchard et Manuel Antonio Pereira

I

Up

MARDI 28 ET MERCREDI 29 JANVIER, 20 h

Opinion Public

I

Bob’Art

VENDREDI 31 JANVIER ET SAMEDI 1 er FÉVRIER, 20 h

Wooshing Machine / Mauro Paccagnella

& Studio #2) -

Projet

Conti Sparsi

I

BLOOM (Studio #1

LUNDI 3 FÉVRIER, 20 h

Gwendoline Robin

I

De terre et de feu

suivi de

t.r.a.n.s.i.t.s.c.a.p.e Emmanuelle Vincent et Pierre Larauza

Landscape duet

suivi de

Distorsions urbaines

I MARDI 4 FÉVRIER, 20 h

t.r.a.n.s.i.t.s.c.a.p.e Emmanuelle Vincent et Pierre Larauza

Landscape duet

suivi de

Distorsions urbaines

I

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Châtelet Les Halles

B d d e S é b a st o p o l l Rue R ambu teau 46 rue Quincampoix (accès sous le porche)

Salle de cinéma Salle de spectacles

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Salle d’exposition

R u e Q u in ca m p o ix R u e S a in t M a rt in P la ce G e o rg e s P o m p p id o u

Centre Pompidou

Place Edou ard M ichele t Rue S aint-M érri R u e d u R e n a rd

Rambuteau Hôtel de Ville

Tarifs : 10 € , 8 € (réduit), 5 € (groupe) Pass Festival : 25 € Centre Wallonie-Bruxelles Salle de spectacles 46 rue Quincampoix, 75004 Paris

Métro : Châtelet – Les Halles ou Rambuteau. Parking Centre Pompidou.

Réservations : 01 53 01 96 96 ou [email protected] www.cwb.fr