ondes électromagnétiques - Le développement durable à Rosny

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Transcript ondes électromagnétiques - Le développement durable à Rosny

Les risques chimiques dans l’habitat
Etat des lieux sur les effets de la téléphonie
mobile
6 avril 2013
Ferme pédagogique de Rosny sous Bois
Elodie Lapierre
Chargée d’études
1
Sommaire
Introduction :Présentation de l’APPA
Partie 1 : les pollutions chimiques
• Caractérisation de la pollution chimique dans
l’habitat
• Comment améliorer la qualité de son air intérieur
Partie 2 : Un possible risque physique
• Les ondes électromagnétiques : Etat des lieux des
connaissances actuelles
2
L’APPA et les enjeux liés à la
qualité de l’air intérieur
3
Présentation de l’APPA
Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
 Création en 1958
 Reconnue d’utilité publique en 1962
 Agréée par le Ministère en charge de
l’Environnement en 1978
 Agréée par le Ministère en charge de
l’Education Nationale en 2002
 Une vingtaine de comités régionaux
4
Missions de l’APPA
 Coordonner, susciter toute action de recherche et étude sur la
pollution atmosphérique, le changement climatique et la santé
environnement
 Assurer une veille scientifique et un transfert des
connaissances (revue Pollution Atmosphérique: climat, Santé,
Société)
 Informer et sensibiliser les professionnels et la population
 Contribuer à l’élaboration et au suivi des politiques publiques
 Expertise et animation de réseaux
Pour plus de renseignements :
www.appa.asso.fr
5
Les enjeux de la qualité de l’air intérieur
• Nous passons de 70 à 90% de notre temps dans
des espaces clos.
• Spécificité de la QAI : les sources de pollution dans
les logements sont multiples.
• La pollution dans l’habitat est un mélange de la
pollution extérieure et typique du logement.
• Ces pollutions peuvent provoquer des effets
néfastes sur la santé et le bâtiment, mais des
solutions existent
6
Partie 1
La pollution chimique dans l’habitat
7
Pollution et polluants
Définition
Constitue une pollution atmosphérique (…) l'introduction par l'homme,
directement ou indirectement, dans l'atmosphère et les espaces clos,
d’agents
chimiques,
physiques
ou
biologiques
ayant
des
conséquences préjudiciables de nature à mettre en danger la santé
humaine, à nuire aux ressources biologiques et aux écosystèmes, à
influer sur les changements climatiques, à détériorer les biens
matériels, à provoquer des nuisances olfactives excessives
Source: LAURE 1996- Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie
8
Sources d’émissions liées au bâtiment
Interdiction d’usages
depuis 1997
Amiante

Elément chimique minéral

Etat: solide

Propriétés: isolant thermique, acoustique, ignifuge

Risques :
 Cancérigène
 Respiration des fibres
9
Sources d’émissions liées au bâtiment
Interdiction dans les peintures
depuis 1948
Plomb

Métaux lourds

Etat: solide

Utilisation: dans les peintures (résistantes à l’humidité,
longévité)

Risques :
 Exposition plus fréquente des enfants
 Ingestion due à l’écaillement des peintures
 Saturnisme
10
Sources d’émissions liées aux pratiques
individuelles
Fumée de tabac

Composition:

4 000 substances différentes (COV, métaux lourds, goudrons…)

Dont plus de 40 sont cancérigènes

Etat: aérosol

Sources: « l’environnement du fumeur »

Risques :

Tabagisme passif

Tabagisme ultra-passif ou Tabagisme de 3ième main
11
Sources d’émissions liées aux pratiques
individuelles
Monoxyde de Carbone

Depuis septembre 2012

980 épisodes d'intoxication en France

impliquant 3 160 personnes dont 33 décès.

Effets à seuil : 0,1 %1 de CO dans l’air tue en une heure

Etat: gazeux, inodore, incolore et non irritant


Sources: combustion incomplète due à un manque d’oxygène.
Risques :

intoxication aigüe

peut entrainer la mort de l’individu
1Sante.gouv.fr
12
Le monoxyde de carbone
Les appareils de combustion:
o
o
o
o
Chaudières
o
o
Chauffe-eaux
Poêles
Groupes électrogènes
…et autres chauffages
d’appoints
Tout sauf les chauffages électriques
Cheminées
Conseils :

Installation et entretien par des spécialistes,

A utiliser selon les prescriptions des fabricants,

Ne jamais boucher les aérations. Les entrées « d’air frais » venu de
l’extérieur permettent d’apporter au chauffage de l’oxygène pour
bien brûler le combustible (gaz, charbon…).
Ramonage mécanique régulier des conduits d’évacuation.

Multiples sources d’émissions
COV – Composés organiques volatils
 Eléments chimiques organiques
a minima 1 atome de Carbone (C), associé à des atomes d'hydrogène
(H), d'oxygène (O), d'azote (N), de soufre (S), etc.

à l’exclusion du méthane (CH4), du dioxyde de carbone (CO2) et
monoxyde de carbone (CO)

gazeux dans des conditions normales de température (20°C) et de
pression (105Pa ou 1atm)


De nature, d’effets et de sources d’émission très diverses
14
COV- Composés Organiques Volatils
Des centaines de composés


Hydrocarbures aliphatiques saturés ou
• Forêts
insaturés – éthylène,
• Air extérieur (trafic : benzène / industries),
Hydrocarbures alicycliques – terpènes,
essence de térébenthine,

Hydrocarbures aromatiques – benzène,
toluène, xylène,

Sources naturelles et anthropiques
• Tabac (milliers de COV),
• Produits de nettoyage, désodorisants,
cosmétiques…,
Hydrocarbures halogénés : composés
• Chauffage et cuisson,
chlorés et fluorés : dioxines,
• Ameublement :

Alcools – hexanol, propanol,
• Collage  formaldéhyde,

Ethers de glycol : methylglycol,
• Produits de finition : vernis, laques,

Aldéhydes – formaldéhyde,

Cétones – acétone,

Acides – Acides acétiques,

Esters – Acétate de vinyl,

Phtalates – dimethyls phtalate.
• Certains meubles : isocyanates, phtalates,
• Produits de construction
• Pas d’émission : matériaux minéraux ou
métalliques,
• Tous les matériaux organiques naturels.
COV- Composés Organiques Volatils
Désodorisant
spé. WC
16
COV- Composés Organiques Volatils
Bricolage, ménage…
-Conseils
• Exposition : inhalation, contact avec la peau, ingestion,
 Ai-je vraiment besoin de ce produit ?
• Rangement et utilisation de multiples produits.
 Comment savoir si un produit est dangereux ?
Pictogrammes
Effets sur la santé :
 Comment limiter les risques ?
• Gêne olfactive.
•Inconfort  Maladies
Ne pas mélanger les produits
graves,
 Limiter les aérosols,
• Irritations de la peau, des muqueuses
et du système
pulmonaire, nausées, maux de tête…,
•  réactions allergiques,
• Quelques composés sont associés à des troubles
Suivre les précautions d’emploi (cf.
notice),
A utiliser avec modération,
Aérer pendant les activités de ménage,
bricolage,…
neurologiques ou cancers,
•d’autres sont suspectés d’atteindre
Stocker dans un lieu ventilé
la reproduction,
 Solutions alternatives.
17
Des indicateurs de toxicité des produits :
pictogrammes
Les pictogrammes des
produits chimiques : ancienne
formule
Les pictogrammes des produits
chimiques :
nouvelle formule
Dangers physiques :
Dangers pour la santé :
Dangers pour l’environnement :
18
Substitutions possibles
Idées de recettes
 Bicarbonate de soude : adoucissant linge, four
 Bois de cèdre : antimite
 Vinaigre blanc /d’alcool : détartrant - désinfection
 Citron + huile d’olive : Meubles
 Recettes écologiques et économiques
19
Les écolabels
Ecolabels indépendants
Ecolabels institutionnels
Produits d’entretien,
vêtements et cosmétiques
Exigences écologiques portant sur
l’ensemble du cycle de vie des produits
Produits ayant un impact
limité sur l’environnement et
la santé du consommateur
Produits d’entretiens
20
En conclusion
Comment améliorer la qualité de l’air intérieur
de son habitat?
• L’aération et la ventilation
– Ouvrir au moins 10 min/j
– Une ventilation opérationnelle (dégagée et propre)
• Limiter les sources de pollution
–
–
–
–
Maitrisez les activités « sources de pollutions » : ménage et bricolage
Adaptez les produits en lisant les sigles de prévention
Choix des écolabels?
Choix de l’ameublement? étiquetage obligatoire depuis janvier 2012
relatif aux émissions de COV sur les matériaux de construction et
décoration
Partie 2
Etat des lieux sur les risques liés aux ondes
électromagnétiques engendrées par
l’utilisation des téléphones portables
22
Historique de la téléphonie mobile
• 1983 – aux Etats-Unis, Motorola lance le « 1er téléphone portable »
• 1989 – Paul Brodeur, journaliste au New Yorker, publie une série d’histoires
sur les risques supposées des lignes très basses fréquences
• 1992-93 – en France, mise en place d’un réseau de téléphonie mobile et
commercialisation des premiers portables
• 1993 – aux USA, 1er procès d’un citoyen contre un opérateur de téléphonie
mobile
• 1999 – Initiation de l’étude Interphone menée par le CIRC
• 2007 – En France les médias s’intéressent au sujet
• Mai 2010 – Publication des résultats de l’étude Interphone
• Mai 2011 – Communiqué de presse du CIRC
23
Source: oxfordjournals.org
Etat des lieux à l’échelle mondiale en 2011
 Estimation de 5 milliards d’abonnements de téléphonie
mobile
dont de plus en plus de jeunes adultes et enfants
 En 2008, 237 913 nouveaux cas de cancers du cerveau
recensés (tous types confondus)
Profil des utilisateurs à risque
 30 min/j pendant 10 ans
Communiqué de presse n°208, du 31 mai 2011, du CIRC de l’OMS
24
Actualité médiatique en France en 2007
Le lien entre « portable et cancer » est largement relayé par
les médias
 Europe 1 – le 16 octobre
« Portable – Trop téléphoner augmente le risque de cancer »
 TF1 – le 28 octobre
Davantage de cancers chez les accros du téléphone?
 Nouvelle observateur – le 7 décembre
Les téléphones portables augmentent le risque de cancer
 France 2 - JT-20h du 9 décembre
Téléphone portable et cancer de la parotide
 France 5 – Magazine de la santé du 10 décembre
Téléphone portable, cancer de la parotide et tumeurs du cerveau
25
Regard des français face à la téléphonie mobile
Etude de l’INPES menée entre avril et juin 2009 sur
Les connaissances, perceptions et comportements
des français vis-à-vis des risques liés à la téléphonie mobile
Principaux résultats:
 85% des 15/75 ans déclarent utiliser un téléphone portable
98% chez 15/24 ans
 60% des français pensent que l’utilisation d’un portable peut
favoriser une tumeur au cerveau
 26% des français disent avoir changé de comportement
 1/3 des français disent croire en la parole publique
26
Les ondes électromagnétiques
Qu’est-ce qu’une onde?
 Une onde peut être définie comme le déplacement d’une
perturbation dans un milieu donné : l’eau, l’air, le sol et même le
vide
 L’onde ne transporte pas de matière, mais une quantité
d’énergie.
 Longueur d’onde λ : 1 oscillation
(nm)
 Fréquence : nb d’oscillations (Hz)
Source: OMS
3 Hz
λ
1s
Les ondes électromagnétiques
Qu’est-ce qu’une onde électromagnétique?
 C’est la combinaison d’une onde électrique et magnétique,
elle se déplace à la fois dans le champ électrique et à la fois
magnétique
Fréquence = 2 Hz
 Le champ électrique agit sur les particules chargées
électriquement (foudre)
 Le champ magnétique agit sur les aimants (boussole)
28
Source: OMS
Spectre des ondes électromagnétiques
29
Classification du CIRC
Communiqué du 31 mai 2011 de l’OMS
 Les ondes électromagnétiques liées à l’utilisation d’un
téléphone portable sont classées 2B
 « Indications de cancérogénicité limitées chez l’homme »
Le groupe de travail estime qu’une interprétation causale est crédible , mais il n’a pas été
possible d’exclure avec certitude que le hasard, des biais, ou des facteurs de confusion
aient pu jouer un rôle.
 « Indications de cancérogénicité insuffisantes chez l’animal »
Les études disponibles ne sont pas d’une qualité, d’une concordance et d’une puissance
statistique suffisante pour permettre de conclure à une relation cause à effet entre
l’exposition et le cancer.
Communiqué de presse n°208, du 31 mai 2011, du CIRC de l’OMS
30
Etude menée par le CIRC
Etude Interphone menée de 1999 à 2009,
résultats publiés en 2010
 Hypothèse => les champs électromagnétiques émis par les
téléphones mobiles sont cancérigènes?
 Rassemble une série d’études épidémiologiques de type castémoins
 Les études ont toutes suivies le même protocole
 13 pays impliqués
 ± 6 000 cancers étudiés (gliomes, méningiomes, neurinomes,
tumeurs de la glandes parotides)
 MAIS…
31
Source: ANSES
Avis des autres agences sanitaires
Européen
• Agence Européenne de l’Environnement:
– Divergence d’opinion entre équipes de recherches (biais, reproductibilité,
etc.)
– Divergence d’interprétation du classement 2B par l’opinion publique
National
• ANSES et l’Institut National du Cancer:
– Nécessite de poursuivre les recherches
– Cite le classement du CIRC
• CRIIREM Centre de Recherche et d’Informations Indépendantes sur les Rayonnements
Electromagnétiques :
– « Possibilité d’un risque faible (…) ne permettent pas de conclure sur
l’existence d’un risque formel »
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Position des associations
• Association Robin des Toits
« Ce qui est très grave c’est que le gouvernement connaît très bien la
dangerosité de ces ondes et qu’il les étouffe ».
• Association France Nature Environnement (FNE)
(…) les résultats sont contradictoires. Il convient de poursuivre les recherches
afin de mieux cerner la réalité des risques sanitaires. Mais bien évidemment
des mesures de précaution doivent être prises par tous (…)
• Greenpeace n’en parle pas
• Fondation Nicolas Hulot, renvoie au site de l’INPES
• World Wide Foundation – WWF
Premier opérateur de télécommunications mobiles français, Orange devient,
en mars 2008, partenaire stratégique du WWF (…)
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Position des opérateurs mobiles
• Orange
« OMS fournit des éléments pédagogiques pour comprendre les
résultats des dernières expertises scientifiques (…) L’Agence
Britannique de Sécurité Sanitaire conclut qu’il n’existe pas de
preuve convaincante que la téléphonie mobile puisse affecter la
sante humaine. »
• SFR
« OMS a classé comme «peut-être cancérogène(s) pour l'homme»
(…) »
Bonnes
pratiques
d’utilisation
• Bouygues Telecom
« Le CIRC a choisi « peut-être cancérogène(s) ». Il indique que le
lien entre ondes radio et cancer n’est ni démontré, ni probable. »
• Free
Rien sur leur site internet
34
Position/rôle des médias
•
25 oct 2011 - Le Figaro
« Cancer : le téléphone portable sans risque. La plus grande étude réalisée sur ce sujet conclut qu'il
n'existe aucun lien entre le mobile et des tumeurs du cerveau. »
•
9 janvier 2013 - Le Parisien
« L'Académie de médecine met en garde contre l'utilisation abusive du principe de précaution
(…) de nature à renforcer artificiellement chez nos concitoyens un sentiment de peur et de défiance
injustifié, mais préjudiciable en terme de santé publique. »
•
23 janvier 2013 – RMC
« Téléphones portables et cancer : il y a urgence. Selon un rapport rendu public ce mercredi et révélé
par BFMTV, l’utilisation du téléphone portable favorise bien l’apparition de cancer. »
•
23 janvier 2013 – 20 minutes
Téléphones portables et cancer: Il existerait un lien probable, selon l'Agence européenne pour
l'environnement
•
26 février 2013 – Le Point
« TÉLÉPHONE PORTABLE - Attention cancer ! Pour la première fois, un tribunal italien a certifié
un lien de cause à effet entre l'utilisation prolongée du téléphone portable et le cancer. »
35
Qu’est-ce qu’il faut en conclure?
Absence d’unanimité
Chaque partie peut trouver des arguments en sa faveur pour
prouver l’innocuité ou les dangers liés à l’utilisation des portables et
des ondes électromagnétiques
De plus l’Agence Sanitaire Européenne met en garde, sur
l’interprétation du terme
cancérogénicité possible
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Pourquoi est-ce si difficile d’établir un lien
causal ?
 Plusieurs types de cancers
 Définition même du cancer : « un cancer est un enchaînement
d’évènements aléatoires aux effets synergiques »
 Peu de recul
 La technologie avance plus vite que la recherche
 Étude menée sur 10 ans versus 3G en 2010 et 4G en 2013
 Différents types d’études
 Épidémiologiques sur une population réelle
 Toxicologiques sur une espèce animale
37
Pourquoi est-ce si difficile d’établir un lien
causal ?
 Biais spécifiques à chaque type d’études
 Épidémiologiques : sélection, confusion, interaction, susceptibilité
génétique, fiabilité des réponses, « perdus de vue » etc.
 Toxicologiques: milieu hyper-contrôlé, transposition des résultats à
l’être humain
 Etudes longues et coûteuses
 Pluri-disciplinaires (physiciens, neurologues, toxicologues,
épidémiologistes, statisticiens, etc.)
 Source de financement pas toujours renseigné
38
Positions des pouvoirs publics
 Grenelle 2 (2009)- 10 mesures ont été prises, dont:
interdiction du portable à l’école primaire
 expérimentation de l’abaissement du seuil des antennes dans certaines villes

 Principe ALARA - Proposition de loi du 12 décembre 2012:
 Présentée à la Commission du Développement Durable et de l’Aménagement du
Territoire
Application du principe de précaution pour les risques résultant des ondes
électromagnétiques
=> Reboutée vers la Commission des Affaires économiques
Application du principe de précaution aux ondes électromagnétiques
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Qu’est-ce que le principe ALARA?
Principe ALARA « As Low As Reasonably Achievable »
 Revoir à la baisse les valeurs limites d’exposition
 Décret 2002-775, 3G VLE= 61V/m
 Agence Nationale de Fréquences a mesuré 1V/m en moyenne et
6V/m pour les « points atypiques »
 Objectif visé par le principe ALARA => abrogation des valeurs
du décret, au profit de valeurs plus faibles
En pourparler…. sujet très délicat
40
A retenir
 Les ondes électromagnétiques font parties de notre quotidien
 Leur dangerosité dépend de leur fréquence et de leur longueur
d’onde (rayon x, ultraviolet, etc.)
 « Il est crucial que des recherches complémentaires soient
menées sur l’utilisation à long terme des téléphones
portables »
(communiqué du CIRC, associations, agences sanitaires)
41
Les bons gestes à adopter
42
Merci de votre attention
Gardez l’esprit ouvert et
surtout l’esprit critique!
appa.asso.fr
[email protected]
43