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M e n s u e l
d ’ i n f o r m a t i o n
d u
C l u b
E n s e i g n e
&
I n n o v a t i o n
N°168 /// mars 2015
Yves Rocher :
le Botanical Beauty Lab
2 Compte-rendu de soirée /// Rendez-vous
3 Interview
4 > 5 Concept Yves Rocher
6 > 9 Dossier
11 Concept Celio Club
12 Ceux qui bougent, ceux qui cherchent… /// Ouvertures
13 Ad’Ap
14 > 15 Les membres du Club
Soirée du 2.02.2015
MAINTENANCE : SUBIR OU MAÎTRISER ?
LÀ EST LA QUESTION…
Certains matériels des points de vente sont soumis à des
obligations de maintenance.
> l es portes automatiques
La fréquence de la maintenance est de 2 visites par an pour
tous les équipements automatiques, et de 1 à 2 visites par
an pour les équipements avec commande contact maintenu.
> l es éclairages de secours
L’article EC 14 du règlement de sécurité (pour les ERP)
et l’annexe 8 de l’arrêté du 26 février 2003 (pour les ERT)
définissent le programme précis de tests et de contrôles
obligatoires.
> l a climatisation
Outre les aspects obligatoires, une maintenance régulière
de la climatisation diminuera considérablement les risques
sanitaires, techniques et économiques.
Le relamping n’est pas soumis à obligation, mais pourquoi faire
un relamping systématique?
>p
arce que les sources lumineuses ont une durée de vie
connue à l’avance,
>p
arce qu’au final cela revient moins cher que des interventions
curatives répétées.
La sous-traitance de cette maintenance à une entreprise
spécialisée permet :
> de garantir une parfaite maîtrise des coûts d’exploitation,
par l’application d’un forfait, et un tarif contractuel pour le
remplacement des blocs défectueux.
>u
ne traçabilité de l’installation : la rédaction d’un rapport et
la mise à jour du registre de sécurité, après chaque visite,
permet d’avoir en temps réel l’historique de l’état du parc.
> de respecter les directives sur la protection de l’environnement,
le contrat de maintenance prévoyant le recyclage des blocs
et des batteries défectueux.
Gérer sa maintenance : deux possibilités 1 / Le mandat de maintenance
L’entreprise agit pour le compte de l’enseigne en mandatant
l’intervenant référencé par l’enseigne.
Le système permet une transparence totale entre les sites, les
services techniques, les responsables habilités, et la société de
gestion (tant au niveau de la réactivité, des délais, des erreurs,
des prestataires ou partenaires, qu’au niveau des coûts).
2 / La maintenance sous contrat
Permet de délocaliser toute la partie opérationnelle de son
service Maintenance tout en maîtrisant tous les coûts.
Le Responsable Maintenance devient un réel acheteur de
prestations et matériel.
Une maintenance délocalisée peut piloter des contrats de
maintenance préventive ou/et curative.
RENDEZ-VOUS
Le Club Enseigne & Innovation organise
sa 1ère soirée conférence
le 2 mars 2015 à 19 h.
Olivier Dauvers, journaliste, éditeur spécialiste de
la distribution et des enseignes,
animera une conférence sur le thème
« Inventer le magasin de demain ».
Dominique Deloison, directeur général de Forum Santé,
et Sébastien Bismuth, directeur général d’Undiz,
viendront exposer leurs visions du magasin de demain.
(Accès réservé aux invités et aux adhérents
du Club Enseigne & Innovation)
COORDONNÉES DU CLUB
Aces Partners
79, rue Paul Vaillant Couturier
37700 Saint-Pierre-des-Corps
Tél. 02 47 75 15 18 - Fax 02 47 75 17 23
e.mail : [email protected]
www.enseigne-et-innovation.com
interview
Jean-Michel Jouanneau
Responsable cellule chargés de maintenance, Picard
Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ?
Picard, une entreprise qui débute en 1906 par la vente de glace,
a aujourd’hui plus 920 points de vente en France, avec
le développement de la marque en Suède, Belgique, Italie,
Suisse, Japon, et un développement annuel de 30 magasins.
Picard c’est un CA de 1,4M d’euros avec plus de 4 500
collaborateurs.
Il s’agit également d’assurer :
>u
ne dynamique d’équipe autour du service clients,
par chacun des acteurs de l’organisation pour une activité de
support.
>u
ne veille technologique et organisationnelle.
> l a montée en compétence des collaborateurs, et de développer
et maintenir pour tous la volonté de bien faire son travail.
Comment est organisée votre structure au sein de l’enseigne ?
Le service maintenance dépend du pôle technique et sureté.
Il se compose d’équipe maintenance froid, maintenance
préventive, maintenance curative, soit près de 20 personnes.
Pensez-vous que ce métier soit différent en fonction
des enseignes ?
Absolument, tout dépend de la volonté de la direction de
l’enseigne d’y affecter la ressource nécessaire. L’image de
marque de l’enseigne transparait dans le bâti, ses équipements
et ses services associés.
Comment êtes-vous arrivé au poste que vous occupez ?
J’ai été recruté pour mon parcours retail de plus de 10 ans dans 3 enseignes.
Quelles sont selon vous les compétences pour ce poste ?
Un management opérationnel mettant en avant la notion de
service clients interne et externe, une maîtrise des coûts
fonctionnels et opérationnels, une vision commerciale de
l’activité maintenance et une parfaite connaissance des objectifs
du client.
Comment répondez-vous aux exigences de ce métier ?
Il faut une disponibilité et une rapidité d’action de tous les
instants, pour toutes les demandes, avec la capacité à négocier
tant en interne qu’en externe les critères de résultats attendus.
Comment imaginez-vous l’évolution de ce métier encore jeune ?
Jeune il ne l’est plus, mais en constante évolution et adaptation
il l’est. Les contraintes économiques impactent directement
la fonction, il convient constamment de réfléchir et d’innover
pour faire mieux avec autant, voire moins, tout en conservant et
en améliorant le niveau de service.
Comment voyez-vous votre évolution au sein de l’enseigne ?
Positive, sur une croissance raisonnée comme l’est l’enseigne.
Mon évolution passe par l’évolution de mes collaborateurs et
les orientations que je leur indiquerai, qui seront en phase
avec les fondamentaux de l’entreprise, les attentes de
l’entreprise et les leurs
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3
concept yves rocher
YVES ROCHER : LE BO
Véritable laboratoire beauté,
le Botanical Beauty Lab est à la croisée
de l’expérience sensorielle et digitale.
Créé par l’agence Workshop, ce concepttest joue sur la transparence totale de
la vitrine pour inviter à entrer et
découvrir l’expérience Yves Rocher
en magasin.
Le design et la théâtralisation reprennent
les codes du laboratoire. La paillasse
en verre satiné laqué évoque le plan de
travail traditionnel d’un laboratoire :
elle devient le « fil vert » de ce nouveau
concept.
De nombreux éléments de verrerie,
issus des codes du laboratoire et de
la parfumerie, ont été intégrés au-dessus
des linéaires : béchers, ballons, flacons
en verre teinté vert au sein desquels
12, rue Le Corbusier - 63800 Cournon
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04 73 84 43 51
on retrouve du végétal, traduisent l’esprit
laboratoire sans dénaturer le contenu
végétal.
VISITE GUIDÉE
De la vitrine à la caisse repensée en fond
de magasin, jusqu’à l’institut, le nouveau
concept retail plonge la cliente dans
des expériences beauté à vivre « en live »
dans le point de vente.
L’EXPÉRIENCE COMMENCE
DÈS L’ENTRÉE EN MAGASIN
Dès la vitrine, une light box met en avant
le programme beauté du moment et
la thématique qui évolue toutes
les 3 semaines. Ce lien depuis la façade
transparente invite à vivre le rituel
beauté à l’intérieur du magasin.
www.climtec.fr
[email protected]
OTANICAL BEAUTY LAB
L’impact est renforcé par un mobilier,
de forme organique, réalisé en bouleau
et comprenant un plateau en liège
naturel.
e maquillage en mural, situé dès
L
l’entrée du magasin, inscrit la marque
en acteur incontournable de
ce segment.
Sa conception intègre du testing pour
chacune des catégories.
Les stocks sont sur des tablettes
coulissantes permettant une parfaite
lisibilité de l’offre.
Des zones de rupture mettent en avant
la nouveauté et l’actualité régulière sur
ce segment.
Le nail bar, espace girly & trendy dédié
aux envies de beauté des mains, offre
une expérience beauté complémentaire
dans son parcours d’achat.
L’INSTITUT, UNE ÉVASION VERS
LE BIEN-ÊTRE
Visible dès l’entrée, l’institut entremêle
matières minérales et matières végétales.
En rupture avec le reste de la boutique,
la cliente est plongée dans un nouvel
espace bien-être, conçu pour une évasion
relaxante et agréable pour elle.
Un espace « détox lounge » est à
disposition pour évacuer le stress
du quotidien avant son soin. Une tablette
digitale est à la disposition de la cliente
pour choisir le type de soin dont
elle a envie et surfer sur les dernières
nouveautés Yves Rocher.
LE TRYLAB, UNE EXPÉRIENCE UNIQUE
ET DÉMULTIPLIÉE
Cœur de la boutique et toujours visible
de l’extérieur, le « Trylab » est en forme
de Y en référence à son fondateur.
Pierre angulaire du nouveau concept,
ce mobilier entièrement modulable est
un véritable sas d’expérience en libre
accès, à la croisée du conseil
Yves Rocher et de l’expérimentation
des produits en testing.
Dans un souci constant de cohérence
du concept, on retrouve les codes
conjuguant science et nature dans
la conception du mobilier : base en
bouleau et plateaux en résine
de synthèse blanc soyeux, accessoires
de présentation en liège naturel.
MURAL MAQUILLAGE
Plusieurs axes ont guidé la création
de l’espace beauté maquillage :
ABORD DE CAISSE
Tous les soins autour du bain ont été mis
en avant en fin de parcours client afin de
favoriser l’achat complémentaire.
Les produits translucides sont sublimés
grâce à une théâtralisation lumineuse
mettant en avant toute la gamme
des produits avec un focus particulier
sur l’édition limitée du moment.
LE SOIN, UN MAÎTRE MOT
La cliente est accompagnée et guidée
tout au long de son parcours grâce à
des linéaires pédagogiques qui
permettent une compréhension claire
de l’offre de produits.
De nombreux outils merchandising ont
été créés afin de faciliter son acte d’achat
et permettre de trouver le soin le mieux
adapté à sa peau : une cartographie de
soins spécifiques, des mots clés sur
les bénéfices produits, un bar à textures
ainsi que les programmes beauté
associés à chaque gamme.
UNE NOUVELLE FAÇON D’ABORDER
LES SERVICES IN STORE
Le parti pris de l’agence Workshop a
été de concevoir des caisses à vivre et
non plus des caisses « contraintes » en
concentrant la technique sur une surface
minimale afin de laisser le plus de place
à l’ergonomie, au service et à la vente
additionnelle. L’espace se complète avec
le bar à cadeaux en abord de caisse
LA PARFUMERIE DES NEZ
Afin de revendiquer la position
d’Yves Rocher comme leader de
la parfumerie en France, chaque magasin
sera équipé d’un orgue à parfums.
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5
dossier
le mag
Face à la montée en puissance du e-commerce et à la transformation du shopper,
plus exigent et connecté, les magasins sont en pleine
mutation. Description.
57 milliards d’euros : c’est la somme dépensée sur internet par les
français en 2014. Soit 9 % du commerce de détail (hors alimentaire).
Et toujours selon les prévisions de la Fevad*, le web marchand
franchirait la barre des 60 Mds en 2015. Plus inquiétant encore,
Amazon** est le deuxième magasin préféré des français en 2014. Quid
des magasins physiques alors ? Leur avenir serait-il compromis ?
« Non, le magasin n’est pas mort », clame l’experte en digital
Catherine Barba, dans son dernier livre***. À la condition qu’il
évolue. Exit le modèle classique
du magasin qui met juste
à disposition des produits !
Le magasin doit devenir une
fabrique d’envies.
* classement OC&C 2014
** Fevad, janvier 2015
*** « Le magasin n’est pas mort », de Catherine Barba,
publié en novembre 2013
Le fameux mur végétalisé
de Nature & Découvertes
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gasin
du futur
iDes magasins de plus en plus beauxi
Pour ce faire, l’accent est mis sur le design, comme l’explique
Anne Broquet, directrice régionale Cotélac. « Nous proposons
au public un travail de créateur, donc nous poursuivons la même
optique avec nos magasins : pas de parquet stratifié ni mélaminé,
que du bois massif et de l’acier ». De l’esthétique mais aussi une
atmosphère conviviale, pour se
démarquer des achats froids
sur internet. Illustration avec
la jeune société Design R&O.
Sa spécialité : les murs d’eau,
les colonnes à bulles... « Attention toutefois à bien prendre en compte les contraintes techniques »,
souligne Jérome Payen, gérant de la société.
Chez Nature & Découvertes, c’est la société lyonnaise Décor Action qui a mis en œuvre les murs d’eau
et les fontaines. « La quasi totalité de nos décorations hydrauliques fonctionne en circuit fermé, et ce
sont nos équipes de ventes qui remplissent elles-mêmes les bassins, au minimum une fois par semaine.
Nos murs d’eau représentent certes un défi technique, mais ils apportent un vrai plus. » nous explique
Bertrand d’Amonville, directeur
de l’identité visuelle de l’enseigne. « La façon même de concevoir
nos magasins implique une réelle complexité, l’abondance des
produits en démonstration nous oblige par exemple à disposer de
près de 300 prises par magasin, même si peu fonctionnent en même
temps. Mais c’est aussi grâce
à cela que le concept des nos
boutiques fonctionne si bien »
souligne Bertrand d’Amonville.
Et pour les fameux murs
végétalisés de l’enseigne ? « Ces
murs, véritables signatures de
l’enseigne, impliquent bien sûr
des contraintes d’entretien. Et
même si ce n’est pas notre
cas aujourd’hui, il est toujours
possible d’envisager le recours
à des végétaux stabilisés, qui
durent bien plus longtemps
que des végétaux naturels »,
explique-t-il.
Uniquement des matériaux
nobles chez Cotélac
Faire un « beau » magasin nécessite, certes, un investissement important, mais qui n’est
pas suffisant. Pour conserver
leur côté attrayant, les boutiques doivent également se
renouveler plus vite. Demain,
le point de vente sera donc
évolutif.
Chez Nature & Découvertes,
le plafond bouge au gré du vent
propulsé par les systèmes
de ventilation... Cela dynamise
le point de vente et attire
d’emblée le regard.
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Le magasin du
dossier
iLes shop labsi
Le point de vente devient un lieu d’expérimentation : tantôt showroom, comme chez Parrot à Opéra, où
les clients viennent piloter un drône, tantôt salon de thé, comme bientôt chez Nature & Découvertes
qui ouvrira bientôt dans le Marais, un flagship intégrant un espace de dégustation.
Autre concept innovant, celui de Monop Lab, qui propose depuis
peu une offre non figée. Les clients sont régulièrement interrogés
et le contenu s’adapte à leurs retours et leurs attentes. Plus
fort encore, aux Etats-Unis, dans le futur magasin Zappos, c’est
l’environnement complet du
magasin qui changera en
fonction des saisons, des
humeurs, de l’actualité sportive
ou culturelle.
Esthétique, évolutif, le magasin se doit aussi d’accompagner le
client toujours plus connecté et de faire converger les bénéfices
du magasin et de l’e-commerce.
iDes boutiques 2.0i
Illustration avec Relay. « Dans son nouveau concept, nous avons installé un bar numérique, avec vente
de liseuses, possibilité de lire la presse en ligne ou de liker ses coups de cœur... », décrit Sylvain
Armandie, directeur général adjoint associé DR Works (groupe Dragon Rouge). Des tables de recharges
et des points wifi en libre accès complètent le nouvel ensemble.
Voici un exemple de magasin connecté parmi d’autres. Car la panoplie
d’outils digitaux ne cesse de s’agrandir, pour coller aux attentes des
clients. Une enquête de l’Ifop pour l’Atelier BNP Paribas nous apprend
ainsi que la présence d’innovations technologiques en magasin
incite plus d’un consommateur sur deux à fréquenter telle enseigne
plutôt qu’une autre. D’où le boom des écrans numériques, bornes de
commande, miroirs tactiles, cabines d’essayage virtuelles, vitrines
3D, caisses automatiques à reconnaissance visuelle, capteurs beacon géolocalisant le consommateur,
applis mobile... Et on peut parier que le phénomène va s’amplifier à l’avenir. « Attention
toutefois à bien adapter le digital au magasin et non pas se contenter de le transposer ! souligne
Sylvain Armandie. Par
exemple, en vitrine, il
faut installer un écran
spécifique, capable
d’être vu de loin, sans
reflet ».
Un bar numérique chez Relay
Borne Kiabi
Miliboo, adepte de la borne tactile
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futur
Des précautions sont de mise mais on n’arrête pas le progrès. Bientôt, des applications plus « innovantes »
ou de rupture relevant de l’internet des objets (cintres branchés sur les réseaux sociaux par exemple)
ou du nomadisme (murs digitaux délocalisés), viendront enrichir
les possibilités offertes aux consommateurs.
Toutefois, les contraintes réglementaires se chargent de ramener
bien vite les enseignes à des choses très terre-à-terre.
Le magasin Burberry à Londres : un écran géant dans le hall d’entrée,
500 enceintes dissimulées un peu partout, 260 iPad pour passer
commandes, une centaine de magic mirror qui s’animent lorsqu’on place
devant eux des articles équipés de puces RFID.
Le mur numérique du magasin
de prêt-à-porter Parco
iDes établissements de plus en plus normési
« Depuis une dizaine d’année, les normes se sont empilées, assure Sylvain Armandie. Normes PMR
(personnes à mobilité réduite), normes développement durable... ». Reste que les distributeurs ne
maîtrisent pas leur environnement. « Pour nos boutiques de centre-ville, les architectes des Bâtiments
de France nous interdisent bien souvent de poser des grilles
pour faire fonctionner une clim à air sur la façade. Du coup, nous
sommes obligés de prendre des clim à eau, moins écologiques »,
soupire Anne Broquet, de Cotélac. Voyons le côté positif néanmoins,
comme l’exprime Sylvain Armandie : « En matière de réglementation
thermique, nous sommes à
l’apogée. Concernant celle
des incendies, nous possédons
déjà la plus contraignante
d’Europe. Enfin, s’agissant
des dispositions relatives à
l’accessibilité aux personnes
handicapées, elles ont été
assouplies dans le dernier
décret paru en décembre ».
En résumé, le magasin de demain peut être imaginé sous les traits
d’un concept mixte entre Nature & Découvertes et Apple, adoptant
un schéma ultra normé. Pas simple, mais à coup sûr plus facile
pour une chaîne physique de
magasins que pour un pure
player de l’internet. Amazon
n’a qu’à bien se tenir !
Christelle Magaud
L’entrée « cube en verre »
du magasin Apple
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celio club
CELIO CLUB : UN CONCEPT
POUR UNE MARQUE
Ce que l’on constate depuis plusieurs
années, c’est l’évolution du marché
et des modes de consommation.
La vitesse répond à l’instantanéité
du client. La différence d’une marque
crée la préférence de celle-ci.
« Nous avons décidé de repenser
CelioClub depuis plusieurs mois en lui
donnant un statut de marque singulière
au-delà d’une ligne de produits Celio »
confie Thomas Camille, Ceo de CelioClub.
À l’image du marché féminin qui voit
apparaître de nombreuses enseignes
premium et urbaines, CelioClub suit
cette logique de produits résolument
modernes, d’excellente facture et
toujours très accessibles. Précurseur
sur le marché de l’homme, Celio évolue
et transforme sa marque CelioClub.
Au programme ? Un style fort, urbain
premium et cool. Bref, une marque
audacieuse, inspirée et optimiste.
Sans modération !
UNE MARQUE GLOBALE
CelioClub est une marque à 360°.
Avec son réseau actuel de 65 magasins
en France, elle compte s’étendre très
prochainement à l’international.
En attendant, la marque a revisité
son logo et offert à ses boutiques
un sérieux coup de jeune. Aussi, à grand
renfort de vidéos et contenus digitaux,
CelioClub veille à créer une proximité
avec ses clients en leur apportant
un contenu de qualité. De plus, CelioClub
répond à ces marchés en quête de
marques premium urbaines masculines
en ouvrant de nouveaux concepts de
magasins, dont trois en Belgique.
À suivre des projets d’ouvertures
au Moyen-Orient et en Asie.
LE CONCEPT MAGASIN
Le contenant est tout aussi important
que le contenu notamment lors de l’achat
en magasin. Pour son nouveau design
de boutiques, CelioClub a imaginé
un concept de magasins ouverts et très
modernes, écrin parfait pour mettre en
valeur la qualité de ses produits. Avec
le renfort de l’agence Costa, habituée
(entre autres) à rénover des appartements
parisiens ultra modernes, CelioClub a
tenu à refléter la qualité et le style de
ses produits. Des boutiques aujourd’hui
pensées façon loft moderne avec
plafonds encaissés, luminaires « stations
météo » inédits et très larges, parquet
haussmannien et meubles généreux.
Des espaces baignés de clarté,
très français mais séduisants à
l’international, mixant acier, bois massif,
inox, béton et verre. Un concept chic et
urbain dans lequel tout le monde peut se
sentir bien
la lettre du club 168
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Enseigne de prêt-à-porter recherche un / une
DÉVELOPPEUR D’ENSEIGNE AFFILIATION (H/F)
Rattaché au directeur de réseau, vous participez à la politique
d’expansion et de dynamisation du réseau, en identifiant et
accompagnant le développement de nouveaux points de vente.
Dans ce cadre, vos actions s’articulent autour des principales
missions suivantes :
P
rospecter de nouveaux partenaires sur les zones ciblées ou
étudier les demandes d’affiliation ;
S
électionner les dossiers « à potentiel » et réaliser une étude
de faisabilité ;
4MURS
Châlons-en-Champagne
FRANCE LOISIRS
Paris - Grenelle
Créteil
SUPERDRY
Paris - Belle Epine
12 la lettre du club 168
NOCIBÉ
Roncq
Bois d’Arcy
HISTOIRE D’OR
Laval
Bourges - Avaricum
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E
laborer des études commerciales et statistiques pour
identifier les zones de chalandises les plus efficientes dans
les villes les plus aptes à concourir au développement
de l’image de la marque ;
V
alider le profil des candidats avant approbation par
la direction et par le comité d’investissement ;
A
ssurer une veille sur les opportunités de développement
et de partenariat ;
M
onter les dossiers d’affiliation en relation avec l’affilié,
le contrôle de gestion, etc. ;
S
uivre le lancement des projets et les performances
des affiliés ;
A
ssurer un reporting régulier auprès de la direction.
Ces missions nécessitent de travailler en étroite collaboration
avec la responsable développement succursales et avec
les services intervenant dans la réalisation des projets
(juridique, travaux, communication, réseau, merchandising,
approvisionnement, etc.).
De formation supérieure Bac + 4/5 (type ESC), ou idéalement
avec une spécialité de développeur d’enseigne (type NovanciaNegocia, Ecole Supérieure de l’Immobilier), vous bénéficiez
d’une expérience de 2/3 ans minimum sur une mission
de développeur réseau régional ou national, idéalement
dans l’univers de l’équipement de la personne.
Persévérant, autonome et engagé, vous êtes une personne de
terrain. Fort d’un réel sens relationnel, vous avez démontré
vos capacités d’analyse, de synthèse et d’adaptation.
Vous maîtrisez parfaitement les outils de bureautique.
Poste basé à proximité de Lyon.
Adressez votre candidature sous ref. 168.01 à
[email protected]
ad’ap
AGENDA D’ACCESSIBILITÉ
PROGRAMMÉE :
RAPPEL DES RÈGLES
L’ordonnance présentée le 25 septembre 2014 a modifié
les dispositions législatives de la Loi du 11 février 2005.
À compter de cette date, et avant le 27 septembre 2015,
les établissements recevant du public (ERP) ou les installations
ouvertes au public (IOP) ont désormais la possibilité, pour
mettre leurs établissements en conformité avec les obligations
d’accessibilité, de s’engager par la signature d’un agenda
d’accessibilité programmée (Ad’AP).
Vous êtes gestionnaire d’un patrimoine constitué
d’établissement(s) recevant du public (ERP) non accessibles
au 1er janvier 2015 ?
Vous devez déposer un Agenda d’Accessibilité Programmée
(Ad’AP) avant le 27 septembre 2015.
urée de l’Ad’AP : 1 à 3 périodes de 3 ans maximum chacune
D
(sous conditions pour les périodes 2 et 3).
ormulaire à remplir : le Cerfa n°15246*01 « Agenda
F
d’accessibilité programmée » disponible sur
www.accessibilite.gouv.fr.
Lieu de dépôt :
Dans le cas d’ERP dans un seul département : en préfecture
du département d’implantation de vos établissements /
installations.
> Dans le cas d’ERP implantés sur plusieurs départements :
dans une seule préfecture (celle du siège, ou celle
du département de domiciliation pour une personne physique).
>
Les commissions pour l’accessibilité de chaque commune
d’implantation ou les commissions intercommunales
compétentes doivent être informées, via la mairie, de votre dépôt
d’Ad’AP.
Finalisation de l’Ad’AP :
Si votre Ad’AP est approuvé (par arrêté préfectoral ou
tacitement), avant de réaliser vos travaux (2 conditions
alternatives) :
pour chaque ERP dont les travaux ne sont pas soumis
à permis de construire ou à permis d’aménager,
vous devez déposer une demande d’autorisation
de construire, d’aménager ou de modifier un ERP
(formulaire Cerfa n°13824*03).
pour chaque ERP dont les travaux sont soumis à un permis
de construire ou à un permis d’aménager, vous devez
déposer un dossier spécifique permettant de vérifier
la conformité des ERP aux règles d’accessibilité et
de sécurité contre l’incendie et la panique.
> Si votre Ad’AP est refusé, vous aurez un délai pour déposer
un nouveau dossier complété.
>
Obligations de suivi :
à la fin de la première année : point de situation des actions
effectuées (si agenda d’accessibilité programmée à 2 ou 3
périodes).
> à mi-parcours : bilan des actions exécutées (si agenda
d’accessibilité programmée à 2 ou 3 périodes).
> en fin d’Ad’AP : attestation d’achèvement des travaux.
>
Tous ces documents sont à transmettre dans toutes
les préfectures concernées ainsi que dans toutes
les mairies concernées qui transmettront à la commission
pour l’accessibilité de la commune ou de la commission
intercommunale compétente.
Vous ne pouvez pas financer les travaux de mise en accessibilité
sur 9 ans (3 périodes de 3 ans) ?
Vous pouvez demander une prorogation du délai de dépôt
de l’Ad’AP, pouvant aller jusqu’à 3 ans. Elle est à déposer
en préfecture
Plus d’infos, renseignements pratiques, outil d’autodiagnostic :
www.accessibilite.gouv.fr
la lettre du club 168
mars 2015 13
MEMBRES ASSOCIÉS
Agence design
AKDV Jean-Pierre Lefebvre
LONSDALE WESTERN Loïc Delafoulhouze
B ois et panneaux
EGGER Thibault Fessart
GROSJEAN Alexandre Guillery
POLYREY Véronique Renard
Bureau de contrôle
BUREAU VERITAS Philippe Kiener
Climatisation
Fabricant
AIRWELL Alain Perrin
ATLANTIC Stéphane Bouffard
MITSUBISHI ELECTRIC Antoine Sanchez
Installateur
AXE ÉNERGIE Jean-Michel Hechner
CLIMATICIENS DE FRANCE Véronique Gros
GROUPE SESAR Benoit Perret
C ourants faibles
Téléphonie vidéo surveillance
ANAVEO Cyril Rudigoz
SCUTUM Thierry Babule
TEB Pascal Debout
Démolition gros œuvre
Gestion déchets - Bennes - Manutention - Démolition
SERVIPAC SALAZIE Philippe Gal
D igital Media
ATMOSPHERES Philippe Grebot
Éclairage (Fabricants & Bureaux d’Etudes)
ANSORG Anne-Valérie Dujaud-Rondelez
FAGERHULT Yves Farion
IPSO David Elleau
Électricité
PHILIPS Marlène Tisse
Façade
Palissades
WALL TEK Alexandre Fernandes-Cruz
Portes
PORTALP Didier Fischer
RECORD Annick Coutable
Stores
VOILERIE VILLEURBANNAISE Christophe Passot
Serrurerie miroiterie rideaux
IFD Grégory Reinneis
LA TOULOUSAINE Delmar Pontes
Géomètres-Experts
PANGEO CONSEIL Joseph Pascual
Maintenance
LUMINEM Virginie Van Den Driessche
PRESTA SERVICE Patrice Prioux
SESAM Vassil Manoïlov
Maîtrise d’œuvre
AGOS André Chambe
ESPACE 4 Olivier Angleys
ESSOR 3 Oualid Attab
Matériels - Matériaux
PLATEC Dorian Bomble
SAINT GOBAIN Maurice Manceau
Mobilier
AMC Daniel Soulard
BERTHILLOT Emmanuel Cornu
FAPEC Bernard Heimendinger
SOFADI Sylvain Charretier
Peinture
Matériel
LA SEIGNEURIE - PPG Christophe Vavasseur
Protection incendie - Désenfumage
Extincteurs
PREV’INCENDIE Eric Laurent
Résines - Films adhésifs
EURECLA Nicolas Coquelin
Revêtements de sol
Fabricant - Distributeur
DEPOT SERVICE CARRELAGE Jean-Paul Sinigaglia
FORBO Marie Chorro
PERGO Gaël Raveneau
Rideau d’air chaud
BIDDLE Olivier Muller
TEDDINGTON Didier Surtet
Sécurité
Antivol - Contrôle d’accès
NEDAP Kees Payens
PROTECT FRANCE Christophe Dessain
Signalétique intérieure extérieure
DT SIGNS Guillaume Tondeur
INSIGNIS Patrick Floren
SOVILEC Grégory Peillon
Tapis
EMCO Anselme Hoffmann
LE
CONSEIL
D’ADMINISTRATION
Luc Dol
Président
Patrick Destribats
Vice-président
Secrétaire Général
Trésorier
Didier Perkowski
Vincent Le Gorju
Commission Soirée à thème
Commission Recrutement
Benoît Perret
Patrick Destribats
Commission Formation & Réglementation
Commission Salons
Emmanuel Cornu et Vincent Le Gorju
Commission Labellisation
Alain Rousselot
Commission Communication
Commission Briques d’Or
14 la lettre du club 168
mars 2015
Richard Stella
Luc Dol
Harris Benkaroun
MEMBRES ACTIFS
Akamebou Sylvie CELIO CLUB
André Nadège BURGER KING
Arbogast Raymond SMCP
Bassompierre-Sewrin Eric GEMO
Beauvinon Yann PARASHOP
Benkaroun Harris GROUPE GRANDVISION
Ben Yahia Samir FORUM SANTÉ
Beres Alexandre
Bertolone Eric JEFF DE BRUGES
Bodart Eric CLEOR
Bonine Nafy BESTSELLER
Boucaud-Maître Romain CHOCOLATS VOISIN
Bouteille Alain GALERIES LAFAYETTE
Brisson Jérôme ELECTRO DÉPÔT
Broquet Anne COTELAC
Callens Olivier
Chevallier Vincent LA MUTUELLE GÉNÉRALE
Compain Jean-Claude ORANGE
Coutrix Fanny EURODIF
D’amonville Bertrand NATURE & DÉCOUVERTES
Demassiet Michael DAMART
Demirdjian Valérie
De Rovira Valérie
Destribats Patrick EURODIF
Djedi Fatiha POMME DE PAIN
Dol Luc COMPASS GROUP
Doubet Samuel SFD
Etienne Carole CLAIRE’S
Facon Céline ÉLECTRO DÊPOT
Fauvet Daniel IKKS
Fouassier Jérôme
Fragne Denis UN JOUR AILLEURS
Gai Alain
Galle Éric ORCANTA LINGERIE
Gameiro Véronique GAMM VERT
Garrigue François MAAF ASSURANCES
Gauthier Éric BNP PARIBAS
Gegou Sylvie FRANCE LOISIRS
Giezek Thomas CEC
Godard Delphine POINT P
Goncalves Jorge COURTEPAILLE
Gouville Elisabeth DARJEELING
Gramat Amaury RETIF
Grangette Bernard TOP OFFICE
Grousset Olivier THE BODY SHOP
Guéméné Pascal ACCOR
Guillot Jean-François GROUPE GRANDVISION
Hébert Pascal GÉNÉRALE DE TÉLÉPHONE
Henriques Francis MIM
Henry Jean-François SUPERGROUP
Heurtin Franck
Hévin Frédéric LOUVRE HÔTELS
Huin Benjamin LAPEYRE
Husson Réginald COMPASS GROUP
Jacquet Emmanuel SPEEDY
Jeansoule Michael PPG DISTRIBUTION
Jego Yannick GROUPE ERAM
Jorge Jean-Marie MIM
Jouanneau Jean-Michel PICARD
Jovet Stéphane SYSTEME U
Kassam Dinesh C&A
Klein di Giacomo Valentin EASY CASH
Lafon Pascal LACOSTE
Lalung Rebecca PPG DISTRIBUTION
Le Bartz Erwan GROUPE BEAUMANOIR
Lefevre Julien
Le Gorju Vincent SPORT 2000
Le Milbeau Bruno EURODIF
Loison Marc SUPERMARCHÉS MATCH
Lucia Pierre CELIO GROUPE
Manel Julien BROSSETTE
Marchand Yann BUFFALO GRILL
Maximilien Jean-Yves FORUM SANTÉ
Melon Sophie THOM EUROPE
Mendil Pascal ANJAYATI
Meyer Nadie THOM EUROPE
Mir David GROUPE MONCEAU FLEURS
Mokus Laurent BPCE
Montagne Philippe CARREFOUR PROXIMITÉ
Olivry Maurice HARRIS WILSON
Page Thériez Stéphanie AELIA
Pairault Laurent SOCIÉTÉ GÉNÉRALE
Pedro Manuel TEDDY SMITH
Petit Benoît POINT P
Petrel Christophe INTERMARCHÉ
Peycelon Marc HYPARLO CARREFOUR
Phelippeau Patrice AUCHAN
Pilton Franck CAMAÏEU FEMME
Pineau Ludovic L’OCCITANE
Policard Christophe AELIA
Ponteau Tommy GROUPE TUI FRANCE
Prigent Stéphane
Proucelle Bruno VILLEROY & BOCH
Ranchoup Christophe 4 MURS
Reminiac Gilles
Renault Emmanuel LÉON DE BRUXELLES
Reynaud Isabelle LA MUTUELLE GÉNÉRALE
Riberet Oriane CONFORAMA
Riberot Nadine
Richard William KFC
Rocha Paulo KFC
Rolland Frédéric VIVARTE
Rousselot Alain LÉON DE BRUXELLES
Schneider Benoît LA HALLE O CHAUSSURES
Sénéchal Sophie KRYS GROUP
Stankovic Zoran LOXAM
Stella Richard
Szereda Pascale OPTIC 2000
Timossi Stéphane KILOUTOU
Tiron Lionel NEW LOOK
Tréhout Olivier JENNYFER
Van Cauteren Géraldine DELTA LINGERIE
Vanexem Jérôme DAMART
Vinarnic Bob RETIF
Virapin Philippe DEVRED
Virenque Isabelle NOCIBÉ
Wattel Christophe SAINT MACLOU
Zucchiati Séverine SYSTEME U
Climaticiens de France
Emmanuel AZEMA - Président
31, rue d’Amsterdam
75008 Paris
Tél. 04 78 49 05 76 - 06 86 28 93 69 - Fax 01 55 32 10 11
www.climaticiens.net
antivol magasin - comptage clients - contrôle d’accès
Laurent RUELLE
8/10, chemin d’Andrésy - BP 90050 – Eragny/Oise
95611 Cergy-Pontoise cedex
Tél. 01 61 03 03 27 - Fax 01 61 03 03 32
[email protected] - www.nedap.com
Didier FISCHER
Responsable Grands Comptes
06 62 92 27 54
4, rue des Charpentiers - 95330 DOMONT
Tél. : 01 39 35 42 42 - Fax : 01 39 35 42 43
www.décocéram.fr
Jean-Paul SINIGAGLIA
Responsable Prescription
T : 04 78 04 77 05 - P : 06 08 47 54 20
[email protected]
Émilie CLAVEL
Ass. Prescription
T : 04 72 04 91 41
[email protected]
CARRELAGE & DÉCORATION
la lettre du club 168
mars 2015 15