Transcript Juillet 1928 - Site en travaux, le week

Jeudi 5 Juillet
N° 2 7 .
-
(21
1928
Anmém).
Le Numéro
Cent.
paraissant I« Jaudl
Organe de Concentration
H E B D O M A D A I R E
POLITIQUE,
ABOmEMENTS
1 AB.
70 f r o t t e s .
72
—
Les abonnements partent du 1" ou du 16 de chaque mois
et »ont payable» d'avance
La grande colère de Goyen
Le Citoyen
a, d a n s un article r é c e n t ,
m o n t r é que la lutte qui met aux prises
le président Calles et le clergé
mexicain
était une lutte pour la suprématie du
pouvoir civil sur le pouvoir religieux.
Le Citoyen faisait valoir, d'après une
i n t e x v i i w de F r a n c i s c o Caitille N i j o r a ,
ministre plénipotentiaire du Mexique à
Bruxelles, que l'attitude de s o u gouver
n e m e n t n ' é t a i t inspirée que par la né
cessité politique de n e point tolérer
l ' e x i s t e n c e d'un Etat d a n s 1 Etat.
E n f i n , le Citoym
d o n n a i t , d'après un
a n c i e n empereur du Mexique et d'après
le général Brincourt, q"i c o m m a n d a le
corps e x p é d i t i o n n a i r e français au Mexique s o u s le S s c o n d E m p i r e , un j u g e m e n t
porté autrefois de oisu sur ce clergé
extrrordinaire dos pays c h a u d s , qu'il
avait trouvé voleur et c o r r o m p u .
•
••
Du c o u p , G o y e n , qui est le défenseur
patenté de tous les curés passés, présents
et à venir, s'est mis à vomir des injures
e n français et en latin contre M. Le Bail.
C'est u n curieux s p e c t a c l e que celui
d'un prôtre i n t e l l i g e n t s'abaissant à
concurrencer p é r i o d i q u e m e n t les bouches d'égoût.
La c h r o c i q u o raconte que Goyen aime
la m u s i q u e et qu'il en fait volontiers. Il
est étrange que cet art e x q u i s , qui passe
j o u r adoucir m ô m e les tigres, n'ait pu
lui d o n n e r jusqu'ici le sens de la mesure
et do l ' h a r m o n i e .
I! est étrange e n c o r e que la fréquentation de l ' E v ê c h é et 1» rédaction de la
Semaine
Religieuse
n'ait pas pu lo rem
plir de l ' E i p r i t de Dieu.
P u i s q u e le colérique Goyen a i m e le
l a t i n , qu'il m e permette de lui dire en
le voyant se mettre d a n s cet état qui
c o n s t i t u e u n e offense à Dieu, qu'assur é m e n t il est un pôcheur : Nos
scimut
quia hic homo peccator ett (Joann IX).
J'ajoute que, s'il suivait les e n s e i g n e
m e n t s de s o n divin maître, il devrait
aimer M. Le Bail, au lieu de le bafouer
de la sorte : « Ego autem dico
vobis,
diligite inimicot
vtstros (Matth. V).
Goyen, e n iDjuriant M. Le Bail et en
injuriant c o n s t a m m e n t vos frères, vous
blessez Dieu jusque d a n s la prunelle de
s o n œ i l , suivant le m o t de Zich&rie :
u Qui telegerit
vos, tangit
pupillam
oculi mei. »
» •
Si vous étiez logique avec v o u s - m é m o ,
vous partiriez pour 1e Mexique c o m m e
a u m ô n i e r d'un corps e x p é d i t i o n n a i r e
d e s t i n é à renforcer l ' a c t i o n insurrcc
t i o n n e l l e des prêtres et des évôquos
c o n t r e la tyrannie du président Galle*.
V o u s n'ignorez p*s que la foi s g i s s a u t o
e s t la seule efficace.
J'ajoute, G o y e n , que le clergé a, à
travers l'histoire, quand il était le maître,
persécuté affreusement les gons sou»
prétexte de les convertir. Et, si d e m a i n ,
il redevenait tout puissant, il n o u s brimerait e n c o r e et n o u s ferait rôtir de la
belle f a ç o n .
L a seule é v o c a t i o n de vos crimea dans
lo passé est faite pour n o u s donner la
chair de poule.
R)lis6z l'histoire, G o y j n , respirez dos
s*ls, c a l m e z vos nerfs, et priez Diou !
\lan.
La politique générale
du Gouvernement
devant les Chambres
A la suite d'an important débat où M.
Poincaré a, nue fois de pins, donné tonte
t a mesure« la Chambre a, par 451 voix contre 120, adopté l'ordre du jour de confiance
de MM. Daniélou et Sibille et qui est ainsi
conçu :
La Chambre,
approuvant
les
déclaration» du gouvernement,
confiante
en lui
pour réaliter
ton programme
dans la
concorde républicaine
et repoussant
toute
addition, passe d l'ordre du jour.
Les radicaax-Boeialistes, au nombre de
lOÎ, ont voté ce» ordre dn jour, après 1» déclaration suivante de loar chef, M. Daladier.
Déclaration d» M. Daladier
Le groupe radical-socialiste, après avoir
voté la atabilisation monétaire, a le souci
d« ne pal en compromettre le «accès par
M A R I T I M E ,
O O M M 1 R O I A L
s
Finistère et départements limitrophes
Autres dép»rte»«»ts . . .
^tr^ii^&r
* • • • • • • • • * • • • •
A propos des événements du Kl»xiqne
A G R I C O L E ,
Républicaine
B u r e a u x
e t
I m p p i m e r f e ,
21, l i «
à m. piarra CUÉGUEfl, Administrateur-Gérant.
une crise ministérielle. Il estime que le
même gouvernement, qui en a pris avec
nous la responsabilité, peut et doit assurer
sa réussite.
D'autre part, il prend acte des satisfactions qu'apporte an pays républicain le
p r o g r a m m e ministériel par ses promesses
de justice ÎUcale, de réformes sociales, par
son affirmation de la laïcité, par sa volonté
de réaliser dans une atmosphère de conciliation européenne et par des accords positifs la paix internationale. (Applaudissements à gauche).
I! souhaite que tons les élément» do la
majorité adhérent d'un m ê m e c œ a r à des
idées qu'il a, lui-même, soutenues. En tout
cas, quant à lui, il ne les laissera pas
prescrire. Bien au contraire, il se réserve,
chaque fois qne se trouvera posé devant le
P a r l e m e n t un des problèmes q u e visait la
déclaration ministérielle ou que poseront
les événements mêmes, de préciser son
attitude et sa doctrine, de les confrontrer
avec celles des autres partis et de proposer
lui-même des solutions conformes aux
principos qu'il a toujours défendus. (Applaudissements à gauche et sur divers bancs
au centre).
P o u r ces raisons et dans cet esprit, il
votera l'ordre du jour de confiance.
Mais le fait de voter la confiance à un
gouvernement n'implique p t s un accord
avec lui sur tons les points... (Exclamations
à droite).
M. Jacques Louis Dumesnil.
— Nos
collègues do droite sont-ils d'accord avec le
gouvernement sur la question de la laïcité?
M. About.—
P a i f a i t e m e n t , et autant que
vo^s.
AI. Edouard
Daladier.
— ...ni qu'on
scelle un pacte politique avec tols autres
éléments do sa majorité. (Applaudissements
à gauche. — Interruptions i droite.)
Le parti radical-socialiste a prouvé, dans
des circonstances difficiles, et il piou7e en
ce moment môme qu'il met au-dessus de
tout ce qu'il considère comme l'intérêt
supérieur du pays. (Applaudissements à
gauche). Mais il affirme avec force que cet
intérêt n'implique et n'exige aucune abdication de sa part. Respectueux de l'indépendance do tous les autres partis, il entend
aussi »ffirmer la sienne. (Très bien I T r è s
bien I)
C'est pourquoi, tout en indiquant les motifs de son vote do cor.fiance, il ne peut
laisser croire qu'il approuve sans réserve
toutes les déclarations du gouvernement,
et notamment celles relatives à l'Alsace et
aux fonctionnaires. Le moment venu, il
défendra sa propre conception de la fraternité française dans la République une et
indivisible (Applaudissements 4 gauche) et
il marquera aussi sa volonté de maintenir
la souveraineté do l'Etat dans le respect des
droits de l'homme et du citoyen et des
libertés syndicales. (Nouveaux applaudissements sur les m ê m e s bancs).
Cette souveraineté, il nous parait d'ailleurs nécessaire de la sauvegarder en face
des monopoles de fait et des grandes coalitions d'intérêts qui no sont pas précisément
déterminés par le souci de l'intérêt général.
(Applaudissements à gauche et sur divers
bancs à l ' e x t r ê m e gauche et au centre).
De mémo, notre parti pense que la majorité qui, aujourd'hui, va s'sffirmer sur l'ordre du jour de confiance est nne majorité
constituée en des circonstances exceptionnelle!. et transitoires. (Applaudissements à
g a u c h j et sur divers bancs à l'extrême gauche. — Exclamations au centre et à droite.)
M. Jules
Uhry.
— T r è s bien pour
« transitoires » I
A droite. — C»ôal la confiance à terme I
M. Edouard
Daladier. - Comme l'expérience du passé l'a prouvé, il nous parait
impossible de concevoir qao, dans l'action
législative prochaine, les réformes qu'attend
la démocratie puissent être réalisées avec
le concours de ceux qui les ont toujours
combattues. (Applaudissements à gauche et
à l'extrême gauche. — Interruptions à
droite.)
C'est dans cet esprit qu'en accomplissant,
aujourd'hui, un geste que les circonstances
nous ont paru exiger, nous attendons rester
fi iè'.os à notre constante volonté de réaliser
notre idéal démo-ratique par l'union des
républicains. (Applaudissements à gauche
et sur divers bancs à l'extrême g i u c h i )
Le «ct-ntln s u r l ' o r d r e d u j o u r
de conllauce
Tons les députés bretons ont voté l ' o r d r e
du jour de confiance, sauf MM. Goude et
Masson. M. Geistdoerfer, député do Dinan,
s'est abstenu.
Le rachat des pièces d'or
Les pièces d'or n ' a j a n t plus cours, la
H«nque do F r a n c e va racheter les monnaies
anciennes au poids de l'or, Il s-irait cependant inutilo de se présenter dès demain aux
gu; hets de la Hunque de F r a n c e pour y
vendre las monnaies que l'on peut avoir
consurvor. Mais la B&uque se préoccupe d'organiser ce rachat des pièces d'or. Dos gaichets epéciaux vont y ótre affectés.
La vente se fera, bien entendu, au poids
du métal fin et la piòce de 20 f r a n c s non
ne sont pas rendus.
— Pour
les renseignements
usée pourra ressortir à une valeur d'environ
98 fr. 45. 11 y aura lieu de déduire les frais
de frappe fixés à 40 francs par kilo d'or soit
à 26 centimes par pièce.
. . • « • .
Miettes
de la
S e m a i n e
— Le Vésuve est de nouveau en activité.
Bien qne celle-ci soit modérée, elle n'en
est pas moins imposante, en raison des
explosions continuelles qui se succèdent,
accompagnées de grandes quantités de
fragments de laves incandescentes.
— L'aviateur Fronval s'est tué an cours
d'un vol à Villacoablay.
Fronval était, on le sait, un as, un virtuose du looping.
— La criso allemande est, enfin, résolue.
Le nouveau cabinet est présidé par M.
H e r m a n n Miiller, socialiste. M. S ' r e s e m a n n
reste anx affaires étrangères.
— Une terrible catastrophe s'est produite
samedi à la mine de Laroche-la-Molière,
près de Si-Eiienne.
A la suito d'un incendie qui a éclaté dans
un puits de mine, un violent dégagement
de gaz s'est produit dans une galerie où
travaillait une équipe de mineurs.
Quelques-uns ont pu se sauver, mais
quarante-huit d'entre eux ont été asphyxiés.
— Les recherchas entreprises en vue de
retrouver Guilband et Amundsen sont restées
sans résultats.
— Un inc-ndie a détruit, lundi matin,
quatre hang.;. rs des Magasins généraux
situés 02 rue d > In II tie, à Aubervilliers.
Il y a plus de deux millions de déjjéta.
— Le P r é f i d e n t de la République a passé
en revue, mardi, au Havre, les forces
navales fritnçuses.
La fameuse affaire
DU COlîTE DE SECOUES
anx Marios-Pêcheurs
Que f«ir« des 622.000 Trancs ?
Le Comité s e r é u n i t
m a l « IH. Jadé et s e « ami«
se dérobent
On se rappelle l'entreprise de battage qui
a assourdi durant cinq semaines les oreilles
des électeurs.
Ou avait caché l'argent I On l'avait détourné de sa destination I
MM. Lo H&rs et Le Bail étaient les coupables.
Grâ-'e aux révélations de M. Jadé une
somme de 022.000 francs allait être distribuée en mai 1928 aux pêcheurs
et ouvriers
d'usine.
Maintenant que les élections sont passées,
et qu'il est élu, M. Jadé so moque de cette
affaire comme de sa première culotte.
Les convocation«
p o u r la r é u n i o n d u 80 Jluln
Ont été convoqués (lo 23 juin 1928) à la réunion du Comité de Secours aux marins-pécheurs :
MM. le P r i f e t du F i n i s t è r e ; Le Hars,
président ; Le Bail, vice-président ; Le Gai),
trésorier ; Morel, trésorier ; Caoudal, oxtréscrier : Feuntenn, ex secrétaire.
MM. les Sénateurs
: Lancion, Fortin,
Guillemot, Fenonx.
MM. les Députés : Goude, Masson, Bourgot, Bouillonx-Lafont, Daniélou, Jadé, Trémintin, Inizan, Queinnec, Le Louédsc.
MM. les Conseillers
généraux : C a i o ret, D r Lo Coz, du Frotay, Cariou.
MM. les Conseillers
d'arrondissement
:
Sellin, Andro, Noël Le Gall< Gnellec, P e r rot, Goalès, Capitaine, Quémar, Tanguy,
Le G 11 J. M. .
MM. les Administrateurs
de
l'Inscription maritime
de : Lorient, Concarnean,
Douarnenez, Audierne, Camaret et Guilvinec.
MM. les Sous Préfets
de Chàteaulin et
de Morlaix.
MM. les Maires de : Camaret, Crozon,
D o u a r n e n e z , Trébon), Ploaré, Pouldergat,
A u d i e r n e , Plouhinec, Plozévet, Pon(«Croix,
Esquibion, P e n m a r c h , Guilvinec, Trtfflagat,
Plobannalec, Loctudy, l!e-Tudy, Combrit,
Bénodet, La Forêl - F o u e s n a n t , Concarneau, Bauzoc-Conq, Lanrieo, Névez, Nizon,
ttiec, Moëlan, Clohars-Carnoet, Telgrnc,
Poullan, Beuzec-Cap Sizun, Gonlien, Clêden-Cap S.znn. PlogofT, Primelin, Plovan,
T r é g u e n n e c , Pouldreuzic, 8>int-Jeau-Trolimon, Plomenr, Pont-l'Abbé, Melgven, Hog.
porden, Pont A v o n , l l e - d e - S t i k , Sibiril,
Tréogat, Meilars.
La I t é a n l o n
M. Le H»rs préside, assisté dn préfet,
M. Rischmann, et de M. Qauffilec, maire
d'Andiorne.
Présents i MM. Feunteun, ex-secrétaire
dn Comité ] Cotten, maire de Melgven ;
joindre
D ' I N F O R M A T I O N
A si KO a m i »
k
Téléphone
86
Chèque Postal n° 142.70,
Nantes
Lob B u r e a u x «ont ouvert» de H u i t heures A M i d i , le m a t i n , et de D e u x heures à Cinq heure», le soir
g
Adresser t o u t e s c o m m u n i c a t i o n s c o n c e r n a n t la R é d a c t i o n , l ' A d m i n i s t r a t i o n et l'Imprimerie
Les manuscrits
<5c
un timbre
pour
la
K e r n i f l e n , maire de Guilvinec ; P.-J. Larnicol, maire de P e n m a r o h ; Le Bastard,
maire de Pont-l'Abbé ; Bouillonx-Lafont,
député ; Le Bail, maire de Plozévet ; Caoudal, ex-trésorier ; le sous-préfet de Châteanlin ; Guillemot, sénateur ; le docteur
Le Coz, conseiller général de Pont-l"Abbé ;
Bargain, maire de Loctudy ; A d a m , maire
de L'Ile-Tudy ; Le Flanchec, maire de
Douarnenez, et Pencalet, adjoint an maire ;
Lo" Ga.ll, maire de Pouldavid ; M. Cadoret,
conseiller général de Pont-Avon ; dn Frétay, conseiller général de Douarnenez ;
P e r r o t , msire d'Esquibien ; Andro, conseiller d'arrondissement de Douarnenez ; Furie,
maire de Nizon : Le L o t ô t , maire de PontAven ; Morel, trésorier du Comité ; lea
administrateurs de l'Inscription maritime
des quartiers de Douarnenez et de Concarneau.
Dans l'endroit réservé au public se trouvait M. Qaéinnec, député, qui, ne voulant
pas p r e n d r e de responsabilité, s'esquiva
avant le vote.
Les réastionnaires du Comité sont absents,
sauf 3 on 4.
Tons les républicains-démocrates se sont
donnés le mot d'ordre pour s'abstenir d'assister à la rénnion.
La d é r o b a d e d e !M. Jladé
réponse.
#
A a a o ï c e s j u d i c i a i r e s e t d i v e r s e s (4* p a g e )
—
r é c l a m e s (8® p a g e )
. . »
la ugae
/ f.
11.75
Prix i forfait pour les Annonces répétées et traitée de publicité
Annonces payables d'avance.
Lea Annonces doivent être adressées, au plus tard, le Mardi soir.
Nouvelles
Régionales
L e s c e n d r e * d'Anatole Le B r a s
La ville de Trégaier recevra solennellement les cendres d'Anatole Le Bras pour
les faire reposer en terre bretonne, au bois
de l'ancien évêché, lea 7 et 8 juillet 1928.
La famille vous prie d'assister à cette
cérémonie.
CONTRE
L* HERNIE
il est absolument Inutile de gaspiller du
temps et de l'argent à toutes sortes d'essais.
Les Etablissements A. C L A V E R I E , lea
plus oôlèbres et les plus oonsldérables
du monde entier, sont la vraie « Maison
de conflanoe » qui n'a pas besoin de
réclame tapageuse ; sa renommée
mondiale est faite par les q u a t r e millions (4.000.000) de hernieux soignés par
eux, qui font connaître spontanément l'Inoomparable supériorité des Appareils
brevetés de A. C L A V E R I E .
Ne manquez donc pas d'aller voir l'érainent Spécialiste qui vous recevra de 9 h.
à 16 h., à :
Lorient, dimanche 8 juillet, Hôtel de Bretagne.
Concarneau,
m s r d i 10, Hôtel de F r a n c e .
Pont l'Abbé, mercredi 11, Hôtel dn Lion
d'Or.
Châteaulin,
jeudi 12, Hôtel de la G r a n d '
Maison.
Quimperlé,
vendredi 13, Hôtel du Lion
d'Or.
QUIMPER,
samedi 14, Hôtel de l'Epée.
Landivisiau,
dimanche 15, Hôtel du Commerce.
Brest, lundi 16, Hôtel Continental.
St-Pol de-Léon, mardi 17, Hôtel de F r a n c e
(jusqu'à 14 h.).
Landerneau.
vendredi 20, Hôtel Raonld.
Morlaix.
samedi 21, Hôtel de l ' E u r o p e .
» T r a i t é de la H e r n i e », des » Varloes »
et des » Affeotlons abdominales ».
Conseils et renseignements gratis et disc r è t e m e n t : A. C L A V E R I E , 234, faubourg
Saint-Martin, P a r i s ,
M. Jadé, qui plaidait samedi à R e n n e s , a
eu le toupet d'adresser de cette ville au Président, M. Le Hars, u n e dépêche où il proteste contre sa convocation qui lui a été
adressée à P a r i s et non à son domicile à
Qnimper.
/
Vain prétexte destiné à masquer u n e
piteuse retraite I
Le secrétaire du Comité de Secours aux
marins pêcheurs a adressé le 23 juin les
convocations pour la rénnion du 80, et il a fait
parvenir celles d e i m e m b r e s du P a r l e m e n t i
leur domicile à Paris.
C'eat ainsi que toujours la P r i f e c t n r e
p r o c è i e à leur égard, lorsque la P a r l e m e n t
est réuni en session, sauf pour ceux d ' e n t r e
eux qui font connaître qaa leur coarrior doit,
m o m e n t a n é m e n t , leur parvenir ailleurs.
M. J»dé a quitté Q i i m p n r vendredi soir
et sa dépêche est datée de Ronncs, le lendemain.
Il a en le temps de recevoir à Quimper,
pour le 30, u n e lettre qui lui a été expédiée le 28.
Mais voilà I M. Jadé sent qc'il est impossible de distribuer, comme il l'a promis,
entro 100.003 intéressés (environ 20.000
familles) une s o m m e qui donnerait péniblement six francs k chacun.
DANS LA G E N D A R M E R I E
Au surplus, entre qui répartir la s o m m e ?
M. Vouzelle, capitaine-adjoint au général
E n t r e les ayants-droit de 1903 on entre ceux inspecteur de g e n d a r m e r i e à Lyon, est
d'aujourd'hui, marins et ouvriers t Entre n o m m é chef de bataillon, commandant la
tons les marins sans distinction, on seule- compagnie du Finistère, à Quimper, en remment entre los sardiniers f
placement de M. le commandant Corcuff,
P o u r ne pas avoir à p r e n d r e parti les admis à la retraite.
démocrates, Jadé on tête, se dérobent.
Qu'en dites-vous, électeurs de Douarnenez,
L E S F O I R E S DE LA S E M A I N E
Audierne, P e n m a r c h , Guilvinec et autres
Lundi 9 juillet. — Lesneven, La Martyre.
lieux ?
Mardi
10. — Plabennec, La Feuillée,
La d i s c u s s i o n
M. Cadoret lit un rapport conçu en ter- St-Thégonnec, Landudec.
Mercredi
11. — Landivisiau, B t n n a l e c .
mes clairs et excellents où il préconise une
Jeudi 12. — Hanvec, Guipavas, Pleybersolution qui paraissait avoir recueilli, il y a
trois semaines, l'adhésion de la majorité des Christ.
Vendredi 13. — Plonéour-Lanvern, PIoum e m b r e s de la dernière asaemblée, savoir
la distribution de l'argent entre les munici- vien, Morlaix, Plouescat.
Samedi
14. — Fête
Nationale.
palités qui en feraient le meilleur usage par
l'organe de comités locaux.
Quand la discussion est ouverte, une
solution
prévaut immédiatement,
MM.
Bouillonx-Lafont, Le Biil, du Frétay notamment s'y rallient : conserver le capital
Le congrès de l'Association des Journaen vne de parer à une crise sardinière pos- listes professionnels da l'Ouest s'est tenn
sible dans l'avenir et distribuer chaque dimanche à Qnimper.
a n n é e los intérè'.s, soit 24 900 francs enviL'Assemblée générale, qui groupait environ, entre les sinistrés et miséreux de notre ron 80 confrères, a eu lieu dans la matinée,
littoral sardinier.
à la P r é f e c t u r e , dans la salle du Conseil
Co aérait faire un singulier cadeau aux général, sous la présidence de M. Brevet,
maires que de les charger de distribuer de Rennes, président de l'association.
entre les intéressés une s o m m e qui ne donLa première partie de la réunion fut connerait q u ' u n e anrr.ône à chacun. P e r s o n n e sacrée à l'examen des questious d ' o r d r e
ne serait satisfait et tous les omis se répan- professionnel à l ' o r d r e du j o u r ; puis on
draient en imprécations. Suivant le mot de procéda au renouvellement d ' u n e partie du
M. Le Bail, cette distribution procurerait bureau.
aux maires plus d'épines que de roses.
F u r e n t élus : P r é s i d e n t , M. Brevet (RenL'assemblée décide donc à l'unanimité nes) ; Vice-Présidents, MM. Desgrées dn
moins six voix, celles de MM. C a i o r e t , Lo Lou (Rennes), Philouze (Angert), Goachet
Flanchec, Larnicol, K e r n a i h n , Le Gall et (Granville) ; M e m b r e s du Comité, MM. AuPencalet, que le capital ne sera pas aliéné. bert (Si-Brieuc), Garrigues (Dinan), Philoux
Indigné de ce vote, M. Le Flanchec quitte (Lorient), Tardivel (La Ferté-Macé).
la salle, suivi de M. Le Gall et de M. P e n Un banquet fut servi à midi à l'Hôtel de
calet, communistes.
l'Epée. MM. Rischmann, préfet dn Finistère ; Lo H a r s , sénateur-maire, et Lancien,
Conclusion
sénateur, président du Conseil général, y
Ce n'était pas la peine assurément d'en- assistaient. On y remarquait également de
t r e p r e n d r e toute cette Ibominable campagne nombreuses dames.
de presse pour en arriver là.
L'orchestre de M. Le Bourhis égaya par
La solution de 1928 n'est autre que celle ses meilleurs morceaux ce repas de choix
qui fut inspirée au comité de secours en 1907. qui se déroula dans une cordialité parfaite.
Au Champagne, M. Brevet prononça une
IJn g e s t e d e s o l i d a r i t é
charmante allocation dont la péroraison fut
M. Le H srs a été assigné devant le tribu* saluée par d'unanimss applaudissements.
nal civil par M. Jadé qui s'entend comme
MM. Le H a r s et Lancien, M. le Préfet et
pas un à blutf'er. Cette assignation a pour M. Philoux, trésorier de l'sssociation,
objot de communiquer à M. Jadé tous les prirent ensuite successivement la parole et
documents qui dorment depuis des années furent très applaudis.
dans les armoires do la Préfecture.
Lo soir, on se retrouva dans la m ê m e
Les membres de l'Assemblée ont décidé »aile, uur l'invitation do la Municipalité qui
en très grande majorité d'iutervenir au olTrait un dîner aux congressistes.
Après ie repas, les congressistes se renproeôs pour se solidariser avec M. Le Hars
et ils ont engagé d a m ce but leur signature. dirent à Odet-Palace, où se déroulait nn bal
en vue de l'éleotion de la reino. Une excel-
NOUVELLES DEPARTEMENTALES
Le Congrès de l'Associatioa
des Journalistes professionnels de l'Oiesl
lente réception leur fnt réservée par le aym'
pathique M. Le Bourhis qui fit défiler à leur
intention, sur l'écran, le film de la jolie f4te
des Reines.
La journée du lendemain, lundi, fut con*
sacrée à une ravissante excursion an paya
de Pont-Aven et de Concarneau.
Avant le départ, fixé à 10 henrea, lea
journalistes visitèrent la faïencerie de la
Grande Maison où ils furent excellemment
reçus par M. Verlingue, le sympathique directeur, et le garage Le Bourhis, avena*
de la Gare.
Les congressistes se rendirent d'abord à
Kerfany-les-Pine. MM. Bernheim et Harel
et C", qui font bien les choses, les y reçurent princièrement et leur offrirent un succulent déjeuner. Au champagne, an toast
des mieux venus fut prononcé par M. Harel.
M. Brevet, président de l'association, 1«
remercia, en excellents termes, de la bonns
réception qui avait été réservée à la caravane.
Les congressistes admirèrent fort ce coia
délicieux de la Cornoaaille qu'ils quittèrent
comme à regret pour se diriger sur PontAven, autre site merveilleux. Ici les attendaient la Municipalité et M. et Mme Jacob,
propriétaires de l'Hôtel Julia où ane coupe
de champagne lenr fat offerte. On remarqua
beaucoup les admirables tableaux, dont
parle M. Léon Tuai dana son nouveau
livre, de ce bel établissement dont la réputation n'est plus à faire. Anx éloge* d*
M. Brevet, M. Jacob et M. Le Louet, maire,
répondirent par des paroles de remerciements.
Entre-temps ane délégation s'était renda*
au cimetière et déposa une magnifique gerbe
de fleurs sur la tombe da barde Th. BotraL
De Pont-Aven, on prit la direction d*
Concarnean. MM. le Maire et le Président
du syndicat d'initiative firent «ncore ici an*
cordiale réception à la caravane. Dea apéritifs d'honneur furent servis à l'hôtel L*
Clainche et à l'hôtel de Cornoaaille. Dana
ane de ces aimables allocations improvisées
dont il a le secret, M. Brevet remercia,
une autre fois, de l'accaeil chaleureux
réservé anx congressistes, pais, au nom d*
l'association, il remit nn objet d'art à Mm*
et M. Tuai, en sonvenir da congrès dont
M. Tuai a assuré la bonne et parfaite organisation ; il remit également an aouvenir
à Mme et M. Philoux, le vigilant trésorier
de l'Association.
Ce fut ensuite le retour à Qaimper, que Is
plupart des congressistes quittèrent le soir,
emportant de notre belle et accueillant*
région le meilleur et le pins touchant
souvenir.
Le congrès de l'Association des joarnalistes professionnels de l'Ouest s* tiendra
l'année prochaine à Versailles.
B I B L I O G R A P H I E
Viennent de
paraître.'
M l l e J u l l a Gulllou da Pont-Aven, par
Léon Tuai, une jolie plaquette illustrée.
Biographie, souvenirs, anecdotes, 50 photographies. — Prix, 10 frs, franco poste,
11 frs.
Il a été tiré 100 exemplaires numérotés,
prix, 20 frs, franco, 21 frs.
Ecrire à M. Jacob, hôtel Julia, Pont-Aven.
Cette plaquette est en vente à Quimper,
Quimperlé, Concarnean, chez les principaux
libraires.
•* •
•*
G r a n d M a r i a g e Q a l a n t Divorce, par
Lêonil Phyllis, un volume de 400 pages,
in-8° couronne, 12 francs, chez Engèn*
Fignière, 17, rue Campagne-Premièr*.
Paris.
Voilà un livre qui donnera sana doute à
réfléchir à tous ceux que l'honneur d*
fonder un foyer tente. Il est plus facile de
se lancer dans l'aventure du mariage qu*
de dénouer cette aventure lorsqu'on s'aperçoit qu'on s'est trompé. Le livre de Léonil
Phyllis intéressera grand nombre de lecteurs
friands de détails intimes, de petits scandales et de démêlés conjnganx. Souhaitonsleur donc une heure agréable et aprôa lenr
lecture une heure de réflexion, ce livre alors
ne sera pas inutile.
fllouv*m«nf
dïnstifuttur»
Par arrêté de M. le Préfet dn Pinislèfé*
en date du 80 juin 1928 :
MM. Jannès, dir. d'éc. à Brest (rue Mon«
ge), est nom. à Brest (pl. Gnérin).
Guillou, dir. à Tréguennec, est nom. à
Lambézellec (Bergot).
Noblet, dir. à Plougasnou (Kérenot), *st
nom. à St-Hernin.
Le Page, dir. à Plonéis, est nom. à Chàteauneuf.
Le Férec, lnst. à Moêlan, eat nom. dir.
à St-Goazec.
Jézéquel, dir. à Lannilis, est nom. à
Pleyben.
Guéguen, inst. à Plonnévézel, est nom.
dir. à Garlan.
Thomas, dir. au Cloltre-St-Thégonnec, est
nom. au Faon.
Darcillon, dir. à Doaarneiez, est nom. è
Morlaix (Gambetta).
<
Fichez, inst. à Plouescat, est nom. dir. à
Plonescat.
Boulin, inst. à Loc-Kguiner-Landivisian,
est nom. dir. à Lesneven.
Bloch, dir. à Plondiry, est nom. à Plonjean (Troudoosten).
Derrien, inat. à Bénodet (Pergnet), est
nom. dir. i Sl-Jean-du- Doigt.
Le Goff, inat. à Poulgoazec, est nom. dir.
à l'Ile de Batz.
C«tros ( inst. à Tréflaouénan, eat nom.
dir. à Sibiril.
Bothuaa, dir. à Gaerleaqnin, eat nom. à
Pleyber-Christ.
Goîc, dir. à Goulien, eat nom. à La RocheMaorice.
Letellier, dir. à Plomelin, eat nom. à
Plogastel-St-Germain.
Tavonnec, dir. à Trégnnc, eit nom, à
Plozéyet.
Le Grigaer, dir. à Brest, est nom. à
Qaimperle.
René, dir. à Argol, est nom. à Ploaró.
Salatina, dir. à Plovan, eat nom. k PontAven.
Pinson, inat. à Spézet, eat nom. à Plongner.
Le Pichon, inst. à Bannalec, eat nom. à
Riec-snr-Bêlon (Lolhan).
Mmea Kervran, dir. à Lambézellec (P.
Ronge), est nom. à Brent (Bageaud mat.).
Lalardy, dir. à St-Ronan, est nom. à Brest
(Port de Commerce).
Le Corre, dir. i Brasparta, est nom. an
Gnilvinee.
Mlle Lahsye, inat. à Roanoen, eat nom.
dir. à Lanvéoc.
Mme Gnilloa, dir. i Plogonnec (St-Albin),
est nom. 4 Penmareh (St-Gnênolé).
Mlle Le Seeh, inst. à Henvic, est nom..
dir. à Ploaègat Gnerrand.
Mme Ollivier, dir. à Bannalec, eat nom.
à Pont-l'Abbô.
Mlle Le Pape, dir. àPlozòvet, eat nom. &
Qnimper (rne Vis).
Mmea Gonbin, dir. k Moëlan, est nom. à
Quimperlé.
Gole, dir. à Goulien, est nom. à La RocheMaurice.
Riou, inat. est nom. dir. k Roscoff (Mat.).
Mlle Prigent, dir. à Melgven, eat nom. k
Rosporden.
Mme Méar, inat. eat nom. dir. à Trézilidé.
Mlles Miqael, inst. k Sizan, est nom. an
Drennec.
Gnéry, dir. à Landelean, est nom. k Kerlonan.
Mmea Le Bran, inat. à Gonizec (g.), eat
nom. à l'école dea filles.
Kérivel, inat. eat nom. k St-Nic (déf.).
MM. Spagnol, inat. k Brennilis (déf.).
Guédés, inst. à Brest (Communauté), est
nom. à Brest (Sanqner).
Mme Jannes, inat. à Braat (rue Monge),
est nom. à Breat (Pl. Gaérin).
MM. Seznee, dir. à Goneanach, est nom.
inat. à Breat (Communauté).
Estevennon, dir. à Plondaniel, est nom.
inst. à Breat (Commonanté)..
Benllier, inat. i Lambézellec, (Kérinon),
est nom. à Breat (Commanantè).
Lantron, inat. à Gnipavaa (Coatandon), eat
nom. à Breat (Michelet).
Dnbarry, inat. k Lambézellec (bonrg), eat
nom. à Breat (Michelet).
Le Pichon, inat. à St-Pierri- Qnilbignon
(4 Monlins), eat nom. à Breat (Michelet).
MM. Le Coroller. inat. à Fonesnant, est
nom. à Breat (Port ae Commerce).
Joave, dir. à Penmerit, eat nom. inst. à
Brest (rne Vaoban).
Le Bec, inat. à Brest (Michelet), est nom.
rne Vanban.
Mével, dir. à St-Renan, eat nom. inat. i
Breat (rne Vanban).
Penbosae, inst. à Lambézellec, eat nom.
à Breat (rne Vanban).
Gnillerm, inat. à Bohara, eat nom. à Breat
(rne Vanban).
Gloagaen, inat. à Breat (Communauté),
eat nom. rue Monge.
Autret, dir. à Nizon, eat nom. inat. à
Breat (rue Monge).
Prigent, inat.,eat nom. à Ch&teaulin (déf.).
Le Corre, inst. à Brasparts, eat nom. au
Gnilvinee.
Kerbrat, inst. à Plounéour-Ménez, est
nom. à L'Hôpital-Camfrout.
Fonlon, inat. à Quimperlé, est nom. au
Hnelgoat.
Plouet, inat. k Lambézellec, eat nom. au
Pilier-Rouge.
Vigonronx, dir. i Plouénan-Penzôs, est
nom. inat. à Morlaix (Poan-Ben).
Mme Darcillon, inst. à Douarnenez, est
nom. à Morlaix (Gambetta).
MM. Le Bosser, inat. à Benzec-Conq, eat
nom. k Nizon.
Caménen, inat., eat nom. à Penmareh
(St-Gnénolê), (déf.).
Jouve, inst. à Brest (Port de Commerce),
est nom. rue Vauban.
Haacc&t, inst. à Quimperlé, est nom. à
Penmareh (Kérity).
Dnrand, inst. k Elliant, eat nom. à Plobannalec.
Jégo, inat., eat nom. k Ploudaniel (déf.).
Bouatouller, inat. à Guerlesqnin, est nom.
à Ploudaniel.
Gnénec. inat. à Peumerit, eat nom. à
Lambézellec (Bourg).
MM. Claiae, inst., est nom. à Plouénan
(déf.).
Caaain, inst., est nom. à Plouescat (déf.).
Le Corre, inat., est nom. à Poulgoazec
(déf.).
Launoia, inat.,eatnom.iPlouigneau (déf.).
Sanqner, inat., est nom. à PlounéourMénez (déf.).
Arzic, inat., eat nom. à Plourin-Morlaix
(déf.).
Pomies, inat., eat nom. à Plouzévédé (déf.).
Kervahnt, direct, à Crozon, est nom. inst.
k Quimper (r. du Chapeau-Rouge).
Goubin, inst. à Moiilan, eat nom. à Quimperlé.
Jézéquel, direct, à Locmélar, eat nom.
inat. au Relecq-Kerhuon.
Mme Férec, inat. à Moôlan, eat nom. à
St-Goazec.
MM. Le Stum, inst. à St-Pierre-Quilbignon (bourg), est nom. aux Quatre Moulina.
Stéphan, inat. à Riec-aur-Bélon, est nom.
à St-Pierre (Quatre-Moulins).
Garo, inat., eat nom. à St-Thurien (déf.).
Arribard, mat. à Qnilliégou, eat nom. à
St- Pierre- Q uilbignon (bourg).
Autret, inst. à St-Yvi, eat nom, k Seaôr.
Sauban, inat.. eat nom. à Scaôr (déf.).
Toudard, dir. à Guilligomarch, eat nom.
inat. à Sizun.
Gaudefroy, inat., eat nom. à î r é g a e n n e e
(déf.).
Le Boniaec, inat. à Névet, eat nom. à
Trégunc.
Ollivier, inat. à Bannalec, eat nom. à
Pont-l'Abbô.
Mlle Tourmen, inat. à Arzano, eat nom.
& Brennilis.
Mmea Aoffiet, inat. à Breat (Duqneane),
est nom. place Sanqner.
Garo, inst. à Brest (Vauban C. C.), est
nom. * Brest (Vauban).
Ganeon, inst. k Brest (Mairie), eat nom.
k Breat (Danton).
Coquii, inat. à Breat (Vauban), eat nom. à
Breat (Communauté).
Mlle Nicol, inat. à Bieat (Dnqueine), eat
s o m . à Bieat (Dixmude).
Mme Le Corre, inat. à Brest (Vauban),
1 nnvflnlîo * o n * d e m a n d é s à la Falen- cadastral sous le numéro 696 secest nom. à Brest (Dixmude).
® Jipreil IIS cerio de la Grande Maison, tion A, d'une contenancs d'enviMlles Le Gall, inst. à Landerneau, est Locataria Quimper.
ron huit ares quatre vingts cennom. à Brest (Bageaud mat.),
tiares, ci
8.80
Quentin, inst. à Plogoff, est nom. à Bé0
nodet.
Total de la contenance du
Etudes de "M JONCOUR, avoué-licencié
Mme Lonam, inst. à Cléden-Cap-Sizun
à Quimper, 3, rue Louis-Hémon, de deuxième lot : cinquante-'six
(g.), est nom. à l'école de filles.
56.03
M® QUEINNEC, avoué - licencié à ares trois centiares, ci
Mlle Le Cueff, inst. au Cloltre-Pleyben
e
Qnimper,
5,
rue
du
Palais,
et
de
M
Mise
à
Prix
fixée
par
le
(g.), est nom. à l'école de filles.
HENAFF, notaire à Pont Croix.
Tribunal
6.00e francs.
Mmes Nicolas, dir. à Morlaix, est nom.
inst. à Douarnenez (rue du Ponl).
TROISIÈME LOT
René, inst. à Argol, est nom. inst. à
Ce lot comprend :
Douarnenez (rne du Pont).
1° Une maison d'habitation avec
Mlles Thébault, inat. à Lanvéoc, est nom.
En l'étude '
à Ergnê-Armel.
crèche
et aire à batirr, audit lieu
et par le ministère de M«
HENAFF,
Salahun, inst, à Motreff, est nom. au
de Kerguern, portée audit plan
notaire
à
Pont-Croix
Gnilvinee.
cadastral sous les numéros 1525
Mmes Ménez, inst. à Landelean (g.), eat
L E VENDREDI 9 7 J U I L L E T 1 9 * 8
et 1526 section B, pour une contenom. à l'école de filles.
<i 2 heures de
l'après-midi
nance sous fonds de deux ares
Lorjou, inst. à Laz (g.), est nom. à l'école
quatre-vingt-huit centiares, c i . . . 2.88
de filles.
Désignation des Immeubles à vendre :
Mmes Besson, inst. à Plouider, est nom.
2° Une parcelle de terre labouà Lesneven.
En les communes
rable nommée Parc-Bras-Bih*n
Caer, inst. & St-Martin-des-Champa, est de PLOGCFF et
CLÉDEN-CAP-SfZVN faisant partie des numéros 1568
nom. à Morlaix (St-Martin).
A
u
H
e
u
d
e
KRRGIIERH
et 1569 section B, d'une conteVigonronx, inst. à Plouénan-Penzès (g.),
nance d'environ quatorze ares
eat nom. à Morlaix (Poan-Ben).
PREMIER LOT
Hascoer, inst. au Trévonx, est nom. à
trente-cinq centiares, ci
14.85
Ce lot comprend :
Penmarch (Kérity).
3° La moitié côté nord d'une
1° Une parcelle de terre labouMlles Derrien, inst. à S'.-Jean-Trolimon,
parcelle de terre labourable nomrable, la deuxième au côté couest nom. à Plomodiern.
mée Parc-ar-Vellen sise aux déchant,
dans
une
parcelle
de
terre
Cabel, inst. à Plonévez-du-Faou (G.), est
pendances du lieu de Kerguidy,
dite Parc-Bras, portée au plan canom. à l'école de filles.
en la commune de Cléden-CapChateaureynand, inst. à Commana, est dastral de la commune de Plogoff
nom. à Pont-l'Abbô (m»t.).
Sizun, portée au plan cadastral
sous les numéros 1563 et 1564 p,
Démézet. inst. à Qnimper (rne Vis, C. C.) section B, d'une contenance d'ende cette commune sous le numéro
est nom. Bd Kergnélen.
Kerbrat, inst. à Henvic, est nom. à St- viron 11 ares cinq centiares, c i . . . 11.05 706 p section C, d'une contenance
d'environ onze ares cinquante
Marc.
2° La moitié au côté midi d'une
Mmes Arribard, dir, à Pleyben-Quillié- parcelle de terre labourable nomcsntiares, ci
11,50
gon, est nom. inst, à St-Pierre-Qnilbignon. mée Parc Coz, aux dépendances du
4° La moitié levant de la parAntret, inst., est nom. à Siznn (f.).
celle de terre labourable nommée
Le Dant, inat. k Guilera, est nom. à lieu de Kervizinic, en la commune
Ar-Brioc
faisant partie des numéde
Cléden
Cap-SizuD,
portée
au
St-Marc.
ros 1538 et 1539 section B, d'une
Jouve, direct, à Peumerit, eat nom. inat. plan cadastral de cette commune
k Brest (Daqnesne).
contenance d'environ six ares
sous le numéro 1650 section B,
Jassaume, inst. au Relecq-Ke>haon, est d'une contenance d'environ cinq
cinquante cinq centiares, ci
6,55
nom. à Brest (Vauban).
50 Une parcelle de terre labouares,
ci
5
»»
Le Coroller. direct, à Fouesnant, est nom.
rable, la troisième à partir du
3° Une parcelle de terre labouinst. à Brest (Mairie).
levant, dans une parcelle de torre
Page, inst. à Lambézellec-Kérinon, est rable, la première au couchant,
nommée Costé-ar-Roz faisant parnom. k Bres» (Dnqnesne).
dans un courtil nommé Liors-Bras
Goavec, inst. à Chàteanlin, est nom. à porté au plan cadastral de la
tie des numéros 1508,1509, 1510
Brest (Vauban).
et 1512 section B, d'une conte-
VENTE PARLieiTATIGN
CCIMPER
Docteur R.
CARIDEC
nez, gorge, oreilles
absent jusqu'au 17 juillet.
Le marché, ~ Samedi 14 juillet étant
jour férié, le marché du samedi se tiendra
le vendredi 13 juillet.
Société d'hortloulture de Quimper.
— La société d'horticulture se réunira dimanche 8 juillet à 10 henrea, au Gymnase.
Les porsonnea qni ne font pas partie de
la société peuvent assister à cette réunion.
Réunion. — La section locale de la
Ligue des Droite de l'Homme se réunira
samedi 7 courant dans une salle du gymnase municipal, à 20 h. 30.
Une Conférenoe sur la littérature
bretonne. — On nous annonce que le
Mercredi 11 Juillet, à 20 h. 30, dana la aalle
Nédélec, rue du Pont-Firmin, aura lieu une
conférence littéraire sur la langue et la
littérature bretonnes, par M. Olier Mordrel.
Des oajrtes d'invitation aont déposées dana
l e s bureaux de u b a c du centre de la ville.
On en trouvera également à l'entrée de la
aalle.
Elliant
Les obsèques de M. Kernéla. — Le
vendredi 29 juin ont en lien, à Elliant, les
obsèques de M. Kernéis, ancien directeur
d'école, décédé à l'âge de 87 ans.
Une foule considérable accompagnait à
sa dernière demeure ce brave et digne
homme qui fnt l'un des maîtres les plus
répntés de sa génération et qui incarna
par excellence l'honneur de sa profession.
Nous offrons à ses enfants et à toute sa
famille l'expression de nos vifs sentiments
de condoléancea.
Pou«rn«nu
Réunion. — L'Assemblée générale dn
comité républicain, radical et radicalsocialiste, aura lieu la aamedi 7 juillet
à 20 h. 30, aalle Claquin-Bariou, rue
Doguay-Trouin.
Qouiztc
Elections complémentaires. — Les
électeurs de la commune de Gonézec sont
convoquée pour dimanche prochain 8 jaillet,
à l'effet de pourvoir à la vacance créée au
soin du conseil municipal par le décôa de
M. le Comte de Legge, maire.
Le aerntin aura lien k la mairie et sera
ouvert de 8 henrea k 18 heurea.
fTioëlan
Un Inoendle. — Ua incendie a'est déclaré samedi, à 17 heures, k la ferme de
Trénogoat, à 4 kilomètrea du bourg.
Grftco à la promptitude des secours, le
feu fut vite circonscrit. Les dégâts ne aont
paa bien importants.
Ajoutons qu'il y a quatre ans, à la même
époque, la ferme de Trénogoat fnt encore
le théâtre d'nn incendie, qni revêtit malheureusement des proportions bien plus graves
qne celui de ces jours-ci.
Le Gérant : Pierre Guéguen.
ANNONCES
Tribunal de Commerce de Quimper
Le 13 juillet 1928, à 10 heures, vérification et affirmation des créances : 1°
liquidation . judiciaire de M. Nédélec,
vins et spiritueux en gros à Quimper ;
2° Liquidation judiciaire de Mlle Chappatte, horlogerie-bijouterie à Concarnenu ; 8° faillite de M. Pichon, peintre
à St-Guénolé-Penmarch.
Etude de M» POULIQUEN, notaire
à Pont-l'Abbé
i Vendre par adjudication
en la Mairie de Penmareh
Le Mercredi 1 1 Juillet 1 9 « 8
à 2 heuret (heure légale)
A Kérity, en Penmareh : Un v l e n *
M a n o i r d u X V s i è c l e , ayant 6 piôces,
donjon avec colombier, cour, jardin et
dépendances«
Mise à prix : 90.000 fr.
Faculté de traiter avant l'adjudication,
»'adresser à M® POULIQUEN,
commune de Plogoff sous le numéro 1533 section B, d'une contenance d'environ sept ares sept
centiares, ci
7.07
4° Une parcelle de terre labourable, la première au côté levant,
dans une parcelle de terre nommée Costé-ar-Roz, faisant partie
des numéros 1508, 1509, 1510 et
1512 section B du plan cadastral
de la commune de Plogoff, d'une
contenance d'environ huit ares,
ci...
8 »»
5° Une parcelle de terre labourable, nommée Parc Névez, portée
audit plan cadastral sons les numéros 1411 et 1412 p section B,
d'une contenance d'environ trois
ares vingt-et-un centiares, c i . . . . 3.21
6« Un courtil dit Liors-Plous et
une crèche, d'une contenance
d'environ un are cinquante centiares, ci
1.50
7° Un courtil nommé Liors-Bihan
porté audit plan cadastral sous le
numéro 1530 section B, d'une
contenance d'environ un are cinquante centiares, ci
1.50
8° Un pré nommé Foënnec-Kerguern porté audit plan cadastral
sous le numéro 1228 section B,
d'une contenance d'environ trois
ares cinquante centiares, ci
3.50
9° Une parcelle de terre froide,
la deuxième au côté levant, dans
la parcelle dite Roz-Kerguern, portée audit plan cadastral sous le
numéro 1259 p section B, d'une
contenance d'environ quatre ares.
ci . .
• « • « . • • a «
i
4 »»
10° Une parcelle de terre froids
dite Trecz-Irvy portée audit plan
cadastral sous le numéro 185 section A, d'une contenance d'environ cinq ares vingt centiares, ci.. 5.20
Total de la contenance du premier lot cinquante ares trois cen- _ _ _ _
tiares, ci
50.03
Mise à Prix iixêe par le
Tribunal
6.000
francs.
DEUXIÈME LOT
Ce lot comprend :
1° Une parcelle de terre labourable, la quatrième à partir du
levant, dans une parcelle de terre
dite Parc-Bras, faisant partie des
numéros 1561 et 1563 section B
du plan cadastral de la commune de Plogoff, d'une contenance
d'environ onze ares cinq centiares, ci
11,05
2° La moitié côté midi d'une
parcelle de terre labourable nommée Parc-Dévet, portée audit plan
cadastral sous le numéro 1223
section B, d'une contenance d'environ six ares soixante-trois centiares, ci
6.63
3° Un courtil dit Liors-Forn porté audit plan cadastral sous le
numéro 1522 section B, d'une
contenance d'environ six ares
vingt centiaref, ci
6,20
4° Une parcelle de terre labourable nommée Mez Tanguy portée
audit plan cadastral sous lea
numéros 1404 et 1405 section B,
d'une contenance d'environ dix
ares quarante centiares, ci
10.40
5° Une parcelle de terre labourable nommée Parc-Névez faisant
partie des numéros 1411 et 1412
section B, d'une contenance d'environ trois ares soixante-dix huit
centiares, ci,
, « . . » , . , , , , 3.78
6° Une parcelle de prairie, la
cinquième au midi, de la prairie
dite Fcëanec-Parc-Bras, faisant
partie des numérss 1566, 1567)
1568 et 1560 section B, d'une contenance d'environ oinq ares dixsept centiares, ci . . . t . . . . < . . . « . . 5.1?
7° Uqo parcelle de terre froide,
la quatrième à partir du levant,
dans la parcelle de terre dite RozKerguern faisant partie du numéro
1259 section B, d'une contenance
d'environ quatre ares, ci
«, 4 »n
8 ' Une parcelle de terre froid«
dit« Poul-Dévet portée audit plan
nance d'environ neuf ares dixhuit centiares, ci
9.18
6° Une parcelle de terre labourable. la première au côté midi,
d'une parcelle de terre dite ParcNévez, faisant partie des numéros
1411 et 1412 section B, d'une
conteuance d'environ cinq ares
quarante-huit osntiares, ci
5.48
7° Une parcelle de prairie, la
troisième au côté midi, dans la
prairie dite Foëanec-Parc-Bras
faisant partie des numéros 1566,
1567,1568 et 1569 section B, d'une
contenance d'environ quatre ares
quarante sept centiares, ci
4.47
8° Uae parcelle de terre troide
nommée Ar-Voguer-Dreuz portée
audit plan cadastral sous le numéro 769 section A, d'une contenance d'environ deux ares cinquante centiares, ci
2.50
9° Une parcelle de pâture nommée Antrez portée audit plan
cadastral sous le numéro 598 section B, d'une contenance d'environ six ares vingt centiare», c i . . . 6.20
Total de la contenance du troisième lot : soixante-trois ares
onze centiare», ci
63.11
Mise à Prix fixée par le
Tribunal
6.000
francs.
QUATRIÈME LOT
Ce lot comprend :
1° Une maison d'habitation avec
crèche au levant, cour devant,
petite crèche devant la cour, le
tout porté au plan cadastral de la
commune de PlogoiT sous les numéros 1521 et 1527 section B,
d'une contenance sous fonds de
deux ares vingt-sept centiares, ci. 2.27
2° Un petit courtil au midi de
la cour porté audit plan cadastral
sous le numéro 1519 section B,
d'une contenance d'environ trente-six centiares, ci
0.36
3° Ua petit courtil au nord desdites maison et crèche porté audit
plan cadastral sous le numéro
1528 section B, d'une contenance
d'environ trois ares soixante centiares, ci
3.60
4° Une parcelle de terre labourable, la deuxième à partir du
levant, dans la parcelle de terre
dite Parc Bras faisant partie du
numéro 1561 section B, d'une
contenance d'environ onze ares
cinq centiares, ci
11.05
5° La moitié côté nord d'une
parcelle de terre labourable nommée Parc-Dévet faisant partie du
numéro 1223 section B, d'une
contenance d'environ six ares
soixante-trois centiares, ci
6.63
6° Une parcelle de terre labourable, la troisième à partir du
couchant, dans le courtil nommé
Liors-Bras faisant partie du numéro 1533 section B, d'une contenance d'environ sept ares sept
centiares, ci
7.07
7° Uae parcelle de terre labourable nommée Parc ar-vervet portée audit plan cadastral sous le
numéro 1375 section B, d'une
contenance d'environ n)uf area
soixante centiares, ci
9.60
8° Une parcelle de terre labourable à prendre dans la parcelle dite
Parc-Név«2 faisant partie des numéros 1411 et 1412 section B,
d'une contenance d'environ trois
ares quatre-vingt-huit centiares,
c i . . é . 4 . , . 4 . . . . . . . . . . . . . . . . 4 . . . 3.88
9' Une parcelle de prairie, la
sixième à partir du midi, dans
une prairie nommée FodanecParc-Bras. faixant partie des numéros 1566, 1507, 1568 et 1569
section B, d'une contenance d'environ six ares sept centiares, c i . . (3.07
10' Une parcelle de torre froide,
la cinquième à partir du levant,
dans la parcelle de terre dite RosKerguern, porté« audit plan ca-
dastral sous !e "numéro 1259 section B, d'une contenance d'environ quatre arcs, ci
4 »»
11' Une parcelle de terre froide
dite Costé-roz-Laoual portée audit plan cadastral sous le numéro
545 section B, d'une contenance
d'environ un ars cinquante-cinq
centiare?, ci
1.55
12' Une parcelle de terre froide
dite Grannoc-Keihemeau portée
audit plan cadastral sous le numéro 516 section B, d'une contenance d'environ deux ares quatrevingt-dix centiares, ci
2.90
13' Une parcelle de terre froide
nommée Lanviret portée audit
plan cadastral sous le numéro 276
section A, d'une contenance d'environ un are vingt centiares, c i . , . 1.20
Total de la contenance du qua
tiième lot : soixante ares dix huit
centiares, ci
60.18
Mise à prix fixée par le
Tribunal.
6.000
francs.
CINQUIÈME LOT
Ce lot comprend :
1' Une parcelle de terre labourable, la sixième à partir du levant,
dans la parcelle de terre dite
Parc-Bras faisant partie du numéro 1561 section B, d'une contenance d'environ onze ares cinq
centiares, ci
11.05
2' La moitié midi d'une parcelle
de terre labourable nommée ParcVelen, située aux issues du lieu
de Kerguidy, en la commune de
Cléden-Cap-Sizun, portée au plan
cadastral de cette commune sous
le numéro 706 section C, d'une
contenance d'environ onze ares
cinquante centiares, ci
11.50
3* Une parcelle de terre labourable, la quatrième à partir du
couchant, dans la parcelle de
terre dite Liors-Bras faisant partie du numéro 1533 section B du
plan cadastral de la commune de
Plogoff, d'une contenance d'environ sept ares sept centiares, ci. 7.07
4* Une parcelle de terre labourable, la cinquième à partir du
levant, dans une parcelle de terre
dite Costé ar Roz faisant partie
des numéros 1508, 1509, 1510 et
1512 section B, d'une contenance
d'environ sept ares dix centiares,
ci . • • • • • • « • « ( • • « « • t M * t t i * ( « i t >
7,10
5' Une parcelle de terre labourable nommée Parc-Névez, la
deuxième à partir du midi, faisant
partie des numéros 1411 et 1412
section B, d'une contenance d'environ cinq ares dix-neuf centiares,
Cl •••••••••••••t»«*s*es******** 5 • 19
6- Une parcelle de terre labourable à prendre dans la parcella
de terre dite Costé-ar-Roz faisant
partie du numéro 1511 section B,
d'une contenance d'environ un
are, ci
1 »»
7' Une parcelle de prairie, la
première à partir du midi, dans
la prairie dite Foënnec-ar-ParcBras faisant partie des numéros
1566, 1567, 1568 et 1569 section B,
d'une contenance d'environ cinq
ares vingt-huit centiares, ci
g.28
8* Uae parcelle de terre froide,
la sixième à partir du levant, dans
la parcelle de terre dite Rez-Kerguern, faisant partie du numéro
1259 section B, d'une contenance
d'environ quatre ares, c i .
4 »»
9- Une parcelle de terre froide
dite Costé-Cordilez portée au dit
plan cadastral sous le numéro 483
section A, d'une contenance d'environ un are quarante-quatre centiares, ci,
1.44
Total de la contenance du cinquième lot : cinquante-trois ares
soixante-trois centiares, ci
53.63
Mise à prix fixée par le
Tribunal
é.coo francs.
SIXIÈME LOT
Ce lot comprend :
1' Une parcelle de terre labourable, la troisième à partir du
levant, dans la parcelle de terre
nommée Parc-Bras, faisant partie
du numéro 1563 section B, d'une
contenance d'environ onze ares
cinq centiares, ci
11.05
2* La moitié nord d'une parcelle de terre labourable nommée
Parc-Coz portée au plan cadas- •
trai de la commune de Clédec.
Cap-S<zun sous le numéro 1650
section B, d'une contenance d'environ cinq ares, ci
5 »»
3' Une parcelle de terre labourable, la deuxième à partir du
couchant, dans la parcelle de
terre dite Liors-Bras, faisant partie du numéro 1533 section B,
d'une contenance d'environ sept
ares sept centiares, ci
7.07
4' Une parcelle de terre labourable, la quatrième à partir du
levant, dana une parcelle de terre
nommée Costé»ar-Roz, faisant
partie des numéros 1508, 1509,
1510 et 1512 section B, d'une contenance d'environ sept ares, c i . . . 7 »»
5- Une parcelle de terre labou«
rable, la deuxième à partir du
nord, dans une parcelle de terre
dite Parc Névez, faisant partie
des numéros l 4 l l et 1412 section
B, d'une contenance d'environ
trois ares quarante centiares, ci., 3.40
6* Une parcelle de terre labou*
rable nommée Parc-Coz située aux
issues du lieu de Kervizinic, en
la commune de Clédei>Cap'Sizun,
portée au plan cadastral de cette
commune »ous le numéro 1571
uectiou B, d'une contenance d'environ quatre ares soixante-dix
centiares, c i . .
4,70
7* Une parcelle de prairie, la
quatrième à partir da midi, dan*
la prairie diteFrëunec-Parc-Bras,
faisant partie des numéros 1566,
1568, 1567 et 1569 section B du
plan cadastral de la commune de
Plogoff d'une contenance d'environ 5 ares 17 centiares, ci
5.17
8- Une parcelle de terre froide,
la troisième à partir du levant,
dans la parcelle de terre dite Roz Kerguern, faisant partie du numéro 1259 section B, d'une contenance d'environ quatre ares, c i ; . 4 »»
9' Une parcelle de terre froide
nommée Cap-ar-Vigoul portée
audit plan cadastral sous le numéro 202 section A d'une contenance d'environ douze ares vingt
centiares, ci
12.20
10' Une parcelle de terre froide
dite Ar Bar-or-Sable portée audit
plan cadastral sous le n* 580 section B, d'une contenance d'environ deux ares cinquante centiare», ci*
• • • • 1 • , , 2»50
Total de la contenance du sixième lot : soixante-deux ares neuf
centiares, ci
62.09
Mise à prix fixée par le
Tribunal
i.eeo francs.
SEPTIÈME LOT
Ce lot comprend :
1* Une parcelle de terre labourable, la première au levant, dans
la parcelle de terre nommée ParcBras, faisant partie du numéro
1564 section B, d'une contenance
d'environ onze ares cinq centiares, ci
11.05
2* Une parcelle de terre labourable située aux issues du lieu de
Kervizinic, en la commune de
Cléden-Cap-Sizun, portée au plan
cadastral de cette commune sous
le numéro 1663 section B, d'une
contenance d'environ quatre ares
soixante-dix centiares, ci
4.70
3° Une parcelle de terre labourable, la moitié couchant d'une
parcelle de terre dite Ar-Brioc,
portée au plan cadastral de la
commune de Plogofï sous les numéros 1538 et 1539 partie saction
B, d'une contenance d'environ
six ares cinquante-cinq centiares,
ci
1 t • « • • 1 » « 1
6.55
4° Une parcelle de terre labourable, la deuxième à partir du
levant, dans la parcelle de terre
dite Costé-ar-Roz, faisant partie
des numéros 1508, 1509, 1510 et
1512 section B, d'une contenance
d'environ neuf ares dix-huit centiares, ci
9.18
5° Une parcelle de terre labourable nommée Mez-Tanguy portée
audit plan cadastral sous le numéro 1408 section B, d'une contenance d'environ trentf-huit ares
dix-huit centiares, c i 3 8 • 1 8
6° Une parcelle de prairie, la
deuxième à partir du midi, dans
la prairie dite Foëanec-Parc-Bras,
faisant partie des numéros 1566,
1567, 1568 et 1569 section B,
d'une contenance d'environ cinq
ares 12 centiares, ci
5.12
7» Une parcelle de terre froide,
la première à partir du levant,
dans une parcelle de terre dite
Roz-Kerguern, faisant partie du
numéro 1259 section B, donnant
des levant et nord sur chemin,
d'une contenance d'environ qua.
tre ares, ci
4 du
8° Une parcelle de terre froide
nommée Stang-Allap portée audit
plan cadastral sous le numéro 102
section A, d'une contenance d'environ sept ares, ci
7 »»
Total de la contenance du septième lot : quatre-vingt.ci.nq ares _ _ _ _
soixante-dix-huit centiarfis, c i . . . 85.78
Mise à Prix fixée par le
Tribunal
6.000
francs.
Cette vente est poursuivie en exécution d'un jugement contradictoirement
rendu par la première Chambre dn Tri«
bunal civil du Finistère (section de
Quimper), le 28 novembre 1927, enregistré et signifié,
Entre : Mme Marie.Anne Pérennèt»,
et M. C!et Rivier, son mari, qui l'assist«
et l'autorise, maçon, demeurant à Lambézellec, 10, rue du Télégraphe, demandeurs, qui ont pour avoué constitué,
près le Tribunal civil du Finistère (section de Quimper), M6 Joncour, avoué,
avec élection de domicile en son étude,
sise à Quimper, 3, rue Louis-Hémon,
M® JONCOUR, avoué.
Et : 1° Mlle Marie-Françoise Pérennés, cultivatrice, célibataire majeur«,
demeurant à Kerguern en Plogoff.
2° Mme Marie-Jeanne Pérennès, et
M. Clet Lasbleis, son mari qui l'assiste
et l'autorise, demeurant ensemble à
Kerguern en Plogoff,
3° M. Pierre-Marie Pérennès, marinpécheur, demeurent à Kerguern en
Plogoff,
4° Mme Anne-Catherine-Pérennés, et
M. Jsan-Yves Marchand, son mari qui
l'assiste et l'autorise, gardien de phare,
au Minou, commune de Plouzané, prés
de Brest, détendeurs, qui ont pour
avoué constitué prés le môme Tribunal,
M° Quéinnec, avoué, avec élection de
domicile en son étude, sise à Quimper,
5, rue du Palais,
M® QUEINNEC, avoué»
En conséquence l'adjudication des
immeubles sus-désignés aura lieu «n
l'Etude et par le Ministère d« M<
HENAFF, notaire à Pont-Croir, 1«
V e n d r e d i 9 * J u i l l e t 1 9 * 8 , à 2 heures de L'après mid't à éteinte de feux,
au plus offrant et dernier enchérisseur,
aux clauses, points et conditions dit
Cfchiei des charges, dressé par le dit
notaire et déposé en son étudp, où
toute personne peut en prendre communication.
A. JONCOUB,
aooué-lieeneiii
L B
C I T O Y E N
•ses
FAITES vos PUBLICITÉS dans le
S'xième Lot
de six cents mètres carrés environ, à
Au nord du précédant lot, duquel il prendra au levant dans le champ de
sera séparé par une haie vive existante terre labourable nommé Ar Goaligou,
et une ligne droite en prolongement numéro 796 p.
parement extérieur jusqu'au chemin,
Cette parcelle mesure 20 mètreB de
A P P R E N T I S un greupe de parcelles el partie de parcelles façade au levant sur la route, elle donne
et OUVRIERS d'un seul tenant, donnant du midi sur au couchant sur le mur du presbytère sur
des deux sexes, travail facile, convient le précédent lot, du nord sur propriété une largeur de 13 mètres environ, au nord
à infirmes ou mutilés ; occupation de M. Borelly et autres, su levant sur la sur le surplus dudit champ duquel elle
régulière toute l ' a n n é e .
rivière Odet, au couchant sur chemin, sera séparée par une ligne droite parS'adresser Agence Louis LE FLOCII, le tout sous lande, jachère et prussiers, tant de sa limite levant bout nord sur la
11, rue TouI-al-Lsër, Quimper.
porté au plan cadastral à la section C, route pour rejoindre le coin nord bout
sous les numéros 2224 p, 2225 p, 2246 p, levant du jardin du presbytère, e t du
— — — — — I I M M — IH — — — I
2242, 2244,2243, 2245 p, 2250 p et 2251 p, midi sur le précédent lot.
* VEHPRE * L'ftMI)lBLE
Mise à Prix fixée par le
pour une contenance approximative de
Tribunal
6.eoo tr.
à proximité de LA LOUPE
(Eureel-Loir) cinquante-cinq ares quarante-huit centiares (55 a. 48).
BONNE
FERME
Quatorzième Lot
comprenant bâtiments d'habitation et
Au môme lieu
Mise i Prix fixée par le
_ _ .
d'exploitation et terres et prairies, d'une
Tribunal
3 0 . 0 0 0 fr.
Le surplus du champ de terre labourable,
contenance totale do 20hectares environ.
Après l'adjudication partielle des deux nommé Ar Ooaligou, numéro 796, donLibre tout de suite ou au 29 septembre lots ci dessus, ils seront réunis et remis nant au levant sur la route, contenant
prochain.
en vente en un seul lot, sur le total des environ cinquante cinq ares trenta-denx
Prix : 75.000 f r a n c s ,
centiares, en partie propre à la consmises à prix.
truction.
77,
S'adresser à M. Marcel Bernard,
Septième Lot
Mise à Prix fixée par le
rue L'.b'anc à Paris
(15*arr,).
En la commune de Plonéis
Tribunal
13.000 tr.
La métairie fonds et droits réunis de
e
Quinzième Lot
Kerdrehi, dite Tenue Pella ou KerdroEtude de M TANGUY, notaire
A l'entrée du bourg, route de Quimper
à Bannalec
cal, comprenant maison d'habitation et
Va champ de terre labourable dépenautres logements d'exploitation, terres
dant
de la métairie de Kergagen, nomchaudes
et
froides,
prés,
vergers,
taillis,
A vendre à l'Amiable
landes, portée au plan cadastral sous les mé Ar Steroinou, ayant ses fossés au
U n e FERME de 21 hectares ou 15
numéros 542, 546, 547. 551, 552 p, 552 p, nord, levant et couchant sur la route,
hectares au choix du demandeur, en la
564, 565, 566, 57«, 575, 576, 577, 578, porté au plan cadastral sous les numécommune de Kernével, prés de Rospor579, 580, 581, 847, 848, 849, 850, 853, ros 296 et 297 p de la section B, pour
den, libre au 29 septembre prochain.
une contenance de 92 a. 35.
Bons bâtiments couverts en ardoises. 856 de la section B. 1 4 , 1 5 , 1 6 , 1 7 , 18,19,
Mise i Prix fixée par la
20 p, 21, 23, 24, 25, 26, 27 et 29 do la
Ferme très boisée.
Tribunal
10.000 tr.
section
C,
pour
une
contenance
totale
Terres d'un seul tenant.
de dix-neuf hectares vingt ares onze
Seizième Lot
Pour tous renseignements, s'adresser
centiares.
Au bourg de Gourlizon
à M* TANGUY, notaire à Bannalec.
Quarante ares à prendre au levant d'un
^T e nîunÎ. axéeparl8 12o,ooo fr. champ de terre labourable ayant ses
Etudes de M* JONCOUR avoué-licencié
fossés au cerne, nommé Ar Mesmeur,
Huitième Lot
à Quimper 3 rue Louis-Hémon, M* LE
porté au plan sous le numéro 285 de la
Au bourg de Gourlizon
NINIVIN avoué-licencié à Quimper 20
section
B, dépondant de la terme du
e
Le tends d'une parcelle de teire de 45 mérue Vis, et M K E R V E L L A notaire à
bourg, dite Ty-Bras.
tras
carrés
28
dscimotrcs
carrés
environ,
Quimper.
Mise i Prix fixée par le
à prendre dans la partie midi d'une parTribunal
S.eee tr.
celle portant le numéro 802 de la sec-
joumai l e C i t o y e n
ON DEMANDE
VENTE PÂRÛCITÀTIO»
En la Mairie de Quimper
par le Ministère de M« KERVELLA
notaire à Quimper
L e Mercredi 1 " Août 1 9 « 8
à 1 h. Ij2 de
l'après-midi
Désignation des Immeubles à vendre :
En les ccmmuoes de Quimper. Kerieaateua, Cembrit, PleailsGeurlixeo,
Piegastel-Salat-Germaio el Plevao•
Premier Lot
En la ville de Quimper, 19, rue Lsônnec
Vne maisen construite en pierre, cou
verte en ardoises, élevée sur sol d'un rcz
de-chaussée de quatre pièces A teu, d'un
premier étage de quatre pièces à feu et
d'un second étsge mansardé de quatre
pièces à (eu et un cabinet, greniers.
Derr ère, cour et jardin, avec puits,
cabinets, cave, bûcber, chenil, jusque
la clôture le séparant du lot ci-aprè*.
Le tout d'une contenance de 420 mq
environ.
Mise à Prix fixée par le
Tribunal
70.000 If.
Deuxième Lot
Vnt cenr avec porte cochère en façade
sur la rue Vis, un bâ'imsnt au tond à
usage de remise, bA'.iment a ussge de
sellerie, débarraa et garage avec ouverture sut 1« rue Vis.
Contenant 120 mq environ.
tion A du plan cadastral, qui forme
actuellement le placitre de la tenue du
bourg, dite Plac an Ty-Bras.
La parcelle dont il s'agit est située à
un mètre 33 centimètres du nord de la
maison dépendant de la dite tenue Plac
an Ty-Bras et à 5 mètres du mur du
cimetière daDs la partie la plus rapprochée de ce mur.
Les édifices et droits réparatoires
appartenant A M. François Le Bihan.
Mise à Prix fixée par le
Tribunal
i.aeo tr.
Neuvième Lot
Au môme bourg de Gourlizon
Le tends d'une parcelle de terre d'une
contenance de 235 mq environ, à prendre dans la partie n o r d est de la parcelle
numéro 802, section A.
Cette paicelle est délimitée à l'est le
long du psi»*ge qui mène a la porte cochère du presbytère de Gourlizon, par une
ligne droite d'une lorgueur d s 9 m . 46 partant d'un point situé 6 0,42 centimètres
a l'ouest de l'arête du jambage ouest en
pierres de taille de ladite porte cochère du
presbytère, pour aller aboutir au sud en
un point situé à 7 m. 50 centimètres de
l'angle «ud ouest de la maison Quéneudec, boulanger, et à 5 m. 30 de l'angle
arrondi formé par le mur du cimetière.
Mise » Prix fixée par le
Tribunal
j çeo tr.
Dixième Lot
Mise i Prix fixée par !•
Au même bourg
Tribunal
eoo tr.
Le tends d'une parcelle de 480 mq enAprès l'adjudication partielle de ces viron, à prendre dans l'angle sud-ouest
deux Iota, ils seront réunis et remis en de la parcelle 802, section A.
vente en un seul lot, sur la mise à prix
Cette parcelle, située a tin mètre de
des adjudications provisoires.
di-tance du chsmin du bourg, à Kerougon, a une longueur de 19 mètres et une
Troisième Lot
largeur de 5 m. 70 centimètres, 24 moties
En l a même ville de Quimper
environ jusqu'au mur du presbytère.
21 et 2 3 , r u e Laëonec
Les édifices et droits réparatoires
Deux maiseas c o n t i g i ë i , construites
en pierre, couvertes en ardoises, à usage appartiennent à M. Moullec, forgeron.
de commerce, d'habitation, élevées sur
Mise i Prix fixée par le
sol d ' a n itz- de-chaussée, étage et greTribunal
7.200 tr.
nier, cour close au midi, ouvrant sur la
Onzième
Lot
rue Vis par une grande porte cochère,
Au mêtne bourg
avec appentis couverts en tuiles, ardoiUne
parcelle
de 430 mq environ, è
ses et tôles, à usage de forge et remises,
le tout d'une contenance approximative prendre au nord dans la parcelle 802,
de 420 mq, n " 205 et 20G p, de la sec- section A, ot située entre les parcelles
ci dessus désignées aux 9* et 10* lots cition B.
dessus, limitée au nord par le mur du
Hite i Prix fixée par le ^ _
,
presby'ère, au levant par le 9* lot suiTribunal
5 0 . 0 0 0 fT.
vant l'alignemsnt du pignon couchant
Quatrième Lot
do la maison de la veuve Doaré et au
En la commune de Kerfeunteun
couchant par le 10' lot on suivant l'aliau lieu de Kerbaxguen, prés le bourg
gnement du pignon levant de la iorge
Vn groupe d'immeubles d ' a n seul tenant de Henri Moullec et au midi par une
ayant fossés au cerne fors au midi boit ligne droite dans l'alignement des maicouchant sur une lorgueur de 31 mètres sons et biV.iments do la veuve Doaré et
environ et au levant sur cours et jardins Moullec.
divers, le tout, sous labour et prés, porté
Mise i Prix fixéo par le
au plan cadastral de la commune de
Tribunal
6.5c0 tr.
Kerfeunteun sous les numéros 5 p, 6 v,
Douzième Lot
7 p, 8 p, 9 p de la section A, pour une
Au môme bourg
contenance totale de deux hectares
Vn sol d'édifices et dépendances pa
cinquante-neuf ares cinquante huit cenraissant
être le numéro 801 de la section
tiares (2 ha. 59 a. 58 ca.).
A, d'une contenance de 1 a. 70 et une
Mise » Prix fixée par le _ ^ ^ ,
Tribunal..
5 0 . 0 0 0 f r . parcelle à prendro au levant bout midi
d'un champ de terre labourable nommé
Ar Goaliyou, numéro 796 p de la même
Cinquième Lot
section, sur partie duquel sol et parcelle
C o m m u n e de Combrit
Vue belle villa, dite u Le Moguer t, réunis sont construits, en bordure de la
autrefois « Ker-Aë 1 », sise aux issues du route, les bA'.iments Flochlay mesurant
Moguer, en la commune de Combrit, ensemble 18 m. 35 sur la route et 9 m. 60
c o m p r e n a n t maison de maître construite de profondeur.
en pierre, couverte en ardoises, ayant
Ce sol d'édifices et parcelle réunis ont
soua-sol, premier et deuxième étages de pour délimitation, au nord, une ligne
quatre pièces c h a c u n , mansardes ut gre- droite perpendiculaire À la route pour
niers, maison de garde, garage, jardin, réjoindre le mur levant du presbytère,
puits avec pompe.
parallèto au pignon nord du bâtiment
Eau au premier, chauffage central, Fiochlay, à quatro mètres de distance
figurant au plan cadastral sous les nu* de ce dernier, au couchant le mur du
m«ros 2247 p, 2246 p, 2245 p, 2250 p, presbytère, au lovant la route, le tout
2251 p de la section C, pour une conte- d'une contenance do sept cent quatre
n n c o approximative do 97 nrcs
vingt-dix mètres carrés environ.
EU* donne du nord sur io lot ci aptés,
Mise à Prix fixée par le
du levant sur la rivière Odet, du midi
Tribunal
10.000 fr.
sur propriété Maugin et du couchant
Treizième Lot
sur chemin.
Au môme lieu
Au nord du précédent lot, une parcelle
n a s f ' . t . ' . r . . 1 ? »60.000 fr.
Dix-septième Lot
Au même lieu
La moitié à prondre au nord du surplus du champ ci-dessus et de MetmeurBihan, numéro 284 p y annexé, donnant
sur la route, contenant seize ares quarante-huit centiares environ.
Mise i Prix fixée par le
Tribunal
S.eeo tr.
Dix-huitième Lot
Au même lieu
La moitié à prendre au midi du surplus de ce même champ, numéro 285,
et Mesmeur-Bmn, numéro 2S4 p, 7
annexé, donnant ce lot sur deux routes,
contenance seize ares q u a r a n t e - h u i t
centiares environ.
Mise * Prix fixée par le
Tribunal
ta.eec tr.
Après l'adjudication partielle de ces
trois lots, ils seront réunis et remis en
en vente en un aeul lot et adjugés sur le
total des adjudication» proviioirsr.
Dix neuvième Lot
Au terroir de Kergsgen,
en bordure de la route de Pont Croix
Vn champ sens labeur el lande, nommé
Ar Yornel, donnant au couchant sur
chsmin et au midi sur la route de PontCroix, porté au cadastre de la commune
de Gourlizon sous les numéros 596 et
597 de la section A, pour une contenance de un hectare trois ares quarante
centiares
Vn petit pré avec lavoir dit LiorsGuéot-Penar
l'ont, porté au cadastre
sous le numéro 598, pour une contenance de cinq ares quatre-vingt-dix
centiares.
Mise i Prix flxéo par le
Tribunal
S.eee Ir.
21° et 22° lots, ils seront réunis et remis 1025,1026, 1028,1029, 1030,1032,1033,
en vente, en un seul lot, sur la mise à 1034, 1035, 1036, 1037, 1042 p , 1043,
prix des adjudications provisoires.
1044, 1045. 1046 p, 1046 p. 1119, 1120,
1123, 1179, 1180, 1186, 1194 de la secVingt-troisième Lot
tion A, pour une contenance de vingt-etEn la commune de Gourlizon
un hectares dix-neuf ares trente cenLa terme du bourg, dite
Plae-an-Tytiares.
Bras,
Une ferme fonds et droits, telle qu'elle " « « Ï Î . > . " . ! '
loo.ooo fr.
est affermée à MM. Jean Hélias et Hervé
Vingt-neuvième Lot
Pliquet, comprenant bâtiments d'habiEn la commune de Gourlizon
tation et d'exploitation, terres, prés,
Au lieu de Pennayeun
landes, garennes, taillis, le tout porté
Vne métairie fonds et droits réunis,
au plan cadastral sous les numéros 172,
181, 182 p, 182 p, 729. 740, 741, 743, telle qu'elle est affermée à Perrot, con796 p, 798, 799, 808, 809, 810, 811, 812, sistant en maison d'habitation et autres
813, 814. 821, 823 p. 824, 825, 830, 831, logements d'exploitation, terres, prés,
832 p, 833 p, 1106, 1107,1108,1109,1110, pâ'ures, landes et taillis, circonstances
1111,1112, de la section A. et numéros et dépendances, portée au cadastre sous
185, 186, 187, 188, 189, 190, 191, 192. les numéros 684, 685, 691 p. 947, 948,
193, 194. 195. 196. 197, 198, 199, 205 et 950. 953,1012, 1017, 1020, 1021. 1023 p,
206, 271, 272, 273, 275 276 p. 278. 1023 p, 1031, 1038, 1039, 1040, 1041,
286, 287, 293, 294, 299. 306 p, 307, 308, 1042 p, 1047, 1048, 1049,1050 p, 1050 p.
309, 310, 311 p, 311 p. 312, 314, 318, 322, 1051, 1095,1096, 1097,1098, 1099,1121,
414, 415 422, 476, 477, 479 de la section 1122,1182, 1191, 1192 et 1199 de la secB, pour une contenance totale de qua- tion A, pour une contenance de vingt
rante-quatre hectares trente>neuf ares hectares vingt-et-un ares cinquantedeux centiares.
quarante deux centiares.
Mise à Prix fixée par le _ _ _ _ _ ,
Tribunal
8 5 . 0 0 0 fr.
200.000 f r .
Trentième Lot
Vingt-quatrième Lot
En la commune de Plogastel-St-Germain
En la commune de Gourlizon
Au lieu de Trévoyen
Réserve de Guélennec
Vue métairie fonds et droits réunis,
Une réserve fonds et droits, dite La telle qu'elle est affermée A Le Rest, conRéserve du Guilennee, comprenant une sistant en maison d'habitation et autres
longère de bâtiments, construite en logements d'exploitation, terres, prés,
pierre, couverte en ardoises, à usage de pâtures, landes et taillis, circonstances
chenil, maison d'habitation et crèche, et dépendances, portée au plan cadasun pavillon à usage d'habitation et retral sous les numéros 31, 32, 33, 34, 35,
mise, une écurie, appartenances et dé36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46,
pendances, le tout porté au plan sous
47, 43, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57,
les numéros 1027, 1134 p, 1137, 1138,
58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65. 66, 67. 68,
1139,1140 p, 873 de la section A, pour
09, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 279, 280,
une contenance totale de deux hectares
soixante-six ares vingt-quatre centiares. 281, 282 p, 283, 284, 285 p, 288 p, 290,
291, 292, 293, 457 p, 458, 459, 460 p,
Le numéro 1140 dont u n e partie 461 p. 462 p, 463 p, 464 p, 465, 466,467 p,
« celle du nord » est attachée au présent 468, 469. 470, 471, 472 p, 472 p. 473 p,
lot et sera séparée de celle du midi atta 473 p, 474 p, 474 p, 475. 476, 477, 478,
chée à la ferma par une ligue droite 479, 480, 481, 481 bis, 482, 483, 484, 485,
parallèle à l'arrière corps des édifices 486, 487. 488, 489, 490, 491, 492, 493,
principaux de la ferme, partant de la 495 p, 496 p, 498, 503, 504. 505, 506, 570,
route pour aller vers le couchant à une 571, 572. 573 p. 576 , 577, 578, 579, 580,
distance de quatre mètres de ces édi
581, 582, 583, 584 de la section A, pour
flees, sans tenir compte de la saillie
une contenance do cinquante-trois hecfaite par l'ajouté se trouvant derrière la
tares quarante-et-un ares quatre-vingtmaiaon principale.
deux centiares.
Mise i Prix fixée par le
Mise à Prix fixée par le
Tribunal
3 0 . 0 0 0 fr.
2oo.ooo fr.
Tribunal.
Vingt-cinquième Lot
Trente et-unième Lot
En les communes de Gourlizon
En la même commune
et Plogastel
Au lieu de Trévoyen
l'a« métairie fonds et droits réunis,
Vn greupe d'immeubles sous pré, landite Le Guéienee, affermée à François
des et p&'ures, formé des numéros :
Pliquet, comprenant maiton et autres
278 Foëanec-Bihan . . . .
21 a. 50
logements d'exploitation, terre, prés,
566 Parc-ar-Venglens . . 1 h. 03 a. 50
pAtures, portée au plan cadastral de la
567 Parc-ar-Harré
1 h. 11 a. 60
commune de Gourlizon sous les numé568 Parc-Langréar
1 h. 51 a. 50
ros 836 p, 838 p. 853, 854 p, «55 p, 856,
569 Toul ar-Venglens . . 1 h. 22 a. u»
867. 872, 904, 929, 930,931, 933,934,935,
936, 1140, 1141, 1142, 1143, 114-1., 11-45, de la section A, pour une
5 h. 10 a, 10
1146. 1147,1148.1151,1164 p. 1165,1166, contenance totale de
Mise i Prix fixée par le
11^8 p, 1169, 1170 de la section A, pour
Tribunal
îe.oee fr.
une contenance de neuf hectares cin
Trente-douxiéme Lot
quante-neuf ares vingt six c e n t i a r e s . . .
En la commune de Plogastel
9 h. 59 s. 26
Au lieu do Trévoyen-Bihan ou Loch-Du
Et les numéros 500, 501,
Le tends d'une ferme louée à Bodénant,
565, 286, 287 p, 289, 494 p,
contenant
prés, landes, pâtures, portée
497 de la section A de la
au plan cadastral sous les numéros 23,
commune de Plogastel,
24. 25, 26, 27, 28, 29, 30, 180, 181, 182,
pour une contenance de
183, 184, 185,186,187,188,189,190, 191,
quatre hectares quatre192, 193 de la section A, pour une convingt-neuf ares soixante4 h. 89 s. 62 tenance de dix-huit hectares quatre ares
deux centiares
trente centiares.
Soit ensemble : quatorze
Mise à Prix fixée par le
. . . ,
hectares quarante huitares
Tribunal
3 6 . 0 0 0 fr.
quatre-vingt-huit centiares
14 h. 48 a. 88 |
fixée
par
le
Mise à Prix
7 0 . 0 0 0 fr.
Tribunal,
Nota.
Il est fait observer que ton»
les bâtiments et édifices se trouvant sur
cette ferme appartiennent à M. Bodénant, fermier actuel.
Trente-troisième Lot
En la commune d 5 Plovan,
au lieu de Kérillis-Cr&* ou Languideau.
Le fends d'une ferme louée à Le Pape,
Jean-Marie, comprenant, terres, lande,
et pré, formée des numéros :
313 p, Trest L a n g u i d e a u . . . . . . . 11 a 77
323 p, Tripan, Trest Languideau. 16 a 20
lLa02
329 p, Trest Languideau
19a70
333 p. Bar Veil D'Alaé
338p, Bar Languideau
Hall
357, Pen Pare Culafé
4a30
359 p, Bar ar Leur
14a97
de la section B,
10, Bar Vian
8al9
101 p, Liorzou
12a88
102 bis, Bar Raméner
2 a 51
106 p, Liore Plcus
lal?
118, Parc Cras
Ila80
155, Hagou Languideau
12 a»»
157 p, Roz ar Volo
14a5î
172 p, Foennec ar Vérec
10a73
173 p, Foennec ar Vérec
10 a»»
174 p, Leurgaer Kerdrubil
8 a 75
358 p, Raméneur Bras
5a60
371 p, Parc ar Chant
10a26
375 p, Parc ar Chant
22a46
389, Parc Névez
5a50
de la section C,
2 h 25 a 44
Contenance totale
Mise à Prix fixée paï le
Tribunal
IÎ.OOO fr»
Nota. — Il est fait observer que tout
les bâtiments, édifices «t superflees sa
trouvant sur cette ferme appartiennent
à M. Jean-Marie Le Pape, fermier ac*
tuel.
Cette vente est poursuivie en exécution d'un jugement sur requête rendu par
la première Chambre du Tribunal civil
du Finistère (section d» Quimper), 1«
18 juin 1928, enregistré,
A la requête de :
1* Mme Catherine-Françoise Garrec,
célibataire majeure, sans profession, demeurant au Moguer,en Combrit, agissant
au nom et comme tutrice naturalla «t
légale de Jean et de Jules Soudry, ses enfants naturels mineurs, par elle reconnus,
habiles à se dire et porter héritiers pour
chacun 3/8 de M. Jules-Valéry-François
Soudry, leur père naturel, e t par l a i
également reconnus, autorisée aux fini
des présentes par délibération du Tribunal civil du Finistère (section de Quimper), tenant lieu de Conseil de familla
des mineurs Soudry sus-nommés, a n
date du 25 octobre 1927.
Ayant M* JONCOUR pour avoué.
2* M. Charles Massabiau, licencié en
droit, demeurant 17, rue de la Monnaie,
à Rennes, agissant, en sa qualité d'héritier bénéficiaire de M. Jules Soudry, son
oncle, aux termes d'une déclaration
passée au greffe du Tribunal civil d u
Finistère (section de Quimper), le 28
avril 1928, enregistrée.
Ayant M* LE NINIVIN pour avoué.
Eu conséquence, l'adjudication dea
immeubles sus-désignés aura lieu en la
Mairie de Quimper, l e H e r e r e d l 1 *
A o û t 1 9 * S , à une heure et demie de
l'après-midi,
par le ministère de M*
KERVELLA, notaire à Quimper, à
éteinte de feux, au plus offrant et ¿armer enchérisseur, aux points, clauses at
conditions du cahier des charges draseé
par le dit notaire et déposé en sen étuda
où toute personne peut en prendre communication et en présence de M. Charlea
Bodolec, négociant à Quimper, subrogétuteur des mineurs Soudry sus-nomméi,
ou lui dûment appelé.
A. JONCOUR,
aeoui-lieeneié.
I D E
- T E T J X
MOTS
ViDgt sixième Lot
Vingtième Lot
Ka la commune de Gourlizon
U - E V - L - -E
Au terroir de Kergagen,
Au lieu de Kerougon
route de Pont Croix
M - G — S
Vne métairie fonds et droits, telle qu'olle
Vn greupe d'Immeubles sous labour et est affermée à Bescond Jacques, consisTrouver deux noms de villes de France en remplissant les intervalles. Tout«
lande formé des numéros :
tant en maison d'habitation et autres personne qui enverra la solution juste, aura droit à un superbe cadeau. Envoyei
e
359 Parc-ar Boullen
1 h. 10a. 10 logi ments d'exploitation, terres, prés votre réponse directement aux Ateliers PAUL BERT, 15, rue Paul-Bert, Paris (11 ).
(Joindre
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1 h. 09a. 30 tre sous les numéros 693 p, 694 p, 695,
361 Parc Créis
.lh.02f.30
362 Pare Créis
696, 697, 698 701, 726, 730, 731, 733,
3 0 a. 8 0 734, 735. 736. 737, 738, 739, 747. 748,
363 Parc-Bih^n Huella,.
2 8 a. 3 0 1053, 1054, 1056, 1057 1058 p, 1058 p,
364 P a r e - B ' h i n II lolls..
(58 a. »»
366 Pare Bihan-lzella...
1059,1060,1061,1062,1063,1071 1076 p,
9 0 a. 2 0 1077, 1078, 1079. 1080. 1083, 1084, 1085,
387 Pare an-Hid
9 3 a. 1 0 1086, 1087, 1088 1088 bis, 1089, 1090,
109 Pare Moan
se fait en tous les modèles, depuis la toute
8 9 a . 2 0 1091, 1092 1093, 1094, 1100, 1101, 1102,
110 Pare ar Glood
11 a. 10 1103, 1104 de la section A, pour une
111 Pare ar Gloed
mignoRae 80 litres jusqu'au mastodonte
contenance de vingt deux hectares un
de la section A, pour une
500 litres fonctionnant à bras ou au moteur.
contenance totale d e . . . . 7 h. 98 a. 80 are dix-neuf centiares.
Mise i Prix fixée par le
La machine ci-contre comporte un petit
Mise à Prix fixée par le
loo.ooo fr.
2 8 . 0 0 0 fr.
Tribunal
Tribunal
moteur électrique.
Vingt-et-unième Lot
Vingt-soptiome Lot
Au terroir de Kergagen, route de Quimper
E i la mémo commune
Au lieu dit Kerougon
Vn greupe d'immeubles sous labour et
Vne autre métairie fonds et droits réu
taillis, formé des numéros
réalise toutes les conditions de simplicité,
334 Coat Ilis
15 a. 10 nis, telle qu'elle est tft'srmée à Hélias,
Alain,
consistant
en
maison
d'habita'
335 Coat-Ilis
50 a. 40
de robustesse, de facilités d'entretien, qu'o*
337 Ty Lez Bras
1 h. 39 a. 30 tion et autres logements d'exploitation,
est en droit d'attendre d'une marque aussi
338 T y - L e z . , . 70a.60 terres, prés, pà'ures, landes et taillis,
339 Ty-Lez-Izella
75a.»» portée au plan cadastral sous les numéréputée.
16 Ty-Lez-Bihan
28a.60 ros 692, 693 p, 694 p, 699, 700, 702, 703,
704, 705, 706, 707, 708, 709, 710, 711.
Elle est garantie dix ans par contrat»,
de la section B, pour une
712, 713, 714, 715, 716, 717, 718, 719,
contenance de
> 3 h. 79?.»»
720, 721, 722, 723, 724, 725, 732, 744,
Mise à Prix fixée par le
745, 746, 749, 750, 751, 752, 753, 755,
LA L U T T E C O N T R E L A
Tribunal
ta.eee fr. 756, 1052, 1055, 1064, 1065, 1066, 1067,
Vingt-deuxième Lot
1068,1069,1070, 1072, 1073, 1074, 1075,
En la commune de Gourlizon
1076 p, 1081, 1082 et 1105 de la section
Vne métairie fonds et droitB dite la A, pour une contenance de vingt-deux
métairie de Kergagen, affermée à M. Le hectares cinq ares s o i x a n t e - e t - o n z e
BOURDONNEMENTS - DURETE
D'OUIE
Bihan, comprenant bâtiments d'habita centiares (22 h. 05 a, 71).
Nous Informons nos Lecteur» q u e le SPÉCIALISTE F. ROYAL. 29. HUE ORF
PARIS, est 4 nouvenu de p*9s«ie dans n o t r e région. — C'EST
tion et d'exploitation, terres, prés, tail
dit : " i l n'y a rien à faire . En réalité peu de nersonnes se liei
Mise à Prix fixée par le | f t n n n n f Procrô» «le la Science. SACHRZ qu'une MÉTHODE NOUVELLE E T S l M P l
lis, lande, sous les numéros 1142, 134,
Tribunal
100.000 H .
AGIT IMMEDIATEMENT, l ' A i r TRAVAILLER L'ORGANE, flir l'oreille faih
135,148, 149, 150,151,152.153,155,156,
FAUTE D'EXERCICE, finit par NE PLUS ENTENDRE. RIEN ne vaut ce MOYEN FAC
Vingt huitième Lot
p o u r vaincre ces maux rebelles. SANS DROGUES, SANS OPERATIONS. SANS AP
158, 159, 160,162, 165,166,757, 758, 760,
INUTILES, vous
viiurs_PO_ 3 INUTILES,
__ _ dé» le PREMIER ESSAI. V<.ous
_ _sentirez
BEILS
rpouvez ENTENDRE BIEN
En la même commune
àéïicleux SOULAGEMENT a p p o r t e sans retard. No vous r é s i g n e z d o n c p l u s à ENtENi
761, 762, 766, 769, 772.778,774,775.776,
Au lien de Pennayeun
MAL et lentement de MOINS EN MOINS. VOS OREILLES VOUS SONT PRECIEU:
777. 779 p, 780, 782, 784, 785, 787, 789,
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Vne métairie fonds et droits réunis,
UUIVtNW A I K t UN fcooAl > PRENNENT PAS. TOUS ceux qui SOUFFRENT D
790. 791, 792, 793, de la seciion A, et
BRUITS, BOURDONNEMENTS. DURETE D'OREILLES, SURDITE.
telle qu'elle est affermée à Hervé Le
ALLEZ VOIR en toute
numéros 3, 4, 5, 315, 317 p, 327, 331, de Rest, consistant en maison d'habitation
T E M E N T l a démonstral
la section B, pour une contenance totale et autres logements d'exploitation, tert o u j o u r s obtenus a u
de 19 hectares 11 areb 99 centiares,
res, prés, pâtures landes et taillis, cirCarhaix, vendredi G juillet, Hôtel de France.
Mise à Prix fixéo par le
constances ot dépendances, portée au
QUIMPER,
samedi 7 juillet, Hôtel de l'Epée.
fr. plan cadastral sous les numéros 686,687,
T r i b u n a l . , . o o i o o o o loo.ooo
I
Quimperli, dimanche 8 juillet, Hôtel du Lion d'Or.
Après l'adjudication partielle dee 20°, 688, 689, 690, 691 p, 691 p, 1015, 1016,
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guéri en quelqaei temalaesd'un rhume de carreau chi'o_Ex-accordeur réparateur de la maison Gaveau
PRÉSENTATION NOUVELLE
nique dont II »ouïrait depul» un an (attest. du 3
Supprimant lot Inconyinlonts du Comprimé et rlu Cachât
QUIMPER
«trier (Ml, conflrméa U M JanTler UM). W'CULHAiRl1 0 bis, r u e A a t o r — QUIJMPER
BELBAKEZ,
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dépolifiécembre1918, 4 une
pbarrnglte ar«e brttlBMS *u Sitale.*» ¿">> l anière
(Se prend sans eau nnlqucmtn' par l'intermédiaire de II tllto)
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rui «iMlnti, à m»' tr«M »••!. ««»îli»
S'adresser à M. Willem»
Félix
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a «Indre effort. BU« i» frouta sou «Rèe »
courtier e n f e r m e s , Oournay-le-Guérin,
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tat guérit «a an an (attest. du 16 lantlcr
p a r Bourth;(Eure).
Itln MIIHAVD, aax Holliri-ttlnt-Eittpht
Zmt») \M atteint d'un» toux tio•,,;« lolTt* 4* crachat», depul» 1913 Los (1) Moa, p i l M a a , profesado* el airesae.
JupeyTOtt» U guérirent en quelque» moi»
CHEVAUX
COURONNÉ?*.
¿0 mar« 19M). L«« Pattllle» Dupoyroux
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L'ECOLE ET L » fORm»TIOH
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à m . Pîerrt QUÉCUEft, Administrateur-Gérant,
Les manuscrits ne sont pas rendus. — Pour les renseignements joindre un timbre pour la réponse.
RURALE
Paul-Emile SIMONT.
Aux Républicains !
Comaent un Républicain peut-il
donner au Citoyen une preuve de
sa sympathie T
En aidant à sa diffusion, en le
faisant connaître à ses amis et surS'jLBONNJlUTT.
UN JOLI COCO
Le d é p o t é a u t o n o m l e t e R l e k l l n ,
l'un dss condamné« de Colmar
M. Philippoteaux, député républicainsocialiste de Charleville (Ardennes) qui
a vu l'officier allemand Ricklin à l'œuvre à Sodan et à Moozon pendant la
guerre, précise ainsi son hostilité à
l'égard des Français :
« Si le docteur Ricklin, écrit-il, ennemi
de notre pay% excite une antipathie
violente dans toute la France, ce sentiment, dans les Ardennec, va légitime
ment jusqu'à la haine.
« J'ai voté contre la libération du docteur Ricklin comme Français d'abord,
paice qu'il a prononcé cette parole
impie, rappelée aux jurés de Colmar
par le procureur général Fachot :
« L'Alsace s'est donnée à la France
comme uae prostituée ». Un Français,
et surtout un bon Français de la frontière n'oubliera jamais cette ignominie.
- « Mais j'ai voté aussi contre la libération du docteur Ricklin comme Ardennais. Nous avonavu cet homme da près,
nous l'avons eu sous nos yeux dans
notre pays même, et c'est là un de nos
tristes souvenirs.
« Pendant la guerre, le docteur Ricklin,
médecin-msjor dans l'armée allemande,
a séjourné à Sadan et à Mouzon. Il s'est
signalé par ses brutalités ignobles et répétées à l'égard des habitants ; c'est
grihe à des hommes comme lui que les
envahisseurs ont mérité leur réputation
de tortionnaire?,
« Au lendemain de la récente élection
de Ricklin à Altkirch, M. Olivet, conseiller général de Mouzon, mo narrait
la série de ses exploits. Le plus barbare
est d'avoir causé la mort d'un de nos
compatriotes respecté entre tous, expédié par lui sans l'ombre d'une raison
dans les geôles allemandes où le malheureux succomba aux privations et
aux sévices. Un bourreau, de mentalité
foncièrement teutonno, tel fut pour
nous le docteur Rick'in ».
Pour répondre à ce désir, M. Herriot
vient d'adresser aux instituteurs et institutrice* qui donnent l'enseignement
agricole, aux directeurs et directrices
des cours postscolaires agricoles créés
par la loi du 2 août 1918, enfin aux directeurs départementaux des services
agricoles, deux questionnaires concernant, l'un l'enseignement agricole donné aux garçons, l'autre l'enseignement
ménager agricole dispensé aux jeunes
filles. Chacun d'eux comporte deux parties : la première relative aux établissements d'enseignement primaire des régions rurales ; la seconde, à l'enseigne Ment postscolaire.
Nous y lisons des questions sur la
formation donnée dans les écoles normales aux future maîtres, les observations que suggère cette préparation et
le« modifications à apporter dans le
programme du brevet supérieur ; puis
rfùr la fréquentation scolaire et la néess«
sité d'adapter les horaires des écoles
rurales aux travaux des champs, sur les
méthodes de l'enseignement rural, sur
le programme de l'examen du certificat
d'études primaires, etc.
On sollicite d'autre part des renseignements sur les cours complémentaires
A orientation agricole et sur les sections
agricoles des écoles primaires supérieure»« sur l'enseignement postscolaire
donné par les instituteurs pourvus du
Brevet agricole, sur les conférences agricales de vulgarisation, etc»..
Enfin, les institutrices rurales sont
Notre compatriote, M0 Feillet, a défeninvitées à préciser, particulièrement en
du à Colmar un joli coco.
ce qui concerne l'enseignement postscolaire, quoltes notions agricoles peuvent ou doivent s'ajouter à l'enseigne* BON CHAT, BON RUT
ment. ménager proprement dit, dans lequel il faut naturellement comprendre
Sauf en cas de force majeure, le laïc
lea notions asses complètes d'hygiène d'action ne donne à gagner qu'au laie,
et de puérioulture,
Les interventions da Saint-Siège
dans la politique française
Lea d é m o c r a t e s populaire»
agent» du cardinal Ga»parrl
Ds M. Gillouin, dans l'Europe Nouvelle :
Il est permis de penser que de la part
du pope, le rallioment à la République
française est un acte de pur opportunisme. Pie XI, en effet, est personnellement monarchiste : « Quand on aime et
estime la constitution monarchique de
l'Eglise,
déclarait-il récemment en
propres termes à un éminent religieux
français, on e»t légitimement incliné à
désirer aussi une constitution
monarchique dans l'Etat », et, sjoutait-il en
souriant, « loin de blâmer ¿'Action
Française à cause de son monarchisme,
nous pourrions lui dire que nout serions plus royaliste qu'elle ».
Il est donc fort probable que si le
Pape était seul à diriger la politique
romaine, il aurait tenu la balance ¿gale
entre les divers partis politiques français qui comptent des catholiques dans
leurs rangs.
Mais il a à ses côtés, pour principal
collaborateur, son secrétaire d'état, Mgr
Gasparri, bien connu pour ses senti,
ments ou plus exactement pour sa
passion démocratique, et qui, partout
où les catholiques s'y sont prêtés (sauf
en Allemagne, mais ceci est une autre
histoir*), les a toujours orientés vers les
partis de démocratie, et môme, disons le
tout ne', de démagogie.
C'est sous son inspiration et avcc son
appui que s'était créé le parti populaire
italien qu', avec Dom S'.urzo, se porta
aux excès que l'on n'a pas oubliés ; c'est
lui qui lut l'instigateur da l'alliance
catholique-socialiste qui conduisit naguère les finances belges .au bord de
l'abîme.
C'est à son itfluence qu'il faut attribuer, à notre avis, l'évidente et très
fâcheuse collusion, aux élections der.
nièrer, d'une notable fraction du clergé
français avec les partis d'extrême gau.
ch», collusion qui a'est étendue, en Alsace et peut être ailleurs, jusqu'aux
communistes inclusivement.
De cette collusion, le bénéficiaire a
été le parti qui s'intitule, assez comiquement, démocrate populaire (quel
dommage que nous ne connaissions pas
assez le celtique pour y trouver un troisième synonyme à ajouter au grec et au
latin,!) et qui, du massage évangélique,
retient surtout ce qu'il comporte de ferments de révolution.
Ce parti, en qui revivent, avec une
virulence accrue, lea doctrines du Sillon
naguère condamaées par Pie X (ô unité,
ô immutabilité catholiques !) a à l'heure
actuelle toutes 1ns sympathies et toutes
les faveurs do Rome.
C'est ainsi que l'abbi Trochu, direc.
tour do 1 Ouest-Eclair, ayant été récemment convoqué par ton ordinaire, le
cardinal Charost, pour recevoir do lui
des représentations tort sévèros au sujet
de ses campagnes de désunion catholique et d'excitation démagogique, lui
montra pour touto réponse une lettro de
la secïétairorie d'Etat de Rome approuvant entièrement soa attitude, en suite
de quoi le cardinal, humilié, désolé,
découragé, ne put quo se retirer danB
une a t t e n t i o n pleine d'amwtunn.
Election sénatorale
Calvados
Dimanche a eu lieu à Caen une élection sénatoriale pour pourvoir au remplacement de M. le comte de SaintQuentin (Union nationale), décédé.
Au premier tour de scrutin, M. Boivin-Champeau, avocat à la Cour de
cassation (Union nationale), a été élu
par 757 voix contre 164 à M. le docteur
Lesigne, maire de Lizieux (U. R.), 124
à M. Rauline, agriculteur (U. N.), et 72
à M. Porte, socialiste.
La date des Elections cantonales
La date des élections pour le renouvellement des conseils généraux et
d'arrondissement est fixée aux 14 et 21
octobre prochain.
La session des conseils généraux aura
lieu après le troisième dimanche d'oc»
tobre,
D ' I 3 S T F O R M A l ? I O N
AMmmes
Téléphone 8 6
Chèque Postal n« 142.10, Nantes
Les Bureaux sont ouvert« de Huit heures à Midi, le matin, et de Deux heures à Cinq heures, le soir
Adresser toutes communications concernant la Rédaction, l'Administration et l'imprimerie
Le ministre de l'instruction publique
désire recevoir les réponses à ces questionnaires, les rapports spéciaux et les
documents annexes avant le 15 octobre,
pour ce qui concerne l'enseignement
agricole (garçons notamment); avant le
15 novembre pour co qui a trait à l'enseignement ménager agricole (jeunes
filles).
L'hiver prochain, la commission officielle examinera les résultats fournis par
cette enquête ; elle établira des propositions précises qui seront ensuite soumises au conseil supérieur de l'instruction
publique, A cette haute assemblée incombera le soin délicat et important
d'adapter plus exactement, dans nos
communes rurales, l'enseignement primaire élémentaire aux besoins des enfants.
Par ailleurs, la commission s'efforcera d'assurer aux jeunes gens de nos
campagnes, par l'organisation d'ensemble de l'enseignement postscolaire
agricole et ménager, la préparation à la
fois générale et spéciale qui s'impose,
plus que partout (»illeurs, dans un pays
de natalité faible et de gouvernement
démocratique.
t )«t en
M A R I T I
Bureaux et Imprimerie,
Une Enquête sur l'Enseignement Agricole
L'Académie d'éducation et d'entr'aide sociales» entendu une communication de Mme la comtesse de Kéranfltch-Kemezne, membre correspondant,
sur : « La iemme rurale à travers l'Europe. »
Pour l'avenir de l'agriculture, la femme
rurale, qui constitue environ 48 pour
cent de la population féminine totale,
doit demeurer fidèle à la terr», de corps
et de cœur. La crise actuelle est donc
dea plu* graves. Pour y remédier, il
faut : que la famille, l'école et les ceuvrea rivalisent pour orienter la terrienne
vera la vie dea champs ; que l'industrie
s'efforce d'alléger sa besogne ; que des
organisations appropriées mettent à sa
disposition l'enseignement et la formation professionnelle dont elle a besoin.
En même temps qu'ils applaudiront à
ce* conclusions, tous ceox qui s'intéressent au grave problème de la dépopulation des campagnes par suite de
l'exode des ruraux vers les villes apprendront avec plaisir qu'en France le gouvernement s'attache actuellement à
combattre cette désastreuse désertion
de la terre natale par la formation rurale que l'école est désormais chargée
de donner aux enfants-dos champs.
Le i l février 1928. le ministre de l'instruction publique et le ministre de
l'agriculture ent pris un arrêté instituant une commission mixte chargée de
rechercher et de proposer les mesures
propres à améliorer l'enseignement
agricole dans les écoles primaires élémentaires, les cours complémentaires,
lea écolea primaires supérieures, les
écoles normales et dans les cours d'enseignement postscolaire agricole.
Cette commission, qui comprend une
trentaine de membres, dont nne demidouzaine d'inatituteurs ruraux, a'est réunie le 22 mara au ministère de l'instruction publique. Elle a pris tout de
suite conscience de son rôle important,
qui est de rechercher et d'élaborer les
mesure» propret à favoriser, par l'école,
le développement de l'agriculture et à
Combattre, de cette manière, le funeste
exode rural.
Puis elle a décidé d'instituer, avant
toute discussion, une enquête aussi
large que possible sur l'état et les conditions de l'enseignement agiicole et ménager dans nos campagnes.
A G R I C O L E ,
Républicaine
Miettes
de la
S e m a i n e
— Le contre-torpillour Verdun, construit pour la marine de guerre française,
a été lane*, la semaine dernière, à
Siint-Nazair», avec plein succès.
Cette unité appartient au programme
de 1926, qui comprend le Valmy, le
Var'jan, le Lion, le Guépard et le Bison. C'est le plus puissant contre-torpilleur construit jusqu'à ce jour.
— Deux aviateurs italiens, le capitaine Ferrarin et le major Del Prete,
viennent de réussir le raid Italie-Brésil
sans escale.
Ils ont couvert dans les 7.000 km.,
battant de près de 1.000 km. l'ancien
record de distance en ligne droite détenu par l'Américain Chamberlain.
— Le grand banquier belge. M,
Lœwinstein, qui se rendait de Londres
à Bruxelles, par la voie des airs, est
tombé de son avion dans la Manche,
par suite de circonstances qu'on n'est
pas encore parvenu à s'expliquer.
Son corps n'a pu être retrouvé.
— La Chambre hellénique a été dissoute. La réunion de la nouvelle assemblée est fixée au 17 septembre.
— M, Poincaré a inauguré, dimanche,
la statue élevée au maréchal Foch, sur
la colline de Casati, dans lo département du nord.
— La Chambre et le Sénat ont adopté
lundi le projet de M. Loucheur, relatif à
un programme do construction d'habitations à bon marché.
La session a pria fin sur co vote. Le
décret de clôture a été lu à la Chambre
par M. Poincaré et au Sénat par M.
Barthou.
U plus i u n d pont du Monde
*
la ligia
Annonces judiciaires et diverses
page) . . . . . .
li.$0
—
réclames (3° page)
f f.75
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Annonce» payable» d'avance.
Le* Annonces doivant ótre adressées, au plus tard, le Mardi soir.
La RéfliioQ da M i é de Secours
el le Culot de M. Jadé
Au lieu d'ansister à la réunion du
Comité de Secours qui a eu liou le 30
juinàQuim<;or,M. Jadé a préféré s'abstenir pour allor plaider à Rennes.
Ajoutons qu'eucun de ses partisans,
après avoir reçu le mot d'ordre, n'a
assisté à la réunion.
M. Quéinnec, député, membre de
droit du Comité, au lieu do prendre
f>lace dans l'encîinte réservée aux membres du Comité, est allé piteussment
s'asseoir dans les rangs du public, ce
qui s'appelle se tirer les flûtes.
Ce n'était pas la peine assurément de
faire une campsgno de six semaines
dans 1 Ouest-Eclair
et de promettre
aux électeurs le partage des 622.000 fr.
pour fuir à l'heure annoncée le débat
appelé à régler le sort et la destination
de l'argent en caisse.
Battage électoral pur que l'attitude
de M. Jadé et de son protecteur, l'abbé
Trochu !
En somme, le Comité qui reçoit l'approbation du Progrès du Finistère, de
Goyen et do M. du Frétay, maintient en
caisse le capital du reliquat de la souscription de 1903, ainsi que l'avait décidé
sagement le comité, sous la présidence
do M. de Kîrjégu,
On comprend que M. Jadé ait pris le
train pour éviter un débat qui aurait
tourné à sa confusion.
A quoi bon maintenant essayer de
donner le change à l'opinion et prétexter qu'il n'a pas assisté à la réunion
parce qu'il a été convoqué à Charville
prÔ3 de Paris ?
C'est !à qu'on a l'habitude de le convoquer quand le Parlement est en session et l'enveloppe, qui doit porter le
cachet du bureau de Quimpor, doit enregistrer la date de sa remise à M. Jadé.
La convocation et la mise à la poste
sont du 23 juin et une lettre ne met pas
8 jours pour parvenir à un d é p u t é .
M. Jadé est parti pour Rennea le 29
au soir et il a télégraphié de Rennes le
30. C'est donc qu'avant de partir de
Quimper il avait reçu sa convocation.
Pauvrea électeurs, YOuest-Eclair
et
M, Jadé se moquent de vous.
Ce sera de beaucoup celui qui est actuellement en construction sur 1 Hudson,
à N:w Yo'k. Il s'agit, en efbf, d'un
pont suspendu sans aucune pile en
rivière et dont la portée sera voisine de
1.070 mètres, laissant libre to'ite la
largeur du 11 juve (950 moires environ).
La dépense prévue pour la construction
de cet ouvrage est de 75 millions de
A la suite de polémiques entre les
dollar?, ce qui ne fait pas loin de
2 milliards de francs ; elle doit être journaux cléricaux l'Ouest Eclair et le
amortie au moyen do péages qu'auront Nouoelliste de Bretagne, M. Delahaye,
directeur du Nouoelliste a annoncé,
à payer les usagers do ce pont.
il y a quelques jours, à ses lecteurs, sa
démission ot la mesure prise contre lui
après 23 ans de service.
M; Delahaye a eu le tort do ne pas
embrasser aveuglémsnt la politique du
P. D. On lui a fait voir ce qa J il en coû
Le gendarme est mis à toutes les sau
tait de combattre un groupement posséces, si l'on pfut dire, mais il ne semble
dant un nombre si considérable de
pas que l'administration
l'aide beaureprésentants au Parlemant... (une vingcoup dans ses efforts. Le Matin le constaine ! )
tate avec regret.
Mais on annonce que ça ne va pas
Il y a quelque temps, un brigadier tout seul à la « Pressa Régionale de
ramassa sur la route une vieilio femme l'Ouest », propriétaire du Nouoelliste,
qui avait le a àio fandu. Il dut, en hâ'e, Quantité de bonnes dames actionnaires
la transporter à la ville. Chaque gen- songeraient à demander le remboursedarme porto dans sa poche un panse- ment de leur capital, ca qui, en somme,
ment individuel. Il s'en servit de son est assez logique.
mieux pour la blessée.
Il y a assez d'un Ouest-Eclair, Ça ne
A l'hôpital, le médecin félicita le gen- vaut vraiment pas la peine d'en soutedarme. Le pansement avait été tourné nir un deuxième. Or, le Nouoelliste ne
pour le mioux. Mais l'eccident était sera plus qu'une sous-édition de l'Ouestgrave, la vieille femme mourut.
Eclair.
Le gendaime demanda alors le remLe bruit court également qu'une
placement do sa petite bande de panse- échauffouréo aurait eu lieu au Nouoelment. Son clnf resta ahuri quand il liste, où des partisans do M, Delahaye
reçut dos bureaux un ordre que je ré- seraient allés manifester leur dégoût,
sume : « On vous remplacera votre panLa raison du plus fort est toujours la
sement, mais seulement après que vous
meilleure.
aurez écrit à la victime pour lui réclamer cinquante centimes, prix de la
bande employée pour la secourir ! »
L'Affaire Irochu-Delahaye
Glanes et Perles
h la gloire
du Chevalier de la Barre
Dt nombreux militants laïques se
sont retrouvés dernièrement au pied
du superbe monument, dû au grand
statuaire Armand Bloch, unis dan«
une commune pensée de réprobation
pour le crimo infâme commis par
l'Eglise romaine le 1er juillet 1766
sur la personne d'un adolescent de
dix-huit ans, torturé, déespité et brûlé
comme impie, blasphémateur et sacrilège exécrable et abominable /
Ce jeune homme, presque un enfanf,
avait osé garder son chapeau sur la tète
au passage d'une procession. Il avait
môme dit à l'un de ses amis : « Pourquoi se découvrir ? Oa n'est pas obligé
de connaître le Bon Dieu. » Cette attitude et ce propos, colportés de boucha
en bouche au moment où un vieux crucifix de bois pourri situé sur le pont
neuf d'Abbeville était tailladé, soidisant, de coups de couteau par des
passants quelconques, avaient suffi pour
provoquer une explosion formidable de
la part dos dévôta d'Abbeville contre le
jîuno La Barre et ses camarades — à
peine âgés de 16 ans 1 — Estallarde et
Moisnel.
Quoique neveu de l'abbessa de Wellancourt et apparenté aux d'Ormesson,
le jeune La Barre avait eu la bonae fortune, bien rare alors, d'échapper autant
par tempérament que par l'ambiance
libérale dans laquelle il avait été élevé,
à l'influence immorale de la religion.
Intelligence vive, caractère franc et loyal,
que l'hypocrisie chrétienne et ses stupides superstitions mettaient hors de lui,
il ne savait contenir son mépris de
toutes les sottises sous lesquelles tous
les ordres, du bas peuple au plus puissant seigneur, courbaient humblement
la tête. Ca fut sa perte, bien qu'il n'y
eut contre lui aucune preuve que le fait
de la procession, qur, très courageusement, il préférait endurer les pires
tortures que de se reconnaître coupable
de choses qu'il n'avait point faites. La
Barre fut condamné et exécuté. Le
supplie?, dont il subit les apprêts avec
une fsrmoié extraordinaire qui ne sedémentit pas jusqu'au coup de hache
du bourreau, suffirait seul à l'immortaliser.
Naturellement, avec le recul de la
postérité, et surtout après le plaidoyer
vengeur de Voltaire, le crims est apparu
au monde si horrible que l'Eglise, aussi
sournoise qu'habile, a cherché, comme
pour Jeanne d'Arc, à en esquiver la
responsabilité.
Elle a fait écrire par des Loriquet à sa
solda quo La Barre n'avait pas été la
victima des prêtres. Elle prétend que le
Parlemant de Pari?, qui repoussa l'ap«
pel de La Barra, composS en grande
partie de Jansénistes, da philosophes,
avait agi ainsi pour sa faire pardonner
sa politique anti catholique, et un .disciple d'E'icobsr a eu l'audace de dire
« qua le meurtro de La Barre fut une
manœuvre dirigée contre l'Eglise ».
Seulement, ca jésuite oublié dira qu'a,
vant l'exécution do La Barre, on 1765,
l'ft88nmblée du clergé avait dénoncé au
roi l'audace de la philosophie, protesté
contre l'expulsion des Jésuites et demandé de plus fortes sanctions qua
celles employées contre le sacrilège. Et
ce mâma ro<, de par son serment du
sacre, jurant de défendre son royaume
contre l'hérésie et l'impiété par les
moyans les plus rigoureux, ne devait«il
pas, esclave de son serment et plus encore des prêtres, tenir la parole donnée
à l'Eglise ?
Ces mêmes sinistres farceurs ont
imaginé et propagé la légende de
l'évêque d'Amiens implorant la grâce
de La Barre ! Mensonge odieux, tartuferie ignoble ! Car l'évêque ne craignit
Cette petite affaire exigeant des corpas d'écrire en parlant de La Barre et
respondances, des rapports, des protesLes Bleus de Bretagne se sont réunis de ses jeunes amis : u Ils se sont rendus
tations.,, tous les gendarmes en furent
pris d'un fou rire car, vous le savez, le 29 Juin dernier, au restaurant Mira- par là dignes des éternels supplices en
beau, 42, rue de la Chaussée d'Antin à
quand un gendarme rit...
Rions-en avec eux, pour n'avoir pas Paris, pour souhaiter la bienvenue aux tère de l'Intérieur, M. le docteur Even«
élus républicains laïques des Côtes-du»
envio d'en pleurer.
M. Philippe, vice-président des Bleus,
Nord ot de toute la Bretagne. L'assisMme Sjzy Noël, du théâtre de l'CEuvrei
tance particulièrement nombreuse a
par leurs chants bretons ou récits,
Nous rappelons à nos Lecteurs fort goûté leu allocutions successives de ont,
tenu sous le charma les Bleus réunis,
M. le docteur Even, député de Lannian,
que l'Imprimerie du
qui se séparent en se promettant d'inprésident der, Blous, de M. Lorgeré,
tensifier la propagande laïque en Bre*
député do Guingamp, do M. Michel
tagne et, pour commancar, en sa donnant
Geistdoerfer, député de Dinan, de M.
rendez
vous au Congrès des Bleus, fixé
exécute tous le» t r a v a u x typo- Armand Guillon, vice «président des
à Quimper le 5 Août prochain.
graphique» en noir et couleurs Bleus, directeur du personnel au Miuis«
Les Bleus de Bretagne
Journal l e C i t o y e n
LK CITOYEN
ee monde et des peines éternelles en
l'autre.,. Mais parcs qne nul péché
n'est irrémissible auprès de votre miséricorde, ô mon Dieu, quand elle est sollicitée par les mérites infinis de N.
Sîigneur J. Christ, nous réclamons
eatto môme miséricorde et ces mômes
mérites pour obtenir la conversion
do
ceux qui ont commis une si grande
impiété »,
E n bon français, c ' e s t - à - d i r e sans
autre rhétorique cléricale qui masque
toujours à demi l a pensée, l'évêque
d'Amiens approuvait les derniers
supplices : tout ce qu'il désirait, c'était
d'obtenir la conversion
de La Barre;
pour l e reste, la miséricorde céleste
s'en arrangerait.
L'exemple : tout est là pour l'Eglise
romaine; la pitié, le pardon sont choses
secondaires.
La Barre eût le mâle courage de ne
pas déférer à ses hypocrites espérances.'
11 regarda le bourreau et le bûcher avec
cotte tranquille conscience des ôtres
supérieurs qui ont l'intuition de servir
l ' h u m a n i t Î par le sacrifice de leur vie.
Les prêtres en furent pour leurs mensonges et leurs cruautés.
L'Eglise catholique aura beau faire
c'est elle qui a e s s a s u n é La Barre,
comme tant d'autres, hélas !
Et. voilà pourquoi tout ce qui vibre
encoro d'indignation au souvenir des
horreurs du fanatisme chrétien, tout co
qui a gardé au cœar le culfe de la vérité
et ¡a haine irréductible do la superstition et du mensonge religieux était au
monument de La Barre, pour acclamer
sa mémoire, cependant que, dominant
insolemment la Ville Lumière, le «SacréC œ u r » j s t t e encore un défi à la France
républicaine, à l'humanité en mal de
liberté, son outrsgennte consécration
inscrite à son f i o n t o n : « A la France
pénitente et repentante ! »
VOIES URINAIRES
Blennorragl«, goutta matinal», fllamantf, cyatlt», proitatlte,
• hypertrophie, rétrécissements, urines troublas, otc.
Lotirguérlsondéflnltlvo, sans rocImto.jjnrruGEOL. mAtboilo unique, soriouso, recommandée pu U Corps Médical
i Frigidité, épuisement neri veux,neurasthénie sexuelle.
I
pollutions nocturnes,
gnùris & tout igo et sans danger par l'UQYL, formulo
«érioiuo, t r i s activo, recommandé par le Corps Wédlofl.
U G É O L ou U G Y L sont envoyé« discrètement franco
IMPUISSANCE'
contro mandat do 3B fr. (Impil compris). 9
liiir.OIri UGÉOL, 22, B'Sébastopol, PARIS (Tulil rti,atlii).
EXAMENS
pour le* fonction«
publiques
Rédacteur de 2* classe des Services civils
de riodo-Cbine.— Date : 17 décembre 1928 ;
délai d'inscription : 81 octobre 1928 ; traitement de débat ; 12.000 fr., pins 8.421 piastres.
Licence on divers titres exigés.
Rédacteur des manufactures de l'Etat
et contrôleur-adjoint de culture.— Concours
ouvert 2* quinzaine de septembre 1928 ;
délai d'inscription : 20 août ; âge : 18 à 38
ans ; traitement de début : 10.000 fr„ plus
indemnités. Baccalauréat ou abitur exigé.
Inspecteur départemental du travail. —
Date : 12 novembre 1928' ; délai d'inscription : 10 septembre ; Age 26 à 35 ans, plus
services militaires ; traitement de début :
14.000 francs, plus indemnités. Licence ou
certains titreo exigés.
Contrôleur civil stagiaire au Maroc. —
Date : 20 novembre 1928 ; délai d'inscription : 20 oetobre 1928 ; âge : 21 à 30 ans,
plus services militaires ; traitement de
début : 21.000 francs, plus nombreuses
indemnités. Licence ou divers titres exigés.
Concours ouvert en France.
Les personnes qui désirent des renseignements sur l'un des emplois ou concours
ci-dessns ou sar un examen quelconque,
peuvent s'adresser de notre part à M. Houdeville, directeur-gérant de l'Orientatiou
Professionnelle, 108, rue Erlanger, Paris
(16«), qui leur répondra à titre absolument
gracienx.
Joindre on timbre de 0 fr. 50 et ne pas
oublier de mentionner : en qualité de lectenr du « Citoyen » à Quimper.
Habitations à bon marché
et à loyers moyens
Nons relevons au Journal Officiel du 8
juillet 1928, dans le compte-rendu de la
discussion par le Sénat du projet de loi
Loucheur relatif à la construction intensive
d'habitations à bon marché et à loyers
moyens, une intervention de M. Le Htrs,
S&nateur du Finistère, qui a amené M. le
Ministre du Travail et do l'Hygiône à préciser an point important 4e son projet :
« M. Le Hars. — Ce malin, M. le Ministre
de l'Hygiène nous disait que pour nn im
meuble on une construction de 35.000 fr.
environ, la part de celui qui désirait cons
traire, ou plutôt, l'avance qu'il devait faire,
était de 7.000 fr. environ.
« Je demande à M. le Ministre si le prix
du terrain est compris dans cotte somme
dé 7.000 fr. En effet, nombre de sociétés se
plaignent de l'arrêt dans la construction,
parce que le prix du teirain est extrême
ment cher dans les villes et que ce chiffre de
7.000 fr. se trouve doublé et môme triplé
dans certains cas, si l'on y joint le coût du
terrain.
« M. le Ministre du Travail. — La question posée par l'honorable sénateur a une
portée pins grande qu'il ne l'indiqno. Il me
demande si la valeur du terrain fera partie
de l'apport personnel représentant 20 % du
prix de revient de l'immenble à loyer moyen.
J e lai réponds affirmativement s la valeàr
du terrain fait partie de l'apport personnel.
« M. Le Hars. — Je vous remercie ».
NOUVELLES DÉPARTEMENTALES
LES ASSISES
L'incendie paraissait dû à la malveillance. répandue en France et à l'étranger, ont
Les soupçons de Chevalier se portèrent sur donné leur adhésion à ce puissant organe
un de ses anciens domestiques, Jean-Marie économique.
Gouézec, qu'il avait congédié le 22 février
Les subventions da Conseil Général, des
dernier, on raison de ce que, étant qn état Municipalités, das Chambres de Commerce,
d'ivresse, il avait cherché querelle à lades importants Syndicats d'Agricultnre ot
dame Chevalier.
d'autres associations do notre beau déparArrôté le 13 mars, Gouézec ne fît aucune tement permettront d'apporter à cette publidifficulté pour reconnaître qa'il était l'au- cation, qni sera conservée pendant de lonteur de l'incendie. Il a d'abord déclaré gues années, une documentation et une
qu'il avait accompli son crime par ven- présentation inconnues jusqu'à ce jour.
geance et parce que, son patron l'ayant
Nous auronB l'occasion de reparler des
congédié, il ne tiouvait pins de travail.
études qui composeront ce numéro et dont
Il a, au conrs de l'information, varié dans la plupart, déjà rédigées, portent la signases déclarations quant au mobile de son ture des plus hantes personnalités politiques
acte qu'il a également attribué à l'ivresse. et administratives da département ainsi que
L'examen mental auquel Gouézec a été celle do chefs de service éminents et de
soumis fait rossorlir que le prévenu est techniciens éprouvés.
suffisamment intelligent pour se rendre
Nous gommes assurés que tous lesindns
compte de la portée de ses actes, mais que triels et c o m m e r ç a i s du Finistère acceptesa responsabilité est légèrement atténuée. ront de figurer dans cette importante moLes débat» n'apportent aucun fait nou- nographie dont la parution aura lieu proveau. 7 témoins sont entendus.
chainement et qai, ajoutée aux fascicules
Le jaçy reconnaît Gouézec coupable, mais déjà édités ot consacrés à plas do 70 déparlui accorde les circonstances atténuantes. tements français, permettra de dresser un
Ea conséquence, la Cour le condamne i inventaire aniqae des richesses économideux ans de prison.
ques de notre pays.
Audiences du 3 juillet
AUTOMOBILES
2' affaire. — Attentat à la pudeur. —
Edouard Le Reun, 31 ans, docker i Brest,
Le Préfit da Finistère a l'honneur de
est prévenu d'avoir, en cette ville, le 8 mai rappeler aux entrepreneur» de services pudernier, commis un attentat à la pudeur blics de transport en commun oa aux proconsommé ou tenté sans violence sur une priétaires de véhicules affectés à des services
jeune enfant de 5 ans.
publics de transport en commun qo'en vertn
Etant donnée la nature dos faits, les dé- de l'article 34 du code de la routn et de l'arbats ont lieu à huij clos.
rôté préfectoral du 17 avril 1928, ils sont
Sur verdict sffirmalif du jury, Le Reun tenus, préalablement à la mise en service
Eiouard est condamné à 2 ans de prison. d'an véhicalo, ou sans délai, si le véhicule
3' affaire.- InfanticideLe 13 avril 1928, A(jV en service n'a pas encore été soumis à
Louise Couric, 28 ans, journalière à Moô- la visite de réception, d'adresser à la préUn, et déjà mère do deux enfants, mettait fecture la déclaration snr papier timbré à
au monde un enfant du sexe masculin, né 3 fr. 60 prévue par l'article 34 dn décret
à terme ot viable. Elle mit le bébé dans un ausvisé.
Ils doivent, d'antre part, conformément à
sac et le s a : dans le lit afin d'étooffer l'enfant. Eilo se débarrassa lo lendemain du l'article 4 de l'arrêté da 17 avril 1328, s'adresser à M. i'Iogônieur en Ch;f des Mines
petit cadavre.
La fille Couric reconnaît les faits, mais à Nantes, en temps u'.ile, pour faire procéder anx visites snnuellos de surveillance.
nie la préméditation.
Après une courte délibération, le jury Ces dernières dovront être demandées,
dans lo délai d'un
rentre en séanco avcc nu verdict négatif, pour l'année en cours,
r
E i conséquence, la fi 'lo Couric est acqnittôe. mois à partir da l< mai 1928 j avant le
1« février pour les années suivantes et, en
Audience du 4 juillet
outre, toutes les fois qae le véhicule aura
et derniè e affaire. — Incendie
volon- subi des modifications ou dos réparations
taire. — Marie Guillou, femme Marrec, est importantes on qa'il an'a changé de proaccusée d'avoir, dans la nnit du 7 octobre priétaire.
dernier, mis le feu dans uuo meule de
E ¡trent dans la catégorie d^s véhicules
paille apparleuant à l'on de «es voisins, de afftctàs anx services publies de transport
Trôvignon, en Trégune.
en commun :
L'incendie se communiqua i uae antre
1° Les voitures aménagées p u les garameule de foin et à nn hangtr qni abritait gistes oa les propriétaires pour les excurde» instruments agricoles. Le tout évalué sions. pèlerinages, promenades, si o?s voi
turos sont, ne fut-ce qu'occasionnellement
à environ 8 000 fiancs fat entiè e n e n t con
loaées à tant U place occnpée et an premier
sumé.
Aux débats 15 témoins ont été entendus occupant, les jours cù elles sont mises en
Le jory répond non aax trois questions route.
2° Les voitures tfbe'.é s aux services ré
qui lui sont prisées. La f<mno Marroc ost
galiers subventionnés on uon ;
acquittée,
3" L?s omnibus privés faisant lo service
do la gare pour an hôtel diterminô, si c> s
Comité de Défense Laïque du Finistère omnibus font, en môitie temps, nn sorvice
public de viHe admettant tons les voyageurs
L e Congrès»
Les délégués des nombreuses sections CRÉDIT IMMOBILIER DU FINISTÈRE
du département se sont réunis en Congrès
Les actionnaires de la société anonyme
à Ch&teaulin, dimanche 1" juillet.
La séance s'ouvre sous la présidence de de Crédit immobilier du Finistère son
M. Michel (Chilteaulin) ; assesseurs: MM convoqués en assemblée générale «xlra
Le Séac'h (Lannédern) et Le Barre (Briec) ordinaire, 4, rue de la Mairie, à Quimper,
Le rapport moral, présenté par M. Nar le lundi 23 juillet 1928, à 10 h. 30.
don, président du Comité, est approuvé à
l'unanimité.
LA RAGE
L'incident électoral de la 3' circonscrip
Par arrêté préfectoral et jusqu'au 10 oc
tion de Quimper est réglé amicalement et tobre, sur les territoires des communes de
l'intervention da président est approuvée à Plobannalec, Plomeur, Plomelin, Plonéourla quasi-unanimité.
Lanvern, Pont-l'Abbé, St-Jean-Trolimon,
Il en est de même du rapport financier, Treifiagat, Trégaennec, Tréméoc, Tréogat
sur lecture de M. Guéguen, trésorier.
et IleTudy, aussi bien à la campagne que
MM. Salaun et Le Dali sont nommés dans les villes, tous les chiens devront être
membres de la Commission d'apurement.
tenus à l'attache et no pourront circuler
que strictement tenus on laisse.
Les
Congrégations
M. Caruel donne lecture d'un magistral
rapport de M. L'Haridon (absent ot excusé).
LES GRANDES VACANCES
Le Congrès décide la diffusion du document
Dans les écoles primaires élémentaires
L'ordre du jour de la section de Brest, et les écoles maternelle», les vacances
développé par M. Le Mour et concluant à commenceront le mardi 31 juillet après la
l'application intégrale des lois de 1901-190-1, classe du soir et la rentrée anra lieu le
est adopté à l'unanimité.
lundi 1 " octobre ponr la classe du malin.
M. Drapier fournit des arguments aax
défenseurs de l'écolo laïque et recommande
LBS FOIRES DE LA SEMAINE
la lecture d'nne brochure sur les jésuites
Lundi
16 juillet.
— Pioadalmézeau,
Avant d'aller déjeuner on procède au
Cast,
Collorec,
Guimiliaa.
renouvellement du Conseil d'administration
Mardi 17. — Lambézcllee, Pleybon, Stqui est ainsi constitué :
Pol-de-Léon, Pioanéour-Ménez.
Président : M. Nardon ;
Mercredi 18. — Néant.
Vice-Présidents : MM. Georges Le Bail,
Jeudi 19. — Plonguerneau, Huelgoat,
Coroller (LaDgoltn);
Sizun, Pont-Croix, Itosporden.
Secrétaire : M. Drapier ;
Vendredi 20. — Châteauneuf, PlouégatTrésorier: M. Guéguen;
Membres : MM. L'Haridon, Hervé, Mes Guerrand.
Samedi 21. — Landeineau, Quimper.
ssger, Rioa (Donarnenez), A. Bott.
A la reprise de la séance M. Drapier
développe un rapport sur la propagande.
Cot organisateur émérite réclame
SI VOLS I O U I I R E K U E
1° des hommes,
2« encoro des hommos,
3* et toujours des hommes.
Il veut un journal à la portée de tous et,
plein d'humour, des troupes d'acteurs, des
ou d'ftffecfions «bdomlnales
bulletins cantonaux, etc....
vous irez voir l'éminent Spécialiste des
Les délégués, enthousiasmés, se promet- Etablissements A. CLAVERIE, la
tent de seconder de toutes leurs forces le vieille maison de confiance qui, par
sympathique « Sanglier ».
l'incomparable supériorité de ses Appareils,
MM. Diapier ot Guéguen sont ensuite sa con:, pétence et son honnêteté, «st devemandatés pour le congrès do Nantes.
nue la plus considérable ot la plus
La section de Brest demande que la oélèbre du mondo entier.
» Nationalisation de l'enseignement » soit
Pourquoi perdre votre temps et votre
à l'ordre du jour da prochain congrès. argent en essais inutiles ?
Adopté.
Vous trouverez le s a l u t c e r t a i n auprès
Avant de se séparer, le Congrès a le de l'éminent et discret Spécialiste des E t a plaisir d'entendre M. Diefoel, instituteur b l i s s e m e n t s A. CLAVERIE, qai vous
laïc à Brunswick.
attendra de 0 h. à 16 h. à :
Le clergé, dit-il, est le rou! vainqueur de Quimperlé,
vendredi 13, Ilôlel du Lion
la guerre en Allemagne. Sous l'empire prod'Or.
testant, l'école publique respectait la liberté QUIMPER,
samedi 14, Hôtel de l'Epée.
de conscience. Après la révolution, le cler- Landivisiau,
dimauche 15, Hôtel da Comgé refase toute constitution qui ne lui conmerce.
fère pas de droits sar l'enfant, et, poar Brest, landi 10, Hôtel Continental.
sauver la République, il • fallu composer Sl-Pol di Léon, mardi 17, Hôtel de France
avec les cléricaux (le compromis de Wei(jusqu'à 14 h.).
mar livre les enfants au prôtre de midi à Landerneau,
vendredi 20, Hôtel Raould.
18 heures. Eu Bavière ca'holiqae toutes les Morlaix, samedi 21, Hôtel de l'Europe.
écoles sont confessionnelles), En AllemaCEINTURES PERFECTIONNÉES
gne, comme chez nons, les instituteurs contre les a f f o c t l o n s d e la r r a t r l o e s e t
fondent des « Comités de défense laïque » d e l ' e s t o m a o , Rein m o b i l e , P t ô s e a b d o poar ssaver l'école et la République. M. m i n a l e , ObéBlté, e t c . , les plus efficaces,
Diefsel conclut ainsi : « Là où le prêtre les plus légères, les plus agréables a porter.
domine la liberté est étranglée »«
M o d è l e s n o u v e a u x e t e x o l u s l f s des
Le Secrétaire de séance,
Etablissements A. CLAVERIE, 231, fauLE BEC.
bourg Saint-Martin, Paris.
La M o n o g r a p h i e d u f i n l « t c r e
Audience du 2 juillet
affaire. — incendie volontaire.— Dans
Nons avons annoncé en avril dernier quo
Financière,
la soirée do 10 mars dornier le feu se dé- 1*Illustration Economique et
préparait
clarait dans une meule de paille apparte- filiale technique de l'Illustration,
nant à M. Jean Chevalier, cultivateur à un numéro spécial sur le Finistère. Ajoutons aujourd'hui que nos industriels et nos
Plonévez-Porzay.
Environ 26.000 kilos de paille, d'une va- commerçants comprenant l'intérêt que préJour de 3,000 à 0,000 franos, forent détruit». sentait cette importante publication, très
tfERfllE
A v i s . — Nous prions
ont des communiqués
Cuoyen de vouloir bien
tement ù nos bureaux,
dans la journée
du
semaine.
^ i Q r i d x m c c u J i d
8 •slu e
6l>
H â U ®
^
i K C f y M í U & C
10.000 francs de prix
Ce concours facile et amusant est doté de prix nombreux
dont
voici la liste :
1 e r prix : 1 . 0 0 0 francs en espèces.
2* prix : Une machine à coudre « H U R T U » de la Maison
GAUTHIER, rue de Nemours, Rennes, valeur 8 7 5 francs.
prix : Une bioyolette tourisme grand luxe de dame
marque « SPARTINQ valeur 6 5 0 francs.
: Une paire de draps 3 50 X 2.50, toile purfil,jonr et
broderie main et taios d'oreillers assorties, valeur 6 0 0 " f r .
prix : Un service de table et dessert (74 pièces) en porcelaine de Limoges, de la Mai»on HAMON-ROBERT, Quai
Lamartine, Rennes, valeur 5 5 0 francs,
dn 6* au 10" 5 0 0 frs remboursables on marchandises,
du 11e au 15* 2 5 0 frs remboursables en marchandises,
du 16' au 20' 1 5 0 frs remboursables en marchandises,
du 21° au 35« 1 0 0 frs remboursables en marchandises,
du 36' au 50' 5 0 frs remboursables en marchandises.
r W E
Q U E S T I O N
P I I I . V C I P A L E
Il s'agit d'abord de reconstituer
une phrase de 9 mots se rapportant à LA PARISIENNE. Ces 9 mots ont été écrits au préalable à l'intérieur d'un cercle quadrillé que
l'on a coupé en 9 morceaux. Il s'agit de reconstituer le cercle pour reconstituer la phrase.
DEUX
QUE8TIONS
SUBSIDIAIRES
Afin de départager les ex cequo, nous posons les deux questions suivantes :
A) Choisir, pour compléter la phrase reconstituée,
l'une des quatre suivantes :
l r a Phrase. — Parce que LA P A R I S I E N N E est spécialiste de l'élégance
féminine.
2e Phrase. — Parce que LA P A R I S I E N N E présente les dernières créations de la
mode et de la couture.
3e Phrase. — Parce que LA P A R I S I E N N E offre le plus g rand choix de jolis
modèles.
4' Phrase. — Parce que les modèles de LA P A R I S I E N N E sont chics et de prix
avantageux.
B) Indiquer le nombre de participants
au concours.
Le Concours est ouvert à toutes les clientes de LA P A R I S I E N N E qui auront
acheté du 1" Juillet au 15 Août un minimum de 100 francs de marchandises.
A oet effet,
pendant toute la période du concours, il sera distribué, à la Caisse, des tickets
d'achats
qui devront être
conservés.
pendant six semaines, des occasions exceptionnelles
El pour corser tout cela, LA P A R I S I E N N E met en vente pendant toute la durée
du Concours des nouveautés extrêmement intéressantes pour tout ce qui est l'habillement
féminin : costumes, robes, blouses, manteaux et chapeaux.
Jo parisienne
», r u e d e T o u l o u s e , R E N N E S — 4 , r u e d u P a r c ,
SO, P l a c e T h l e r s , M O R L A I X
QUIMPER
)any
rAft
Etude de M 0 Jean K E R V E L L A . notaire à Quimpef, 58, rue Keréon.
Hôpital
hospice
de
QUIMPER
Quimper
tète
Nationale du 14 Juillet 19*8
Programme :
Vendredi 13. — A 20 heares, sofineries
de cloches et salves d'artillerie ; à 20 h. 45,
concert par la Lyre Qaimpéroise, place de
P a r la Ministère de M" K E R V E L L A , notaire ;
Sous la Présidence de M. le Maire da Quimper, et en présence da MM. les A d m i . Brest; à 22heures, illumination des édifices
publics ; bals populaires place Saint-Corenni»tra(i urs et Receveur de l'Hôpital H o ' p i c o de Quimper.
tin et place Saint-Mathieu.
à 14
heures
L e
M E R C H E D I
J U I L L E T
Samedi 14. — A 7 h jures, sonneries de
En l'une de« «»lies de l'Hôtol de-Ville de Quimper, savoir :
cloches et salves d'ariillerie ; i 10 heures,
féte de gymnastique place da Çhamp-deM i s e s ! prix Bataille, par la Qaimpéroise ; à 10 h. 30,
Contenance
Nc" Noms et situations des Domaines Noms des doman.
Lâcher de pigeons, place du Champ-deBataille, par le Messager Quimpérois ;
3.020 fr.
1 Minven St-Honoré, en Plogantel. Bloch et Le Goff 25 h.
match de baskett-ball ; course cycliste ou810 fr.
24 h. 14 a. 10 c.
Moenner, Yves.
verte aux non licenciés de l'U. V. F., 20 ki2 Kerguébet-Izella, en Plugnfftn.
1.110 fr.
21 h. 33 a. 70 e.
Morvan, Hervè.
lomètres environ, sons le patronage da
id.
3 S»int-Gn6noló
2.160
fr.
Vélo-Sport Qaimpêrois. Rtmise des dos21
h.
24
a.
80
e.
Moenner,
Yves.
Kergoa!-H
sella
id.
4
sards place du Champ de-Bataille. Départ
2.034 fr.
Le Cliach. Yves. 20 h. 32 a. 28 o.
id.
5. K.i?rgoat-IzelIa
de la gare, route de Concarneaa, route da
Laure
t,
Yves.
2.200
fr.
27
h.
47
a.
10
c.
id.
6 Kôrapgaen
Lendu,
Moulin da Pont (virags), route de
3.580 fr.
Lozaehmeur.René. 31 h. 15 a. 89 c.
7 Kerfaennec-Coat-Fao id.
Bénodet, arrivée devant le kiosque da
Plonzennec,
Harvé
1.730
fr.
25
h.
28
a.
10
c.
id.
8 Kergoniam
Champ-de-Bataille. Prix : 70, 40, 35 e t
Donnard, Yves.
3 040 fr.
19 h. 14 a. 90 c.
id.
9 Kervouyen
15 francs. Droit d'entrée : 2 francs. EngaVigoaroax, Cor.
1 076 fr.
17 b.
gement chez M. A. Le Vergos, quai da
10 Qaillabonnetan-Tiaon id.
Poallélaoaen, T. 18 h.
2 140 fr.
S.eïr, jusqu'au 13 juillet à midi.
id.
11 Qjillabonnet-Créis
1.250 fr.
Pochet, J jan-M. 21 h. 83 a. 30 c.
A midi, sonneries de cloches et salves
id.
12 Panvénez
d'artillerie
; repas gratuit au Bareaa de
Gourret,
Michel.
2
624
fr.
11
h.
98
a.
90
c.
13 Créac'h-Ru.en Pioníour-Lanvero
Bienfaisance pour les paavres de la ville ;
Le
Pomp,
Pierre.
2.700
fr.
10
h.
55
a.
65
c.
Kérandraon
id.
14
à 14 h. 30, courses de natation soas le paPlonzcnnoc, Cor. 15 h. 36 a. 70 c.
2.500 fr.
id.
15 Penscourit
tronage do la Société des Régates : course
Montfort,
Noel.
2.060
fr.
6
h.
48
a.
86
c.
il.
16 Kerrnc
do demi-fond, entre le Cap-Horn et la cale
1.6Í0 fr.
I.e Brun, Louis,
20 h. 10 a. 86 c.
id.
17 Kerhna-Créis
de la rue Vis, prix : 100, 70, 40 et 20 francs ;
course de vitesse, 550 mètres, prix : 50, 30
Jouissance, pour I t o r h u a Créis, lo vingt neut s e p t e m b r e mi) neuf cent t r e n t e
20 et 10 francs. Engagement chez M. Drilet un (1931), et pour les autres domaines, le vingt-neuf s e p t e m b r e mil neuf c e n t lien, agence maritime, quai de l'O let, n° 46 ;
trente (1930).
à 15 henres, course aux canards sar l'Oist;
Pour tous renseignem-nts,
s'adresser
à
l'Etude.
Jeux publics dans les allées de Locmaria •
i 17 h. 15, concert par la Lyre Quimpéroise)
place da Champ-de-Bataille ; à 30 h. 30, sonE t u d e do M" J e a n K E R V E L L A , n o t a i r e à Quimper, 58, rue K e r é o n .
neries de cors par l'Htllali Quimpérois ; à
N
Bureau
de Bien/aisance
de
Quimper
22 heares, cinématographe populaire, place
du Champ-de-Bataille ; illumination des édifices publics.
ADJ U DICATI ON
DE
BAILLÉES
ADJUDICATIOrT~DE
BAILLÉES
— Vers 15 heures, la société des H. S. B.
procédera, à la Cale" Alavoine, au lancement du canot de sauvetage de la station
Bénoiet-Sainte-Marine.
P a r le Ministère do M 0 K E R V E L L A , notaire ;
sous la Présidence de M. lo Maire de Quimper, ot en présence de MM, les A d m i nistrateurs et R^coveur du Bureau de Bienfaisance de Q m m p a r
à 16 heures
I _ . E : MERCREDI U S JTJUL-X-.3E1?
Eu l'une doa Salles do l'Hôle'-de-Ville de Q u i m p e r , savoir :
•
• •
A l'occasion de la célébration de la fôi»
nationale, les restaurateurs, cafetiers et
Misesà prix j débitants de boissons sont autorisés à
garder ouverts leurs établissements dans
la nuit du 14 au 15 juillet.
»
N°" Noms et situations des domaines
Contenance
Noms des doman.
La Gsrenno La Boiasiòre ou Bozit Jolivet, Jean-M.
Bihan, en Plngalïan.
Larhant, André.
K6rantrei-vr«8, en Plugaffan.
Tuilen, Pierre M
KernóizonCróis,
id.
Il h. 83 a.-60 c.
La f é t e d e s R e i n e « d e C o r n o n a l U e
14 h.
60 c.
12 h. 97 a. 90 c.
1.060 fr.
820 fr.
Jouissance au vingt neuf s e p t e m b r e mil neuf cent vingt-neuf (1929).
Pour tous renseignermnts,
s'adresser
il
l'Etude.
(Su
— — — — —
1.000 fr.
Programme :
Samedi 21 juillet. — A 16 heares : oa*
verture de la kermesse bretonne (comptoirs
de cidre, chouchen, ciôpes, lait, loterie,
lots de crêpes dentelles, cidre boachi,
| Champagne etc.), bazar, cabaret chantant.
, A 20 h. 30, à Odet-Palace : grand concert
1
breton et kermesse bretonne.
ËCREMEUSE PRADELL
k W l l b a l l l
fc-WWfc»
I l i n i # h » a h
La força centrifuge est le priûcipé de
l'écrémeuse. Cette loi physique élémentaire
doit être appliquée en l'occurrence à l'aide
de moyens mécaniques simples, pratiques. ;
L'ÉCRÉMEUSE PRSDELL !
les personnes qui
d insérer dans le
les remettre direc21, rue du Sallé,
mardi de chaque
y.A:f/rsr •• .r
possède des organes robustes, facilement
accessibles et bien protégés.
Son écrémage est Je plus rationnel.
nouaille et de la Dachesse A n n e ; grand
défilé. A 11 heares, i O let-Palace: con*
ronnement des Ruines. A l i heares, «a
Parc municipal : grande fête bretonne |
concours divers : danses, costumas ancien«
et molernes ; chants bretons, binions et
bombardes. A • 16 h. 30 : élection de U
R--ine des Raines de ¿ornouaille. Grand
cortège royal. A 17 heures, k O let-Palace :
intronisation de la Reine des Reines.
Distribution des récompenses et kermesse
bretonne. A 21 heures, à O Jet Palace :
grand bal des Reines.
Pharmaoles de servloe. — Samedi
14 jaillet : pharmacie Cochennec. — Dimanche 15 jaillet : pharmacie Lemonnier.
!
Jeudi
Na 28.
1 2 Juillet 1 9 2 8
-
(21°
Le Numéro 2 5
Astaâe).
Cent.
paraissant Se Jeudi
Organe de Concentration
H E B D O M A D A I R E
—
ABOHHKMKNTS
F O U I T K S a T J E ,
»
1 AB.
Fiuistère «t département« liaitrophes
Autres départemeat»
18 frames.
12 —
Le» abonnement» partent du 1" ou du 16 de chaque moi»
et tont vayable»
d'avance
C O M M E R C I A L
Sz
à m . P i e r r e CUÉGUEfl, Administrateur-Gérant.
Le» manuscrit» ne sont pas rendu». — Pour les renseignements joindre un timbre pour la réponse.
Le ministre de l'instruction publique
désire recevoir les réponses à ces questionnaires, les rapports spéciaux et les
documents annexes avant le 15 octobre,
pour ce qui concerne l'enseignement
agricole (garçons notamment); avant le
15 novembre pour co qui a trait A l'enseignement ménager agricole (jaunes
filles).
L'hivor prochain, la commission officielle oxaminera les résultats fournis par
cette enquôte ; elle établira des propositions précises qui seront ensuite soumises au conseil supérieur de l'instruction
publique. A cette haute assemblée incombera le soin délicat et important
d'adapter plus exactement, dans nos
communes rurales, l'enseignement primaire élémentaire aux besoins des enfants.
Par ailleurs, la commission s'efforcera d'assurer aux jeunes gens de nos
campagnes, par l'organisation d'ensemble de l'enseignement postscolaire
agricole et ménager, la préparation à la
fois générale ot spéciale qui s'impose,
plus que partout ailleurs, dans un pays
de natalité faible et de gouvernement
démocratiquo.
Paul-Emile SIMONT.
Aux Républicains I
Coauaeat ua Républicaia peut-il
d o u e r au Citoyen uae preuve de
sa sympathie ?
EH aidaat à sa diffusioa, ea le
faisaat coaaaftre à ses amis et surS'A.BONNJLNT.
UN JOLI COCO
Le d é p n t é a u t o n o m i s t e R l e k l i n ,
l ' a n d e s c o n d a m n é « d e Colnaar
M. Philippoteaux, député républicainsocialiste de Charleville (Ardennes) qui
a vu l'officier allemand Ricklin à l'œuvre à Sadan et à Mouzon pendant la
guerre, précise ainsi son hostilité à
l'égard des Français :
« Si le docteur Ricklin, écrit-il, ennemi
de notre paye, excite une antipathie
violente dans toute la France, ce sentiment, dans les Ardennep, va légitime
ment jusqu'à la haine.
« J'ai voté contre la libération du docteur Ricklin comme Français d'abord,
paice qu'il a prononcé cette parole
impie, rappelée aux jurés de Colmar
par le procureur général Fachot :
« L'Alsace s'est donnée à la France
comme une prostituée ». Un Français,
et surtout un bon Français de la frontière n'oubliera jamais cette ignominie.
Mais j'ai voté aussi contre la libérafion du doctour Ricklin comme Ardennais. Nous avons vu cet homme de près,
nous l'avons eu sous nos youx dans
notre pays môme, et c'est là un do nos
tristes souvenirs.
« Pendant la guerre, le docteur Ricklin,
médecin-mnjor dans l'armée allemande,
a séjourné à Sadan et à Mouzon. 11 a'eat
signalé par ses brutalités ignobles et répétées A l'égard des habitants ; c'est
giilîe A des hommes comme lui que les
envahisseurs ont mérité leur réputation
de tortionnaire?.
« Au lendemain de la récente élection
de Ricklin à Ahkirch, M, Olivet, conseiller général de Mouzon, mo narrait
la série de ses exploits. Le plus barbare
est d'avoir causé la mort d'un de nos
compatriotes respecté entre tous, expédié par lui sans l'ombre d'une raison
dans les geôles allemandes où le malheureux succomba aux privations et
aux sévices. Un bourreau, de mentalité
foncièrement teutonne, toi fut pour
nous le docteur Ricklin ».
Pour répondre A ce désir, M. Herriot
vient d'adresser aux instituteurs et institutrices qui donnent l'enseignement
agricole, aux directeurs et directrices
dea conra postscolaires agricolea créés
par la loi du 2 août 1918» enfin aux directeurs départementaux des services
agricoles, deux questionnâmes concernant, l'un l'enseignement agricole donné aux garçons, l'autre l'enseignement
nfénager agricole dispensé aux jeunes
fi'iles. Chacun d'eux comporte deux partiea : la première relative aux établissementa d'enseignemeût primaire des régions rurales ; la seconde, A l'enseignement postscolaire.
Noua y liaona dea questions sur la
formation donnée dans lea écoles normales aux future maîtres, les observations que suggère cette préparation et
lés modifications à apporter dans le
programme du brevet supérieur ; puis
<ur la fréquentation scolaire et la néesssité d'adapter les horaires des écoles
rurales aux travaux des champs, sur les
méthodes de l'enseignement raral, sur
le programme de l'examen du certificat
d'études primaires, etc.
On sollicite d'autre part dea renseignements snr les cours complémentaires
à orientation agricole et sur les sections
Agricoles dea écoles primaires supérieures« sur l'enseignement postscolaire
donné par les inatituteura pourvue du
brevet agricole, aur lea conférencea sgricolea de vulgarisation, e t c . .
Enfin, les institutrices rurales sont
Notre compatriote, M0 Feillet, a défeninvitées à préoisar, particulièrement en du à Colmar un joli coco.
ce qui concerne l'enseignement postscolaire, quelles notions agricoles peuVent ou doivent s'Ajouter à l'enseigne* BOfl Ç f l j T , BON R * î
ment ménager proprement dit» dans lequel il faut naturellement comprendre
Sauf en cas de force majeure, le laïc
les notions asses complètes d'hygiène d'action ne donne à gagner qu'au la*ct
et de puériculture.
Les interventions do Saint-Siège
dans la politîqne française
Lee déiuocm(eM populaire«
agent» du cardinal Gauparrl
De M. Gillouin, dans l'Europe Nou•
velle :
Il est permis de penser que de la part
du pnpe, le ralliement à la République
française est un acte de pur opportunisme. Pie XI, en tffet, est personnellement monarchiste : « Quand on aime et
estime la constitution monarchique de
l'Eglise,
déclarait-il récemment en
propres termes à un éminent religieux
français, on est légitimement incliné à
désirer aussi une constitution
monarchique dans l'Etat », et, ajoutait-il en
souriant, « loin de blâmer ¿'Action
Française à cause de son monarchisme,
nous pourrions lui dire que nout serions plus royaliste quelle ».
Il est donc fort probable que si le
Pape était seul à diriger la politique
romaine, il aurait tenu la balance égale
entre les divers partia politiques français qui comptent des catholiques dans
leurs rangs.
Mais il a à ses côtés, pour principal
collaborateur, son secrétaire d'état, Mgr
Gasparri, bien connu pour ses sentiments ou plus exactement pour sa
passion démocratique, et qui, partout
où les catholiques s'y sont prêtés (sauf
en Allemagne, mais ceci est une autro
histoir*), les a toujours orientés vers les
partis de démocratie, et même, disons le
tout ne', do démagogie.
C'est sous son inspiration et avcc son
appui que s'était créé le parti populaire
italien qui, avec Dom Siurzo, se porta
aux excès que l'on n'a. pas oubliés ; c'est
lui qui lut l'instigateur de l'alliance
catholique-socialiste qui conduisit naguère les finances bslgos au bord de
l'abîme.
C'est à son itfluence qu'il faut attribuer, à notre avis, l'évidente et très
fâcheuse collusion, aux élections der.
nièrep, d'uno notable fraction du clergé
français avec les partis d'extrême gau.
ch«>, collusion qui s'est étendue, en Alsace et peut être ailleurs, jusqu'aux
communistes inclusivement.
De cette collusion, le bénéficiaire a
été le parti qui s'intitule, assez comiquement, démocrate populaire (quel
dommage que nous no connaissions pas
assez le celtique pour y trouver un troisième synonyme à ajouter au grec et au
latin,!) et qui, du message évangélique,
retient surtout ce qu'il comporte de fermenta de révolution.
Ce parti, en qui revivent, avec une
virulence accrue, les doctrines du Sillon
naguère condamnées par Pie X (ô unité,
ô immutabilité catholiques 1) a à l'heure
actuelle toutes les sympathies et toutes
les faveurs de Rome.
C'est ainsi que l'abbé Trochu, directour do 1 Ouest-Eclair, ayant été récemment convoqué par ton ordinaire, le
cardinal Charoat, pour recevoir do lui
des représentations tort sévères au sujet
de aes campagnes do désunion catholique et d'excitation démagogique, lui
montra pour touto réponse une lettre de
la aecrétairerie d'Etat de Rome approuvant entièrement aoa attitude, en suite
de quoi le cardinal, humilié, désolé,
découragé, ne put quo ae retirer dana
une abstention pleino d ' a m j r t u m i .
Election sénatorale
Calvndo»
Dimanche a eu lieu à Caen une élection sénatoriale pour pourvoir au remplacement de M. le comte de SaintQuentin (Union nationale), décédé.
Au premier tour de scrutin, M. Doivin-Champeau, avocat A la Cour de
cassation (Union nationale), a été élu
par 757 voix contre 164 A M. le docteur
Lesigne, maire de Lizieux (U. R.), 124
À M. Rauline, agriculteur (U. N.) ( et 72
à M. Porte, socialiste.
La date des Elections cantonales
La dato dea élections pour le renouvellement des conseils généraux et
d'arrondissement eut fixée aux 14 et 21
octobre prochain.
La session dea conaeils généraux aura
lieu après le troisième dimanche d'oc*
tobre.
D ' I N F O R M A T I O N
¿ M o m t
Téléphone 86
Chèque Postal n° 142.10, Nantes
Los Bureaux sont ouverts de Huit heures à Midi, le matin, et de Deux heures A Cinq heures, le soir
Adresser toutes communications concernant la Rédaction, l'Administration et l'Imprimerie
Une Enquête snr l'Enseignement Agricole
t >nt «a
M A R I T I M E ,
Bureaux et Imprimerie, 2!
L'ECOLE ET L * rORfllftTIOH RURALE
L'Académie d'éducation et d'entr'aide sociales a entendu une «oi&munication de Mme la comtesse de Kéranfitich-Kernezne, membre correspondant,
sur : « La femme rurale à travors l'Europe. »
Pour l'avenir de l'agriculture, la femme
rurale, qui constitue environ 48 pour
cent de la population féminine totale,
doit demeurer fidèle à la terr», de corps
•t de cœur. La crise actuelle est donc
dee pio* graves. Ponr y remédier, il
faut : que la famille, l'école et les oeuvre* rivalisent pour orienter la terrienne
vera la vie de* champs ; que l'industrie
s'efforce d'alléger sa besogne ; que des
organisations appropriées mettent à sa
disposition l'enseignement et la formation professionnelle dont elle a besoin.
En même temps qu'ils applaudiront à
ces conclusions, tous ceux qui s'intéressent au grave problème de la dépopulation des campagnes par suite de
l'exode de* ruraux vers les villes apprendront avee plaisir qu'en France le gouvernement s'attache actuellement à
combattre cette désastreuse désertion
de la terre natale par la formation ruraie que l'école est désormais chargée
de donner aux enfants-des champs.
Le ft février 1928, le ministre de l'instruction publique «t le ministre de
l'agriculture ent pria un arrôté instituant une commission mixte chargée de
rechercher et de proposer les mesures
propres à améliorer l'enseignement
agricole dans les écoles primaires élémentaires, les cours complémentaires,
les écolea primaires aupérieurea, lea
écoles normales et dans les coûta d'enseignement postscolaire agricole.
Cette commission, qui comprend une
trentaine de membres, dont une demidouzaine d'inatituteura ruraux, a'eat réunie le 22 mara au miniatére de l'instruction publique. Elle a pris tout de
suite conscience de son rôle important,
qui est de rechercher et d'élaborer le»
mesure» propre* à favoriser, par l'école,
l« développement de Vagriculture et à
combattre, de cette manière, le funeste
exode rural.
Paia elle a décidé d'inatituer, avant
tente discussion, une enquête aussi
large que possible sur l'état et les conditions de l'enseignement sgiicole et ménager dans nos campagnes.
A G R I C O L E ,
Républicaine
Miettes
de 1«
S e m a i n e
— Lo contre-torpillour Verdun, conatruit pour la marine de guerre française,
a été lane*, la semaine dernière, à
Siint-Nazair», avec plein succès.
Cette unité appartient au programme
de 1926, qui comprend le Valmy, le
Vav'jan, le Lion, le Guépard et lo Bison, C'eat le plus puiasant conire-torpilleur conatruit jusqu'à ce jour.
— Deux aviateurs italiens, le capitaine Ferrarin et le msjor Del Prete,
viennent de réussir le raid Italie-Brésil
sans escale.
Ils ont couvert dana les 7.000 km,,
battant de près de 1.000 km. l'ancien
record de distance en ligne droite détenu par l'Américain Chamberlain.
— Le grand banquier bolge, M»
Lœwanstein, qui se rendait de Londres
à Bruxelles, par la voie dea airs, eat
tombé de son avion dana la Manche,
par suite de circonstancea qu'on n'est
paa encore parvenu à s'expliquer.
Son corps n'a pu ôtre retrouvé.
— La Chambre hellénique a été dissoute. La réunion de la nouvelle assemblée est fixée au 17 septembre.
— M, Poincaré a inauguré, dimanche,
la statue élevée au maréchal Foch, sur
la colline de Cassel, dans lo département du nord.
— La Chambre et le Sénat ont adopté
lundi le projet de M. Loucheur, relatif à
un programme do construction d'habitations à bon marché.
La session a pris fin sur co vota. Le
décret do clôture a été lu à la Chambre
par M. Poincaré et au Sénat par M.
Barthon.
Le plus <rend ponf du Monde
Aacoaces judiciaires et diverges (l* page) . . . . . .
la Ugaa
1t.
—
r é c l a m e s (3° page)
1 f.75
Prix à forfait pour le» Annonce» répétée» et traité» de publicité
Annonce» payable»
d'avance.
Les Annonces doivent ôtre adressées, au plus tard, le Mardi soir.
La BéaiioQ du Comité de Secours
et le Culot de M. Jadé
Au lieu d'assister à la réunion du
Comité de Secours qui a eu lieu le 30
juin à Q uimpor, M. Jadé a préféré s'abste •
nir pour allor plaider à Rennes.
Ajoutons qu'e.ucun de ses partisans,
après avoir reçu le mot d'ordre, n'a
assisté à la réunion.
M. Quéinnoc, député, membre de
droit du Comité, au lieu de prendre
»»lace dans l'encîinte résrrvée aux membres du Comité, est allé piteusement
s'asseoir dans les rangs du public, ce
qui s'appelle se tirer les flûtes.
Ce n'était pas la peine assurément de
faire une csmpagno de six semaines
dana 1 Ouest-Eclair
et de promettre
aux électeurs le partage des 622.000 fr.
pour fuir à l'heure annoncée le débat
appelé à régler le sort et la destination
de l'argont en caisse.
Battage électoral pur que l'attitude
de M. Jadé et de son protecteur, l'abbé
Trochu !
En somme, le Comité qui reçoit l'approbation du Progrès du Finistère, de
Goyen et do M. du Frét8y, maintient en
caifiae le capital du reliquat de la aouacription de 1903, ainsi que l'avait décidé
sagement le comité, sous la présidence
de M. de Ksrjigu.
On comprend que M. Jadé ait pris le
train pour éviter un débat qui aurait
tourné à sa confusion.
A quoi bon maintenant essayer de
donner le change à l'opinion et prétexter qu'il n'a pas assisté à la réunion
parce qu'il a été convoqué à Charville
près de Paris ?
C'est !à qu'on a l'habitude de le convoquor quand le Parlement est en session et l'enveloppe, qui doit porter le
cachet du bureau de Quimpor, doit enregistrer la dato de sa remise à M. Jadé.
La convocation et la mise à la poste
sont du 23 juin et une lettre ne met paa
8 joura pour parvenir à un d é p u t é .
M. Jadé est parti pour Renne» le 29
au soir et il a télégraphié de Rennes le
30. C'eat donc qu'avant de partir do
Quimper il avait reçu sa convocation.
Pauvres électeura, Y Ouest-Eclair et
M, Jadé se moquent de voua.
Ce sera de beaucoup celui qui est actuellement en construction aur l Hudaon,
à Ntw York. Il s'agit, en effaf, d'un
pont auapendu sans aucune pile en
rivière et dont la portée sera voisine de
1.070 métrer, laissant libre toute la
largeur du (13uve (950 mètres environ).
La dépense prévue pour la conatruction
de cet ouvrage oat de 75 millions de
A la suite de polémiques entre les
dollar?, ce qui ne fait pas loin de
2 milliards de francs ; elle doit ôtre journaux cléricaux l'Ouest Eclair et le
amortie au moyen de péages qu'auront Nouoilliste de Bretagne, M. Delahaye,
directeur du Nouvelliste a annoncé,
à payer les usagers de ce pont.
il y a quolques joura, à ses lecteurs, sa
démission ot la mesure prise contre lui
après 23 ans de service.
M; Dalahaye a eu lo tort de ne pas
embrasser aveuglémsnt la politique du
P. D. On lui a fait voir ce qu'il en coû
Le gendarme est mis à toutes les sau tait de combattre un groupemint posséces, si l'on prut dire, mais il ne semble dant un nombre si considérable de
pas que l'administration
l'aide beau- représentants au Parlem»nt... (une vingcoup dans ses efforts. Le Matin le cons- taine ! )
tate avec regret.
Mais on annonce que ça ne va pas
Il y a quelque temps, un brigadier tout seul à la « Pressa Régionale de
ramassa sur la route une vieillo femme l'Ouest », propriétaire du Nouvelliste.
qui avait le c; Aie fandu. Il dut, en bà'e, Quantité de bonnes dames actionnaires
la tranaporter à la ville. Chaque gen- songeraient à demander le remboursedarme porte dans aa poche un panso- ment de leur capital, co qui, en somme,
ment individuel. Il s'en servit de son est aosez logique.
mieux pour la blesaéo.
Il y a assez d'un Ouest-Eclair. Çà ne
A l'hôpital, le médecin félicita le gen- vaut vraiment pa8 la peine d'en soutedarme. Le pansement avait été tourné nir un deuxième. Or, le Nouvelliste no
pour le mioux. Mais l'eccident était sera plus qu'une sous-édition de l'Ouestgrave, la vieille femme mourut.
Eclair,
Le gendaime demanda alors le remLe bruit court également qu'une
placement do aa petite bande do panse- échauffouréo aurait eu lieu au Nouvelment. Son ch^f reata ahuri quand il liste, où dea partisans de M. Delahaye
reçut des bureaux un ordre que je ré- seraient alléa manifester leur dégoût.
sume : « On vous remplacera votre panLa raison du plus fort est toujours la
sement, mais seulement après que vous meilleure.
aurez écrit à la victime pour lui réclamer cinquante centimes, prix de la
bande employée pour la secourir ! »
Cette petite affaire exigeant des correspondances, des rapports, deB protesLes Bleus de Bretagne se sont réunis
tations.,. tous les gendarmes en furent
le
29 Juin dernier, au restaurant Mira*
pris d'un fou rire car, vous le savez,
beau,
42, rue de la Chaussée d'Antin à
quand un gendarme rit...
Rions-en avec eux, pour n'avoir pas Paris, pour souhaiter la bienvenue aux
élus républicains laïques dea Côtes-duenvio d'en pleurer.
Nord ot de toute la Bretagne. L'assis» n i j t i m n a i mm i w i w ' w » ! • • . • « i i i . i i i r K a ^ l « n r < » m i w i tm m !• «
tance particulièrement nombreuse a
N o u s r a p p e l o n s à a o s L e c t e u r s fort goû'.é lea allocutions successives de
M. le doctour Even, député do Lannian,
q u e Y Imprimerie du
président des Bleus, de M. Lorgoré,
député do Guingamp, de M. Michel
Geiatdoerfer, député de Dinan, de M.
exécute t o i u le* t r a v a u x typo- Armand Guillon, vice-président des
g r a p h i q u e » en a o i r et c o u l e u r s Bleua, directeur du personnel au Minis<
L'Affaire Trochu-Delahaye
Glanes et Perles
Les Bleus de Bretagne
journal l e C i t o y e n
t
 la gioire
du Ghevalier de la Barre
D» nombreux militants laïques se
sont retrouvés dernièrement au pied
du superbe monument, dû au grand
statuaire Armand Bloch, unis dans
une commune pensée de réprobation
pour le crimo infâme commis par
l'Eglise romnine le 1 e r juillet 1766
aur la personne d'un adolescent de
dix huit ans, torturé, décapité et brûlé
comme impie, blasphémateur et sacrilège exécrable et abominable l
Ce jeune homme, presque un enfanf,
avait osé garder son chapeau sur la tôte
au passage d'une procession. Il avait
même dit à l'un de se8 amis : « Pourquoi se découvrir ? On n'eat pas obligé
de connaître le Bon Dieu. » Cette attitude et ce propos, colportés de bouche
en bouche au moment où un vieux crucifix de bois pourri situé sur le pont
neuf d'Abboville était tailladé, soidisant, de coups de couteau par des
payants quelconques, avaient suffi pour
provoquer uno explosion formidable de
la part dos dévôts d'Abbeville contre le
j^une La Barre et ses camarades — à
peine âgés de 16 ans ! — Estallarde et
Moianel.
Quoique neveu de I'abbs8s9 de Wellancourt et apparenté aux d'Ormesson,
le jqune La Barre avait eu la bonne fortune, bien rare alors, d'échapper autant
par tempérament que par l'ambiance
libérale dans laquelle il avait été élevé,
A l'influence immorale de la religion.
Intelligence vive, caractère franc et loyal,
que l'hypocrisie chrétienne et ses stupides superstitions mettaient hora de lui,
il ne savait contenir son mépris de
toutes les sottises sous lesquelles tous
les ordrss, du bas peuple au plus puissant seigneur, courbaient humblement
la tôte. Ca fut sa perte, bien qu'il n'y
eut contre lui aucune preuve que le fait
de la procession, que, très courageusement, il préférait endurer les pires
tortures que de se reconnaître coupable
do choses qu'il n'avait point faites. La
Barre fut condsmné et exécuté. Le
supplice, dont il subit les apprêts avec
une fsrmolé extraordinaire qui ne sedémentit pas jusqu'au coup de hache
du bourreau, suffirait seul à l'immortaliser.
Naturellement, avec le recul de la
postérité, et surtout après le plaidoyer
vengeur de Voltaire, le crime est apparu
au monde si horrible que l'Eglise, aussi
sournoise qu'habile, a cherché, comme
pour Jeanne d'Arc, à en esquiver la
responsabilité.
Elle a fait écrire par des Loriquet A sa
solde quo La Barre n'avait pas été la
victim3 des prêtres. Elle prétend que le
Parlement de Parie, qui repouaaa l'appel de La Barra, composé en grande
partie de Janaéniates, do philosophes,
avait agi ainai pour sa faire pardonner
aa politique anti catholique, et un -disciple d'Ê:c3bar a eu l'audace de dire
« que le meurtro de La Barre fut une
manoeuvre dirigée contre l'Eglise ».
Seulement, co jésuite oublié dira qu'avant l'exécution de La Barre, on 1765,
l'assemblée du clergé avait dénoncé au
roi l'audace de la philosophie, protesté
contre l'expulsion des Jésuites et demandé de plus fortes sanctions que
celles employées contre le sacrilège. Et
ce môme ro<, de par sou serment du
sacre, jurant de défendre son royaume
contre l'hérésie et l'impiété par les
moyana lea plus rigoureux, ne devaiMl
pas, esclave de son serment et plus encore des prêtres, tenir la parole donnée
à l'Eglise ?
Ces mômes sinistres farceurs ont
imaginé et propagé la légende do
l'évôque d'Amiens implorant la grâce
de La Barre ! Mensonge odieux, tartuferie ignoble ! Car l'évêque ne craignit
pas d'écrire en parlant de La Barre e t .
de ses jeunes amis : u Us se sont rendue
par là dignes des éternels supplice» en
t'ijîiriiiiiiiiiBàMMMMMÉWaBMBBBBMM
tère de l'Intérieur. M. le docteur Even,
M. Philippe, vice-président des Bleus,
Mme Sjzy Noël, du thédtre do l'CEuvre,
ont, par leurs chants bretons ou réoits,
tenu aous le charma le« Bleus réunis,
qui ae séparent en so promattant d'intousiflar la propagande laïque en Bretagne et, pour commencer, en 8e donnant
rendez vou8 au Congrès des Bleus, fixé
A Quimper le 5 Août prochain.
Distributions de prix. — La diitribotion solennelle de» prix do Lycée des
forçons aura lien demain vendredi 13 juillet, à 9 heures, an théâtre municipal, nous
la présidence de M . Prévôt, inspecteur
d'académie.
Poar le Lycée des jeunes filles cette
cérémonie aura lieu l'après-midi, sous la
présidence de M. Le Htrs, sénatear-maire.
S s o t l o n de D é f e n s e laïque. — L'assemblée générale de la section cantonale
de défense IsTquo s'est tenue la semtiuo
derqiére.
Au cours de la réunion il a été procédé
an renouvellement du bureau, qui est ainsi
composé :
Président : M. Dsmslix, à Locmaria.
Secrétaire : M. SaUiin, rue Anslolc-Le
Braz.
Trésorier : M. Le Bihan, école normale
des garçons.
Lea personnes désireuses de faire partie
de la section de défense laïque peuvent
s'adresser à l'un des membres du bureau.
La nouvelle P o s t e . — Les travaux des
bâtiments de la nouvelle poste, du bonle
vard de K^rguélen ayant été acceptés par
l'administration, on pense que les services
de la poste et du télégraphe pourront fonctionner dés la semaine prochaine.
Le service du téléphone ne fonctionnera
qu'un peu plus tard.
La Reine de l'Odet. - C'est la gracieuse Mlle Marguerite Douguet qui représentera Quimper cette année dans le
cortège des reines. Elle aura comme de
moiselles d'honneur Mlles Jeanne Bougain
et Marie Roselenr.
Arrosage. — Le sénateur-maire rappelle
aux habitante qu'ils doivent, pendsnt les
périodes de chaleur, arroser devant leurs
habitations deux foia par jonr, le matin k
8 h. 30 et le soir à 16 heures.
R é g a t e s de bateaux-modàles. — La
réunion du 15 juillet courant doit connaître
un succès considérable ; les plus fins cons
tructeurs s'y donneront rendez-vous et
feront jouter leurs meilleures unités.
Les modèles seront exposés dans la matinée. en une des salles de la « Station du
Cap-Horn », gracieusement mise à la disposition du Comité des régatea par les sympathiques propriétaires de cet établissement.
Avant dono que d'assister à leurs savantes
évolutions sur l'onde, nons pourrons voir
de près les plus belles unités de cette flottille miniature, admirer l'élégauce de la
coque, le fini du gréemenl, merveilleux travail d'artistes patients ne disposant, souvent, que d'an outillage rudimentaire.
' Concours de t i r à la carabine. — Le
concours de tir à la carabine organisé par
u lu J.-une Cornouail'e » pour ses sdhéronts
a eu lies dimanche matin 8 juillet à
l'école de la rue du Lycée.
La diatribntion des prix a été faite k onze
heures par M. Kérczoré, président ds la
société.
Le comité est heureux d'adressor se«
plus sincères remerciements à tous ceux
qui par leurs dons ou leur présence au
corcours ont contribué au succès de cette
journée.
Falmarès. — 1" groupe: tireurs âgés de
14 ans. 1. Jaan Donnard ; 2. J»an Harpe;
3. Jean Barré; t . Pierre Hèlias ; 5. Marcel
Kéraval ; 6. Yves Le Gars ; 7. André Le Dé ;
8. Jean Qaéau ; 9. Robert Bernard ; 10. Jean
Lévénez ; 11. Raymond Fer.
2' groupe : tireurs Agés de 12 ans.
1. Louis Le Goft ; 2. Hervé Le Berre ;
3. Hervé Kerrével; 4. Guillaume Poqaet;
5. Corentin Casuguel; 6. Pierre Le Lay;
7. Guillaume Dàniel; 8. Etienne Saouter ;
9. Albert Kéraval ; 10. Jean Ascoët ; 11.
Ernest Le Moigne.
3* groupe : tireurs Agés de moins de 12
ans. 1. Jean Goillermou; 2. Henri Kervarec; 3. André Gasnier; 4. Jean Guillemot;
5. Jean Pédel ; C. Marcel Gasnier ; 7.
Georges Gasnier ; 8. Michel Cotten.
Transports maritimes de Cornouallle
Horaire de la semaine :
DSpart de
Départ de
Quimper
Bànodet
Samedi 14
13 h. 30
16 h.
Dimanche 15....
13
30
16
30
Lundi 16
13
30
16
Mardi 17
14
15
16
45
Jeudi 19
9
30
15
Mercredil8. excursion à Loctuiy : départ
de Qairnper è 9 heures ; départ de Loctudy à 14 h. 30.
Jeudi 19, excuraionde Quimper à Concarneau, par Bénodet, Loctady et vice-verss :
départ de Qaimper à 8 haures ; départ de
Concarneau à 15 h. 30.
Prix des placea : de Qaimper à Bènoiet :
aller, 10 fr. ; aller et retour, 15 fr. ; de Bénodet à Loctady : aller, 5 fr. ; aller et retour, 8 fr.
Excaraion en mer : de oa poar Qaimper :
aller, 20 fr. ; aller et retour, 25 fr. ; de oa
pour Bénodet-Loctudy : aller, 15 fr. ; aller
et retour,20 fr. v
Poar bénéficier d'ace rédaction importante sur ce tarif, lea habitante de Qaimper
et de la région devront ôtre porteurs de la
carte spéciale d'abonnement.
Etat-olvll du 2 7 Juin au 1 0 Juillet
1 9 2 8 . — Naissances.
— Jsanne Lohêac,
rue Jean-Jaurès, 49; Jean Nihouarn, rue
de la Providence, 29 ; Marcelle Grall, rue
Sainte-Thérèse, 7 ; Jacquea Cotten, Qaai
du Stélr, 6 ; Paul Nicot, rue du Lycée, 6 ;
Pierre Coadoo, rae Olivier-Perrin, 1 ;
Alain Corai, rae de la Providence, 20 ;
Claude Thépot, route de Bénodet, 13 ; Jean
Laurent, rae Jean-Jaurès, 59 ; Alain Le
Berre, rae da Chspeaa-Roage, 24 ; Georges
Sérac, rue Saint-Mathieu, 31.
Dicè». — Yves Barel, 24 ans, rae de
Locronan, 9 ; Jian-Marie Lamoar, cultivateur, 28 ans, rue de l'hospice ; Laurent Le
Barre, 71 ans, veuf Tandé, rae des Régnaires, 16 bis; Marie-Jeanne Marzin, religieuse, 84 ans, rue de la Providence, 31 ; Pierre
Gaermenr, journalier, 62 ans, veuf Le Barre,
xne de l'hospice; Marie Hénaff, 61 ans,
veave Jézéqael, rae da Pichéry, 5 ; Georges
Le Noble, 77 ans, époax d'Amphernet, rue
Boarg-les-Boargs, 37; Marie Rilland, 8
ans, veave Gailloa, rae de l'hospice ; Yves
L'Hénaff, cultivateur, 44 ans, rue de
l'hospice ; Pauline Kéralec, 42 ans, veuve
Keivran, rae da Sallé, 11 ; Marie Bronnec,
couturière, 19 ans, rue do Kerfoanteun, 43;
Corenlin Manuel, mai en .ivre, 51 ans, rue
de l'hospice; Jean-Marie Soitù, mar.uuvre,
59 ans, rue de l'hospice ; Jicques Boscond,
cultivateur, 40 ans, rue de l'IIispice; Jean
Simon, 81 ans, veuf Haydon, rue de l'hospice; Jaan Diraison, 83 ans, veuf Gadal,
rue de l'hospice; Jean-Marie Cadiou, cultivateur, 40 ans, rae de l'hospice ; Perrine
Kervran, marchande foraine, 25 ans, épou•e Belloni, rae Froide ; Jeanne Cornic,
ménagère, 69 ans. épouse Gaézonnec, rue
de Keifeunteun, 17.
« Le 20 juin 1915, M. D'Hervez est blessé
une première fois à la jambe. Revenu m
front, il reçoit, le 9 octobre suivani, des
Publications de mariages. — Jean Briant,
éclata d'obus au bras. Le 14 avril 1916,
professeur, dom. à Qaimper, et Marie Bonne nouvelle blessure lui ulcère le pied.
quet, dom. à Camaret; Pierre Lallement,
Enfin, le K mai 1917, il eat pris, piôs do
artiste-peintre, dom. à Nogent-sur-Marne,
Le C u l l v l n e c
Berry au-Bac, abus un bombardement d'obuB
et Marthe Charbonnier, dom. à Qaimper;
Léon Stéph»n, vérificateur des Douanes,
La f ô t e d o s l a n g o u s t i n e s . — Los gran- k gaz asphixiants ; des éclats lui labourent
dom. à Paris (!!)•), et Jeanne Guyon, dom. des fûtes des Isngoastines so sont déroulées, affreusement la face, lui fracturent la mâà Qaimpor ; Raymond Dopaquit, sergent cette aunée, favorisées p.ir un temps splen- choire, l'atteignent dan» la région du cou
et de l'épaule. Il reste évanoui plusieurs
au 118« R. I. A Quimper, et Lonise Le dide et devant une foule considérable.
Poche», dom. à Qaimper; Jean Baraôr,
La fèto commet ç» & 10 h. 10 par un difiló heures, perdant beaucoup do sang.
« Après six mois d'hôpital, il retourne au
peintre en bâtiments, et Isabelle Derout, à travers la ville.
cuisinière, dom à Q limper; Isidore CanéLa Reins des langoustines ot sos demoi- front, maie doit être évacué au bout de
vet, menuisier, dom. k Penhara, et Perrine selles d'honneur, dsns lour auto gracieuse- deux jours, pour maladie de l'œil. HospitaLo Roy, employée de commerce, dom. à ment fleurie, promonèront lenr sourire dans lisé encoro, il est enfin vorsé dans le serQuimper ; Gabriel Tanguy, voyageur de los p r i n c i p e s ruos de la ville ; la foule vice auxiliaire,
commerce, et Geneviève Caradec, modiste, ne leur ménagea point Nés acclamations.
« Quatre fois bletaé, M. D'IUrvez est quadom. à Qaimper; Hervé Guillermou, emL'Amicale scolaire de Pont-l'Abbé obtint tre fois retourné m feu. Il était titulaire de
ployé de commerce, dom. à Paria (5«), et un grand succès. L'excellente musique do la méiailla militaire.
Marguerite Fosset, employée do commerce, Guilvinec donna de nombreux concerts,
« M. D'Hervez portait, bien visibles, les
dom. à Qaimper; Louis Riou, instituteur, très goù'és du public.
traces de sos nombreuses blessures ; mais
dcm. à Penhars, et Virginie Le Guellec,
A midi fut servi un lucculent repas, au co que l'on ne voyait p u et ce qu'il ne
institntrioe, dom. à Qaimper; Yves Le restaurant Bouin, à la Usine, à ees demoi- ressentait s&nn doute pas d'abord, c'est le
Grill, électricien, dom. à Quimper, et Marie selles d'honnour, aux dirigeants de l'Ami- mal. qui lo conduit atjonrdhui dans celte
Cornic, couturière, dom. à Eigaé-Armel; cale, aux musicieus, et aux membres du t : m b e ; ce sont les maudita gaz qui, uno
François Branquot, chauffeur, dom. à Saint- Comité.
fois respirés, font tôt ou tard leur œavre.
Danis, et Lucie Rsphalen, dom. à Qaimper;
«Réformé de guarre k 45 •/., M. D'Horvez
A 14 honres fut donné le départ de la proGeorges Fourrier, dit Geo-Foarrier, artiste m u e course de bateaux. Vers 15 heures, allait obtenir la pension do 100 % du tripeintre, dom. à Paris (17«), et Charlotte plus de cinquante bateaux i voile et à bunal de Quimper ; mais il a'îst éteint
ChanITard, surveillante générale d'internat, moteur prenant part aux différentes éprou- sans avoir eu la consolation de voir son
dom. à Quimper ; René Lo Gad, pl&tiior, ves sillonnaient on tous sens la rade.
mal imputé à la guerre.
dom. à Quimper, et Marie Kervel, coutu(( Incapable désormais de so battre, M.
Le canot de sauvetage bi-motour « Amiral
rière, dom. à Penhars.
Charles Dupoi ié » fat mis à l'eau et pendant D'Hervez est démobilisé on 1918 ot reprend
les régates il exécuta divers exercices de sa pla-e dans l'enseignement. II est d'abord
sauvetïga sous l'habile direction du patron ôéiaché à Qaimper, puis nommé à Tréboul.
Couriès 82oondó par d'excollents méca- Désirant for.der une famille, il est heureux
R E M E B C I E A I E N T S
de trouver la digne compagne dont il croit
niciens.
Le soir, k 9 heures, ont lieu, à la sallo de pouvoir faire le bonheur.
Les Familles KERVRAN, KÉRALEC, l'Union, un bal tiès réussi, qui procara,
« C'est ici, qu'en 1921, je l'ai connu, se
MOELLON et LE BORGNE remercient sans doute, au comité une bonne recetto.
donnant k ses élèves en toute conscience,
bien sincèrement les personnes qai ont
Lo lundi 18 juin, les courses do bicyclettes, ae dépensant plus que s* santé n i lo lui peratsiité aux obeèqaes de
les nombreuses attractions enront beaucoup mettait, causant peu, no parlant jamais de
de spo tatours, qui no cachaient pas leur ses souffrances.
Mme Vve Corentin KERVRAN,
« En 1922, sur sa demande, l'administracontentement
pour le programma des fôtes
née Pauline
KÉRALEC
tion le nomma k la direction de l'école de
et leur bonne organisation.
ainsi que celles qui leur ont témoigné leurs
Le comité remercie- chaloureusemont les hameau de Lothau, en lt.ee. Là, il enseigna
sympathies en cotte douloureuse circons- principales m i s o n s qui, par leurs dons, environ derx ans et dut se mettre on congé.
tance.
ApièB des ulternatives d'améliorations et
ont contribué au succès des fôtes.
d'aggravations, et malgré les soins dévouis
do aa chère compagne, M. D'Hervez B'e»t
Pen march
éteint, il y a huit jours, >u sanatorium de
Docteur
H.
CAR4DEC
A K ó r l l y - S a l n t - P i e r r e . Le régime Sainte-Feyre, à l'âge de 35 ans.
nez, gorge, oreille»
8eo. — On nous écrit :
« Ii laisse inconsolable uno épousa tenabsent jusqu'au 17 juillet.
Plus d'un marin regrette aujourd'hui d'a- drement aiméo, uno mignonne petite fille
voir voté pour M. Quéinnoc.
et un pauvre viecx père éploré.
M. Quóinnec, un moment, a été dieu à
« Vous voudrez bien, tout particulièreS»int-Pierre Kòiity, comme Fianchec à ment, m'écrit M. l'Inspecteur primaire, asP ô l e s n a t i o n a l e e t p a t r o n a l e . — Voici Douamcncz. Kérity jusqu'à présent avait surer les familles D'Hervez et Riou do ma
le programme des fêtes qui se dérouleront toujours bien marché.
vivo compassion et de ma sympalhie. »
E' puis, Kéiity a trahi pour emboiter le
les 11 et 15 juillet :
« Nous aussi, nons prions Mme D'Horvez
Samedi 14 juillet, à 21 heures, retraite pis à Saint-Pierre ot à Ssint-Guénolé.
et toute sa famille do recevoir en ce moOn avait cru qu'apiès l'élection Quóin- mont si pénible l'assurance de la part que
aux flimbeanx.
D.manche 15 juillet, à 9 heures, jeu du nec, Ita bélugas allaient ètro anéantis ot nous prenons à sa grande peine, et nous
la fumeuse d'gui construite comma par nous inclinons, profondément ému, devant
baquet.
enchantemen'.
A 9 h. 30, concours de fameuis.
le cercaeil de notre jeune et regretté colEt puis Jadó et Quéinnec associés comme lègue ».
A 10 heures, course surprise.
A 10 h. 30, course d'enfants (au-dessous larrons en foire ont obtenu quelques lances
Eu cette douloureuse circonstance, le
de cavaleiio pour combattre les bélugas. Citoyen adresse aux familles d'Hervez et
de 15 ans).
Qaant à la fameuse digue, elio s'entôte k no Riou ses bien sincères condoléances.
A 11 heures, m&l de cocagne.
A 13 h. 30, eonrae de bicyclettes (régio- pa» sortit de l'eau.
E- puis, les mnrins croyaient que los kilos
nale. 50 kilomètre»). Tontes catégories
Primelin
de vin «liaient so succéder chaque matin
(U. V. F.).
A c c i d e n t d ' a u t o m o b i l e . — Dimanche
comme pendant le mois qui précéda les
A 13 h. 35, course à pied (régionale).
dernier, M. Pierre Couillandre, retraité de
A 14 heures, course de chiens (tenus en électioû8.
Pen 'ani les chaleurs qui ont fait le déses- la marine, actuelloment commerçant à
laisse).
poir
des gosiers altérés comme s'ils avaient Saint-Yves, en Plogoff, se rendait avec sa
A 15 heures, premier passage de la course
mâché de la laino, on attendait la venue de camionnette k la fèto eucharistique de Pontde bicyclettos.
Croix. Il emmenait s* femme, sa fille, âgée
A 15 h. 15, course d'hommes (au-dessus M. Quéinnec pour arroser.
Comme «œur Anne on ne vit rion venir. de seize a n s ; son petit-fils, âgé de six ans,
de 60 ans).
C'était le régime soc, comme en Amé- et onze personnes qui lui avaient demandé
A 16 heures, arrivée de la course de birique.
Rien pour la gorge, soupirait avec place pour se rendre à cotte cérémonie
cyclettes.
religieuse.
A 17 heures, course de bicyclettes (canto- tristesto un vieux marin qui avait trahi pour
Arrivé à Kerlazen, en Primelin, Couilsuivre
M.
Quéinnec
ot
qui
figura
parmi
nale).
landre pour éviter un accident freina brusles 750 partisans du célibataire léonard.
A 18 heures, distribution des prix.
Da fait les marins n'ont rien gagné en quement et la camionnette se renversa.
Le conducteur a eu une fracture du bras
élisant M. Quéinnec et ceux de Kérity ont
laissé dans l'aventure lenr honneur répu- droit avec plaies contuses à l'œil droit. Sa
M a r i a g e . — Le mardi 26 juin 1928 a blicain.
femme fut blessée également à la face. Sa
été célébré, à Langolrn, le mariage de
fille a une entorse au poignet gauche et
P
o
u
t
r
n
e
n
e
t
Mlle Marie Le Berre, fille de Mme et M.
probablement fracture qu'il est impossible
Charles Le Barre, conseiller municipal à
Georges Lo Bail oontre Jadé. — Le de constater à l'heure actuelle.
Landudal, avjc M. Pierre Philippe, fils de lundi 9 juillet est venu devant M. le Juge
Son petit fils a plusieurs plaies profondes
M. et Mme Philippe, de Kornanavet en de Paix de Douarnenez lo procès en dom- au cou, occasionnées par les débris du voLtngolen.
mages-intérêts intenté par M. Georges Lo lant. Les autres personnes n'ont que des
Rarement on vit dans notre contrée un Bail à M. Jadé, à l'occasion de propos blessures légères.
si joli cortège d'autos faire escorte i deux diffamatoires tenus par ce dernier le 29
Ua docteur belge, revenant do la Pointejounes mariés. Après le repas da soir, mars dernier, salle Biger, à Trébonl.
du-Rsz, arriva quelques "instants après sur
excellemment servi chez M. et Mme Le
M. Le Bail s'eat borné d'abord à exposer, les lionx do l'accident et donna les preMao, au Croissant Langolen, la jeunesse, en deux mots, l'objet de sa demande et à miers soins aux blessés, qui furent conduits
fort nombreuse, se rendit au bal où elle demander à établir la preuve des faits à leur domicile par un autro touriste, mets'en donna à c a n r joie.
articulés,
tant giacieusement son auto k leur disCe mariage unit deux honorables familles
M. Jadé a recommcncó un dis.'ours do position.
du pays auxquelles nous adressons tous nos réunion publique, il a continué ees insinuacompliments.
tions, se refusant à préciser les propos
tenus par loi. Bref, il a cràné pondant une
heure. M. Le Bail, dans sa réplique qui a duré
S u c c è s . — Nous apprenons que M. Jean
A Bréhoulou. — On nous annonce la
uno heure, lui a administré la correction Lio>, fils de M. Liot, adjoint maire do Q aimconstitution d'une société sportive et musiméritée. Cetto lutto a duré 2 heures.
porli, vient de passer avoc succèi le certificale, ayaat son siège à l'école d'agriculture
Finalement,
M.
lo
J
j
g
a
de
Paix
a
ordoncat supérieur de zoologie appliquée. Nos
de Bréhoulou.
né une enquête qui aura lieu le lundi 23 sincères félicitationa.
Les jeunes gens désireux de faire partie
juillet, à 14 heures.
do cette société peuvent se faire inscrire
Scacr
La P é t o N a t l o n a l o . — Comme chaque
chfz M. Sait u 3, économe k l'école d'agriculture do Bréhoulou, ou chez M. Bernôi, année, depuis l'avènement do 1« municiCortifloat d ' Etudes primaires. —
palité Le Fianchec, 1« fòle nationale du 14 L'examen du certificat d'études primaires
t a bourg de Foucsnant,
C. E, P. — Voici le beau succès obtenu juillet sera oubliée chez nous. Toutefois, le a eu lieu à SjaGr le 25 juin.
E t voi^i les résultais :
par les écoles laïques à l'extmen du certi- comité républicain, voulant parpétuer los
bonnes ot vieilles traditions, a pris la déciEcole publique de filles (bourg).
—
ficat d'études :
Ecole publique des garçons (bourg). — sion d'organiser un banquet au restaurant Mario Guillou (mention bien), Louiso LaPrésentés, 9 ; reçus, 7 : Corré, Pierre Claquin. De nombreux convives s'y donne-' gadoc (men'.ion hier.) ; Marie Petitbois
Falc'her, Le Guillou (mention bien), Le ront rendez-vous; ils y entendront parler (mention bien), Mario Piriou, Msria Quéde notre histoire et dos bienfaits do la méner, Francine llivier, Léontine Trévarin
Roux, Le Viol, Merrien, Guégaen.
et Marie Tiévarin.
E :ole publique des garçons (Le Qainquis). République.
Le prix du déjeuner, qui aura lieu samedi,
Ecole publique de garçons [bourg). —
— Présenté, 1 ; reçu, 1 : Cariou.
K^olo publique des filles (bourg). — Pré- à 13 heures, est fixé à 15 francs. Les adhé- Ilir.é Beilrguic, Corentin Berthelot (mensentées. 7 ; Reçues, 7 : Yvonne Caradec sions seiont reçaes jasqu'au vendredi 13 tion bien), Charles Bourriquen, Joseph
(mention très bien), Marie-Thérèse Légal juillet, par Mme Claquin, restaurant des Fiche, Jiian Guern (mention b i e D ) , Louis
Guillamei (mention bien), Yyes Jôgou, Jean
(mention bien), Yvonne Morvan (mention Voyageurs.
Ko, b quet, Joseph Landrein, Benoit Le Bec,
bien), Anna Le Breton, Jeanne Le Gall,
Alain 1,9 B hanj lt-uô Le Coz, Yves Le
Louise Lo Noac'h, Yvonne Lagadec.
Les R é g a t e s . — Les régates de Trôhonl D .ig u (mention hier), André Lo Gall,
Eiole publique dos filles (Le Qainquis).— auront lieu le dimanche 2 septembre 1928
Présentées, 2 ; reçues, 2 : Louise Déniel ; Elles comproniront plusieurs séries de ba- Jesn Le Gcfi (mention bien), Louis Morvan,
teaux de pè :he, do canots à moteur ut de Joseph Oilivier, Louis O livier, François
Joanne Lo Gall.
Rinnou, André R>biu, Yves Uostroin, Jean
yachts de plaisance.
S-tUin. Pierro Tallec, Louis Trévarin,
Obsèq
Rané Turqa< t (mention bien), Nciil U?;ucn
Un p e n d u . — Yvos Lo Noach, 47 ans,
U68. — Lo jeudi 5 juilletonteulieu et Jean Yvis (mnotion bien).
domestique au service de M. Le Bolch, de à Tréboul les obaèquos de M. D ' I l u v e z ,
Ecole publique mixte de Saint
Adrien,
S:ang-All»»tnc, a été trouvé pendu k une instituteur, décédé au sanatorium le Siinto- en Scaër.— H :lèae Darrieu (mention bien),
poutre, dans le grenier de la ferme.
Feyre.
Maris Sali iin (mention bien), Marie CatheLe malheureux, qui avait été d'aillears
Unefoolo d'amis suivaient le cercaeil ; le rine S»!«ùa, Alexis Balléguic, Louis Cointerné à l'asile des aliénés de Qaimper, corbillard était précédé de très nombreuses chennec, Christophe Dorrien, Louis Floch,
ne jouissait pas do tontes ses facaltés.
couronnes. Les cordons da pcô o étaient Alexandre Hsrpo (mention bien), Marcel
tenus par MM. Casirec et Lo Bihan, insti- Lessard et Charles La Moine.
tuteurs à Tréboul ; M. Marehix, adminisEcole privée de garçons de Scaùr. —
F ô t s N a t i o n a l e . — Voici le programme trateur de la marine du quartier de D juar- Lodis Boulic (mention bien), Maurice Le
nenez
;
M.
Leotoven,
instituteur
k
Douarde la fèto nationale de Peumerit, le 14 juillet:
Bras, Franç )is Chrislien, Jérôme Le DaiA midi, bacqutt par souscription chez M. nenez.
gou (mention bien), Christophe Gouifiès,
Au cimetière, M. Tanguy, directeur de
Le Pemp ; spiès le banquet, courses de l'école
publique de Tréboul, a prononcé les François Guérer. Albert Harvet (mention
bicyclettes ; courses à pied ; course à la paroles suivantes :
bien). François O.liviei, Corentin 'l'allée et
« Mesdames, Messieurs,
valise; course aux œ j f s ; concours de faLouis Toupin.
rneurs ; concours de mangeurs de bouillie.
« Au nom de M. 1*1 aspe jteur d'académie,
Apiès les courses, grand bal ehampôlre. au nom de M, l'iaspaciour primaire, empôchés, au nom de tous ceux qai l'ont
État-olvll do Juin. —
Naissances.— connu, je viens adresser à M. D'IIervez un
F ê t e N a t i o n a l e . — Voici lo programma
Michel Le Roux, à Coat-Ponguilly ; Marcedo la fùlo nationale du sumedi 14 juillet
line Cabon, à Kervouélic ; Pierre Autrot, à dernier adieu.
« Ancien élève do l'Ecole Normale do 1928 :
Kervonélic.
Quimper d'où il sortit en 1912, M. D'Hervez
Lo matin, carillon dos cloches ; k 10 h 30
Mariage. — René Caradec et Marie enseigna k Loctudy jusqu'en août 1914.
cross-cycliste, (iépart place du Marche,
Signor, cultivateurs i Peumerit.
« Mobilisé dès la début des hostilités, il arrivée devant la Mairie) ; à 11 h. 15, sur le
Décès. — Marie-Louise Jollivet, 18 ans, à allait connaître bientôt tontes les souffran- Champ-de-Bataille, course d'enfants ; k 14
Kervonélic.
ces de la guerre,
heures, route de Port-L&unay, course cyplouen
*
B a l . — D manche 15 juillet, à l'occasion
de la fête n»tioo*le, grand bal populaire,
sallo Burol, au boarg do Piovsn.
Brlec-de-l'Odef
Langoltn
&OIMPERLÉ
fouesnanf
Tréboul
La Forêi-Fouasnant
peumerif
CHATEAU U N
cliste ; à 15 heures, quai de Brest, mât de
cocagne sur l'eau ; à 16 heures, route de
Quimper, course cycliste pour jeunes gens
do moins de 15 ans; à 17 heures, course de
natation ; à 17 h. 30, place du Marché,
coa'se en sac ot course aux œufs ; k 21 heures, halle au blé, bal populaire, i grand
orchestre,
E t a t - c i v i l d u m o i s d e j u i n . — Naissance. — Marie Baley, quai de Brest.
Mariage.
— Auguste Cendre, payeur
particulier à l'armée da Rhin à Donzy (Nièvre), et Marie Kerbaul, gérante à Châteaulin.
Décès. — Marie Harry, blanchisseuse,
41 ans, vouve de Jean Golc, Lostang; Louise
Douguôlroit, 68 ana, épouse de Pierre
L'Haridon, Grand'rue.
ChSfeauntuNdu-Faou
On nous écrit :
Uno affaire intéreasante venait le vendredi 29 juin devant M. le Jugo de P*ix. M.
Cozic, entrepreneur à Coray, chargé d'une
conatruction scolaire à Lsuhan, imagina de
prendre, sans cortBulter le direoUur de
l'école, do l'eau du puits de l'école alors
qu'à 150 mèlros de là un ruisseau pouvait
lui en fournir en abondance.
Gardien des locaux scolaires, défenseur
du règlement, le directeur voulut s'opposer
k cette main-mise dangereuse sur l'eau de
l'école. Mais M. le Maire de Leuhan, oubliant qae la loi lui interdit de disposer des
locaux scolaires (et annexes) sans l'autorisation du Préfet, ne craignit pas de venir,
ceint de son écharpe, escorté de l'entrepreneur, présidoT k la fracture de la chsine de
fermeture dn puits.
Depuis plus d'un moia lea maçons souillent l'oau de l'école qui est actuellement
inutilisable pour la consommation.
Conséquence inattendue : l'entrepreneur
réclame au directeur mille francs de dommages et intérêts en invoquant l'opposition
qui lui a été manifestée par le directeur et
l'arrêt momentané d< s tr»vaux.
La cause de M. Cozic était défendue par
M' Jadé, qui tronva, en face de lui, un
redoutable adversaire dans la personne de
M" Georges Le Bail.
Ea termes précis et cinglants, le vieux
champion de la défense laïque dénonça,
comme il convient, les agissements combinés de M. Cozic, mari d'institutrice... et du
maire qui avait concédé à M. Cozic l'usage
du paita réservé à la seule jouissance du
personnel et des élèves de l'école.
M« Le Bail plaida que, «'agissant d'actes
administratifs du maire, il n'appartenait pas
i la juridiction civile d'en connaître.
Uu public nombreux, que ce procès avait
attiré, goûta fort la verve à la fois enjouée
et puissante de M. Le Bail. Le jugement,
qui fui remis à huitaino, a consacré la thèse
aoutenue par le défenBeur du directeur de
l'écolo pablique et M. le Juge de Paix s'est
déclaré incompétent.
L* Gérant
: Pierre Guéguen.
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J- ans, je souffrais de rhumatismes.
Merveilleusement soulsgée, je ferai connaître le secret de ma guérison à qui ma
le demandera. Mme HILAIRE, Moutier!e8-Maufaits (Vendée).
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k Quimper, 58, rue Keréon
Couézec
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E l e c t i o n s m u n i c i p a l e s . — M. Français
Suignard, agriculteur à Lesmez, a été élu
conseiller municipal de Gouézec, par 310
voix sur 356 votants, le dimanche 8 juillet,
en remplacement du Comte de Legge, maire
décédé.
M. Suignard n'avait pas de concurrent.
Le Conseil manicipal se réunira dimanche
prochain, k l'effet d'élire un nouveau maire.
A proximité de !a ville de Quimper,
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de mille cinquante mètres carrés soixante
décimètres carrés environ, attenant à
l'immeuble ci-dessus.
Pour tous renseignements, s'adresser
à l'étude.
Crozon
Aooldent mortel. — Mme François
Mênez a trouvé la mort dimanche dans un
pénible accident, sur la route de Crozon an
Fret, à environ 200 mètres du bourg.
Marchant derrière une voiture depuis
quelques instants, la mrlheureuse se porta
sur le côté gauche de la route au moment
môme où une auto conduite par M. Palud
croisait le char-à-bancs. Elle fut violemment
heurtée et renversée par l'automobile qui
lui passa sur le corps.
La mort fat instantanée.
Camarai
Études préhistoriques. — On procède
sur la lande de Lagatjar, à Camaret, au
relèvement de 143 menhirs qui avaient été
renversés un peu avant l'ère chrétienne par
un tremblement de terre. Les travaux sont
effectués sous la direction d'une mission
nomméo par le ministre de l'Instruction
publiquo et présidée par le commandant
directeur de l'institut finistérien d'études
préhistoriques.
11 s'sgit d'une vérittble reconstitution,
car lea calages primitifs ont été retrouvés à
faible profondeur ot l'on peut ainsi rétablir
les menhirB à l'emplacemont exact qu'ils
occupaient il y a deux mille ans.
Petites receltes pratiques
SOLE MEUNIÈRE
Apiôa avoir t r e m p é d*nu du lait une
ballo t>o'.e, la paasor à la farine. Faire
c h i u f f a r d a n s une pcô'.a du b ur e
j u s q u ' à co qu'il soit noisette. Cuire la
sole d a n s ca beurre ot la laisser se colorer d o u c e m e n t , puis la r e t o u r n e r , l'assaisonner de sel et de poivre et li\ pré
sentor sur un plat. L'arrosor d ' u n jus
da citron et de beurro fondu noisette.
P a r s e m e r da persil h a c h é et entourer
lo plat do minco8 t r a n c h a s du citron.
ENCAUSTIQUE POUR PARQUETS
Voici u n s b o n n e recetto d ' e n c a u s t i q u e
pour p a r q u e t s : eau, 1 litre ; cire j a u n e ,
100 grammoa ; savon b l a n c do Marseille,
30 gr., c a r b o n a t e do potasse, 15 g r . On
fait f e n d r e le savon et la cire d a n s l'eau
mise «ur lo f e u ; on »joute ensuite la
potasso, on remuo bien, puis on appliqua tiôdp, au gros pinceau.
POUR DEBARRASSER
L E S CIIOUX D E S C H E N I L L E S
U suffi, de pratiquer sur les plantations des pulvérisations avec de l'eau
d a n s laquelle on a fait bouillir pendnot
vingt minutes de jeunes pousses de
sureau à laquelle on a ajouté une égale
quantité d'eau froide,
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Fnillite : 1° de la Société Bretonne de
filature do lui no E' g. Fty ot R . de Sazilly et Ci?, dont lo sioga est à E guéA.rmoI ; 2- do MM. Foy ot do Saziily,
gérants respousables.
R é u n i o n des créanciers le 20 juillet
1928, à 10 h e u r e s , pour la vérifïîation
des créances.
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St-Thégonnec.. 13 30 16
Landivisiau.... 13 46 16
L^nderneao(d). 14 9 17
BREST ( a ) . . . . 14 33 18
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(a) A lien da dimanche des R«meaax an 2 octobre,
Pont-l'Abbé
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Plonéour
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A la fin de l'Ancien Régime et sa Convo- Tréogat
10 17 19 35
Plozévet
8 11 16 50
10 35 19 48
cation aux Etals Généraux de 1789, p«r Pouldrenzic
Pouldrenzic
8 30 17 15
'10 57 20 7
Jean Savina. Un volume in-8° de 120 pages, Plozévet....
Tréogat
11 11 20 21
8 42 17 27
Plouhinec
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Plonéour
11 38 20 36
8 56 17 47 17 »
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Pont-l'Abbé
arr
11 50 20 45
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Mes S e r m o n » du Dimanche
(a) N'a lien que les Jendis et Dimanches. (b) N'a lieu que le 13 de chaque mois, jour de foire à Plonéour.
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Donarnenez
| 8 45| 18 4| 15 47] 19 l l | 21 21
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par Philippe d'Estailleur-Chanteraine.
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8 » 12 241 17 9|
20
13
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Le Bout du Rail, par Jean-Renaud ;
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Les Amants du Rempart, par Paul Conearneau....! 6 29 8 10, 10
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Jeudi 1 9 Juillet
N° 29.
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Ou bien il s'adresse à une coopérative
et prend une action dout il se libère en
vingt ans, devenant propriétaire de sa
maison à l'expiration de ce délai ;
Le franc est devenu une monnaie des lieutenants du général de Castelnau
— Le brise-glace russe « Krassine »
Ou bien, erfio, il construit lui même
stable et va cesser de peser comme u n e nous condamnent à la vigilanca et au en faisant l'apport d - 20 °/0 du coût de est parvenu à rejoindre et à sauver quelcontrainte angoissante de péril moné- choix des moyens destinés à assurer le la construction, S0 °/0 lui étant avancés ques survivants de la tregique aventure
Salut public.
taire sur notre politique intérieure.
par une société de crédit immobilier qui de 1' « Italia ».
La République, qui n'est rien sans la prête à 3,50 ou 4 50 °/ l'argent qu'elle
Enfin nous sommes libres et nous
Il continue ses recherches. Le bruit a
0
«lion« pouvoir reprendre notre claire laïcité, doit rester intangible comme reçoit de l'Eîat à 3 °/„.
couru qu'il avait également recueilli le
elle.
conscience et notre taille.
Tout en maintenant dans ses grandes commandant Guilbaud, Amundsen et
Georges LE BAIL,
' Plus de captivité. Nous redevenons
lignes la législation en vigueur, le pro- leurs compagnons ; mais malheureusenous mêmes, et, vive la liberté !
jet innove sur deux points importants. ment la nouvelle n ' a pas été confirmée,
Les maîtres chanteurs du franc ne
En premier lieu, il réduit à 2 °/ 0 le
— Les aviateurs Lassalle et Duroyon,
f AI TES LIRE LE
sont plus à craindre et les moules maritaux des prêts que l'Etat consentira. du 31° régiment d'aviation à Tours, viennières vont cesser, je pense, de condamL'exposé des motifs souligne à juste nent de réussir un bel exploit.
Ils ont accompli, avec une parfaite
ner les républicains à u n e politique
titre que c'est là un sacrifice considérégularité, en 6 journées, cinq circuits
d'immobilisation et de mort sous le
rable. Il faut néanmoins le consentir, successifs comportant un parcours total
vain prétexte de la continuation de
car il est de toute évidence que c'est de 13 700 km. Ils ont atterri à Oslo, MaY Union nationale.
principalement par la mise à la dispo- drid, Varsovie, Rome et Lisbonne, revenant chaque fois à Paris.
Si cette promiscuité persistait et si
sition des constructeurs de capitaux
cette contusion régnait encore demain,
— Le rapide de Paris-Belfort a déOn rendra cette justice à M. Loucheur abondants à un taux d'intérêt très bas
le sent des couleurs politiques serait
raillé
vendredi à 2 km avant Bar-surqu'il n ' a pas perdu de temps pour ap- qu'on diminuera les charges de la consAube. Il y a eu 16 blessés. Un enfant a
vite aboli chez les masses et les électeurs
truction
et
qu'on
s'acheminera,
en
porter au gouvernement dont il fait
succombé à ses blessures.
désorientés ne reconnaîtraient plus leurs
partie une solution à l'un des plus im- conséquence, vers la solution du provrais défenseurs.
blème
de
l'habitation.
— A l'occasion du 14 Juillet, le Présiportants problèmes de l'heure.
• a
D'autre part, le projet prévoit l'attri- dent de la République a accordé des reC'est, en effet, sur un projet précis,
La logique de la concorde républi- ' hardi, établissant lin programme de bution de subventions de l ' E t a t aux par- mises et des réductions de peine à 640
condamnés par les tribunaux militaires.
caine a succédé à la bôtise de l'union ¡ construction d'habitations à bon mar- ticuliers pères de plusieurs enfants qui
— Le Parti socialiste S. F . I. O. s'est
bationale.
' ché et de logaments à loyer moyen que construisent, pour les occuper avec leur réuni samedi à Paris, en Conseil naEtant donnée la composition de la les Chambres ont été appelées d'urgence famille, des maisons à bon marché.
tional extraordinaire, pour examiner
Chambre actuelle, on ne peut obtenir à délibérer. Ce projet est de nature, si Nouveau sacrifice pour l'Etat, cartes,
l'ordre du jour du Congrès de l'Internaune majorité homogène et stable que on sait l'appliquer, à remédier dans mais d'une hauts portée sociale, puistionale ouvrière qui doit se tenir à Brupar l'effort concerté et l'action cohé- une large part à la crise du logement. qu'il s'agit ainsi de doter les travailleurs
xelles au mois d ' a o û \
rente des partis de gauche, depuis les
Il n'est plus besoin de rappeler com- d'un foyer où pénètrent à flots l'air et
Parmi les questions à l'ordre du jour
socialistes unifiés jusqu'aux républicains bien il était urgent d'envisager les la lumière et où ils pourront, dans les
se
trouvaient celle relative à l'évacuation
de gauche chez lesquels la modération mesures de grande envergure qui pour- meilleures conditions de bien être et
de la Rhénanie et celle concernant le
n'exclut pas la fermeté.
ront réduire la crise ; les Chambres se d'hygiène, élever leur famille.
retrait ou le maintien do M. Paul' L'intransigeante hostilité des commu- devaient et devaient au pays d'accomTraduisons maintenant en chiffres la
Boncour à Genève.
nistes, devenus les complices conscients plir, avant leur séparation, le geste charge que serait appelé à supporter,
La motion de M. Ranaudel prévoyant,
ou inconscients de la réaction, nous a qu'un nombre conaidérablo de citoyens dans le système actuel, l'ouvrier père de
d'une
part, l'évacuation immédiate et
mis dans le pétrin et acculés à la néces- attendaient. L a phrase par laquelle le quatre enfants achetant une maison de
sans réserve de la Rhénanie, et, d'autre
sité d'étendre trop vers le centre l'aile gouvernement s'est engagé, dans sa 35.000 francs.
part, le maintien de M. Paul-Boncour à
droite de la majorité.
La subvention directe de l'Etat serait
déclaration ministérielle, à étudier le
Ganève a été votée à une imposante ma„ Les socialistes n e doivent pas hésiter problème du logement hygiénique, sain, de 7.500 francs. Les 27,500 francs qui
jorité.
à se compromettre. Ils n e peuvent se clair, aéré, et accessible à ceux qui ne manquent, plus 3.300 francs correspon— Une explosion s'est produite à la
placer au dessus de la mêlée. Leur disposent que de ressources moyennes, dant à la prime d'assurance, seraient
abstention aurait pour efiet de rejeter a été retenue. On aura plaisir à consta- avancés par une société de crédit immo- poudrerie de St-Médard, près de Bordeaux. Cinq des bâtiments de la poules partis de gauche vers la droite et de ter que la réalisation grâoa à l'actuel bilier qui, recevant de l'Etat de l'argent drerie ont flambé en moins d'une heure.
rétablir l'équivoque et la duperie de ministre du Travail aura de très près à 2 °/ 0 serait en mesure de le prêter à Trente personnes ont été blessées. Les
l'union nationale.
son tour à2,50 «/„; pour un amortisse- dégâts s'élèvent à plus de 10 millions.
suivi la promesse.
Entre deux maux il faut choisir le
— Le prochain Congrès du parti réOn a soutenu, et c'est malheureuse- ment en 25 ans, le taux d'intérêt et
publicain,
radical et radical socialiste
d'amortissement
ressortirait
à
5,42
°/
.
moindre.
0
ment en partie exact, que la France, au
La Chambre, telle qu'elle est compo- point de vue de l'habitation, était très Pour les 30.800 francs à emprunter, aura lieu à Angers les 3, 4, 5, et 6 novembre prochain.
sée, loin d e dominer les événements, en en retard sur les autres nations. Mais l'ouvrier aurait donc à débourser pen» •• »
subit la loi. Il n ' y a qu'à s'exécuter sans lorsque l'on fait cette comparaison, on dant 25 ans, une somma annuelle, au
0
maugréer.
oublie toujours que l'effort de la France taux de 5,42 / e , de 1.669 fr., tout en
••
s'est exclusivement porté, au cours de étant, dès l'origine, propriétaire de sa
Le 14 Juillet, le glorieux anniversaire de
Notre politique, nettement orientée ces dernières années, sur les reconstruc- maison. Encore convient-il d'ajouter
vers la paix extérieure, doit être à l'inté- tions des régions dévastée?. Il convient qu'il est loisible au département ou à la la prise do la Bastille, a été célébré avec
rieur une politique de réformes sociales de souligner que dans nos départements commune de prendre à leur charge 1 °/ 0 son habituel succès dans toute la France.
La revue des troupes, à Paris, a été,
libérés de l'invasion six cent mille mai- d'intérêt, soit 308 francs, ce qui ramèet de défense laïque et républicaine.
comme à l'accoutumé?, particulièrement
nerait
à
1.361
francs
la
dépense
annuelle
Les réformes tociales sont en bonne sons ont été édifiées et il faut surtout
imposante. La chaleur, quo nos soldats
voie. 11 faut que dans le délai prévu, la rappeler que cette œuvre a été accom- de l'acquéreur.
ontgaillard8mant supportée, a semblé
D'après ces chiffres, on peut déduire toutefois avoir fait reculer les spectaloi snr les assurances sociales entre en plie malgré des diffisultés financières
application et vienne soulager les infor- iaouïjs, puisque la reconstruction a quo la grando idée du projît a été de teurs.
tunes et réparer les inégalités par trop été opérée avant môme que nous ayons fai:e en sorte que la dépense mensuelle
obtenu de l'Allemagne un commence- à la charge do l'ouvrier n'excède pas
choquantes d'un état social injuste.
110 à 120 franco par mois. La charge
La loi récente sur les logements ou- ment do réparatioa.
do
l'habitation se trouve ainsi amenée
vriers, quoique insuffisante, peut être
Quoi qu'il en soit, il manque présenLe public estinformé quo, depuis lundi
dans
des limites fort raisonnables en
considérée comme l'amorce précieuse tement à la France un nombre considé16
juillet, les trésoriers généraux, recemôme
temps
qu'on
donne
aux
popula.
de l'évolution d'un grand problème qui, rable d'habitation?. Los services comveurs do finances et percepteurs retions
laborieuses
la
faculté
d'échanger
en faisant entrer plus d'air et de soleil pétents du min'stère du Travail, de
prennent les anciennes monnaies d'ar4ans l'habitation ouvrière, y introduira l'Hygiène, de l'Assistance et de la un logement trop souvent hélas I insa- gent françaises aux prix suivants : 10 fr.
du même coup plus d'hygiène et plus de Prévoyance sociales disent cinq cent lubre contre une maison saine et aérée. pour la pièce de 5 francs ; 3 fr. 50 pour la
Parallèlement à ce programme d'ha- pièce do 2 fr. ; 1 fr. 70 pour la pièce de
mille. Plus modeste dans ses évaluajoie.
.
1 franc ; 0 fr. 80 pour la pièce do Ofr. 50.
bitations
à bon marché, il a été prévu
• •
tions, le Conseil national économique
Ils sont également autorisés à fairo l'éla construction de 60.000 logements à
Nous allons être condamnés à restau» dit deux cent mille. C'est ce dernier loyer moyan qui seront d'ailleurs à change des écus do 5 francs des Etat»
ter la politique de défense républicaine. chiffre que lo gouvernement et les loyer vraiment modéré. Pour équilibrer ayant fçit partie de l'Union latine, dans
les mômes conditions quo les pièces
Chambres ont retenu pour l'établisseLes cléricaux sont des êtres de proie.
le coût de cas réformes, d'ingénieuses françaises de 5 francs.
ment d ' u n programme. Il est d'ailleurs
Ils n ' o n t renoncé à aucune de leurs
combinaisons financières sont envisaprévu en dehors de l'édification de gées. Bien entendu, il sera fait un large
bruyantes revendications : R . P . S.,
200.000 maisons À bon marché, la appel aux prestations en nature. P a r
liberté d'enseignement pour les reliconstruction de 60.000 habitations à ailleurs, c'est un organisme nouveau,
gieux, et, pourquoi n e pas le dire, m o loyer moyen.
dont la création s'inspire de l'exemple
nopole de l'enseignement,
M. Jadé, qui a cessé depuis le 9 juillet
En ce qui concerne les habitations belge, la « Société nationale de l'habi- d'être protégé par l'immunité parlemenL'opération alsacienne conduite par
tation », qui sera chargé de la réalisal f a piètres n'est qu'une étape de la à bon marché, il n'est apporté que le
taire, a été assigné par MM. Gaorgeu Le
tion du programme arrêté.
grande œuvre de délaïcisation à entre- minimum de changement á la loi du
Telle qu'elle est, issue des délibéra- Bail et Le H ira à comparaître la jeudi
& décembre 1923 portant codification
prendre dans toute la'France»
tions des deux assemblée», la loi qui 11 octobre prochain devant le Tribunal
des lois sur les habitations à bon marL'heure des jacobins a sonné«
vient d'être votée a une portée sociale sorroctionnel de Quimper.
•Damain, si on n ' y met bon ordre* ché et la petite propriété. Le législateur considérable. Il était nécessaire qu'elle
C'est la troisième assignation délivrée
l'Alsace, fanatisée par les p i t r e s , se s'appuio, au contruiie, sur les orga- intervint dans le moindre délai possible à M. J adó devant les tribunaux depuis
dressera contre la France; ainsi le fit nismos dtjA créés et s'applique à main- et la diligenca qu'ont apportée la gou- un mois, la premièro pour lus affiches,
autrefois la Vendée, aux heures t r a - tenir et à développer l'activité des vernement et le» Chambres à son adop- la secondo pour loa propos tonus à Trétion fait lo plus grand honneur au
collectivités qui construisent.
giques de la Révolution.
boul, et, la troisième, pour les articles de
régime
parlementaire.
Actuellement, l'ouvrier qui déaire
Les grandes mar-couvres exécutées
l'Ouest Eclair qui ont déjà valu une
Louis PROUST,
dans les départements bretons par leB devenir propriétaire d'une maison d'hacondamnation À CO journal,
Député
d'Indre-et-Loire.
troupes iépiscopales tous la direction bitation a trois moyens à sa disposition} '
La justice est en marche,
L'heure des Jacobins
Miettes
Semaine
joumd l e Citoyen
Habitations â bon marché
La Fêle Nationale
Les anciennes monnaies d'argent
N. Jadé devant les Tribauanx
t ' '
I« j e u d i
«ivfh.^V
O O M M B R O I - A . L
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P
M A R I T I M E ,
B u r e a u x e t I m p r i m e r i e , 21.
1 Am.
Finistère et départrauats limitrophe
Autres département»
A G R I C O L E ,
Républicaine
1928
T l R Z É ^ i n S T T I i r c - A . I D E S
Réponse à une Réponse
Du château de Kerargaouyat par
Plouetcat (Finistère), M. le Comte de
Trémintin, commandeur de l'Ordre de
Malte, député du Finistère, a répondu à
notre article « Discours d ' u n vaincu »,
paru dans le « Populaire de Nantes », le
1 e r juillet 1928. Il laisse de côté l'allusion
que j'ai faite (?) à la part prise par ses
aïeux au siège de Saint-Jean d'Acre, et
p a r l e s miens à la prise de la Bastille.
Je ne sais si un mien ancêtre se trouvait
à la prise de la Bastille. S'il y en avait
un, M. le Comte, je bénis cet ancêtre
qui contribua à la chute de l'absolutisme royal, à la fin du pouvoir des hobereaux, comtes et marquis, qui n'avaient
pas toujours la main légère. Je bénis cet
ancêtre qui dut combattre pour la liberté,
à Valmy, à Fleuru?, à Wattignies. Mai»,
M. le Comte, qui êtes si bien renseigné
sur vos sïsux du temps des croisades,
dites-nous donc où étaient vos ancêtres
de 1792. Etaient-ils avec les soldats de
Dumouriez, de Jourdan, de Hoche, ou
étaient-ils dans les rangs de l'armée de
Cobourg ? Dans cette armée qui voulait
ramener le roi, les droits seigneuriaux,
et que nos aïeux rossèrent si bien et si
souvent.
Les Croisades, nous n'avons pas lien
de nous en féliciter tant que cela. Souvent les Turcs « infidèles » furent plus
humoins que les chrétiens. Quand Omar
ot Saladin prirent Jérusalem, ils ne
massacrèrent pas les chrétiens ; quand
Godefroi de Bouillon prit Jérusalem ce
fut une boucherie. Vous devez, M. le
Comte, connaître la « Chanson d ' A a tioche » qui relate les hauts faits du
« roi Tafur », le chef des ribauds :
« Los Tores ont escorchiés, et les entrailles
[ont ostés.
En bouilli, en rôt ont la chair cuisinée,
Assez en ont mangié, mais de pain n'ont
[goûstés.
De ce furent païens moult grandement
[effrayés...
Pour le fliir de la chair, sont an mar
[accotés,
De vingt mille palans sont ribauds regardés,
Ni a pas un seul Turc, n'ait do ses yeux
[pleurés ».
Que dites-vous de ce petit tableau, et
j'ai passé le plus atroce, les cadavres
des Tura déterrés e t . . . mangé;.,. Voilà
des aïeux un peu compromettants... Je
préfère, quoi que vous en pensiez, mon
aïeul « sans culotte » de 1792, à l'anthropophage d'Aotioche.
J'ai eu l'audace d'attaquer la Proportionnelle, cela me vaut votre réponse.
D'abord, marquons un point. Je ne
parais point croire que la R. P . créerait
des fiefs héréditaires, je le Crois, et ce,
aussi sûrement qu'il fera jour demain et
que votre aïeul prit Saint-Jean d'Acre.
En théorie la R. P . est séduisante, dans
la pratique beaucoup moins. Le ver qui
se balance à l'extrémité do l'hameçon
est séduisant ; eu conduit-il le malheureux poisson qui se laisse tenter? Directement dans l'estomac du' pêcheur. La
R. P. est le scrutin des... habiles, et
nous avons ici des gens d'une adresse !
Plus fin qu'eux le serait quasiment trop.
Nous les avons vus à l'œuvre en 1924.
Vous êtes « républicain-démocrate »,
M. le Comte. Voi!à, certes, deux beaux
m o t s ; nous aussi, nous sommes républicain-démocrate, et pourtant il y a, je
le crains, un abîme entre nous, un
abîme auprès duquel les plus grandes
profondeurs de l'Océan ne sont rien,
Expliquez-nous donc, M, le Comte,
pourquoi l'organe « républicain démo«
crate » 1 ' Ouest-Ëclair marche aux élections avec le Nouvelliste,
organe royaliste? Pourquoi votre sscrétaire généra',
le journaliste Pagos, collaborait à VEx»
press du Midi, royaliste ? Pourquoi
dans vos rangs on compte tant de
« chouans » devenus subitement « républicains démocrates » du jour au lende»
main, sur un mot d'ordre venu de Rame ?
Ils ont fait une « évolution » à gauche.
A quand la prochaine évolution A droite?
Vos- amis seraient-ils des pendules ?
Oscilleraient-ils tantôt à gauche, tantôt
à droite, suivant les nécessités du m o ment, ou ne seraient-ils que de vulgaires
girouettes se tournant du côté d'où vient
le vent ?
La R, P . est le scrutin des riches,
surtout avec le scrutin régional, elle
fixe les partis, elle empôche toute majorité de se former, elle rend le gouvernement impossible
avec elle, les crises
ministérielles sont insolubles, et donnent lieu à des maquignonnages honteux. Voyez la Balgique, voyez l'Allemagne. Elle favorise — dites-vous —
l'élite, les compétences. Où commence
l'élite ? Où sont les « compétences » ?
La guerre a porté un coup funeste anx
compétences, ou à ce que l ' o n croyait
être des compétences, militaires, économiques, financières. Vous vous rappelez
sans doute « la guerre finie en trois
semaines », le « rouleau compresseur »,
la c victoire mathématique », le « grignotage », les « Russes à cinq étapes de
Berlin ».
«
Comment diviser lesj compétences, «n
compétences nationale;, départemantataies, communales. Il serait bon de préciser ces divisions-là. Car, ^ enfla, je
tiendrais à savoir dans quelle catégorie
je suis, ne doutant pas que r o u i 4tes,
vous, M. le Comte, dans celle des
compétences nationales et même supranationales pour ne pas dire internationales, ce qui pourrait effaroucher 1«
« républicain démocrate » catholique «t
Breton toujours.
Vous êtes contre le cumul, a n député
ne saurait être à la fois maire et conseiller général, sous peine de remplir mal
l'une ou l'autre de ces fonctions. Peut*
être les trois. Un député, M. le Comte,
devrait être député, un peint, c'est tout.
Il ne saurait être ni industriel, ni corn*
merçant, ni avocat, ni agriculteur, ni
môme... châtelain.
Vous entendez préparer le retour « aux
grandes administrations qui o n t fait le
passé, la fortune de la France ». C'est
beau une phrase comme cela, elle sa
balance bien, mais pourquoi ne balance*
t-elle avec elle que des erreurs ? R«.
voyons ensemble, M. le Comte, notre
histoire de France ; cela nous fera du
bien à tous les deux. Philipe IV 1« Bel
(1302) fait de la fausse monnaie (ô la
vilain !), brûle les Templiers pour s ' e m parer de leurs trésors. Jean II le Bon
fait de la fausse monnaie. Louis X I
s'empare des biens des nobles. Richeliea
écrase la France d'impôts. L a France
est grande, mais les paysans mangent
de l'herbe, revoyez les gravures de Callot, sur les malheurs de ce temps,
Mazarin emplit ses poches et ruine la
France. Louis XIV ruine la France, la
peuple mange du pain de fougère, at ses
valets impayés mendient aux portes.
Louis XV vend sa vaisgelle d'argent et
fait banqueroute. Louis XVI ne convo*
que les Etats généraux en 1789 que
parce que lo peuple meurt da faim et
que les caisses sont vides. Si c'est cela
que vous avez à nous offrir, avouez, M,
le Comte «républicain démoorate», que
ce n'est guère engageant.
Continuons. « Les meilleures oonstita«
tions sont théocratiques dans la domaine des âmes, démocratiques dans la
cité, aristocratiques dans la province,
monarchiques dans l'Etat. » C'est votre
mattre Frédéric Le Play qui a écrit ce
beau charabia. Après cette belle défini«
tion, je me demande ce que les mota
« républicains démocrates » peuvent si»
gnifier ?
Enfirr, il était bon de savoir q u ' a n républicain démocrate est théocrate dans
les Amas, démocrate dans la cité, aristocrato dans la province, et royaliste
dans l ' E t a t . C ' e s t un produit fort
complexe, comme celui qui serait i s s u .
de l'union du rossignol et du cochon
L E CITOYEJ* •
d'Inde ; ces produits là sont généralrment délicat« et meurent jeunes, Si vous
m'en croyez, M. le Comte, veillez bien
aur le Parti républicain démocrate, il
est bA'i pour mourir jaune.
Enfin, M. le Comtr, vous dites que
« la France est une vaste pétaudiére,
mûro pour la Révolution ». Il y a des
gens qui trouvent que tout va mal,
quand ils ne tiennent pas les leviers
de commande. En ieriez-vous partie ?
Auriez vous traversé ces années terribles
de 1914 1918 sans avoir rien appris ?
Comment la France républicaine envah i e , dix de ses départements étant
dévasté?, résiste, tient tôt», force l'ennemi à plier les genoux, se remet au
travail, panse ses blessures, se relève, et
elle est une pétaudière mûre pour la
Révolution ! Ajustez vos lorgnettes, M.
le Comte, regardez autour de vous, les
gouvernements soi-disant « forts » se
t o n t écroulés dans la honte, la boue, lo
sang, la défaite, aussi bien en Allemsgne
qu'en Russie, qu'en Autriche, qu'on
Bulgarie, seules les démocraties ont
résisté.
Il faut en faire des esprits sains dans un
C o u r s e s de chevaux. — Les courses de
Concarneau
état libre.
Qaimper
auront
lieu
les
mercredi
15
et
pour l e s Fonction« publiques
Los Régates. — Les régates de Con
Sins le ressort éiuîaUf, le progrès n'ajeudi 16 août prochain, sur l'hippodrome de
carneau auront lieu le dimanche 29 juillet vancera pas et le pjuple ouvrier et paysan
Ctizon.
courant.
Rédacteur de 2a classe des Services civils
ne pourra p u socialement s'émanciper ni
Première journée, 15 août.— 1r* course,
de l'Indo-Chine.— Date: 17décembre 1928 ;
Beuzec-Conq
accomplir son destin.
au
trot
monté,
pour
poulains
entiers
et
délai d'inscription : 81 octobre 1928 ; traiteU > double ban est battu en l'honneur de
E
t
a
t
o
l
v
l
l
.
—
Naissantes
:
Simone
pouliches de de mi-sang. — 2.600 fr. de prix.
ment de début ; 12.000 fr., pltis 8.421 piastres
M.
Le B »il, dont le discours a été chaleuQuintin,
avenue
Thiers;
Yvette
Le
Pape,
2* course, au galop, pour chevaux entiers,
Licence on divers titres exigés.
reusement applaudi.
avenue
Thiers
;
Jacqueline
Glémarrec,
hongres
et
juments
de
toutes
espèces,
de
Rédacteur des manufactures de l'Etat
avenue de la Gare ; Félix Bouder, à ToulDe nombreux camarades d e m i i l j a t U
ans et au-dessus. — 3.000 fr. de prix.
et conti ôleur adjoint de culture.— Concours
Rad.
parole
pour M. Georges Menne, profesouvert 2" quinzaine de septembre 1928 ;
3' course, au trot monté ou attelé, pour
délai d'inscription : 20 août ; âge : 18 à 30
Décès : Lonis Jàffrézic, 47 an», marin, seur à l'E. P. S. depuis l'an dernier, et qui
chevaux entiers, hongres et juments de
est arrivé avec une réputation d'orateur
ans ; traitement de début : 10 000 fr., plus
demi-sang, de 3 ans et au-dessus.— 4.100 fr. époux de Louise Fiche, avenue Thiers
indemnités. Baccalauréat on abitur exigé.
prestigieux
et dont ils apprécient, en même
Yves
Le
Saux,
2
ans
l/2
à
la
Boissière;
de prix.
t
Inspecteur départemental- du travail. —
4" course, au galop, pour chevaux de Marie Le Rest, 82 ans, ménagère, veuve temps, la voix extrêmement prenante et la
Date : 12 novembre 1928 : délai d'inscripselle, entiers, hongres et pouliches qaali< de Pierre LandreiD, rue Jules Simon ; Jo- grande information. Tour à tour spirituel
tion : 10 septembre ; Age 2G à 35 ans, plus
fi5es de demi-sang, de 3 et 4 ans.— 5 000fr, seph Lancien, 75 ans, cultivateur, époux de on émouvaat, caustique oa enthousiaste, riservices militaires ; traitement de début :
goureux ou vigoureux, M. Menne fut lonJulie Le Floc'h, à Stang-Martin.
de prix.
OFFICE
AGRICOLE
14.000 francs, plus indemnités. Licence on
Publications de mariages : Yves Priol, guement acclamé et chauiement félicité par
cortains titres exigés.
5* course, au galop, pour hacki et hunL'Office agricole départemental a décidé,
Georges Le Bail. Il ne nous est pas pasContrôleur civil stagiaire au Maroc. — dans sa dernière réunion, d'employer là ters de 3 ans et au-dessus. — 5.720 fr. de maçon, domicilié à Beuzcc-Conq, et Augns sible de donner, intégralement, cette belle
tine
Le
Breton,
ouvrière
d'usine,
domiciliée
Date : 20 novembre 1928 ; délai d'inscrip- plus grande partie du crédit spécial mis & prix.
improvisation mais nous en indiquerons,
tion : 20 octobre 1928 ; â*a : 21 à 30 ans, sa disposition pour expérimentation et mul6" courso, steeple-chase mixte, pour tons à Lanriec ; André Jannez, cultivateur, dopins services militaires ; traitement de tiplication des variétés de blé convenant le chevaux de 4 ans et au-dessus n'ayant pas micilié à Beuzec-Conq, et Marie Le Car, au moins, les grandes lignes.
début : 21.000 francs, p'.us nombreuses
M. Menne répond d'abord à cette quesgagné 15 000 fr. en steeple-chase.— 4.400 fr, cultivatrice, domiciliée à Beuzec-Conq
indemnités. Licence ou divers titres exigés. mieux au département, en fournissant à
tion : « Qu'est-ce, an juste, que fêter le
André
Caradec,
conducteur
d'autos,
dode
prix.
prix réduit des semences sélectionnées aux
Concours onvert en France.
Deuxième journée, 16 août. — 1" course, micilié à Beuzec-Conq, et Jeanne Kersan» 14 juillet? » C'est, dit-il, en substance, fêter
Commis de trésorerie en A. E. F. — cultivateurs qui en feront la demande.
la France que nous aimons, réalité vivante
Les demandes, adressées à la Direction au trot attelé, pour chevaux de service, dré, ouvrière d'usine, domiciliée i BeuzecDate : 15 octobre 1928 ; délai d'inscription :
capable de réaliser dans son sein, avec sa
Conq.
entiers,
hongres
et
juments,
âgés
de
3
ans
15 août; â g e : 22 à 30 ans, plus services des Services agricoles, seront reçues jusMariages : Yves Qaéroué, et Marie forte individualité, les intérêts généraux de
et au-dessus. — 500 fr. de prix.
militaires; traitement de débat: 18.000 francs, qu'au 15 acuì, délai deriguear.'
Jàffrézic;
Yves Le Guernec, et Marie Hervé ; l'humanité et « ne rien répudier, ne rien
pics indemnités de zone et diverses. Aajun
2'
course,
au
trot
monté,
pour
chevaux
Elles seront classées suivant leur ordre
(( méconnaître des apports divers dont se
Un pouvoir fort, M. le Comte ! Mais diplôme exigé.
d'arrivée et satisfaites jusqu'à concurrence entiers et jaments de demi-sang, âgés de 4, Pierre Cuzon, et Marie Rioual ; André
«
composent notre patrimoine moral et notre
Jannez
et
Marie
Le
Car.
nous en avons tâté avec Louis XIV, cela
Les personnes qui désirent des rensei- des crédits disponible?.
5 et 6 ans. — 4.000 fr. de prix.
« héritage héroïque. »
nous a ccûté nos colonies ; avec Napo- gnement« sur l'un des emplois ou concours
3" course, au galop, pour chevaux entiers
Tréjunc
C'est, dit ensuite l'orateur, fê er « le jour
et jaments de 3 ans et au-dessus et hongres
léon I e r , cela nous a coûté les frontières ci dessus ou sur un 'tx-.men quelconque,
POUR L'ECOLE D'AGRlf ULTURE
peuvent s'adresser de notre part à M. Hou
de
naissance » de la République française,
de 4 ans et au dessus. — 7 6i4 fr. de prix.
naturelles conquises par la Convention deville, directeur-gérant do l'Orientation
Emprunt.— Le Conseil municipal a voté
DE BREHOULOU
le 14 juillet 1789, journée symbolique de la
i'
cours?,
au
trot
monté
ou
attelé,
pour
un
emprunt
de
280.000
fr.
pour
la
coustruc
au traité de Bâ'e (1795) ; avec Napoléon Professionnelle, 108, rue Erlanger, Paris
L».s examens d'admission et le concours
« raison devenue adulte, ne tolérant plus la
(16°), qui leur répondra à titre absolument pour les bourses d'entretien à l'E :ole d'agri- poulains entiers et pouliches de demi-sang tion et l'achèvement des travaux de cons
III, cela nous a menés à Sedan, nous
((.'coutume déraisonnable et injuste, ne voutruction
de
l'école
de
filles
du
bourg.
de 3 et 4 ans. — 3.000 fr. do prix.
coûté l'Alsace et la Lorraine, et c'est la gracieux.
culture de Bréhoulou.cn Fouesnant, auront
« lant plas du privilège, de l'arbitraire et
5"
course,
steeple•
cha?e
cross-country
Joindre un timbre de 0 fr, 50 et ne pas lieu le 25 Juillet, à 8 h ? t: : e a du matin, simul« pétaudière », comme vous dite?, qui
« du secret, incarnés par la vieille BasP
o
u
t
r
n
e
n
e
z
interrégional, pou" chevaux de selle, entiers,
oublier de mentionner : en qualité de lec
tanément
à
Qjimper
et
k
Landernesu.
« tille... » C'est enfin fêter « le jour dn
nous a ramenés sur le Rhin.
teur du « Citoyen » à Qaimper.
hongres et jnmenta de demi-sang de 4 ans
Le B a n q u e t d u 1 4 J u i l l e t
sacre » de la nation française, en souvenir
Vos réformes, soi-disant moderne",
et au-Jessus. — 5.000 fr. de prix.
Le Comité républicain, radical et radical- du 14 juillet 1790, 83 département français
PRIX DU PAIN
ne sont, comme disait Clémenceau en
6* course, stoeple-chase, pour tous che- socialiste s'est réuni salle Claquin-Barion,
s'étant, à cette date, « librement associés »...
B I B L I O G R A P H I E
Le Préf 3t du Finistère porie à la connais- vaux de 4 ans et au-dessus n'ayant pas
parlant de la « culture allemande », que
à Douarnenez, pour fêter le 14 Juillet. Près
Bref, contre ceux qui, comme Couthon et
sance
de
la
population
p
u
suite
de
la
gagné
35.000
fr.
—
7.500
fr.
do
prix.
les formes nouvelles des anciennes bar
de quatre-vingts militants étaient présents. Robespierre dès jain 1793, voudront, d'époViennent de paraître
baisse
du
prix
des
farinis,
le
prix
de
vente
baries. Nous avons dépassé lo stade, où
Le repas était excellent, copieux et rapi que en époque, reconstruire leur Bastille à
Le S e n s do la Folle, par Georges Borna- maximum du kilogramme de p&in sera ra- T r a n s p o r t s m a r i t i m e s de Cornouaille
vous voulez nous tmoner depuis quelque
dement
servi ; Mme veuve Claquin a droit eux, les républicains fêteront toujours, le
Horaire
de
la
semaine
:
nose-Runcio, un volume 6 fra, chez mené de 2 fr. 15 à 2 fr. 10 dans tontes les
temps déjà, depuis le 5 mai 1789, pour
à
tous
les
compliments. La gaieté la plus 14 juillet, la Liberté et la Fraternité I
D-part
de
Départ
de
Eugène Figuière, éditeur, 17, rue Cam- communes du département, à partir du lundi
Quimper
Bénodet franche et l'amitié la plus cordiale n'ont
préciser, M. le Comte.
Ce n'est pas qu'il faille purement et simpagne-Première, à Paris.
23 juillet courant.
-Samedi 21
9 h. 30
16 h.
cessé de régner entre excellents cama' plement stabiliser I Nos meilleurs espéA. HUSSON,
Ce livre est le lève d'un au'eur qui s'est
Dimanche 22...
9
30
18
30 rades qui se connaissent et s'apprécient
rances sont à l'Avenir 1 Avec Anatole de
compétence « villageoise » appliqué à braver la vraisemblance »fin do
Jeudi 26
9
30
14
LES FOIRES DE LA SEMAINE
depuis longtemps.
Monzie qui a droit à tant de gratitudes posr
suggérer au lecteur l'inutilité de la séques(Le Populaire de Nantes).
Vendredi 27...
10
30
15
Lundi 23 juillet. — Hanvec, Landeleau,
Au dessert, M. Riou, président, avec avoir entrevu, amorcé, et en quelque maDiminche 22, excursion de Qaimper aux
tration de l'âme dans les limites de la raison.
Crozon, BrenniliSj Gmrletquin, Pleyber- Iles Glénans par Bénodet, Loetudy et vice- toute l'autorité qui s'attache à sa parole et nière virtualisé la grande réforme de l'EnDÎUX tœnrs sont atteintes do folie, l'une
Christ.
versa; départ de Qaimper à 8 heures, dé- le talent oratoire qu'on lui connaît, ouvre la seignement national, M. Menne croit une
H BON Ç f l » T . BON R * T
d'elles est mariée. Lo mari, découvrant la
série des discours.
part des Glénans, à 15 h. 30.
erreur « cette croyance qu'il faille appâter
Mardi 24. — Saint-Pierre-Quilbigaon.
vérité, encore ignorée, grâc9 à nn phénoJeudi 26, excursion de Loetudy k Qaimper
Il constate tout d'abord qu'à Douarnenez, l'adhésion des jeunes intelligences en zéSauf en cas de force majeure, le laïc mène de double existence, tue les deux
Mercredi 25. — Lesneven.
d'action ne donne à gagner qu'au laïc. femmes croyant ainsi se délivrer, alors qu'il
Jeudi 26. — Giuesnou, Plougastel-Daou- par B inodet, et vice-vers» ; départ de Loe- on n'ontend plus son:er à toute volée les zayant les idées pour les leur rendre plus
tudy i 9 haurjs; départ de Qaimper k 15 cloches des églises la veille et le matin du accessibles » et il montre, en termes saisislas, Plouzévédé.
atteint par ce geste à une folie certaine.
heures.
•
14 Juillet, on ne peut plus assister, dans la sants, les grandes étapes de notre histoire
Vendredi 27. — Qaimperlé.
Prix des places : de Qaimper i B k o d e t :
• a
Samedi28. — Coray, Le Faou, Plonvorn. aller, 10 fr. ; aller et retour, 15 fr. ; de Bé- journée, à des réjouissances publiques, le sociale ; l'entière liberté du travail sous la
Lea Servitudes, par Thérèse Casevi'z, un
nodet à Loetudy : aller, 5 fr. ; aller et re- soir, au feu d'artifice delà place du Champ- Révolution livrant les ouvriers de l'industrie
volume de 200 pages, in-8° cour., 10 frs,
aux âpres lois de la concurrence, — l'abstende Foire.
tour, 8 fr.
De loin en loin, l'attention est attirée
chez Eugène Figuière, 17, rue Campagnetion et l'abdication de l'Etat profitant anx
Le Comité républicain, lui-même, n'orgg
Excursion en mer : de ou pour Qaimper :
sur la situation des gardiens de phares
Première, à Paris.
aller, 20 fr. ; aller et retour, 25 fr. ; de ou nisait plus, depuis deax ans, son banquet sgnls accapareurs du Capital et dn Machinisque l'on se figure rongés par l'ennui
Notre âme est en perpétuelle servitude,
me,— le Marxisme organisant la hsioe des
pour Bénodet-Loctudy : aller, 15 fr. ; aller traditionnel.
Avis. — Nous prions les personnes qui et retour, 20 fr.
dans leur prison entourée d'eau et dont elle choisit ses maîtres, les aime, les craint
Le président se réjouit de voir à nouveau classes en système philosophique, la grande
ont des communiqués à insérer dans le
Pour bénéficier d'une réduction impor- réunis, dans la salle Claquin-Bariou. les guerre, enfin, montrant l'inanité de l'Interla solitude devient dramatique quand la tour à tour, elle les sert dans la joie et dans
Citoyen de vouloir bien les remettre direc- tante sur ce tarif, les habitants de Qjimper
la
contrainte.
Mme
Thérèse
Casevitz,
en
nationale ouvrière, la nécessité, pour quitempête les assiège et bloqua au port
tement à nos bureaux 21, rue du Sallé, et de la région devront être porteurs d« la militants républicains du canton ; il les fé- conque voit clair, d'affirmer la solidarité
composant ce livre nostalgique a mélangé
licite
de
ne
pas
hésiter
à
arborer
leur
drale bateau ravitailleur.
dans la journée du mardi de chaque carte spécia'e d'abonnement.
nationale et de vouloir l'harmonie sociale !
avec grâce toutes les saveurs du sentiment semaine.
peau.
Or, une généreuse Américaine vient
unique qui habite son icear : la douceur.
Beaucoup de ceux qui critiquent la Répu
Etat-civil
du
11
au
1
7
juillet
1
9
2
S
.
En terminant, l'orateur rappelle qu'aux
de faire aux gardiens de phares de son
blique, remarque-t-il, l'ont odieusement pays dévastés les grands
—
Naissances.
—
Malo
Mordrella,
rue
bouleversements,
paya un don précieux:
St-François, 8 ; Claude Carichon, rue du exploitée. Et s'il était possible de faire par obus et par bombes, on» amené la
Pour
toutes
vos
Fournitures
classiques
« Au cours d'uno croisière, lit-on dans
La f ê t e d e s R e l u e s d e C o r n o u a l l l e Pont-Firmin, 43; Jian Le Floch, rue du coexister en France toutes les formes de stérilité et qu'en politique, comme en culadressez-vous à
l'Animateur,
Mrs E. S. Harkness, veuve
gouvernement et de laisser les citoyens ture, il faut des labours raisonnables et
Sallé, 10.
Programme :
d'un megnat du pétrole, eut l'occasion La Librairie laïque du " Ç l f o y e n "
libres de vivre sous le régime de leur choix, calculés; il rappslle encore que la victoire
—
Henri
Tanguy,
tailleur
d'habits,
Décès.
Samedi 21 juillet. — A 10 heures: ou
la République n'aurait plus qie des par- a été acquise avec le
de visiter un bateau-phare. L'isolement
Commandement
verture de lakormosse bretonne (comptoirs 68 ans, veuf Le Gall, rue de l'Hajpice;
tisans.
de l'équipage l'impressionna vivement.
Jacques
Marc,
conducteur
d'automobile,
unique et qu'il faut savoir aussi mener les
de cidre, chouchen,, crêpes, lait, loterie
Pour que la France prospère, affirme combats démocratiques derrière un chef et
« Pour distraire ces braves gens, elle
lots de crêpas dentelles, cidre bouché, 27 ans, époux Fran èi, rue de DouarneM.
Riou, il faut que les travailleurs obtien non s'éparpiller en francs-tireurs I Eifin, si
Champagne etc.), bazar, cabaret chmtant. nez, 10 ; Emmanuel Guéguen, marin, 34
leur fit cadeau d'un poste de radio. Ils
nt, dans la paix, des salaires largement la Sainte Ecriture peut bien nous recomEntrée
:
50
centimes.
—
Diix
loteries
ans,
rue
de
l'Hospico
;
Guillaume
Breton
en témoignèrent une reconnaissance qui La P r o m o t i o n v i o l e t t e d u 1 4 J u i l l e t
seront tirées au cours Je la kîrmease
cultivateur,'64 ans, rue do l ' H j s p b e ; Paul suffisants pour vivre, des loisirs qui leur mander d'aimer nos ennemis, on ne fait de
détermina la donatrice # à commander
Officiers de l'Instruction
publique. — A 20 h. 30, à Olot-Palaco: grand concert J.an, 16 aus, ru-; Jjan Jsurès, 66; René permettent de réparar leurs forces et de bonne politique qu'avec ses amis et ceux
des postes pour 119bateaux-phares delà MM. Yves Laot, professeur de chant, école breton et kermesse bretonce. — Le concert
Billon, cultivateur, 53 ans, époux Ln Mat, cultiver leur esprit, il faut leur dispenser qui veulent obstinément charmer les serpents
côte Atlantique des Etats-Unir.
normale à Qaimper; Joan Gaillard, direc sera radio-diffasé dans toute l'Earopo par rue de l'Hospice; A'èle K ¡rsulac, 89 ans l'hygiène, l'instruction, l'art.
finissent très souvent en avaleurs de COB« Qui reliera ainsi au monde los gar- teur d'école à Qaimperlé ; Goraguer, direc- le Radio P. T. T. de Paris. Entrée : 3 francs rue de l'Hospice ; René Kerhoas, entre
« Or, quel régime s'est, autant que la leuvres... (Bravos),
Dimanche 22 juillet. — A 10 heures, à
teur a'àcole à Plogastel-Si-Germain ; Jean la gare : réception des Ruines do Cor- preneur de peinture, 61 ans, époux Cornee République, consacré à la diffusion do ces
diens de nos phares de haute mer ?
— Nous renonçons à reproduire ici tontes
f»
« A plusieurs reprises, les événements Gourion, directeur d'école à Quimervjh
nouaille et de la Dachesse Anne; grand rue du Sillé, 7 ; Micheline Corbel, 8 ans bienfaits
les notations précises, toutes les jolies
i
La R publique, pour ne parler que de ses
ont attiré notre attention sur l'existence Yves Gourion, instituteur à Coat-Méal , défilé. A 11 heures, à OJet-Palace: cou- rue de la Providsnce, 31 ; Jean Morin, cul
images, tous les arguments éloquents do
actes
los plus récents, a voté la loi magniMlle
Manach,
directrice
d'école
annexe
&
ronnement
des
R
ines.
A
11
heures,
au
tivateur,
39
ans,
époux
BaTc,
rue
de
l'Hos
désolée de nos gardiens de phares de
cette remarquable improvisation, mais noos
fique qai, dans quelques mois, garantira
Qaimper ; MM. Gaston Moreau, inspecteur Parc municipal : granlo fôio bretonne
pice.
devons souligner qu'elle a obtenu un succès
pleine mer.
primaire à Quimpsrlé ; Naucelle, censeur concours divers : danses, costum >s anciens
Publications de mariages. — Léon Go des millions de travailleurs contre tous les considérable deux fois jostifiê par des dons
« Il n'y a certes point d'endroit où le
et
modernes
;
chants
breton»,
binions
et
lisques de leur existence : la maladie, l'in
au Lycée do Brest; Porter, institutiur 4
besoin d'une liaison réconfortante avec Morlaix ; Jean Guigner, directeur d'école à bombardes. A 16 h. 30 : élection de la raguer, instituteur, dom. à Piog*stel-Si validité prématurée, le chômage, la vieil- oratoires vraiment remarquables et par nna '
Gormain,
et
Gabrielle
Le
Paveo,
institu
maîtrise de démonstration rarement ren»
les humains se fasse plus impérieuse Carhaix ; Rolland, instituteur à Plougasnou ; Reine des Ruines de Cornouaille. Grand
trice, dom. à Qiimper ; Louis Tymen lesse...
contrée. Nous nous associons vivement à
cortège
royal.
A
17
heures,
à
01et-P*lace
ment sentir qu'à Tinté;ieur de ces « tours Labour, professeur adjoint honoraire à
Après avoir édifié 600.000 maisons neuves
intronisation do la Riine des Reines. boulanger, et Marie-Louise Le Bec, env
tous ceux qui ont demandé à M. Georges
dans les régions dévastées, elle se prépare
de lumière » battues par les flots, »
l'école primaire supérieure de Brest ; Chulm, Distribution des récompense et kermesse ployée de commarca, dom. & Quimper
Menne des conférences d'hiver conçues
à mettre à la disposition des travailleurs
directeur d'école i Eiquibien ; Cotty, ins- bretonne. A 21 houres, à Olet-Palace
Gaillaumo Le Qaéau, infirmier, dom.
avec cette belle largeur de vues et présentées
grand bal des Ruines.
tituteur honorairo à Morlaix.
Qaimper, et M*rie Auffret, cultivatrice, 200 000 autres à loyer modeste et 60.000 à avec ce talent.
Officiers d'académie. — Mme Thébault,
Pour les détails, consultez le programme dom. à E-gué Gibéric ; Jean Roignant, loyer moyen.
La péroraison de l'orateur est saluée par
Elle se consacrera de plus en plus à la
née Le Moigne, directrice d'école & Lan détaillé qui ssra vendu un franc, au profit instituteur, dom. à la R>che-sur-Yon, et
de longs applaulissements, et un doabl*
véoc ; M. Thomas, directeur d'école à Loc- des Œuvres de l'Enfance,
Yvonne Gallo, irul.resse d'internat au nécessaire édu -ati^n des misses.
ban.
Elle organisera, durantla présente législa'
A la Chambre, l'arrestation du Laudru tudy ; M. Dilasser, instituteur à Garlan
Lycée, dom. à Quimper; Mathurin Bellour
Puis M. Mao, agriculteur à Poallan,
manutentionnaire, et Marie Anne Laurent, tare, l'école unique qui permettra anx enmarseillais a donné lieu à un assaut Mme Mariette Fassou, directrice do l'école
Le Comité des Fèies des Rsines a reço
prend
aussi la parole; il dit son dévouement
fants du peuple d'accéder aux plas hautes
d'aimables calembours entre les meil normale de Quimper ; MM. Adolphe Cor- l'engagement de plus de vingt binions et mouleuse, dom. k Qjimper.
à
l'idée
républicaine et 1 son vieil ami
situations sociales sans autres conditions
vez, commissaire principal do la marine, bombardes pour le concours de musique
leurs spécialistoa de la législature.
Georges
Le
Bail : « Si vous vous représenque l'intelligence et le savoir.
Une supposition, disait M. Iloul Brest ; François Jézéquel, directeur d'école qui est appelé i avoir son succès. Ces sontiez, je serais sur le pas de ma porte, pour
Enfia c'est elle qui a songé à régler lei vous recevoir, etc... ».
laaux-Dugage, que Ray tombe sur une à Brest ; Kerbrat, directeur d'école au nours prendront d'ailleurs part aux grands
1 1 E M Ë H C I E M E N T S
conflits entre les nations non plus par des
Relecq-Kerhuon ; François KerdoncufT, défilés qui auront lieu lo matin, do la Gare
M. Mao est très applaudi et salué de bans
pelure d'orange : alors je dis Ray glisse
massacres d'homm s mais par une j istice
directeur d'école i Hanvec ; Jean Kérinvel, k Olet Palace, et lo soir, du Parc mnnicipal
répétés.
E t de rire en cercle.
Madame Vve KERHOAS, ses enfants €t internationale.
instituteur au Pont-de-Buis ; Le Bailly, à Oiet-Palace, cù aura lieu l'intronisation
toute la famille remercient bien sincère
M. Riou se lève de nouveau et porte na
— Une autre supposition, rétorquait professeur à l'école technique supérieure à de la Reine des Ruines de Cornouaille.
La chanson' bretonne a bien raison qui
Le concours de dansc-s sera également ment toutes les personnes qui ont assisté dit : « Ar R-,publik zo on dra vad I »
toast à M. Albert Le Bail, empêché d'asM. Groussau, que Ray soit malade ; çà Brest ; Henri Le Bihan, directeur d'école
très intéressant, pins de mille francs de aux obsèques de
Faisant allusion à la pensée de Ludovic sister à la réunion.
nous donne Ray alité.
annexe i Qaimper ; Mlle Lo Danzé, direc- prix, tant en espèces qu'on objets d'art,
M m s l e u r René KERHOAS
Il clame sa sympathie pour lui et son
trice d^ècole k Brost ; M. Grégoire Le récompenseront i?s fins danseurs de Pont- leur époux, père tt parent, ainsi qire'celles Halévy : (( c'est très petit le cœar, mais
E t de se tirebouchonner en spirale.
estime
pour les qualités magnifiques que le
Dcoufl, instituteur public à Pleuven ; Mmes Aven, d'EUiant, de Carhaix, do Plougastel- qui leur ont témoigné de la tympalhie en c'est très grand », M. Riou invite tous les
Sur quoi M. Maginot se leva :
jeune
candidat
a déployées dans la latte,
convives
qui
l'écoatent
à
nourrir
dans
le
Rose Le Gall, directrice de l'école mater- Dâoulas, de Penmarcli, de Plozévet, etc... c tte doulourouse circonstance.
— Moralité : allons à la buvette.
leur un très granl et très sincère amour alliant partout l'enthousiasme généreux
Les
costumes
anciens
et
modernes
n'ont
nelle
À
RoscolT
;
Le
Guillou,
directrice
E t comme on s'interrogeait :
<( non pas pour la République telle qu'on sa pour les idées et le respect des personnes.
d'école à Châ'.exulin ; MM. Jean Lenglet, pas été oabliés dans cette journée bretonne.
C o m m e n t ? Vous n'avez pas encore
Puis, les chansons retentissent jusqa'sn
Il
y
aura
des
catégories
spéciales
pour
les
la représentait sous l'Empire, mais pour la
instituteur i Pont-i*Abbé ; Jean Le Roux,
saisi que Ray vaut l' verre f
homme»,
femmes
et
enfants.
Ua
groape
immoment
cù tous les convives debout chanRépublique
telle
qu'elle
est,
avec
dos
déErgué-ilrmel
instituteur à Plougasnou ; Pierre Le Roux,
portant des derniers « Bragou-braz » de
de nos pères
fauts certes, mais avec d'admirables qua- tent la vieille Marteillaise
directeur d'école à Plomeur ; Andro, iusti Gouézec sera présent. Il y aura également
Aooldent d ' a u t o . — D¿s touristes pari
qui
sera
encore
celle
de
nos
enfants.
lités
aussi
».
à Douarnenez ; Barbier, directeur plus do millo francs de p ix p>ur ces siona passaient on automobi'o sar la route
Le Tour d e F r a n c e C y d b f e tuteur
11 exhorte, en terminant, les républicains
de Risporlen lorsqu'à Poal-ar-Raniquet,
d'école à Brest ; Bloch, directeur d'école au concours.
Eoole p r i m a i r e s u p é r i e u r « e t pros'organiser et à imiter la vaillance de
ils
heurtèrent
le
jeune
Alain
CraiT,
5
ans
1/2,
Juch
;
Albert
Quéméneur,
professeur
au
Lo cortège de la Féte des Reines 1928
f
e
s
s i o n n e l l e . — Nous avons le plaisir
La dernière étape, Dieppe-Pari«, du
leur général en chef, M. Le Bail père, qui,
Lycée de Brest ; Albert Ray, capitaine de sera des plus intéressants. Los spectateurs q ai jouait avec des petits camaradeB.
d'annoncer
les su.cès suivants i
22« Totiï do France cycliste s'est courue di
L'enfant fut projeté à 4 ou 5 mètres et malgré ses 71 ans et un échec immérité,
corvette, professeur do perfectionnement pourront jouir d'un spectacle unique dans
Neuf élèves de la section industrielle Se
manche.
relevé
avec
une
fracture
à
la
cuisse
et
de
latte
encore
et
toujours
pour
la
causa
qu'il
de navigation aérienne & Brest ; Mlle Sca- ies annales bretonnes. Plus de 300 personsont présentés à l'examen dn bretet d'ennombreuses contusion».
Voici le classement général des huit pre
n'a jamais cessé de croire bonne.
rabin, directrice d'école & Rosporùen ; MM. nes, dans de superbes atours prendront
seignement primaire supérieur; cinq ont
Transporté
k
i'hôpital,
il
fut
ensuite
remiers à l'arrivée an Para des Princes i
Un double ban a été battu en l'honneur
Breton, directeur d'école à Gaimiliau; Carolï, part au défilé, Les plus beaux costumes
1" Frant», Luxembourgeois, en 192 h. instituteur public à Morlaix ; Mme Castel, modernes de la Cornouaille défileront de- conduit chez ses parents après avoir reçu de M. Riou. Après ces applaud.ijements été déclarés aimissibles aux épreuves orale!
es soins du docteur Morvan*
et trois d< fiaitivement reçus, ce sont i
Tsnt les personnes qui auront l'heureuse
48' 58" {
M. Georges Le Bail lui a réponda en une
née de Guéraldi, directrice du Lycée de idée de faite le déplacement de Quimper,
Une
enquête
est
faite
pour
établir
les
MM. Pierre Le Friant, de Donarnenei {
89'
6"
2* Leducq, Français, 193 h.
improvisation pleine à la fois d'entrain et
jeunes filles de Brest ; MM. François Mar- dimanche prochain,
responsabilités.
Sylvestre Le P/ince, de Léchiagst ; René
8' Waele, 193 h. 45, 14" }
d'utiles conseils qui ont fait tour à tour la
rée, directeur d'école à Berrien ; Laurent
Gouriten, de Qaéménéveni
4* Mettent, 193 h. 59' 9" {
La P â t e Nationale. -•> Quimper a fété
joie et lo profit des assistants*
Bénodef'Sairile-Marine
Pars, directeur d'école à Ploujean.
M. Sylvostre Le Prince a de plus snbl
5» Vervaecke, 194 h. 42' 30" j
le 14 juillet comme d'habi.ude, avec la revue
11 a surtout insisté sur la nécessité de
Station de s a u v e t a g e . — La cérémoA tous nous adressons, avea nos compli- des troupes en moine.
avec
succès les épreuves écrites de l'exa*
6« A. Magne, 195 h. 3' ;
redoubler de propagande près des jeunes
ments, nos bien sincères félicitations,
nien d'agent-mécanicien des P. T. T.
7* Fontan, 195 h. 57' 35" ;
Les divers.s réjouissances organisées nie d'inauguration de la nouvelle station do pour les amener à nos idées*
D'un autre côté, nous enregistrons aved
8« Bidot, 198 h. 9' 26".
dans la journéo ont été suivies par un sauvetago de Bénodet-Sainte*Marioo aura
11 a demandé aux instituteurs d'aujourpublic assez nombreux, qui y a pris un lieu dimanche prochain 22 juillet à 11 h. 30 d'hui et d'hier de se sacrifier en faveur d'une satisfaction les récents succès obtenus par
BREVET SUPÉRIEUR
du matin,
deux professeurs de l'école : M. Feulvarc'h
Voici les résultats des examens du bre- intérôt marqué.
Le canot de sauvotago « Claude Drouart », jeunesse sortie de nos écoles laïques et qu'il
vet supérieur, qui viennent d'avoir lieu à
Sorvloe des P. T. T. — La mise en k voile et à aviron, qai mesure M m. 50 de ne faut pas exposer aux périls et aux pièges et M. Bosser. Le premier a obtenu le cer'
tificat d'aptitudes à l'enseignement dn traQaimper :
,
Adressez-vous à
service du nouvel hôtel des Postes, du bou* longueur et 3 mètres de largeur, aura pour qui les guettent danB la vie. Il faut les provail manuel dans les E. P. S. et E. N. ; le
Sont aamis
admis aen
définitivement
«»a•
•
i..
sont
nuivemen» :
levard de Kerguélen, est fixée an dimanche équipage : nu patron, an sou»«patron et six téger contre les avance* cléricales et contre
second le professorat s Pences (!'• parti«),
les
griseries
des
théories
moicontairei.
Citoyen
jeuneioini,m.
B.ich,
B^Ber
màteloti,
2t> J aille» an matio,
M
EXAMENS
ihélémé, B.-enterch, Le B< nn, Capitaine, Le
Clech, Christian, Daniel, Dréan, Le Gallou,
Le Gcff. Gouillon, Le Gnen, Gaernslee,
Guidai, Jégou, Labat, Le Loch, Mao, Marchadour, Mariette, Martin, Merrien, Le
Moigne, François Morvan, Yves Morvan,
Prat, Rolland, Rosee, Le Roy, S:buller et
Souu.
Jeunes filles. — Mlles Aveline, Cévaër,
Cueff, Dantec, Deldévet, Le Dœofï, Jeanne
Le GjII, Le G;ffa, Gorréder, Gourvès, Gouzien. Le Grand, Guégaen, Le Guillou,
Henry, Kerbrat, Kerloch, Lars, Jeanne
Mtçon, Madec, Marcelle M&sson, Nicole,
Olichon, Palud, Priol, Roignant, Signor et
Stéphan.
, '
Pour les Gardiens de phares
Nouvelles Locales
&DIMPER
NOUVELLES DÉPARTEMENTALES
Glanes et Perles
Pour tous vos Imprimés
l'Imprimerie du
j
LX CITOYEN
A tous, "professeurs et élèves, nos pin»
sincères félicitations.
Enfin, on nous signale également le succès
du jeone Jean Kervaree, de Ploaré, aux
épreuves écrites du concours d'entrée à
l'Ecole Nationale dea Àrta et Métiers
d'Angers. Noua aonhaitona bonnç réussite
au jeune candida».
Cucngtf
Un bol* en feu. — Vendredi après midi
aprèa le paaaage du train Qaimper-Donarnenez, un boia situé près de la ferme de M.
Joncour, à Peneran, • pria feu.
Malgré lea prompts aecoura de la population et d'un détachement du 118* d'infanterie
troia hectarea de boia aont devenus la proie
des flammea.
On anppoae qu'une étincelle <?e la locomotive a communiqué le feu au boia.
NUlUvs
Féte publique. — Voici le programme
dea fèlea de la journée du 22 juillet :
A U heures, course de bicyclettes, communale.
A 15 heures, course de chevaux, communale, galop.
A 16heurea, courae de bicyclettes, régionale (réservée aux courenra n'ayant jamais
été licenciée). Itinéraire : départ Calvaire,
Loehrist, Carrière, Lochriat, arrivée chez
Pichavant.
A 17 heures, courae à pied avec obstacles,
communale.
A 17 h. 30, courae à pied, enfanta jusqu à
13 ana inclus.
Après lea courses, ¡eux divors.
Grand bal avec jazz-band.
ftlldltM*
Anniversaire de la mortde M. Miohel
Le Bars. — A l'occasion de l'anniversaire
de la mort de M. Michel Le Bars, ancien
maire et ancien conaeiller d'arrondissement, un cortège d'un millier de personnes
•'est rendu dimanche sur sa tombe pour y
déposer une magnifique couronne en fleurs
naturelles.
Près du monument, de très beaux diacoura
ont été prononcée par M. Le Queffélec
maire d'Andierne, et M. Perrot, maire d'Esquibien, conaeiller d'arrondiasement.
reportée au d'man.he 29 Jaillet. Elle se
tiendra à deux heur- a do l'après-midi, salle
Le Borgne.
Tous len parents des élèves et les amis
de l'Ecole Ifcïqne sont cordialement invités
à cotte fé'.e.
Tréogaf
Subvention. — Le Conseil municipal a
voté uno sabvontion de 300 francs au nouveau comice agricole du canton de Plogastel-Saint-Germain.
Pont-l'JIbbé
Syndicat d'élevage. — L'assemblée générale du syndicat d'élevage du canton de
Pont-l'Abbé s'est tenne le 12 juillet courant.
Après quelques paroles de M. Linérac,
secrétaire du Herd-Book, relatives anx but
et avantages des syndicats d'élevage, M.
Toulemont, trésorier, fait savoir qae le but
de la réunion est le choix du lieu et de la
date da concours annuel.
Le vote donne les résultats suivants :
pour TitflUga», 32 voix; Loctudy, 15 ; bulletins nuls, S.
La commune de Treffiagat est donc choisie ponr le concours en 1921.
La date da 3 septembre est fixée pour ce
concours.
Après qaelqaes mots de M. Charles Le
Bastard, maire ie Pont-l'Abbé, il eut décidé
qu'à l'avenir un tour sera établi entre les
communes dn canton ponr la tenue du concours chsqae année. Il est entendu qae le
Conseil municipal de la commane intéressée sera dans l'obligation do voter une subvention pour ce concours.
Avant de lever la séance, M. Toulemont
remercie les nombreux éleveurs présents à
la réunion et lenr donne rendtz-vons au
concours de septembre à Treffiagat.
Service du olmetlòre. — Le maire de
Pont-l'Abbé invite les familles qui ont des
concessions expirées ou des parents inhumés sans concesaion', depuis plus do 5 ans,
d»ni le carré n° 7 du cimetière communal,
à enlever les monuments et tons les attributs funéraires leur appartenant.
Cet enlèvement devra être fait dans le
délai d'an mois ; k défaut il y sera procédé
par lea soins de la manicipalité.
Les famille», ayant des tombea actuelleCertlfloat d'études primaires—Voici
lea résultata de l'examen dea candidats au ment sans concession dans le carré précité,
C. E P. (groupe maritime) :
peuvent conserver lears tombes en faisant
Sur 55 candidate présentés, 44 ont été dé acquisition de concessions. A cet f fi?',elles
claréa admissibles, se répartiasant comme devront se présenter à la mairie pour tons
renseignements et pour une demande réga
" É c o l e publique d'Audierne. — Préaentés,
lière avant le 31 jaillet 1928
22 • reçus, 19, dont deux avec meûtion bien.
E t a t Civil. — Naissances : Jalienne Le
École publique de Plogofl. — Préeentés,
Bran, route de Qaimper ; Marcel Le Bellec
16: reçus, 12
Ecole de Poclgoszec. — Présentés, 12 ; rue du Prat ; Germaine Le Garrec, rue Pas
rsçus, 8.
tour ; Msrcel Stéphaut, rue Neuve ; Claude
Ecole de Primelin. — Présentés, 5 ; re Le Failler, rue Victor Hugo ; Josette Laga
çus 5, dont 1 avec mention bien.
dee, rue Victor H ago; Raymonde Lì Bas,
rue Ernest-Renan; Annick Qainiou, rue
plozévtf
Jean-Jaurès ; Pierre Briec, route de Quim
La Fête des Eooles. - Celte jolie fêle per ; Henri Le Fur et Yvonne Le Far (ja
dont on se aouviendra longtempa a en lieu meaox). rue Jules Simon ; Sizanne Le Corle 8 juillet. La directrice, Mlle Le Pape, les re, rne des Ecoles ; Marie Riou, Kerva
maltreaaea et les maltrea s'étaient donné» zias.
sana compter pour organiser cette fête qui
Mariage : Jean Marie Le Barre, ouvrier
des P. T. T. à Qaimper, et Germsine Pri
fut réussie en tout point.
Malgré le Congrès Eucharistique de gent employée de commerce à Pont-l'Abbé.
Décès : François Jégou, 27 ans, journalier,
Pont-Croix qui devait attirer dans cette
ville beaucoup de monde, la aalle était époux de Marie J. Parc, rue Victor Hugo ;
Joseph Cariou, 57 ans, cultivateur, veuf de
comble.
. M. Le Bail, maire, présidait, assmté de Corentine Gnirriec, place G imbetta ; Marie
•es deux adjointe, MM. Jean Peaziat et Stéphan, 12 ans, ménagère, épouse de Louis
Jean Guellec, de M. Cabillic Jean, ancien Failler, rue de Plonéonr ; Marie Nicolas, 58
an»,e u u ière.éponsodeFranqoisGuennec,
adjoint-maire et du Conaeil municipal.
Noua svona particulièrement remarqué rue Jules Simon ; Marie Le Nours, 53 ans,
parmi lea pièeea du programme, le Réveil couturière, épouse de Pierre Gouyon, place
Gambetta ; Marie Gourmelen, 76 ans, méaux champs, Le premier Médecin de
nagère, venve de Nicolas Guégainiat, route
France, farce désopilante qui fut particude Qaimper ; Corentine Le Pape, 55 ans,
lièrement bien enlevée par deux élèvea du
ménsgère, épouse René Bilien, place Gam
conra aupérieur de filles, le jeu de la rose,
betta ; Jsanne Kerveillant, 76 ans veuve de
et la Fêle Japonaise qni fat admirablement
Jean Le Pape, rue Lamartine ; Jicques
réussie. On se serait cru k Tokio, sans Péron, 54 ans, commerçant, époux de
compter que deux ou troia de noa jeune» Catherine Struillou, place Gambetta ; Nona
bigoudennes avaient d'avance le type Gnéguiniat, 66 ans, fabricant de colliers,
un peu japonais.
veuf de Corentine Le Brenn, Roz ar-Hastel;
11 a fallu beaucoop d'application et d art Jean-Louis Drézan, 49 ans, menuisier, cè
pour créer de toutes pièces les éléments de libstaire, Roz-ar Hastel; Joseph Le Pape, 50
cette scène et pour mettre en mouvement ans, maçon, épouse de Marie Durand, Pen
tout ce petit monde dana un cadre tel qae quer-Nevez ; Marie Baennac, 7i ans, veuve
l'illusion était permise.
de Loais Stéphan, rue de Plonéonr ; Louise
Lea bravos de l'auditoire ont montré aux Fourmond, 5 mois, raa Jean-Jaurès; Marie
organisatrices qu'on leur rendait un joite Riou, 80 ans veuve, do Félix Hamon, place
hommage
perdue. et que leur peine n'avait pas. été Gambetta ; Laurent Qainiou, 49 ans, comDans l'entr'acle, M. Le Bail a pris 1» merçant, époux do Marie Le Roux, rue Ho
parole pour féliciter tout le monde, maîtres che.
ol élèves.
GuiMflcc
11 a dit à Mlle Le Pape combien la popuAooldent m o r t e l . — La somaine derlation regrettait aon départ.
nière, plusieurs enfants jouaient, en face de
A la veille de la concurrence que a'apprôte la poste, rue de la Marine, lorsqu'un camion
à faire à l'école publique l'école privée conduit par M. Nihouarn, camionneur
qui va bientôt a'ouvrir, Mlle Le Pape a été Qïimper, heurta S:mone Chariot, Agée de
nommée à Qaimper où elle va diriger 6 ans. La panvre petite tonrna sur elle-même
l'école de la ruo Vis.
et tomba sous le camion. Sa tète fut prise
Qae n'est-elle restée quelques années do sous la roue avant. La mort fut instantanée
plust
Ce pénible accident a causé une vive
M. Normand, directe« de 1 école de
garçons, prend aussi »a retraite et va se émotion à Gnilvinoc.
Il est établi que la responsabilité de l'auto
retirer à Audierne. M. Le Bail dit combien
mobiliate
n'est pas engagée.
il le regrette, car il était un directeur excel
lent, animé du sentiment du devoir, servis
ble et aimé de tons.
Pnia M. Le Bail engage les familles k
accorder, comme par le passé, leur entière
confiance à l'école de filles.
Les hommes et les femmes de Plozévet
ne redoutent aucune comparaison.
L'Ecole publique a formé des femmes
honnêtes, travailleuses et capables entre
toutes. L'école privée ne fera paa aussi
bien. H y s la Religion. Eh bien, le prêtre
est là pour l'enseigaer, c'est son aflai/e et
il a qualité pour apprendre anx enfanta le
catéchisme mieux qu'aucun autre, Tout
était pour le mieux dans le meilleur des
mondes. Il n'y a qu'à continuer.
Une classe enfantine va s'ouvrir à la rentrée, et, pour lea filles, les fournitures
scolaires seront sans doute entièrement
gratuites.
A la demande générale la fôte a recommencé le lendemain.
I,e prix des entrées s'est élevé à 1 488 fr.
Bravo, les miltresses 1 Bravo les élèves
et bravo aussi lea assistants si nombreux l
CHATEAOLIN
Ponf-de-Buis
R é s u l t a t s du oertlflcat d'étude». —
École des garçors : Jean-Louis Autrot, Mi
: hel Aatret, (mention bien), Etienne Batany
Eugène Beurrier, Césaire B)udoulec, Jean
Calvez, Y ve» Calvez, Jean Céva&r, Louis
Diverrò», Pione Glévarec," Marc Goas
Charloa Guédès (mention bien), Albert
Gailly (mention bien), Yves Hascoôt, Marcel
Jam (mention bien), François Labous, Roger
Le Bec (mention bien), Jean Le Moigne
(rr.eition bien), Albert Le Page, Jean Le
Séach, Corentin Ménez, François Ménez
Nicolas Mignon (montion très bien), Fran
çoia Miossec (mention bien), Michel Moi*'
caGr, Jean Morvan (mention bien), Joseph
Pichon, Yves Pladec, Francis Qaintin, Yves
Quinti», Félix Rousseau (mention bien)
Jacquos Thomin, Pierre Tromeur (mention
bien), Yvenat.
É:ole publique des filles. — I.ouiae Glé
varec (mention très hisn), Jeanne Gode
(mention très bien), Jeanne Moscai)r (men'
tion bien), Merguerite Couverture (mention
biep), Vilentine Poulmarch (mention bien)
Pouldrtuzic
Germaine Cavellat (mention bien) Louise
La F * t e de» Ecole» laïque». — La Pichon (mention bien), Marie Rolland
(été de» écoles l » ï q « " de Ponldrenziî est (meation bien), Eugénie Guéguen (mention
Tiiisfflr
bien), Yvonne Quintin (mention bien), Louise Gourvès (mention bien), Anne Le Baut,
Lucienne Le Trent, Marie Guern, Germaine
Le Roy, Marie-Lonise Rolland Isabelle
Boucher, Anno Thomas, Jeanne Coadou,
Henriette D.veriè», Herveline Andrée. Yvette Mallégol, Jeanne Callec, Yvonne Inizan,
Soit : 34 garçons et 24 filles reçns.
Nos félicitations aux élèves, aux maîtres
et mattressee.
Petites recettes pratiques
FLAN REINE-HORTENSE
Préparer un flan aux cerises à l'ordinaire, avec une pâte brisée et de balles
cerises anglaises. Le recouvrir après
cuisson d'une couche de gelée de gro<
seille. Laisser complètement refroidir,
puis recouvrir d'an meringage obtenu en
battant des blancs d ' œ i f s en neige et en
les additionnant d'une quantité de sucre
qui leur donne la consistance désirée et
d'une cuillerée de vinaigre. Faire dorer
à four très doux, d'une teinte blonde et
laisser sécher bien à fond.
Qouézcc
Le nouveau m a i r e . — Dimanche le
Conseil municipal de Goui z ic était convoqué
à l'effet d'élire un m»i:e en remplacement
de M. de Legge, décédé.
Au premier tour de scrutin, M. Pierre Le
Roy, adjoint au maire, cultivateur à Quelvy,
a été élu par 11 voix sur 15 votants.
tâfCUld
Ltndcieiu
La f é t e nationale. — Dimanche 22 jaillet sera célébrée à Landeleau la féte nationale du 14 jaillet.
La féte commencera dès 9 heures du
matin et comprendra de nombreuses courses et attractions; elle sera terminée par
une course de bicyclettes régionale comprenant 4 prix : 100, 75, 45 et 20 francs etdeux primei surprises.
A 21 heures, bal avec jazz-band.
Notre Concours est un Succès
Lannfcdtrn
F é t e Nationale. — La féte organisée à
Lannédern, dimanche, à l'occasion du 14
Jaillet, connut un vif auccès.
Dès l'après-midi, de nombreuses personnes suivirent lss courses organisées par
la municipalité républicaine. Jean Cornée,
de Lannédern, arrive 1" dans la course de
bicyclettes suivi de Mingam, du Cloître, et
de Le Goiï, de Lannédern.
Le 1*' prix de la course à pied revint k
Y. Mével devant Yves Ménez et Jean-Louis
Pennec.
Une demi-heure de fou rire nous fat
procurée onsuite par les amateurs du jeu
de la pcfilo.
Dans la soirée, tonte la jeunesse se donna
rendez-vous au bourg et dan«a jusqu'à une
heure avancée aux airs entraînants de l'ac
cordéon. La fête se termina par une illumination générale : lanternes vénitiennes, feu
de bengale, lancer de fusées.
Bruparfs
Aooldents. — M. Yvenat, maire de Brasparts, a été, jeudi, victime d'un grave
accident.
11 rentrait à bicyclette à sa propriété de
Reslouet, vers 19 heures, lorsqu'à un kilomètre du bourg, au rnisieau du Poul-arGurun, endroit cù la ronte décrit une courbe
très prononcée, il heurta une automobile
venant en sent inverse.
Le choc fat très violent et M. Yvenat fut
projeté dans la glace de la voiture ; on
le releva la figure ensanglantée.
Le docteur Berthélémé, do Plonévez-duFaon, constata que M. Yvnnat avait une
clavicule brisée, plusieurs côtes enfoncées
et des contusions multiples sar tout le corps.
11 semble néanmoins que toutes ces blessures ne doivent pas mettre ses jours en
danger.
Ponr comble de malh ur, qnelques minutes après ce premier accident, et au même
endroit, un cycliste, M. Goavec, mécanicien, et un motocycliste, M. Charles Yvenat, boulanger à Brasparts, sont entrés en
collision, sans toutefois sa blesser gravement ni l'an ni l'autre.
BREST
Fédération nationale
de» Blessés d u P o u m o n
Samedi, dimtnche, lundi prochains, les
21, 22, 23 Juillet, aura lieu à Brest le
Congrès national des Blessés dn Poumon.
M. le Ministre des Pensions et M. Oberkicht, sous-secrétaire d'Etat à l'Hygiène,
assisteront à l'ouverture de cet important
Congrès des victimes de la guerre, ainsi
qu'à l'inauguration de la maison de la Fé
dération départementale, obtenue par les
souscriptions de ses adhérenta.
Dans cet immeable seront installés des
services médicaux et juridiques, qui
seront à l'entière disposition des mutilés,
des anciens combattants, des malades pulmonaires.
Ce sera la consécration partielle et mi
nime da noble ot vaste projet de la Fédération nationale dea Blessés du Poumon,
qui défend toutes les victimes de la guorre,
et qui a déclenché, dans tonte la France,
avec les moyens qui lui ont été donnés par
ses adhérents, la lutte la plus vive contre
le terrible fHau qui décime depuis lafindes
hostilités l'immense phalange des bronchi
teux, intoxiqués et gazés.
L'œavre et le but humanitaires que veut
développer et atteindre la F. N. B. P. C.
est immense ot généreux.
Il appartient à toutes leB victimes de la
guerre de faire leur devoir envers elle et
de lui apporter leur humble concours.
Le Gérant : Pierre Guéguen.
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électrique, roulé 18 000 km. tout en tré»
bon état. Prix à débattre.
S'adresser au bureau du journal,
Tribunal de Commerce de Quimper
Jugement de 19 juillet 1928 : faillite
de M. Le Lannio, épicier en gros à
Concarneau, ouverte au 5 juin 1928.
Réunions do créanciers du 27 juillet
1928, à 10 heures : 1° Faillite Le Lannio
précité, pour la désignation du syndic
définitif ; 2° liquidation judiciaire do
Mlle Chappatto, horlogerie bijouterie à
Concarneau ; 3* faillite de M. Pichon,
peintre à St-Guénolé P e n m a r c ' h , pour
délibérer sur a n concorda',
vjô.V'.v,.
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Toute la journée, nons voyons défiler sans arrêt des clients qui
nons demandent le « Règlement du Concours » et réclament leurs
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1 , r prix : 1 . 0 0 0 francs en espèces.
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GAUTHIER, rue de Nemours, Rennes, valeur 8 7 6 francs.
3« prix : Une blcyolette de d a m e marqne « SPARTING »,
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porcelaine de Limoges, de la Maison -HAMON-ROBERT, Quai
Lamartine, Rennes, valeur 5 5 0 francs,
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du 16* au 20' 1 5 0 frs remboursables en marchandises,
du 21« au 35* 1 0 0 frs remboursables en marchandises,
du 36* au 50' 5 0 frs remboursables en marchandises.
POUR BLANCHIR
LES OBJETS EN OS
Pour blanchir les objets en os ou les
os, on les place dans un coffre recouvert
d'une vitre et contenant un récipient où
l'on a versé de l'essence de térébenthine.
Pais on expose le tout au soleil. Les
objets en os ne doivent pas tremper dans
l'essence, mais être seulement exposés
à ses vapeurs.
Pour concourir, il suffit d'être client de LA PARISIENNE
et d'acheter pour 1 0 0 fr. de marchandises d'ici le 15 Août.
Peadant ces quatre semaines, de mi^nifiqies occasions
sont à votre disposition. Ponr tout ce qui concerne l'habillement
féminin, vous trouverez chez nous des Nouveautés remarquables
à des prix extrêmement intéressants. Dépêchez-vous d'en profiter.
Non seulement vous ferez une bonne affaire, mais encore vous
risqvez fort de gagner un prix.
NETTOYAGE DES BOUTEILLES
ET DES BONBONNES
Pour le nettoyage des bouteilles, bon*
bonnes, ayant contenu du pétrole, on se
sert d'une solution de cristaux de sonde
ou de potasse chaude. Agiter fortement,
évacuer la lessive, laisser refroidir et rincer à l'eau claire. S'il y a eu, en plos, de
l'huile, il faudrait auparavant dégraisser
la bonbonne. A cet effit, prenez de
l'oseille, dont vous garderez les queues
que vous couperez en tronçons de 1 à 3
centimètres, et mettez-les dans le récipient à nettoyer, avec un peu d'eaa.
Sscouez dans tous les sens pendant
quelques minutes et videz. Lavez ensuite
à l'eau tiède contenant un peu de cristaux
de soude comme il a été indiqué c i dessus.
Suivant acte reçu par M® Pouliquen,
notaire k Pont l'Abbé, le 4 juillet 1928,
M. Pierre Bourdon, veuf de Mme Célina
Le Nadan, négociant, demeurant à Guilvinec, et M. Jean Le N&daD, époux de
Mme Augustine Daniel, négociant, demeurant aussi à GuiWinec,
R Ï W E S
ruo d o Toulouse
Ont formé une société à responsabiIIOBLAIX
»©, P l a c e T h i e r s
lité
limitée pour l'exploitation d'un
QU111PER
4, r u ed u P a r c
commerce de vins et spiritueux, l'achat,
la construction et la location de tous
immeubles jugés nécessaires à la société.
La dénomination de la société est
« Pierre Bourdon et Jean Le Nadan ».
La durée de la société est de 25
années.
comporte u n coussinet central antivibrateur
Le siège de la société est à Guilvinec,
d ' u n e efficacité s u r p r e n a n t e .
route de Menmeur.
Le capital social est fixé à 100.000
Plus d'usure prématurée.
francs,
divké en 100 parts de 1.000 fr.
Plus d e ressorts cassés.
chacune, et attribuées pour 50 parts à
Pas
d'infiltration
d e l a i t d a n s l e s chaque associé.
parties mécaniques.
M. Bourdon a fait l'apport
de matériel et marchandises,
Son entretien est agréable.
estimés
50.000f.
Son écrémage tient d u miracle.
Et M. Le Nadan,
l'appoït de matériel
et marchandises, estimés
40.000 f.
Et en espècen, une
somme de
lO.OOOf.
parisien"®
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A L'ÉLEGAJSCE
10-12, Rue Renè-Madec, 10-12 — QUIMPER
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Etude do M* JOBLIN, notaire à Orléans,
11, rue Charles Sanglier.
Etablissements Mené MAINGOIRD
Société anonyme au capital de 1.300.000 fr.
Siège
à ORLÉANS, 80, Seul. Alexandre Marlip
Succ nsa'.e à LESCONIL,
commune de
PLOBANNALBC
Aux termes d'un procès verbal de
l'assemblée générale extraordinaire dos
actionnaires de ladite société, en dato
du 28 juin 1928, il a été constaté que
l'assemblée générale avait décidé de
substituer au premier alinéa de l'ancien
article 16 des statuts, le texte suivant :
Article 16. — La société est administrée par un conseil composé de un membre au moins et de huit au plus pris psimi les ac'iorinaires et nommés par l'assemblée gén^ralo.
U 1 extrait du p. v. de Indite assemblés générale a été déposé :
A la dato dti 12 j >illet 1928 à chacun
dos gr(ff;» da T n b u a a l da Commerce
d'Orléans et de la Justica de Paix du
canton nord-est d'Orléans.
Et à la date du 13 juillet 10ii8 à chacun des greffes du Tribunal de Commerce do Qaimper ot de la Justice do Paix
do Pont-l'Abbé.
Pour extrait ot mention :
JOBLIN.
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S'adresser à M0 Manière,
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tout compris, la 1/2
piòco 110 lit. de mon
Naturel, fût neuf, port e t régie payés.
3 é r h a n t . 3 fr. timb. Mme Marie SUDRE,
propi r 0 , St-Roch, près Montpellier.
190 fr.
Total
Ensemble
50.000f.
50.000f.
7 lOO.OOOf.
La société est gérée par les deux associés avec les pouvoirs les plus étendus.
Il a été stipulé que le capital social
pourra être augmenté ou diminué.
En cas de décès de l'un des associés,
le survivant aura la faculté, si bon lui
semble, de racheter les parts du défant,
d'après les bases de l'inventaire de la
Régie fait après ce décès, et au prix d*
facture d'achat, et d'après les registres
pour l'avoir en caisse.
Une expédition de l'acte de société a
été déposée au Greffe du Tribunal d«
commerce de Qaimper, le 13 juillet 192S
et au Greffe de la Justice de paix d«
Pont-l'Abbé, le 12 jaillet 1928.
Les déclarations do créances par tout
créancier des apporteurs, en verta d«
l'article 7 de la loi du 17 mars 1909,
doivent ôtre f- ites au Greffe du Tribu«
nal de commerce de Quimper au plus
tard dans la quinzaine de la présents
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Pous extrait et mention :
J. POULIQUEN,
notaire.
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S hypertrophie, rétrécissements, urines troubl«*, ctc.
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Il VU U l t f v H l W k pollutions nocturnes,
guéris à tout ùgo ot sans danger par l'UGYL, formulé
attrieuso, très uctivo, recommandé par le Corps Médical.
UQÉOL ou D B H sont envoyés discrètement franco
contre mandat do 35 fr. (impôt comprit). S
Labsr:-.>!r* UGÉOL, 22, B<Sél>aotopol. PARIS (Toit« Pl»..Mltl).
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20
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07
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30
31
54
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9 18 27
34 19 10
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PARIS 0 . (<£)..
20 12
17 26
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18 49
6 13 6 32
19 39 21 5
6 35 6 55
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Rosporden . . . . 7 2 7 25
20 30 23 12
Q U I M P E R . . . . 7 21 8 l
20 55 0 15
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8 45
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0 19 7 53
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7 10 15 40
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QUIMPER (d). 6 22
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6 53
7 85
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PARIS 0 . (a).. 22 40
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5
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7
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Landerneau (d)
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Sl-Thégonnec..
Morlaix ( d ) . . . .
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St-Brienc
Rennes
PARIS (Montp)
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8 25 10 25 14 » 17 40 19 50 20 20
8 42 11 3 14 27 18 26 20 56 20 39
8 50 11 29 14 45 18 55 21 28 »
11 48 » 19 15 21 50 »
9 26 12 18 15 32 19 42 22 08 21 26
22 31
10 25 13 5G 17 4 21 30
11 7 15 27 17 53 22 15
23 18
usa»
12 53 18 3 19 50
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A
Service
» 21
4 3 7
9 38 10
10 13 10
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12
14
14
PARIS PAR MORLAIX
PARIS (Montp)
0 20
Rennes
(d)....
8 22 Il 05
St-Brieuc (d).. 10 46 13 54
Gningamp (d).. 11 35 14 44
Morlaix (d).... 13 08 16 21
St-Thàgonnec.. 13 30 16 42
Landivisiau.... 13 46 16 58
Lindernean(d). 14 9 17 31
BREST
(a).... 14 33 18 3
»] 22 58
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7 27 22
7 59 23
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24
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b
10
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25
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15
LIGNE DE QUIMPER A PONT-L'ABBÉ
"
t
Quimper
| 8 13!
13 12 7|
71 15 2|
2 18 13, 20 50
P o n t - l ' A b b é . . . . , 6 13, 9 321 13 351 16 11 18 31i 19 32 Dira
Pont-l'Abbé
I 8 5l| 12 45| 15 50l 18 54' 21 28
Quimper
| 6 50| 10 15| 14 35| 16 38! 19 N)] 20 9 at fêtes
(*) A lieu du dimanche des Rameaux au 2 octobre.
I
LIGNE
13 50 19
14 26 19
14 45 20
DE PONT-L'ABBÉ A SAINT-GUÉNOLÉ
15
•
I Saint-Guénolé
51
I Guilvinec.
10
1
1 Pont-l'Abbé.
7 55 12 25
8 20 12 50
8 50 13 20
LIGNE DE PONT-L'ABBÉ A AUDIERNE
a
b
9 40 19 5 9 40
Pont-l'Abbé
dép
7¿2>
Plonéour^
10 2 19 23 10 2
7 38
10 17 19 35
Tréogat. '.
7.58
Poutareuzis
10 35 19 48
8 11
10 57 20 7
Plozévet
8 30
11 11 20 21
Plouhinoc
8 42
11 38 20 36
l'ont-Croix
8 56
11 50 20 45
Audierne
arr
Pont-l'Abbé..
9 10
(a) N'a lieu que les Jeudis et Dimanches.— (b) N'a lieu que le 13 de chaque mois, jour de foire à Plonéour.
17 15
17 40
18 10
I
1
a
b
15 55
16 14 •
16 37
16 59
17 15
17 27
17 47 17 »
18 5 17 18
LIGNE DE QUIMPER A DOUARNENEZ
Quimper
I 8 71 12 261 14 551 18 311 20 43 a
Douarnenez
I 6 », 9 251 13 361 15 481 18 261 19 39 dim
Douarnunez
| 8 45| 13 4¡ 15 47] 19 l l | 21 21
Quimper
I 6 37l 10 lo| li 4l| 16 2s| 19 5| 20 16etfôtes
(<) A lieu du dimanche des Rimeaux au 2 octobre inclus
I
Douarnenez
Pont-Croix
Audierne
Rosporden
Conearneau
LIGNE DE DOUARNENEZ A AUDIERNE
I 9 20 13 51| 19 30
Audierne
10 5 14 32 20 15
Pont-Croix
Douarnenez
I 10 17 14 4i| 20 27
I
|
|
LIGNE DE ROSPORDEN A CONCARNEAU
Conearneau
7 56 11 56 17 80 20 17|
8 25 12 30 17 59 20 46:
Rosporden
I
8 » 12 2 » 17 9i
8 19 12 43 17x28
8 57 13 21 18 6
I 6
7
10 22i 16 10 19 13|
10 49 16 44 19 40
LIGNE DE QUIMPERLÉ A CONCARNEAU
d
t
e
d
i
8 6. 13 25 16 30 17 42 19 4 1 | Conearneau
Qaimporlé
I a
8 401 13 25, 17 11 18 141 18*50
h
I 6 24 9 40. 14 40, 18 12 19 12| 19 45
Pont-Aven
I 5 34 7 15( 9 6 U 45 17 35 18 42j 20 441 Pont-Aven
10 10 2| 15 40 18 30
_ Quimperlé
| 7 24 10_ _381
_ _15
_ _40
_ 19 12
_d
C o n e a r n e a u . . . . ! 6 29
(a) Vendredi et jours de foire à Qaimp«rlé. — (b) Mardi, dimanche et fêtes et jours de foire à Qaimperlé.— (c) Mardi, vendredi
dimanche et fêles et jours de foire à Quimperlé et à Pont-Aven. — (d) Tous les jours sauf les mardi, vendredi, dimanche et fêtes. —
(e) Mardi, vendredi, dimanche et fê'es. — (f) Da Conearneau P . O. à Pont-Aven, mardi, vendredi, dimanche et fêtes et jours de foire
à Quimperlé et à Pont-Aven ; de Pont-Aven à Qaimperlé, tous les jours.
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( S cène vécue)
Un dimanche sur la route. — Le long
l'un mur, an groupe de potits jeunes geno.
L'instituteur et sa famille en promenade.
Salut da groupe de jeunes gens. Réponse
de l'instiluteur. Ce dernier, apercevant un
C O M M E R C I A L
à m . pterrt CUÉGUEff, Administrateur-Gérant.
Les manuscrits
de ses anciens bons élèves : « Bonjour
Jacques I il y a bien longtemps que je ne
t'ai va ».— (Jacques prend un air embarrassé).
— Eh bien, ta ne viens pas me serrer la
main î
Jacques, après un temps de réflexion,
approche d'an pas décidé, rendra plus martial par l'allare militaire qoe lai donne une
belle casquette rehaussée de palmes où
s'enchevêtrent deB initiales : « Bonjour,
monsienr I »
L'Instituteur.
— Bonjour Jacques, ta te
plais toujours à ta nouvelle école I
Jacques. — Oui, monsieur.
L'Instituteur.
— Et ta y travaillas bien î
Jacques. — Comme toajoars. (Le jeane
homme a mis ses mains dans les poches do
son gilet et regarde son ancien maître d'an
œil pétillant), puis : « Eh bien monsieur,
croyez vous que j'aie bien fait d'aller làbas T
L'Instituteur.
— Mon cher, il ne m'appartient pas d'en jager. Ton pùro t'y a coudait, cela ne me regarde pas.
Jacques (l'oeil brillant). — Alors, voua
pensez qae mon père a ea raison do m'y
envoyer T
L'Instituteur.
— Ton père est libre,
chacan agit selon ses opinions. ; il est
certain qao si ta avais été mon tîls ce n'est
pis là qae je t'aarais mené, le lycée t'aurait
donné plas de déhoa?Ms.
Jacques (an soariro s&rcastiqae aux
lèvres, l'œil illaminé d'une flamme moqueuse). — C'est bien ce que je pensais III
L'Instituteur
(feignant do ne pas sentir
l'ironie des mott). — Et qae comptes-ta
faire, as-tu choisi une carrière T Tu n'es
pas encore décidé î
Jacques — Si, mais 11 I (ions-entendu :
cela ne von* regarde pas. Et sur nu ton
plein de haine). — Je réussirai aussi bien
par là qae par tous VOS lycées.
L'Instituteur.
— Bien Jacqaes, mais un
conseil, n'oablie pas que ce sont les maîtres
laTqaes qui t'ont (< décrotté ».
Jacques (en partant). — Oh I décrotté II
L'Instituteur l'étant éloigné. « Décrotteur I »
Voilà, dans sa simplicité, la petite scène
qui ee passa ces temps derniers dans an
petit boarg de nos campagnes bretonnes.
Et je m'en allai, poussant machinalement
la petite voitare de bébé, abasourdi, le
ccear ulcéré.
Ainsi voilà ce qu'ils en Ont fait, ce qu'ils
en font I I ! Vous seriez sans donte étonnés
d'apprendre que ce jeune étudiant en théologie (15 ans) était à l'école pabliqae un
très bon élève, excessivement doux, timide
et affectueux.
Le voilà, hardi, insolent, même, prêt à
attaquer ceux à qai il doit, malgré lui, un
pen de ce qa'il sait.
Orgueil, ingratitude, intolérance, haine,
sont les sentiments charitables et chrétiens
qu'an nom da doux Jésus nos « Torquemad» » 20' sièclo, prêts à une Saint-Barthélémy des laTqaes, ièm-snt au cœar tendre et
naïf des petits Bretons.
Plaidoyer pour l'Ecole Unique
Tous les a n s les Congréganistes enlèvent quelques élèves do nos écoles
laïque« du Cap et les dirigent sur la
Vendée. Ces élèves intelligents sont
choisis dans les familles pauvres. La
« caisse noire » se charge des frais d'instruction. C'ost trô.i bien de permettre à
ces jaunes intelligences dose développer.
Mais voilà ! Quand les républicains veulent aussi donner accès à l'instruction
supérieure à tous los enfants intelligents
en réalisant l'école uniquo, alors le parti
clérical pousse de hauts cris. Ce que
« la caisse noire » réalise, la caisse
publique de l ' E at ne doit pas l'entreprendre. Pourquoi ? C e n t pourtant faire
œuvre utile et nationale que de développer toute» les intelligences. Si l'Eglise
combat violemment le projet d'école
unique c'est qu'elle veut se réserver les
e n f a n t s doués, do famille pauvre —• les
riches lui sont déjà acquis — façonner
leur esprit, en faire des docteurs, des
avocats, des ingénieurs qui lui seront
tout dévoués et môm* les caser dans les
administrations publiques qu'ils gangrônont.
L'école uniquo I Pour les cléricaux
seuls,mais pas pour les autree, Les intelligents pauvres leur échapperaient. S'ils
n ' o n t pas lu monopole de r e n s e i g n e m e n t ,
ils veulont se réserver tout au moins
celui des intelligencae.
ne sont pas rendus. — Pour les renseignements
Pourquoi Saint Jadé n'a p i s
son. pardon dans la Cap-Sizin
L é g e n d e
E a l ' a n de g à ; a 1928, u n s gfave
question s'agita dans le Cap quand les
feux de la S i i n t Joan furent étoiats.
Le pays capist^, qui possédait déjà un
nombre respsctab'.e da s a i a t i : S S T l n y ,
St T h u g a n , St-Véaoc, S:-Pabu, S i Trémeur, St-Budoe, etc. etc., en avait un
nouveau depuis le 29 avril de ladite
annéo : St Jadé. Nul ne l'ignore, et si
les a l m a n a c h s s'imprimaient plus souvent que tous les a n s nous l'y aurions
déjà vu figurer. Mais caci n'est rien :
un saint c'est très facile à f a i r f ,
encore faut il qu'il ait un sanctuaire et
surtout ua pardon, et là commencèrent
los difficultés. Ce qu'ils se sont cassé la
tê.e, C9a braves Cspistes ! Ce n'est pourtant pas dans leurs habitudes — mais
une fois n'est pas coutume.
Et d'abord une chapelle ? Où la construire? Quelle paroisse pouvait produire
le nombre voulu de « fantochas » pour
en revendiquer le Patron ? Plouhinec
affirmait qu'eu tant que Patrie de la
Carotlo, tous les droits lui revenaient.
Hum ! Il parait que Plouhinec n'est pas
le Cap « pur », et Plouhinec a dù renoncer à ses prétentions. Primelin n ' a rien
voulu savoir, Primelin a S t - T h u g e n !
Vous savez, St.Thugen qui guérit les
rages de dents et la rage tout court. P a s
besoin de concurrence, et reste à savoir
si le grand St Thugen aurait suffi à
guérir tous les enragés que lui aurait
valu le voisinage du nouveau S i i n f .
Cléden était prêt à tous les sacrifices,
mais halte-là ! Gaulion a si bien « rouspété » que Cléden a du »e taire et renoncer à St-Jadé et sa chapelle. Lescoff de
son côté promettait d'offrir pour l'érec
tion du sanctuaire sa cotisation annue'la
à la Ligue antialcoolique et l'Ile dt> S j i a
faisait le don de sa vertu...
Que faire V Q j e faire ? Toutes les
brebis du Cap demandaient pourtant
en c h œ u r , sur lo mode bêlant : Saint
Jadè ô 6 ! Saint Jstdô ô-ê!....
C'est alors que quoiqu'un eût une
idée, une idée géniale. . Puisqu'on ne
se mottait pas d'accord sur le lieu du
sanctuaire il n ' y avait qu'à en faire un
ambulant, et l ' o n décida que St-Jadé,
patron des fantoches, allait avoir sa
roulotte. Oui, une jo'.ie petite roulotto
avec des guirlandes de houx, des lanternes vénitiennes, d : s oriflammes aux
couleurs démocratiques, et sur lo toit
perruches et serins auraient BiIllS mélo
diousement : Saint Jadè 6 ô, Saint J»
dû ô ê ô... ! 1. O a aurait promené le
Sstint d ' u a bout à l'autre du Cap ;
chacun eût pu faire ses dévotions, et
sur son passage lo Saint eût prodigué
les miraclog. Les pansions auraient
mûri, los poireaux se seraient multipliés,
et les poires aussi.
M ais ouicha ! Vo; à que du haut du
ciel S i i n t Pantaléon s'agite et se m e t
en colère. Voyons ' ces Capistes ignares
ne savaient pan que lo grand Saint P a n taléon était lo patron des sauteurs,
bateleurs, bonisseurs... Qu'est-ce que ce
patron dos fantochos, ca S i i n t Jadé qui
veut se promener on roulotte et q u ' o n
va prendro bion covtainement pour un
saltimbanque? S i i n t Pantaléon a mis
bon ordre à tout cela ; et par devant
tous les saints du Cap déjà n o m m é s :
St-They, St-Thugen, St-Trémeur, StPabu et S t - B u d o r , le grand Saint P a n taléon a signifié au potit S .Jadé qu'il
n'avait pas oncore droit do sanctuaire
dans le Cap et qu'il aille chercher sous
d'autres cieux chapalle ot pardon.
Républicain» ! Â boss max- voum au
Journal l e Citoyen
mi fmSiaa abo»attor
voa
aeolm.
M. le br Guillemot malade
M. le docteur Ouillemot, sénateur du
Finistère, se trouvait, avec sa famille, chez
son gendre, M. Lavallou, pharmacien au
O jilvinec, lorsque, pris d'un mal subit, il se
fit examiner par son ami, le docteur Le Coz,
de Pont-l'Abbô.
M. Guillemot, qui avait un abcès dans la
région appendhulaire et une péritonite
localisée, fat opéré presqa'aussitôt.
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Sauf en cas de force majeure, le laie complète guérison pour notre sympathique
d'action ne donne à gagner qu'au laïc. •¿naleur.
joindre
un timbre pour la réponse.
Miettes
de la
Semaine
— Le cadavre du banquier be'ga
Lœwanstein a été découvert jeudi, dans
la Manche, par des pécheurs de Boulogne.
Oa sait que M. Lœw'anstein était
tombé de son avion, dans la Mancha,
alors qu'il se rendait tle Londres à
Bruxelles.
— Un violent tremblement de terre a
été ressenti au Pérou. I! a été suivi de
secousses moins fortes qui se sont prolongées pendant plus d ' u n e minute.
U i certain nombre de maisons ont
été détruites,
— Le général Obrégon, qui devait
succéder à M. Calles à la présidence de
la République mexicaine, a été assassiné
par un fanatique religieux.
— Le pacte Kellog, qui m e t la guerre
« hors la loi », serait signé le 28 août à
Paris.
— La vague de chaleur continue à
sévir, causant des accidenta dans différents pays.
Dans les Pyrénées d'immenses forêts
ont flambé, t a n t sur le versant français
qu'espagnol. Les dégâts «ont considétablai.
— M. Doumergue, président de la République, a présidé dimanche les grandes
fûtes organisées à Carcassonne à l'occasion du bi-millénaire de la cité.
Il était accompagné de MM. Leygues,
Tardieu, Sarraut, Loucheur et Herriot,
ministres.
— Le lieutenant de vaisseau Paris a
entrepris, en hydravion, le raid Br6stNtw York, avec escales aux Açores ot
aux lies Barmudes
Le brillant aviateur, qui a quitté Brost
dimanche vers 17 heures, est heureusement arrivé aux Açores lundi matin,
ayant accompli les 2.100 km du parcours
en 13 h . 15, soit à la vitesse horaire de
161 k m .
Par suite d ' u n e panne de moteur, le
lieutenant de vaisseau a interrompu son
raid et l'hydravion sera r a m e n é des
Açores en France par un croiseur.
— Les rocherches que l ' o n continue,
au Pôle Nord, en vue de découvrir le
c o m m a n d a n t Guilbaud et sos compagnons, n ' o n t pas encore donné de
résultats cette semaine.
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p o u r le* l'onction« publique«
Rédacteur de 2» classe des Services civils
de l'Indo-Chine.— Date : 17 décembre 1928 ;
délai d'inscription : 81 octobre 1928 ; traitemont de début ; 12.0C0 fr., plus 3.421 piastres.
Licence ou divers titres oxigés.
Rédacteur dos manufactures de l'Etat
et contrôlear-adjoint de culture. — Concours
onvort 2" quinzaine de septembre 1928 ;
délai d'inscription : 20 août ; âge : 18 à 30
ans ; traitement de début : 10 000 fr., plus
indemnités. Baccalauréat ou abitur exigé.
Inspecteur départemental dn travail. —
Date : 12 novembre 1928 ; délai d'inscription : 10 septembre ; Age 26 à 35 ans, plus
services militaires ; traitement de début :
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certains titres oxigés.
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Adresser tout©« c o m m u n i c a t i o n s c o n c e r n a n t la Rédaction, l'Administration et l'Imprimerie
Toujours la main des Jésuites
Je suppose que l'assassinat du général Obrégon au Mexique suscitera la
. m ô m e réprobation universelle que tous
les a t t e n t a t s de ce genre.
Mais j e n e suis pas s û t que, dans cert a i n s milieux, il ne cause aussi quelque
joie.
Car il n ' y a pas besoin d ' ê t r e très
perspicace pour deviner d ' o ù vient lo
coup.
Le g é n é r a l Obrégon, qui avait été
désigné pour succéder on décembre
prochain au président Calle?, était avec
celui-ci le chaf des anticléricaux au
Mexique.
Il avait inauguré avant le président
Calles la politique anticléricale que
celui-ci avait accentuée et il s'apprêtait
à continuer dans la même voie.
Aussi, depuis plusieurs années, le
Mexique est-il en proie à une véritable
guerre de religion.
On a essayé d'émouvoir l'opinion en
Europe par le récit de nombreuses exécutions ordonnées par le gouvernement.
Toute la presse de droite chrz nous a
pris parti contre le président Calles et a
m ê m e sommé, à plusieurs reprise?, la
Ligue des Droits de l ' H o m m e d'intervenir, au n o m d e s pricoipes, d a n s ce
cocfltt pour arrêter lVffueion d a sang.
La Ligue des Droits de l ' H o m m e ,
c o m m e toujours, a tait u n e enquête
impartiale' pour connaître la vérité et
agir en conséquence. Car elle est aussi
bien capable de défendre le droit en fa- veur des cléricaux que des anticléricaux.
Mais il ressort de toutes les informations, de tous les documents, que le
gouvernement mexicain ne fait que se
défendre contre ceux qui l ' a t t a q u e n t les
armes à la m a i n .
Il est possible que la gouvernement
mexicain ait la m a i n lourde, mais ses
adversaires n e le ménagent pas.
Le meurtre du général Obrégon en
est u n e preuve nouvelle.
Le président Calles et le président
Obrégon o n t entrepris la séparation do
l'Eglise et de l ' E t a t .
On aait les haines que cette opération
a soulevées chrz nous. Mais au Mexiquo
c'est bien pis. L à , les curés étaient
absolument maîtres. C'étaient eux qui
gouvernaient. ' Ils en profitaient pour
maintenir le pays d a n s l'ignorance et
pour le mettre en coupe réglée.
Deux h o m m e s , Obrégon et Calles,
ont décidé d ' a r r a c h e r le Mexique à
cette emprise, de le libérer, de le laïciser. Ils.ont attiré sur leur têto la colore
du clergé, des moines et de tous les
fanatiques. L à bas, les curés o n t recruté
des bandes et font le coup de feu contre
les troupes gouvernementales.
Faut il, dans ces condition?, s'étonner si le gouvernement use de repré, «ailles T
E t nous n e sommes pas surpris d a vantage quand n o u s apprenons q u ' u n
individu a abattu le général Obrégon.
Ce qui noua paraît bien plutôt extraordinaire, c'est que le président Callos
soit encore en vie.
D ' u n côté c o m m e de l'autre, on a
recours à la force pour tffirmer ses
idées, et le sang coule continuellement.
A qoi la faute sinon à ceux qui refu• e n t de se t o u m e t t r e à la loi et se
posent en victimes dès q u ' o n les empôc h ) de persécuter les autres 1
Ils vont naturellement dire qu'ils ne
sont pour rien dans l'assassinat du général Obrégon.
Mais peut-on les croire ?
G. VEILé
MARITIME,
Bureaux et Imprimerie, 21, Rit h M , QUIMFER
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Fiaistèr* et départemaats li*itrophes
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diverses (4* page) l ï
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Le* Annonces doivent ótre adressées, au plus t a r d , le Mardi soir.
Le parti clérical alsacien
M. Raymond Poincaré a renouvelé au « défendiez u n e -canae antifrançaise, M
Parlement les promesses concernant « Si tragique q u e f û t ce conflit, il n'y
le statut de l'Alsace et de la Lorraine, « avait pour nous q u ' u n seul choix. Toos
contenues dans sa déclaration minis- « les gouvernement«, depuis 1918, noua
« o n t dit : « Dès que voua aurez envoyé
térielle.
.*.
Pour justifier son attitude, il a trouvé « u n e majorité anticléricale à la C h a m « bre, nous d o n n e r o n s les droits laïques.
quelques argument« pathétique«.
k II ne pouvait suffire, s'est-il ¿crié, « Or, nou« avons pensé que n o u s aurions
« que l'Alsace fut rattachée à la F r a n c e « i m m é d i a t e m e n t u n e majorité anticlé« pour qu'elle se retrouvât tout de suite, u ricale ai les catholique« adoptaient
« après une si loDgue séparation, réassi- « u n e politique antipopulaire, antialsa« milée à l'ensemble du paya.., Elle nous « cienne. »
C'est clair ! E t j ' a i eu le droit, s a n s
« a donné, pendant l'annexion et depuis
« la guerre, des gsges émouvants de sa dénaturer la vérité en quoi que ce «oit,
(( fidélité et de son affection. Elle mérite de tirer à la C h a m b r e cette conclusion :
« Ces messieurs o n t d o n c soutenu le
« bien qu'on la traite avec tact et déliât catnsse et qu'on ne bouleverse pas « mouvement autonomiste pour empè« cher l'introduction de« lois laïques. »
« brutalement ses traditions... »
Dés qu'on en est convaincu, l'attitude
C'est entendu, c'est entendu ! Nous
l'avons toujours d i t . Texte e n main, de M. Raymond Poincaré paraît conje ma suis efforcé, à la tribune de la damnée, car ses promesses renouvelées
Chambre, de le prouver à M. le Prési- constituent, qu'il le veuille ou n o n , la
dent du Conseil. Nous l'avons déjà dit victoire de cette politique de c h a n t a g e .
le lendemain de l'armistice, lorsque la M. le Président du Conseil doit c o m folie chauvine dn Bloc national a balayé prendre que les partis de g a u c h e , e n
los plaines et les vallées d'Alsace, à u n Alsace, se c a b r e n t .
moment où il fallait, pour être considéré
S. G R U M B A C H .
comme un citoyen h o n n ê t e , ôtre d ' a c député de Mulhouse.
cord, sans aucune restriction, avec les
comités de fête (composés d'Alsaciens
autochtones), avec les commission« do
triage (composées d'Alsacien« non moin«
authentiques) et avec tous ceux qui
ont donné à « l'assimilation » un «en«
Comaemt va Républicais peut-il
que noup, socialistes, n'avons jamais doaaer au Citoyen uae preuve de
approuvé...
sa sympathie î
Après dix ans d'hésitations et de meEa aidaat i sa diffusioa, ea 1«
sures incohérente«, le chef du gouver- faisaat coaaaître k ses amis «t surn e m e n t , profondément troublé p a r le
t*ut «a S ' J L
T3QNNA.IÏT.
procès de Colmar et l'issue des élections, croit devoir faire « à l'Alsace » la
promesse de ne pas toucher à la législation confessionnelle...
A « l'Alaace » î Certes, c'est ainsi que
le comprend M. Raymond Poincaré et
Va s e r v i c e d e n u i t t é l é p h o n i q u e
je me garderai bien de mettre se« intenL'Administration des P : T. T. informe le
tions en doute ; j e me garderai bien de
public qu'elle assurera, i partir du l " août
le considérer c o m m e un traître à la prochain, une permanence da service de
cause laïque qui lui f u t toujours chère. nuit pour le téléphone dans plas de 300
Mais il ne reste pas moin* vrai que les bureaux français comportant au moins 900
circonstances qui o n t décidé M . Ray- abonné*.
Les bureaax de la région qui vont bénémond Poinearé à vouloir « apaiser » la
mer cléricalo autonomiste par des pro- ficier da cette me«ure sont les suivants :
Brest, Morlaix, Qaimper, Dinan, Saintmesses renouvelées mettent tous ceux
qui, en Alsace, ont lutté contre l'autono- Brieuc, Rennes, Diuard, Saint-Malo, Fougères, Laval, Le Mans.
misme, dans une situation aussi difficile
Le tarif applicable aux communications
que possible. E t — ce qui est pire — ces échangées entre 21 heures et 7 heures est
promosss8 paraissent condamnées à le tarif de nuit qui est fixé aux 3/5 du tarif
rester stérile?. Qui donc peut sérieuse- de jour, mais il sera perçu nne taxe supplément croire qu'elles calmeront la fureur mentaire de 1 fr. par appel présenté entre
cléricalo - autonomiste 1 On n ' a q u ' à 21 heure* et 24 heure* ; cette surtaxe sera
suivre ce qui t e passe ces jour«-ci en de 2 fr* entre 0 heure et 7 heures.
Ce* surtaxe* ne *ont pa* due* pour les
Alsace même pour se convaincre du
communications ayant pour objet de sicontraire,
gnaler un sinistre ou un danger menaçant
Dimanche passé, le parti clérical d'Al- la sécarité pabliqae.
sace a voté un nouvel ordre du jour de j En raison de« situations préexistantes, la
félicitations en h o n n e u r de M. Michel surtaxe de 1 fr. applicable aux demandes
W a l t e r , en lui enjoignant l'ordre de présentées entre 21 heure» et 24 heure* ne
tenir bon et d'obtenir rapidement d ' a u - •era pas perçue sur le* abonné* de Brest,
Qaimper, Saint-Brieac et Laval. Les abontres concession«.
nés de Rennes et Le Mans, bénéficiant déjà
Rien n'est plus compréhénsible : le d'an service de nuit, ne seront pas soumis
chantage a trop bien réussi pour que aux surtaxes de 1 fr. et de 2 frs.
sos promoteurs pussent se sentir enclin«
Le taux de l'abonnement est majoré de
à y renoncer dorénavant.
S frs par trimestre pour tonte* le* ligne*
C'ost l'organe principal du parti clé- principales reliées aux bureaux à service
rical du Bas-Rhin, l ' £ 7 s a e s s i r de Stras- prolongé.
bourg, qui a enfin, et de la façon la plu«
cîuiro, la plus cynique, avoué que l'uniLe CoBgrès des Bleis de Bretagne
a
que raison pour laquelle YUperna
( Ainsi qae nous l'avons déjà annoncé
donné tout son appui au mouvement l'association
amicale des « Bleu* de Breautonomiste, c'était le désir d ' e m p è î h e r tagne » tiendra son congrès à Qaimper le
l'introduction des lois laïques dans les dimanche 5 août 1928, à 9 h. 80, aa Gymnase
trois départements recouvré«.
municipal, rue Neuve.
J'ai cité le document en question à la
Ordre da joar :
1. Allocution du Président, M. le docteur
tribune do la C h a m b r e . Il mérite d'être
Even, dépaté de Ltnnion ;
connu.
2. Compte-renda moral da Secrétaire
Dans VElsaesser
du 2S juin 1928, on général,
M. Guyot de la Hardrouyôre ;
trouve un article consacré à la revue
3. Rapport sur la délégation cantonale
française les Etudes, organe de« Jésuites, par M. Bott, vice-président, directeur de
et à l'attaque dirigée par eette revue la « Bretagne Nouvelle » ;
contre l'attitude observée par les cathoi . Rapport sur la Mutualité et les Assuliques d'Alsace au cours do la campagne rances sociales par M. Pierre Le Roux,
électorale.
secrétaire de la section de Lannion';
5. Vœax divers.
« Vous aviez à choisir entre u n e poliA l'issae da Congrès, aura lien à ll2 heu« tique antialsacienne et u n e politique res, à l'Hôtel de France, an déjeuner ami«t antifrançaise, avaient écrit les Etudes, cal au prix de 20 francs.
« et vous vous êtes prononcés pour la
Les dames sont instamment priées d'y
« politique antifrançaise ».
participer.
Quelle est la réponse de VElsaesser 7
Prière de vouloir bien envoyer lee adhésions, avant le 2 août 1928, à M. Bott, à
La voici :
« Si les catholiques d'Alsace s'étaient Morgat par Crozon (Finistère).
« opposés à ce mouvement populaire (du
« Ilaimatbund), ils auraient d o n n é l'imÎA1TES LIRE LE
< pression do défendre u n e cause a n t i « alsacienne. Mais voilà que les Etudes
« nous disent : « Dan« l'autre caa, vous
Aux Républicains !
Nouvelles Régionales
joumai l e Citoyen
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S3 ans
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5.000 fr
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Tarif C
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10 ans 9 mois
Tarif D
1.000 f r . . . . .
—
5 f r . . . . 16 ans
14 ans
—
5.000 fr
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25 f r . . . .
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10 f r . . . . 15 ans
Tarif E
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roues portant, chacune, sur son pourtour, toutes les lettres de l'alphabet.
Il eBt remboursé à chaque tirage, et pour chaque tarif, un titra sur 3.394 émis, ce qui
correspond à une proportion annuello de remboursement comprise entre 1/360 et 1/367
(Art. 10 des statut»).
Sont seuls remboursables, los titres à jour des cotisations échues.
Au
TIRAGE
DU
»titres ei-epiès :
2 5
JUIN
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Fuselier, Paulette, 27, rue Foch, I.aFère-Champenoise
(Marne)
Joud, Maria, à Fures (Isère)
Castrié, Albert, 40, rue Victor-Hugo, Pont-l'Abbé
(Finistère)
Dalmasso, Victor, B u RMrif, route de Tamaris, La
Seyne-sur-Mer (Var)
Verrier, Gustave, à Chavannes-les-Grands, par Montreux-Chàteau (Haut-Rhin)
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Z DV
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L'Assemblée générale aura lieu à Lan
dernean, salle de l'Hôtel du Commerce
(angle du boulevard de la Gare et de la rue
de Brest), mercredi 1" août, à 14 heures.
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Pour renseignements et souscriptions, s'adresser k M. Lion
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à
Pont-l'Abbé,
pour les arrondissements de Quimper et de Quimperlê. (On demande
courtiers et agents, fixe et commission).
migaonae
VES0UL
remboursés los
été
On lit dans les journaux de la Sarthe :
Un d é p a r t . — Nous apprenons que M.
Cosquer, percepteur à Sceaux-sur-Huisnes,
depuis le 1" octobre 1926, est appelé, avec
avancement, k la perception de SvGangouxle-National (S*ô îe-et-Loire).
Nous tenons i rendre un éclatant hommage à M. Cosqnor qui avait su s'attirer
l'estime générale par l'aménité de son caractère. Il avait acquis la confiance, l'estime
et la sympathie de tous.
Nousfaisonsdes voeax que, danssanouvelle
résidence, il trouve le même accueil et les
mômes sympathies qu'à Sceaux.
M. Cosquer est le fils de M. Cosquer,
directeur d'école en retraite.
LES FOIRES DE LA SEMAINE
Lundi 30 juillet. — Lesneven, PlogastelSaint-Germain.
Mardi 31. — Commana.
Mercredi 1er août. — Daoulas, Lannilis,
Châteauneuf, Coray, Scrignac, Pleyben,
Scsôr.
Jeudi2.— La Roche-Maurice, Chàteaulin,
Huelgoat, Pont-Croix, Pont-l'Abbé.
Vendredi 3. — Pouldavid.
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du 11* au 15« 2 5 0 frs remboursables en marchandises,
du 16' au 20* 1 5 0 frs remboursables en marchandises,
du 21* au 35« 1 0 0 frs remboursables en marchandises,
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tement à nos bureaux,
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semaine.
M
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SOCIÉTÉ HIPPIQUE D'ELEVAGE
DU SUD FINISTERE
Le concours de poulinières suitéos, non
suitées et de laiterons m&les de la société
hippique d'élevage du Sud-FiniBtère auront
lieu aux dates et lieux ci-dessous indiqués :
A Quimper, le 10 septembre 1928, à 14 h.
A Bannalec, le 11 sep'.embre, à 8 h. 30.
A Ch&teaulin, le 12 septembre, à 8 heures.
A Carhaix, le 13 soptembre, à 9 heures.
Une somme totale do 70.220 francs est
mise à la disposition du jury pour ôtre
distribuée à ces différents concours.
Pour tous renseignements, consulter les
affiches apposées dans chaque commune.
POUR LES SOCIÉTÉS
DE SECOURS MUTUELS
Une subvention de 53.900 francs vient
d'être accordée par le Ministre du Travail
aux Sociétés de secours mutuels du département.
SOCIÉTÉ DE SECOURS MUTUELS
DES INSTITUTEURS DU FINlSTERË
Les assemblées générales de la Société
de sacours mutuels des Instituteurs et des
institutrices du Finistèro et de l'Union
Fraternelle (•sutlrancrti au décès) auront
lieu à B est, salle de la Mutualité, école de
la r m Motige, le mercredi 1" août, à 11
heures, soua la présidence de M. l'Inspecteur d'Académie.
A l'issue de la réunion, un banquet sera
servi dacs les salons Touz, 54, rue JeanJaurès, à Br««>.
les personnes qui
à insérer dans le
les remettre direc
21, rue du Sallé,
mardi de chaque
La Féte des Relues
'
haye, rue Swnt-Mathieu, 18 : Jeanne Guéguen, employée de bureau. 38 ans, célibataire, rue de Brest, 39 ; Marie Jimet, 62
ans, veu7o Gouletqaer, rue Jean-Jaurès, 8.
Publications de mariages : Albert Le
Friant, carrossier, dom. à Quimper, et
Jeanne Cosquer, employée de commerce,
dom. à Brest ; Albert Yan, receveur-économe, de l'Asile des Aliénés, dom. à
Mariage. — Le lundi 6 août prochain Qaimper, et Marie Colin, dom. à Qtr mper ;
sera célébré il Qaimper le mariage de Mlle Lonis Le Gallic, serrurier, dom. à Quimper,
Gabriella Le Pavec, institutrice, fille de et Maria Qaéméré, dom. à Kerfeunteun ;
Mme et M. Le Pavec, le sympathique adju- Jules Hazard, rédacteur principal des Condant-chef de gendarmerie, avec M. Léon tributions indirectes, dom. à Valenciennes,
Gorsguîr, instituteur, fils de Mme et M. et Lucie Lebon, institutrice, dom. WargniesGoragaer, le dévoué directeur d'école de Ie-Grand (Nord), et résidant k Quimper;
PlogasteiSt-Germain.
Jean-Louis Lijour, journalier, dom. k QuimNous adressons nos compliments à ces per, et Marie Le Moal, employée d'usine,
deux honorables familles et nos meilleurs dom. à E r gué-Armel ; René Le Poupon,
vœux de bonheur aux futurs jeunes époux. commerçant, dom. à Douarneuez, et Renée
Prix « Anne Marie ».->- La Commission Gasnier, dom. à Quimper.
municipale, réunie à la Mairie le 19 juillet
1928, pour examiner les titres des pçstulanBritc-del'Odtff
tes inscrites pour concourir au prix institué
G r a n d Bal. — Un grand bal est organisé
par Mlle Bourgeois, a choisi Mlle Le Rhun, salle Duvail. à Briec, dimanche prochain
Marie, couturière, demeurant à Quimper, 29 juillet 1928, après midi et soir.
place de Locronan,
3, pour recevoir ce
Un orchestre de 8 musiciens fera de ce
prix eu 1928.
bal le plus beau de l'année ; aussi toute la
La remise lui en sera faite, aujourd'hui jeunesse des environs s'y donnera rendezjeudi, 26 juillet, à 20 h. 30, à l'Hôtel-de- vous.
Ville.
Au cours de cette matinée et de cette
Concours de pôohe. — Le concours de soirée, distribution d'éventails, mirlitons,
pèche, à l'étang du Lendu, aura lieu le di- coiffures, bataille de confetti.
manche 5 août, à 14 heures. De nombreux
Conférences Laïques
prix ea espèces et en nature seront distriLa S action cantonale de Défense laïque
bués.
organise dimanche prochain 29 juillet, avec
Sont admis k concourir tous les socié- le concours de l'orateur breton Le Bec
taires, leurs femmes et leurs enfants.
déjà si sympathiquement connu dans 1«
Ils devront' se faire inscrire chez MM. canton, deux réunions publiques, l'une à
Chuto ou Lebrun, marchands d'articles de Landrévarzec, k 8 heures dn matin, l'antre
pèche à Qaimper, le samedi 4 août au plus à Langolen, à 11 heures.
tard.
Le tirage au sort des places aura lieu à
Rospordtn
l'étang du Lendu, près da moulin, à partir
Conseil munlolpal. _ Le Conseil mnde 13 h. 15.
Les membres des sociétés de pè;he du nicipal s'est réuni dernièrement pour l'exa«
Finistère sont invités à prendre part au men du compte administratif de 1927, le
vote du budget additionnel de 1928 et* du
concours.
L'Hallali quimpérois se fera entendre budget primitif de 1929.
M. Qaéméré, Gaillanme, nuire, préaide
pendant le ooncours.
Un service d'auto sera assuré par M. avec une présence d'esprit admirable. Il
Trérnoureux, départ de Qaimper, en face semble familiarisé depuis longtemps avec
de chez M. Trémoureux, boulevard de Ker- la comptabilité communale.
Compte
administratif.
guélen, à 12 h. 30 précises ; départ du LenLes
recettes
s'élèvent
i
134.803f.61
du à 17 heures environ. Prix des places :
Les dépenses —
à
126.018 03
aller, 2 fr. ; retour, 2 francs.
splendeurs, à travers les rues ensoleillées,
au milieu de tout un peuple en liesse.
La cé émonie de l'intronisation de la
nruvelle reine des reines réunit .encore
tout un monde k Oiet-Palace. Ello est couronnée d'un succès complet.
Un bal, plein d'entrain et empreint de la
franche galté, termine la fête.
MACHINES AGRICOLES
FRANÇAISES
S o c i é t é M u t u e l l e da C a p i t a l i s a t i o n
(Entreprise
CITOTE*
La sixième fête des reines de Cornouaille
a obtenu dimanche un immense succès.
Dûs le matin, la ville connaît une effer
vescence inaccoutumée ; au fur et à mesure
que l'heure tourne, la foule continue k y
affiner des quatre coins de la Cornouaille
pour assister à la belle fête bretonne que va
présider la duchesse Anne, en la personne
de Mlle Germaine Le Bourhis, déléguée
par la Fédération des sociétés bretonnes de
Paris.
M. Le BDurhis, aidé d'ailleurs dans sa
tâche par un comité expert dans la mat.ère,
a bien fait les choses. Tout a été prévu et
minutieusement ordonnancé et la journée
vane dérouler, particulièrement brillante
au rythme précis d'un programme bien
conçu. Uaa fois de plus, le sympath'qae di
recteur de l'O !e.-Palace a just fii son titre
d'incomparable organisateur de fô es. E- il
nous est agréable de lui adresser, sans plus
attendre, avec nos félicitations, celles des
milliers de spectateurs accourus pour ad
mirer le spectacle unique que constitue le
cortège des Reines.
A 10 heures, les dévoués membres du
comité reçoivent, à la gare, la duchesse
Anne et les nombreuses souveraines, tandis
que la musique 1' « Indépendante », de
Douarnenez, se fait ontendre dacs les meil
leurs morceaux de sou répertoire.
Los environs de la Gare sont noirs de
monde. Aussitôt que chiqae groupe s'est
installé le d/ filò commence.
Un groupe do cavaliers ouvre la marche.
Suit la longue théorie des reines, des costumés, des binious, etc...
Le cortège s'avanc?, entre deux haies
compactes de spectateurs qui, de l'Avenue
de la Gare k O et-Palace, lé saluent de ses
bravos et de ses applaudissements les plus
enthousiastes. C'est un spectacle d'une
réelle beauté et qu'on ne peut admirer qu'A
Qaimper une fois l'an, le jour de ces belles
réjoaissances populaires.
Le couronnement des reineaa lieu à OletPalace, à l'issue du cortège. La cérémonie
se déroule avec la solennité traditionnelle.
A 14 heures, une foule énorme a envahi
le Parc municipal. C'est dans ce cadre
unique, à l'ombre des vertes frondaisons,
qu'a lien la magnifique fête bretonne. Concours de danses, de chants bretons, de binions et bombardes, de costumes anciens
et modernes te (accèdent avec le plus grand
succès. C'est on continuel émerveillement
pour la foule qui regarde et écoute, médusée,
L'életìtiùn de là reinô des reines de Cornouaille a lieu à 17 heures. Mlle Annaïs
Plouhinec, reine d'Ys (Andierne) est élue.
Elle a, comme demoiselles d'honneur,
Mlles Laouénan, reine des Filets Bleus
(Concameao), et M»rzin, rei'ie du I3élon
(Rier-).
Celte élection est flalu'e par des applaudissements nourris et prolonges, qui se
renouvellent avec plus d'ampleur encore
lorsque la duchesse Aune procède au couronnement de l'heureuse/élue.
C'est ensuite le bean cortège q ai, da parc
municipal à Odet*Palaie, déroule ce«
Au Tribunal. — Pendant les vacances
les audiences correctionnelles auront lieu
les 11 et 25 août, 8 et 22 septembre.
Le prix du gaz. — E i raison de la baisse
sur le prix du charbon, le prix du mètre
cube de gaz est ramené à 0,96 pour les
abonnés pendant le troisième trimestre
1928,
Service des eaux. — En raison de la
période de sécheresse persistante prévae et
de l'extension considérable du nombre des
abonnés au Service des eaux, il est expressément recommandé d'économiser l'eau au
compteur. En outre, les parents sont instamment priés d'empêcher les enfants de
gaspiller l'eau aux bornes-fontaines, sous
peine de contravention. Une surveillance
très rigoureuse sera exercée par la police.
Les distributions de prix dans les
éooles communales. ~ Les distributions
solennelles de prix aux élèves des écoles
communales auront lien mardi prochain
31 juillet, dans les halles : pour les garçons,
à 9 heures, sous la présidence de M. Petitjean, secrétaire général de la préfecture ;
poar les filles, k 15 heures, sous la présidence de M. Besnier, inspecteur primaire.
Conoert. — La Lyre Quimpéroise donnera un concert samedi soir, à 21 h. 15, sur
le kiosque du Champ-de-Bataille.
D'où un excédent de recettes de
8.785 58
auquel s'ajoute celui de l'exercice précédent
64.701 99
Ainsi le boni définitif est de..
73.487f.57
Résultat d'une longue et sage administration, M. Qaéméré en est loué et remercié.
Budget additionnel de 1923. — Recettes. — L'excédent constaté eat repris an
chapitre III. Le conseil y inscrit de nouvelles ressources telles que la taxe snr les
spectacles, l'emprunt de 80.000 f. pour le
pavage des rues, etc....
Dépenses.
Le reliquat de la vicinalité est de. 29,822 f. 45
Le conseil y ajoute quelques
crédits, savoir :
Salaire du cantonnier vicinal
(compl.)
3.285
Entretien des rues et places... 12.000
Subv. à la Caisse des Ecoles..
2.700
Indemnité de logement à M.
Pober (rappel)
hq
Achat et pose d'une 2* pompe..
1.000
Emploi de l'emprunt poar le
Pavage
80.000
Ce budget est équilibré sans peine.
Budget primitif de 1929. — La perspective d'une grosse dépense, la crainte louable d'alourdir encore la contribution mobilière et celle des patentes, ont poaasé le
conseil a cherché de nouvelles ressources.
Après un débat conrtoiv, l'assemblée décide l'établissement d'une taxe modérée :
1* Sur les véhicules automobiles ;
2° Sur les chasses gardées.
Ces taxes, jointes an droit déjà perçu sur
les spectacles, rapporteront annuellement
10.000 fr. environ. Ce sera 30 centimes de
moins à demander en 1929 à la maase des
contribuables qui ne manquera pas d'apprécier cet avantage.
Transports maritimes de Cornouaille
Horaire de la semaine :
Départ de
Départ de
Qaimper
Bénodet
Samedi 28
13 h. 30
16 h.
Dimanche 29 . .
13
30
16
Lundi 80
13
30
16
Mardi 31
13
80
16
Mercredi 1 " . . .
14
15
16
45
Jeudi 2
14
45
17
15
Dépenses. — Le conseil délibère ensuite
Dimanche 29, excursion de Concarneau- sur chaque article. Il adopte les crédits
B g-Meil-Quimper, par Loctudy-Bénodet. suivants :
Retour à Loctudy seulement.
Frais d'administration
15.140f.
Dépait de Concarnetu à 8 heures, Beg- Entretien des propriétés comM cil 8 h. 30, Loctudy 10 h. 30, Bénodet
munales
»... 6.300
11 heuies.
Assistance et hygiène
12.600
Instruction publique
19.000
Arrivée à Q 'imper i midi 30.
Voirie urbaine
10.800
D Spart de Qaimper à 16 heures, BSno
— vicinale
51.782
det 17 h. 30.
rurale
2.000 .
Arrivée à Loctudy à 18 h. 30.
Service de la dette
21.466
Prix des places : de Qaimper à Bénodet
6.500
aller, 10 fr. ; aller et retour, 15 fr. ; de Bé- Dépenses diverses, etc
Il est en outre alloué quelques anbvennodet à Loctudy : aller, 5 fr. ; aller et re- lions à des œavres laïques oo de bientour, 8 fr.
faisance.
Excursion en mer : de ou pour Qaimper :
Ea somme le conseil municipal a fait là,
aller, 20 fr. ; aller et retour, 25 fr. ; de ou et dans une séance relativement courte, ds
pour Bénodet-Loctudy : aller, 15 fr. ; aller la besogne utile.
et retour, 20 fr.
Réunion oyollste. — Le Comité da
Pour bénéficier d'une réduction importante sur ce tarif, les habitants de Qaimper Véloce-Club de l'Aven, soucieux de donner
et de la région devront être porteurs de la à son public sportif une réunion de Gala à
l'occasion de la fête patronale da 19 août
carte spéciale d'abonnement.
prochain de Rosporden, vient de mettre sar
M o r t subite. — Dimanche M. Lepatit, pied un programme choisi avec la participrésident de la Section des Hsspitaliers pation des meilleurs coureurs Parisiens et
Sauveteurs Bretons de Dinard, avait tenu à Bretons.
venir à Bénodet avec son ami M. Bsrthaut,
La réunion commencera le matin à 10 h.
président général, assister à l'inauguration où seront disputées une individuelle par
de la nouvelle station de sauvetage de Bénc- le V. C. A., une éliminatoire internationale
det-Sainte-Marine.
ainsi que les séries de vitesse ea vae da
Dans la soirée, après avoir qaitié ses amis Grand Prix des cycles Sparting.
vers 20 heures, retour de Bénodet, se senL'après-midi en outre des 1/2 finales et
tant fatigué, il regagna son restaurant, rue finales du Grand Prix Sparting seront disSaint-Mathieu, se jeta tout habillé sur son putées une individuelle régionale et interlit, et mourut quelque temps après des nationale, une américaine réservée sa
suites d'une crise cardiaque.
V. C. A. et une américaine de 150 tonrs
Son corps a été transporté mardi matin internationale.
par chemin de fer à Dinard.
M. Lepetit, âgé de 58 ans, vigoureux et
ConctrnMu
alerte, laisse deax filhs. Nous leur adresE. P . S. — Nous apprenons qae MM,
sons nos condoléances les plus sin:ères Le Moigne Louis, de Lesconil, et Prigent
ainsi qa'à M. Léon Berthaut qui perd un si Joseph, de Carhaix, anciens élèves ds
précieux collaborateur.
l'école primaire supérieure de Concarneaa,
Etat-olvll du 18 au 2 4 Juillet 1928. viennent d'être reçus aux deux concours
— <Naissances : Maryvonne Bernés, rue d'admission à l'Ecole normale supérieure
René-Madec, 1 ; Joséphine PJouhinec, ve- de Saint-Cloud et à l'Ecole normale supénelle de Kergos ; Raymonde Piton, rue rieure de l'Enseigaernent technique.
Nous adressons à ces brillants lauréats
Jean-Jaurèi, 2D.
nos
plus sincères félicitations.
Décès : Germaine Picard, 23 ans, célibataire, rue de l'Hospice; Marie Jégoudfz,
61 ans, veuve Gujlt, avenue de la Gare, 29 ;
La f ê t e des p o m m i e r s . ~ La fête
Jean Lo Moal, professeur au Grand Sémibretonne des pommiers aura lieu le dimannaire, 30 ans, célibataire, rue Verdelet, 14
Marie Coustans, 53 ans, épouso Grunohec, che 5 acut pro .hain.
A? programme: le matin, courses de birue S lint-Mathieu, 27; M irie Le Drait,
58 ans, épouso Alavoine, qoai do l'Odet, 81 ; cy lottes.
Alexandre Iiinafl, mécanicien, 34 ans,
L'après midi : dans l'allée de Bréhoaloo,
éponx Lozachmeur, rue de Pont-l'Abbé, 27; grande kirmesse, luttes bretonnes, conMarie Le Bihan, religieuse, 31 ans, rue de cours de costumes et de danses.
la Providence, 31 ; Hilaire Lepetit, fondé
Le soir, grand bal champêtre et feu d'arde pouvoir* de banque, 58 ans, veuf Delà* tifice.
rouètnanf
Bénodet
C o n o o u r a a g r i c o l e . — Voi«i lo pro
gramme do concours agricole qui se tien
dra à Bénodet le lundi S septembre 1928, à
H) henrea:
Race Die-noire. — Taureaux de 1 à 2 ans
prix : 90 et 80 fr. — Taureaux de plua de
2 ana, prix : 110 et 100 fr. Femelle«. — Gé
nisses de 1 à 2 ans, prix : 60 et 55 fr. —
Géniaaea ou vaches de 2 & 4 ana, prix
70 et 65 fr. — Vaehea de plua de 4 ans
prix:'90 et 85 francs.
Race chevaline. — Poulinières saitées,
prix : 200, 180, 160, 180 et 100 fr. — Pou
liches de 3 ana, prix: 175, 160, 140, 120 et
100 fr. — Poulains et pouliches de 2 ans
prix : 150, 130, 120, 100 et 90 fr. — Poulains
et pouliches de 1 an. prix : 120, 110, 100,
90 et 80 fr. — Laiterons, prix : 30, 25, 20
et 15 francs.
Cidre. — Prix : 65, 55, 45 et 35 francs
Beurre. — Prix : 40, 80, 25 et 20 franc«
Domestiques de ferme ayant 7 ans de
service au moins chez le môme patron
Hommes, 150 fr. de prix ; femme», 150 fr
de prix.
A midi, banquet.
Sainte-Marine
Iiaugoratioo de la station de sauvetage
littoral. Nul doute que no» plages,' déjà si
connues et si fréquentées ne connaissent
bientôt quelqnea une de ces appareils à
l'étude.
Il y a cinq jours seulement, M. Berthaut
ouvrait une station nouvelle à Granville et
déjà quatre vies humaines, grâseâ elle, ont
pu y être sauvées.
L«s H. S) B., giâce an large libéralisme
de M. Léon Berthaut, ont toujours travaillé
avec la grande «œar ainée, la Société Centrale, d«ns un osprit de sincère collaboration.
L'émulation dans la pourauite du bion,
comme ailleurs, est un puissant levier
d'action.
Lei station» sur cette côte sont plus nombrens:s que partout ailleurs et ne cessent de
crottro. Mais ccsstaiions n'auront leur valeur
réelle que si un organisme de liaison définitivement mis au point leur signale à temps
le danger aperçu ou les met en état de
a'entr'aider et de se soutenir.
Le» H. S. B. ont déjà beaucoup donné:
le» marin» comme leurs ami» et leurs admirateur», attendent toujours plus de leur
admirable effort de solidarité et d'altruiame.
M. Deatour adresse pour finir un salut
émouvant au patron Postollec et au vaillant
équipage du Claude Drouart. Il salue ton»
le» collaborateurs des H. S. B., los plus
connu» comme le» plus modestes, qui nous
aident à défendre ot à conserver ce capital
humain inestimable qu'est la population de
nos côtes bretonnes.
Ce di»coura improvisé est très applaudi.
M. le Docteur Chauvel remercie ensuite
en son nom et en celui de la municipalité
de Combrit, lea H. S. B., pour leur heureuse
initiative qui, en aboutissant à la création
de la nouvelle atatioD, conetitue un geste
de secoure immédiat à l'adresse de notre
vaillante et laborieuse population maritime
exposée à tant de danger».
M. Léon Berthaut, aprèa avoir remercié
lea autorités présentes, exprime toute sa
reconnaissance à Mme Drouart, qui a offert,
en mémoire de son mari, ancien haut
magistrat. Le Claude Drouart, par l'en
tremise de M. et Mme Gaspaillard et de
M. et Mme Le Bail.
L'homme de bien qu'est M. le Préaident
général dea H. S. B. exalte ensuite les
services rendus par la Société et rend
hommage aux courageux équipages des
bateanx de sauvetage qui, aur notre littoral
arrachent tous les ane à la mort de nom
breusea vies humaines.
Michel Le Pape, à Poul Bian ; Guillaume
Kerdranvat, au bourg ; Guinette Noblet, au
Méjou.
Mariages. — fiiienne Goyat, menuisier
à Plogastel-S»int-Germain, et Yvonne Le
Cléach, brodeuse au bourg ; Jean-Marie
Qaéré, employé de chemins de fer, à Bethény (Marne), et Catherine Biger, brodeuse
au Clos.
Décès. — Louise Bernard, épouse de
Pierre Fachus,67 an», cultivatrice au bourg;
Jeanne Berron. épouse de Pierre Tanniou,
40 ans, commerçante du Clos ; Michel Guirriec, époux de Marie Jeanne Buannic, 34
ans, cultivateur de Brénanvec ; Michel Stêphan, époux de Marie-Anne Cariou, 42 ans,
cultivateur de Kerfoular; Sébastien Failler,
73 ans, cultivateur, veuf de Corentine Le
Marc do Cosmnner.
au sujet de la mort mystériense de son frère
Jean tué à conps de révolver dans la soirèe du dimanche 6 novembre.
Uae longue instruction fut ouverte. L'attitude d'Isidore Auffret ne varia pas. C'est
avec calme qu'il donna l'emploi de son
temps en cette soirée trsgique, la visite
l'écurie aprèa ie départ de son voisin Le
Mat, son retour chez lui pour se mettre
lit.
Il reconnut que se« rapports avec son frère
étaient très tendue sans que jamais l'idée
lui soit venue d'une aussi basse vengeance.
Il n'y avait pas de preuves tangibles de
sa culpabilité. Arrêté au premier moment,
il fut ensuite remis en liberté. Un non-lien
vient de clore cette affaire.
faut procéder tous les jours au pansage, E t u d e de M 8 A R T t Î S , CommissaireChaque matin, le cheval, le bœuf de
Priseur des Ville et Arrondissement
travail comme le bœuf à l'engrais et la
de Quimper. Salle des Ventes : 46,
vache laitière doivent être étrillés e t
quai de l'Odet. Bureau et Caisse :
brossés. Il faudra ensuite mouiller et
5, rue de Kergarion.
savonner les parties du corps souillées
par les excréments. Nous ajouterons —
Succession de Mlle LASSE AU
ce qui surprendra peut-être beaucoup de
17, rue Saint-François,
Quimper
gens — qu'il faut en faire a u t a n t pour
A la requête de MM. les héritiers ét
le porc. On a généralement l'habitude
de le laisser dans un état de r é p u g n a n t e en vertu d ' u n e autorisation du Tribunal
malpropreté. Lo t o r t - e s t grand car si de Commerce de Quimper, en date du
l'on veut que cet animal se porte bien 20 juillet 1928.
et progresse rapidement, il importe do
le brosser tous les jours au moins une
fois ot de le laver tous les quatre ou cinq
a u x enchère» p u b l i q u e s
Le faou
jours jusqu'à ce que la peau soit nette
dé
Très
bois Articles de QBiieaillerii
de
toute
souillure.
Accident m o r t e l . — Mme Gourion,
Plojtsfel-Sf-Qtrmafn
Le pansage est plein d'avantogss. La
(Marchandises
neuves)
sœur de M. le docteur Bourhis, est tombée
Pour une nouvelle basoule. — Le ces jours derniers, accidentellement, dans circulation se fait mieux, les bêtes
A «CHIPER (en f a c e d e s Balle»)
Conseil municipal au cours de sa dernière la rue, d'une fenêtre du deuxième étage de se trouvent soulagées et on peut voir
1?, r u e S a i n t - F r a n ç o i s
réunion a voté un crédit de 3.775 fr. pour la maison occupée par sa mère, chez qui ainsi si elles ne sont pas a t t e i n t « de les 30, 31 juillet, 1". 2, 3, 4, 6, 7, M,
elle se tronvait depuis quelques jours.
l'achat d'une nouvelle bascule publique.
maladies parasitaires capables de les
O, 10, 11 août 1928, à 13 h. 1)2
La mort a été instantanée.
faire souffrir, maigrir ou de faire diet jours suivants s'il y a lieu
Ce malheureux accident a très pénible- minuer le lait.
Plozévef
ment
impressionné
tonte
la
population
du
Nos c o m p a t r i o t e s — Nous apprenons
M" A R T US vendra :
A ce propos on nous a demandé 1«
avec plaisir que M. Bosser vient d'ôtre reçu Faou.
Une énorme quantité d'articles peur
moyen de détruire les poux et les puces
Nons
adressons
aux
trois
jeunes
enfants
au professorat des Sciences, 1" partie.
quincailliers,
menuisiers,
ébéniste*,
de Mme Gourion, à Mme Bourhis, mère, à du cheval, du bœuf, du porc et du chien. sculpteurs, entrepreneurs, couvreurs,
Notre jeune compatriote M. Mao,filsde Mme et à M. le Docteur Bourhis, nos plus
Voici un procédé employé avec succès charrons, cordonniers e t professions
l'honorable M. Mao, facteur des P. T. T t .
vives condoléances.
depuis de nombreuses années par un diverses ; d'articles pour cultivateurs,
Plozévet, vient do sortir de l'Ecole Normale
éminent vétérinaire :
jardiniers, etc... ; d'articles intéressant
(S* année) comme major de sa promotion
On mélange dans un flacon du pétrole particulièrement MM. le« construotemrs
Nos sincères félicitations.
B R E S T
et de l'huile de lin à parties égales. Pois de bateaux et les marins.
Lanoement de sous-marlns. — Jeudi
frais.
Au comptant, 15 <•/» en sus pour
GuH«r-Ploja»f«l
après-midi il a été procédé, avec succès, à on agite avant de s'en servir. On imbibe
de
ce
mélange
un
chiffon
de
laine
et
on
C e r t i f i c a t d ' é t u d e s . - L'école publi
O
B
S
E
R
V
A
T
I
O
N
S
.
—
Cette
vente,
Brest, au lancement dos sous-marins « Pasen frictionne les parties de la peau autorisée par le Tribunal de Commerce,
que do Guiler a présenté deux élèves
cal » et « Paateur ».
l'examen du certificat d'études primaires
Les deux nouveaux bâtiments mesurent occupées par les envahisseurs. Les para- aura heu par lots de diverses imporTous les deux ont été reçus ; l'un a obtenu 92 mètre» de long, 8 m. 20 de large, 4 m. 7 sites sont rapidement tués. On peut, si tances. Toutefois, les lots no pourront
la mention « bien ».
inférieurs à dix f r a n c s (10 fr.).
de tirant d'eau.
c'est nécessaire, renouveler l'application pas être
Nos compliments anx élèves et à leur
M e A R T U S se tient à la disposition
Leur déplacement sera de 1.560 tonne» au bout de quelques jours. Pour terdévoué maître, M. Guéguen.
en surface et de 2.000 en plongée, et leur miner le traitement, on nettoie la peau des acquéreurs éventuels pour composer,
avant la vente, des lots à leur convePromenade soolalre. — Les élèves de puissance de 6 000 chevaux.
à l'aide d ' u n e dissolution de savon vert nance. Prière, dans ce cas, d'écrire ou
La vitesse prévue est de 18 nœuds en dans de l'eau c h a u d e .
la première classe de l'école mixte de Gui
de se présenter à l'étude du Commis1er se sont rendus dernièrement en prome surface et 10 rœuds en plongée.
Ajoutons que le remède est excellent saire-Pri8eur, 5, rue de Kergarion, pour
L'armement comprendra onze tubes lancenade scolaire à Brest.
indiquer les articles désirés.
Bonne journée qui a été instructive pour torpilles, un canon de 105 m/m et un canon aussi pour l ' h o m m e ; mais on y peut
La vente des articles c o n c e r n a n t la
mettre
un
peu
plus
de
luxe
et
remplacontre-avion.
ces jeune» écoliers.
campagne
a u r a lieu les jours de marcer
l'huile
de
lin
par
l'huile
d
'
a
m
a
n
d
e
Le voyage a été agrémenté d ' m pique
Lenderneau
douce, par exemple. La benzine étant ché ; celle des articles c o n c e r n a n t la
nique.
Dans la Polloe. — M. Picq, commis- un parfait païasiticide, ce produit est marine les lundi 6 et mardi 7 août. T o a s
L'aller et le retour, qui se firent en
camion, se déroulèrent dans la plus exu' saire de police de 2" classe à I.ander- très employé au traitement de la gale.
les autres articles seront vendus les
neau, est nommé commissaire de police de
bérante galté.
MaiB revenons au pansage. E n cette autres jours de vente sus-indiqués.
1" classe à Etampes.
saison où les mouches persécutent t a n t
Pont-Croix
Le
Commissaire-Priseur,
de bestiaux, il est sage de prendre das
ARTUS.
Saint-Renan
La Fôte des Ecoles. — La Féte des
précautions pour en préserver ceux-ci.
Ecrire ou se présenter à l'étude pour
Ecoles a obtenu, celte année encore, son
Eleotlon municipale complémensuccès habituel. Un public nombreux et taire. — Dimanche a eu lieu à St-Renan Il importe tout d'abord de défendre au- obtenir g r a t u i t e m e n t un
prospectus
attentif a prodigué ses applaudissements à une élection municipale complémentaire. tant que possible l'entrée de l'écurie ou détaillé des articles à vendre.
tons les artistes.
Quatre conseillers municipaux étaient à do î'étable. Pour cela il suffit de tendre,
Au bal, toute la jeunesse de Pont-Croix remplacer. Voici les résultata du scrutin :
devant les ouvertures, des filets ou des
' Etudes de M " MANIERE
se donna rendez-voua, et les couples tourInscrits, 582 ; votants, 434 ; majorité abso- treillages aux mailles serrées ot de tenir
et
J E H A N N I N , notaires à Quimper.
nèrent joyeusement jusqu'à nne heure du lue, 218.
un peu sombres les logements des animatin.
Oat obtenn:
maux. II est bon de mélanger un peu
ftudierne
Liste républicaine: MM. Gabriel Roudaut, d'alun à la chaux lors du blanchissage
E n l'étude M* JEHANNIN
D é f e n s e laïque. — Assemblée générale 291 voix ; Antoine Jacob, 284 ; Joseph des murs ; l'odeur de la chaux alunée
dea adhérente au comité laïque, dimanche Floch. 276 ; Jean Bizien, 255 (tous élus).
éloigne en effet les mouches. On peut Lé Mardi 31 Juillet 1928, à 15 heures
Liste réactionnaire : MM. le docteur
29 juillet, à 10 h. 80, à la mairie d'Audierne.
l i n I m m e u b l e à usage d ' h a b i t a t i o n
Lucas, 142 voix ; Madec, 138 ; Groiec, 122 ; aussi suspendre de petits fagots d ' a r - et de commerce de vins en gros situé à
Ordre du jour :
moise
au
plafond
des
écuries.
Les
mou1. Compte-rendu du congrès de Ch&tean- I.esvenan, 118.
M. Pailler, candidat indépendant, 15 voix. ches s'y assemblent e t peuvent être Quimper, rue Amiral de la Grandière,
lin.
7, c o m p r e n a n t : rez-de-thausaéa,
La lutte électorale s'est terminée à Saint- détruites.
2. Nomination d'un préaident en rempla
Renan par une belle victoire républicaine.
Pour préserver les a n i m a u x au travail, avec g r a n d e cave et deux cuves à vin
cernent de Michel Le Bars.
Il s'agissait de remplacer trois conseillers il faut les laver avec de l'eau dans la- verré. Deux étages.
3. Comparaison dos résultats obtenus au
certificat d'étudea par les écoles laïques et municipaux républicains décédés, et un quelle auront bouilli longtemps des
mise à prix : 180.006 f r a n c s
antre, M. Leacop, libéral, démiaaionnaire, feuilles de noyer, ou faire bouillir penprivées du canton.
•
Toutes
facilités de continuation immé4. Les Congrégation». Causerie documen- qui, certain à l'avance du succès de toute dant 5 minutes une bonne poignée de diate du commerce de vins en gros.
sa
liste,
avait
donné
sa
démission
pour
protaire. La loi de 1901 et les Congrégationa
feuilles de laurier d a n s un kilo de sainPour tous renseignements,
s'adresser
mercantiles. La loi de 1904 et les Jésuites voquer d'autres élections.
doux. Il suffit d'en graisser un chiffon au notaire.
La
lutte
a
été
chaude.
Le»
candidats
Pour répondre à la propagande des clé
ricaux, vieux républicains venez vous battns n'avaient négligé aucun moyen pour de drap et de frotter d a n s le sens du poil
rafraîchir la mémoire; jeunes venez vous réussir et avaient fait distribuer, notamment, tout le corps du cheval ou du bœuf, au
Etude de M» M A N I È R E , notaire
des tracts violents, presque journaliers.
m o m e n t de le mener au travail.
instruire ; vous serez édifiés.
à Quimper.
Mais le bon sens populaire a répondu et
Les mouches n ' a p p r o c h e r o n t jamais.
la victoire républicaine est complète.
Nous croyons cette pratique fort a n Pouarnene;
cienne. Certains bouchers graissent a i n .
Les r é g a t e s . — Les régates de Douarsi, tous les matins, les murailles autour
M O R L A I X
en totalité ou par lots
nenez auront lien le» dimanche 19 et lundi
Hn
20 août.
Terrain & bâtir
A la S o u s - P r é f e o t u r e . — M. Fernand des portes et fenêtres de leur étal et pas
Gervais, nommé sous-préfet de Morlaix, en une mouche n ' o s e pénétrer.
sis au lieu du S T I R Y , à AUDIERNK
Scaër
remplacement de M. Blachon, a pris posIl arrive que les a n i m a u x s'écorchent.
S'adresser
à M» Manière,
notaire.
F é t e d e C o a t l o o h . — Dimanche pro- session de ses fonctions.
Les chevaux, par exemple, sont fréchain 29 juillet, aura lieu la féte de Coatloch.
Nous lui adressons nos meilleurs souhaits q u e m m e n t blessés p e n d a n t l'été par
p r o p o s i t i o n c h a r i t a b l e , depuis ti
A cet effet il eat organisé, à l'orée de la de bienvenue.
leurs h a r n a i s . Les cultivateurs ont la
an», j e souffrais de r h u m a t i s m e s .
forêt, des courses de bicyclettes, d'hommes
mauvaise habitude de traiter le plus Merveilleusement soulagée, je ferai eonet d'enfants, et des danses.
souvent ces blessures par l'indifférence. naître le secret de ma guérison à f u i m e
8 u o c é s . — Dans la liste des candidats
C'est un grand t o r t , car s'ils prenaient le d e m a n d e r a . Mme H I L A I R E , Montieradmis définitivement à l'examen du Brevet
la peine do les soigner un peu, ils hâte- les-Maufaits (Vendée).
élémentaire, non» relevons le nom de
raient la guérison et préviendraient des
GUERISON DES PLAIES
Henri Roger-François Le Bihan, de Lanvaur, en SitDr, élève de l'école publique E T DES E C O R C H U R E S D ' A R B R E S complications souvent graves. Il faut se
A .
V B 3 S T I D Ä B
souvenir que l'eau froide arrête l ' i n de garçons de notre commune.
FRUITIERS
A L'AMIABLE
D'autre part, en mai dernier, le jeune
Aussitôt q u ' u n arbre a une plaie, une flammation ; aussi le premier soin à
J A K I 3 I N
Henri Le Bourhis, de Beg-in-Alé, en ScaSr, écorchurc, une cicatrice, on nettoie con- prendre lorsqu'un membre, un pied, un MAISON avec
élève de la môme école, a été reçu au con- vona biomont la place et l'on y applique garrot, le dos, la nuque, d ' u n cheval ou
Câttau du Frugy
cours des bourses de l'Easeignement priplusieurs couches successives de goudron d|un bœuf ont été contusionnés, c'est
S'adresser au J o u r n a l .
maire supérieur.
de houille pour mettre les tissus à vif à d'y faire arriver d ' u n e manière continue
l'eau froide, puis faire des lavage» frél'abri de l'air et de» intempéries.
* Vendre de gré à gré
Clohars-CarnoSf
quents à l'eau boriquée ou phéniquée.
Drame. — Mme Rivière, âgée de 32 ans,
POUR NETTOYER
DE
C O M H E R C I
Plus que jamais il faut veiller à la M A I S O N
habitant Segré, était venue passer quelque
DES C H A U S S U R E S JAUNES
avec dépendances et beau Jardin
propreté des abreuvoirs. Il importe que
temps, sur le conseil de son médecin, à la
Les laver avec de l'essence térébenthine, l'eau y soit toujours renouvelée et pure
située à P O U L D R E U Z I C
campagne chez un parent.
frotter avec un chiffon, puis faire sécher et jamais souillée des écoulements d'éS'adresse*
à Me LE BIHAN,
notaire
Dans la nuit de dimanche à lundi, la
au
soleil.
Etendre
ensuite
un
peu
do
crètable.
Plogastel'SaintGerm tin.
pauvre femme qui était neurasthénique se
me spéciale et faire briller avec une laijeta dans le puits de la ferme.
Le Gérant : Pierre Guégaen.
Mme Rivière laisse une petite fille de ne.
E t u d e de M 9 Jean K E R V E L L A , notaire
quelques années.
à Quimper, 58, rue Koréon
La Section Sud-Finistère des Hospitalier«
Sauvoteura Bretona a inauguré, dimanche,
à 11 h. 1/2, la nouvelle station de sanvelsge
de Bônodet-Ste-Marine.
La cérémonie, favorisée par un temps
splendide, se déroula dans un cadre char
mant.
Les navires de commorce et les nombreux yachts qui reposent sur lea eaux
tranquilles de l'entrée de la rivière ajoutent
encore à la beauté de ce site enchanteur.
C'eat à la petite cale de Ste-Marine qu'a
lieu la cérémonie de l'inauguration.
M. Léon Berthaut, lauréat de l'Inatitut,
président général de la Société dea H. S. B.,
entouré de M. Lepatit, président de la
aection de Dinard, et dea vigilante membrea
de la aection de Quimper, MM. Destour,
Drillien et Le Floch, reçoit fort aimablement
les invités parmi '.ssqusla nous remarquons : M. Petitjean, aecrétaire général de
la Préfecture ; M. Le Hars, sénateur ; M
Geneat, ingénieur en chef; M. et Mme G.
Le Bail; M. le Docteur Chauvel, maire de
Cûmbrit, préaident du Comité de la fêle; M
Yvonnou, adjoint au maire de Bénodet,
Puis. M. Berthaut complimente les muremplaçant M. Booillonx-Làfont, empôché ;
l'Amiral Motet ; le commandant Delamaire; nicipalités de Combrit et de Bénodet, et les
le commandant Bénard; M. Minou, ayndic membres de la section du Sud-Finistère
principal, repréaentant la Marine Marchan- Après quoi, il remet la médaille d'honneur
de ; lea déléguée des conseils municipaux de la Société au patron du Claude Drouart
de Bénodet et de Combrit, MM. Louàdec, M. Postollec, et à M. Guillaume Guillou. '
De vifs applaudisaemenla se font alors
L'Haridon, Nicolas, Certen, Le Mut et
Toullec; M. Léon Tuai, inepecteur de la entendre. Ils vont autant au distingué prési« Dépécho » ; le docteur Cocheril ; M. Ma- dent général des H. S. B. qu'aux deux
réchal, garde maritime ; le clergé de Com- vaillants marins.
C'est ainsi que prendflocette cérémonie
brit et de Bénodet, etc...
La musique dupatronageae fait entendre à trè« simple, msis combien touchante I
Vere 13 heures, un banquet intime est
diveraea reprises au coura de la cérémonie
religieuse, qui ae déroule suivant lea iltea servi à l'Hôtel Ker-Mor, à Bénodet.
Avant de se mettre à table, M. Berthaut
conaacrés.
Aprèi la bénédiction faite par M. le Rec- qui est accompagné de M. Drillien et de
teur de Combrit, M. Detiour,
face au déléguée de l'équipage du canot de sauvetacanot de sauvetage, dont l'équipage est ge, tient à so rendre près de M. Duperrois,
malade et alité, et lui remet la médaille
debout, prononce une belle allocution.
Tout d'abord, il remercie vivement les d'honneur de la Société.
Le menu aervi par M. et Mme Daniel,
personnalitéa présente! d'avoir bien voulu
apporter à la Section Finistère-Sud l'hom- las aimablea propriétaires de l'Hôtel, est
admirablement composé et les convives lui
mage de leur précieux encouragement.
11 a dea parolea émuea de reconnaissance font grandement honneur. Le service, en
pour M. le D r Chauvel, maire de Combrit, dépit de l'»fllaence des touristes et auaai de
qui a'eat mia ai spontanément à la diapoai- l'heure un peu tardive, eat parfaitement
tion des membres du Comité de Quimper, a«auré. M. et Mme Daniel ont droit à tous
les compliments.
pour l'organisation de cette féte.
A lafindu repa«, des discours où ils
Il exprime également toute sa gratitude à
M. Yvonnou d'avoir accepté de représenter, laissent parler leur cœur sont prononcés
à la tète d'une délégation du Conaeil muni- par MM. le Commandant Delamaire, Ber
cipal, M. Bouilloux-Lafont, vice-président thaut, Deatour et Georgee Le Bail.
Puis, avant de se séparer, M. le Président
de la Chambre, dont la sollicitude pour les
H. S. B. et toutes les œuvres de secours général remet encore une médaille d'honneur des Hospitalier» Sauveteur» Bretons.
a u marins est bien connue.
Il s'incline très respectueusement devant Elle échoit à M. Louia Le Floch, le sympaMme Le Bail, à l'intervention de qui noua thiquo secrétaire-trésorier de la aection de
devons le Claude Drouart. Il salue en Qaimper, en récompense des services qu'il
M. Le Bail l'ami éprouvé de ton« lea * rendus à la société.
Belle journée, en résumé, dont le» sssismarins.
Certes, M. Destour ne ae fait pas un tant» garderont le meilleur et le plus du>
•crupule de le dire, le Claude
Drouurt rable souvenir.
n'a pas de ces dimensions qui imposent
• •
tout d'abord le reapect et l'adrr.iration. Posé
Rappelons, on terminant, que le canot de
ainsi sur l'eau, le Claude Drouart parait sauvetage de la station Bônodet-Ste-Marine,
bien modeate et on pourrait le croire inca- est un bateau à voile du type Henry, mesupable de remplir la lâche qui l'attend sur rant 6 m. 50 de longueur et 2 mètres de
nne côte auaai tourmentée.
largeur. Son équipage, composé de huit
Mais, comme le- remarque M. Destour, homme», est commandé par M. Postollec,
son champ d'action eat limité, et personne l'ancien patron du canot de sauvetage des
ne songe à lui demander plus qu'il ne peut Glénans.
donner. Il a d'ailleurs fait ses preuves au
Ponf-I'ftbbé
Cap-Fréhel où il dut céder la place à un
bateau plus puissant, et la couche de peinLa F ê t e d e s Eoolea. — A l'occasion de
ture fraîche qui recouvre ses (Unes cache la fè.e de» écolo» laïques de Pont-PAbbé
mal lea meurtriiaurea de nombreuxcombata. qoi aura lieu demain vendredi 27 juillet, à
Tel qu'il eat, ce Claude Drouart, vété- 14 heure», il sera donné aa patronage
ran déjà endurci, lea H. S. B. l'offrent à la laïque, deux grande» séances récréative» :
population de Bénodet-Ste-Marine. Que la la première, le samedi 28 juillet, à 20 h. 30;
station ae développe et le Comité Central la seconde, le dimanche 29, à 14 h. 30.
sera prêt à l'armer d'un bateau plus robuste
Au programme: chants, saynètes, danses,
et plua rapide pour dea tâches plua rudea et comédie», chant mimé, mouvements de
dea horizona plua largea.
gymnastique, chants mixte».
M. Deatour se tourne alors vers le Prési
dent général, M. Berthaut. Auaai loin qu'il
Lesconll
remonte dana le passé, il lui est impossible
S a u v e t a g e . — Dimanche dernier, vers
de séparer M. Berthaut de l'œuvre avec 15 h. 30, M. Noiil Le Bac, 24 an», cultivateur
laquelle il a'eat, un peu plue, tous les jours, à Kerivain, on Plobannalec, se baignait dans
C H A T E A C U N
indissolublement confondu.
La fôte des éoolea. — Pour la troisième
l'anse du S'.éir. Quoique ne sachant pas naQue d'étspes parcourues depuis le jour ger, ce baigneur a'avanç» loin et perdit fois, les écoles publiques de Chàteaulin
où l'avocat général Nadault de Buffon fonda pied.
donneront, pour terminer l'année scolaire,
celte inatilution nationale d'origine bretonne.
Ayant entendu appoler au secours et n'é- une fêle artistique samedi prochain 28 juilComment détailler, en quelquea mots, le coutant que son courage, M. Pierre Ronard let.
bilan de tant d'elTorls accomplie.
Le programme promet d'ôtre aussi at26 ans, ouvrier charron, domicilié à KerlutC'est aux H. S. B. que l'on doit le lance- Plobannalec, se jota à la mer et réussit à trayant que les années passées, ce qui n'est
ment du bateau Henry.
ramener à terre, après de longs efforts, le pas peu dire.
C'est à eux, qae l'on doit l'idée de la Loi malheureux baigneur.
Aussi il y aura fonle samedi à la salle des
Farcy qui assimile au soldat tombé sur le
Ct.loi-ci, qui avait perdu connaiasance, fut fêtes de la Mairie.
champ de bataille le sauveteur victime de immédiatement conduit dans une ferme voi•on dévouement.
sine, où il reçut les premiers soins. Au bout
Porf-Launay
C'est aux H. S. B. que l'on doit encore de quoique» instant», le rescapé reprit ses
Les f ê t e s . — Programme des fêtes de
la première idée de la Fédération Nationale sens.
Porl-Launay : samedi soir 28 juillet, retraite
des Sociétés de Sauvetage.
Toutes nos fâlicitationa à M. Pierre Ro- aux iltmbeaux et grand bal, salle Kerhoas.
C'est aux H. S. B. que l'on doit la fonda- nard pour son bel acte de dévouement.
Dimanche après-midi, 29 juillet: course
tion de la première école de pèche en
de bicyclettes, course de canots, course à
France.
pied.
Plomeur
C'est aux H. 9. B. que l'on doit toute la
Lundi après midi, 30 juillet : course de
E x a m e n du o e r t l f l o a t d ' é t u d e s pribase des réformes accomplies dans la légisjeux divers. Le soir, grande
lation de la grande pèche à Terre-Neuve et m a i r e s . — Ecole des (/arçons (bourg). — bicyclettes,
4 élèves présentés, 4 reçus: Jean-Marie fête nautique.
en Islande.
C'est aux H. S. B. que l'on doit les pre- •Montfort, Jean-Lonis Le Pape, Alexis QuéPlonive^du-Faou
miers grands congrès internationaux pour miner, Isidore Pavec.
Accident mortel. — M. François FlaEcole publique des filles (bourg). —
l'étude de la sécurité.
C'est à eux, toujours, que l'on doit le 5 élève« présentée«, 5 reçues: Cécile Le mer, fermier à Saint-Clair, en Plonévez-dusecond Henry à moteur et qui a fait ses Nou.-s, Marie Cosquer (mention bien), Anna Faou, ost tombé accidentellement de sa
Urcun, Léontine Ca«tric, Marie Gonléquer voituro, vendrodi aoir, en rentrant à son
preuves.
domicile. La mort a été instantanée.
Lo bien ne a'ellre pas i nous. Il nous faut (mention bien).
M. Flamer laisse nne veuve et neuf enle découvrir chaque jour de noa efforts
Ecole de la Palue. — 3 élèves présenté«,
3 reçu»: Henriette Le Rhun, Jean Le Rhun, fants en bas â^e.
vigilants.
L'attention des H. S. B. porte plus parti' Frarçois Hargain.
Scrlgnac
culièrement aujourd'hui aur l'organisation
Plonéour-Unvern
et le développement de ces centaines de
Un non lieu. — No» lecteurs se souvienpetits postes à qui l'on devra bientôt l'orgaÉ t a t - o l v l l d u 1«' a u 1 5 J u i l l e t . — nent du crime dont fut accusé Isidore Aufnisation méthodique de la •éenrit) sur ce Naissances, — Odette Balanec, an bourg ; fret, du village de la Garenne, en Ssriguac,
,
Très importante Veste
Adjudication judiciaire
A Vendre à l'Amiable
Petites recettes pratiques
Le Bétail en été
La chaleur ne troubld pas seulement
les gens, lea bêtes en souffrent comme
nous et il iaut bion ae persuader que
cette souffrance s'accroît si les soins de
propreté ne sont pas donnés avec attention et régularité. Coux qui les négligent
ne soupçonnent pas à quels dangers ils
exposent les a n i m a u x et quelles pertes
ils f o n t .
II faut d'abord que le sol soit toujours
en bon état. Les déjections doivent être
ralevéos chaque jour et, au contraire de
ce qui se pratique dans beaucoup de
fermes, elles ne doivent pas être entassées dans un coin de l'étable, mais
portées an tas de fumier q u ' o n doit
établir assez loin de celle ci. Si on veut
faire disparaître cette désagréable odeur
ammoniacale qui vous suffoque dans
une établo i r a i tenue, il sera bon tous
les cinq ou six jours de laver le sol à
grande eau après avoir tait dissoudre
dans celle-ci du sulfate de fer. Il n'est
pas nécessaire de redire la nécessité
d'assurer 1« parfait écoulement des
urines.
Il faut aérer largement quand les animaux oont sortis, mais dés qu'ils rentrent, il faut fermer les ouvertures, surtout s'ils sout on transpiration. Dos
courants d'air pourraient e n t r a î a e r pour
eux des accidents graves.
Si l'on veut que le bétail soit en bon
état, surtout p e n d a n t lea chaleurs, il
ANNONCES
ON
à i Imprimerie
DEMANDE
du « Citoyen » -
Quimper
an jeooe ouvrier Compoiittar-Typographe
Par acte administratif de vente en
date du 10 novembre 1927, il a été fait
cession à la c o m m u n e de P l o u h i n e c
pour la construction du chemin vicinal
ordinaire
7, d ' u n e portion de la parcelle de terrain inscrite au plan cadastral de ladite c o m m u n e sous le numéro
1048 do la saction D.
Le terrain cédé dépendant du lieu dit
« K o i h u c » a une c o n t e n a n c e totale de
11 ares 60 centiares, et a été acquis de
M. Cogant, H e n i i , propriétaire à Kergos,
en Plouhinec, pour une s o m m e totale
de quatre mille six cent q u a r a n t e francs.
La présente publication est faite en
vue de la purge des hypothèques et en
exécution de l'article 19 de la loi du
3 mai 1841.
Plouhinec, le 18 juillet 1928.
Le
Maire,
COSQUER.
A Vendre à l'Amiable
A proximité de la villa de Quimper,
u n e m a i s o n d ' h a b i t a t i o n de huit
pièces e t u n t e r r a i n d ' u n e c o n t e n a n c e
de mille c i n q u a n t e métrés carrés soixante
décimètres csrrés environ, a t t e n a n t &
l'immeuble ci-dessus.
Pour tous renseignements, s'adresser
à l'étude.
-AV B I N - J D I R B
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Horaire des Trains
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