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Niveau 2 2012 - 2013 Programme théorique de la formation

Programme des cours théoriques

Théorie 1 (18/10/12) : Matériel (Lionel P.) et Règlementation (Olivier C.) Théorie 2 (22/11/12) : Physique (Sylvère S.) Théorie 3 (13/12/12) : Physiologie et Accident (Dominique L.) Théorie 4 (17/01/13) : Table I (Alan M. ou Gigi G.) Théorie 5 (31/01/13) : Table II (Gigi G. ou Alan M.) Révisions (21/03/13) Évaluation des connaissances : 28/03/13

Le matériel

Lionel Pawlowski

Club Subaquatique Lorientais – Formation N2 2012-2013

Pourquoi un cours sur le matériel au N2 ?

 Approfondissement de vos connaissances N1 sur le matériel  Le N2, premier niveau où vous serez assez souvent autonomes !

Différents aspects de la plongée (temps, profondeur, orientation, paliers, retour en surface) à maitriser Savoir réagir correctement en cas de problème  Des équipements à maitriser davantage, pour certains nouveaux Comment fonctionnent-ils ? Quelles sont les pannes possibles ?

 L’autonomie va peut-être vous encourager à étendre votre activité sous l’eau D’autres brevets en perspective (N3-4, Nitrox, Nitrox conf, Trimix, etc…) Plongées ailleurs en structure où il faut éventuellement louer du matériel Plongées en sécurité « hors structure »  Vous allez finir par acheter votre propre matériel… Critères de choix ?

Ce que dit le code du sport…

Extrait du code du sport 2012 Paragraphe 5 Equipement des plongeurs Art. A. 322-80.

d'un manomètre ou d’un système équivalent permettant d'indiquer la pression au cours de la plongée. Chaque bouteille ou ensemble de bouteilles d’un même gaz respirables est muni En milieu naturel , chaque plongeur équipé d’un appareil à circuit ouvert est muni d’un système gonflable au moyen de gaz comprimé lui permettant de regagner la surface et de s'y maintenir. En milieu naturel, chaque plongeur encadré au-delà de 20 mètres et chaque plongeur en autonomie est muni : ― d'un équipement de plongée permettant d'alimenter en gaz respirable un équipier sans partage d'embout ; ― d’équipements permettant de contrôler les caractéristiques personnelles de sa plongée et de sa remontée. […] En milieu naturel , chaque palanquée dispose d’un parachute de palier.

Art. A. 322-81.

Les matériels subaquatiques et équipements nautiques utilisés par les plongeurs sont régulièrement vérifiés et correctement entretenus.

Plan du cours

- La bouteille Le détendeur - Le gilet stabilisateur L’ordinateur Le matériel de sécurité (Boussole, Couteau, Parachute, divers) Pour chaque partie, - Principe Caractéristiques, critères de choix - Pannes possibles, entretien

La bouteille

Ils ont bon goût mais le truc jaune fait péter

La bouteille

3 types de matériaux: - Acier : le plus courant, le plus lourd, sensible à la corrosion Aluminium: fréquent hors Europe comme bloc principal, en Europe surtout utilisé comme bloc de décompression flottabilité plus importante  + de plomb. Relativement peu sensible à la corrosion. Carbone: rare, très forte flottabilité, insensible à la corrosion,  Applications spécifiques, jamais bloc principal -

Marques obligatoires

:

Pression de service

(à 15°C). (max 300b sur certains blocs)

Date de la dernière épreuve

.

Poinçon du service des mines (tête de cheval, sigle Européen) - Nom du fabricant.

Contenu de la bouteille

(mélange exacte si autre que air).

Mois et Année de fabrication.

- Volume en eau.

- N ° de la bouteille.

Pression d'épreuve.

Blocs: Robinetterie Etrier (230b) DIN (230b/300b) M26 (230b)

Pannes possibles:

Ouverture/fermeture impossible Fuite par l’orifice Fuite par le col    bouton de manoeuvre endommagé siège du clapet endommagé joint de col à changer

Blocs : Entretien

 Comme tout le matériel, la bouteille se rince. Avant gonflage, actionner les robinets pour chasser l’eau des orifices du robinet.  Transport avec insert/bouchon en place. Eviter les chocs, écaillage de peinture. Usage de filet de protection.  Stockage pas vide et debout.

 Inspection int/extérieure par un Technicien en Inspection Visuelle du club/magasin 1 fois/an:  Réépreuve tous les 2 ans pour les blocs non inscrits au registre du club  Réépreuve tous les 5 ans pour les blocs inscrits des membres (uniquement).  Même s’il ne sert pas, pour rester en service opérationnel, il doit être inspecté tous les ans.

 Pas de bricolage perso (matériel sous très haute pression, risques mortels ). Conseil: Demander à un TIV d’inspecter un bloc d’occasion avant de finaliser l’achat.

Blocs : Le gonflage

Système de pistons à 4 étages : pression atm  300b stockés dans des bouteilles « tampons » Pourquoi les tampons ? gonfler directement au compresseur prend plus de temps !

 On gonfle la plupart du temps donc par transvasement des tampons vers les bouteilles. La pression dans les tampons doit être supérieure à celle du bloc.

 Pour limiter le gonflage des tampons et gagner du temps, on remplit d’abord les blocs avec la rampe de tampons où la pression est la plus faible (2 rampes au local) !

 Entre 2 passages au local, il faut penser à gonfler les tampons air ou nitrox (très lent) pour le retour ou la prochaine séance… et bien sûr gonfler tous les blocs avant de quitter le local.

Le détendeur

Le détendeur: Deux étages

Premier étage  Celui qui est connecté à la bouteille par un étrier ou un support vissable (DIN)  Abaisse la haute pression (HP) sortant du bloc de façon à une pression intermédiaire ou moyenne pression (MP) ce qu’il y ait 8-10 bars dans les flexibles qui vont au deuxième étage, inflateur, etc…  Différents types: piston conventionnel/non compensé, piston compensé, à membrane…  Des modèles avec tourelle rotative pour le confort Tourelle

Premier étage

Piston (non compensé) Membrane Piston (compensé) Piston compensé : MP stable durant la plongée.

Piston non compensé/conventionnel: MP diminuant avec la pression de la bouteille.

Le détendeur: Principe

Deuxième étage  La partie que l’on a en bouche  clapet à la pression ambiante (press relative + press atmospherique)  A l’inspiration la membrane s’applique contre un levier qui laisse entrer l’air via le A l’expiration l’air est évacué par une soupape d’expiration. Membrane Levier Siège Soupape d’expiration Clapet Ressort

Le détendeur: comment choisir ?

Membrane, piston « non compensé » / conventionnel ou piston compensé ?

 non compensé : mécanique simple, moins confortable en profondeur  compensé : mécanique simple et MP constante avec la profondeur  membrane : plus adapté aux milieux hostiles, mécanique plus complexe mais protection accrue, MP constante avec la profondeur  A tourelle rotative ou pas ?

Deuxième étage  résistance à l’inspiration réglable sur certains modèles au prix d’une complexité  accrue légèreté en bouche à considérer - Autres points:  4 sorties MP minimum : Det principal, Octopus, Direct System, Direct System pour combi étanche  1 sortie HP, idéalement 2 si possible bien espacées des sorties MP si utilisation prévue d’une sonde de pression sans fil  DIN ou Etrier selon l’utilisation, DIN 300b peu développé, M26 uniquement sur les bouteilles de décompression

Compatibilités détendeurs/type de robinets

Etrier / INT / K-valve / Yoke DIN DIN comp O2 M26 (ressemble à DIN) AIR ou Nitrox ( de 40% oxygène) + de 40% oxygène ( bloc+det dégraissé ) « Nitrox » M26 (>21% Oxygène) DIN  M26 M26  DIN Etrier DIN DIN comp O2 M26 / « Nitrox »

Compatibilités détendeurs/robinets/nitrox

DIN: standard le plus sûr mais pas le plus répandu. Peut monter à 300bars.

  Standard pour la plongée profonde (« tek ») Det 300b => bouteille 230/300 b, Det 230b => bouteille 230b uniquement Etrier: standard le plus répandu mondialement. Monte jusque 232bars.

 Standard à privilégier pour ceux qui voyagent.

 Faire attention à la compatibilité bloc/détendeur, certains robinets étrier n’ont pas de système d’inserts… Prévoir insert / adaptateur !

Un détendeur ou un bloc conçus pour l’air peuvent être utilisés sans modification pour plonger avec de l’air ou du nitrox jusqu’à 40% d’oxygène Le matériel vendu sous l’appellation « détendeur/bouteille Nitrox » est en fait à la norme M26 . Il n’est pas conçu pour être utilisé sur du matériel air standard et n’est utilisé qu’en Europe .

Le détendeur: les pannes

Détendeur qui fuse en permanence Détendeur qui fuse qq instants après l’ouverture de la bouteille De l’eau dans la bouche    Siège du 2eme étage usé, « marqué » Problème au premier étage Problème au 2eme étage soit à la membrane à la soupape d’expiration embout endommagé ou collier défectueux Flexible à changer (

DANGER

) Hernie, craquelure importante sur flex flexible poreux (bulles qui sortent)  Bulles sortant des points de jonction des flex  Joints internes à changer  Amener son détendeur à réviser si les performances diminuent ou des anomalies apparaissent. Il s’agit d’une pièce d’équipement dont le bon fonctionnement est vital .  Après une révision, toujours effectuer une plongée d’essai si un grand voyage est imminent.

 Rincer particulièrement le détendeur en veillant à ne pas mettre de l’eau à l’intérieur du 1 er étage. On sèche uniquement le bouchon, pas le filtre !!

Le Gilet Stabilisateur

Le Gilet Stabilisateur

3 éléments à considérer: Une enveloppe gonflable et dégonflable via un inflateur et des purges  Equilibrage: doit permettre d’avoir une flottabilité neutre en plongée  En surface: doit maintenir un plongeur en surface   Assistance: doit permettre de remonter un binôme au besoin différentes tailles, différents designs Un système de sanglage/harnais/dosseret qui permet au plongeur d’avoir sa bouteille sur le dos  Assure le confort en plongée idéalement comme un sac à dos  Des anneaux de préférence nombreux, en inox et bien placés pour accrocher d’autres équipements légers (phares, parachutes) ou lourds (bouteille de décompression) Des fonctions complémentaires pour le confort  Petites poches pour le petit matériel (tables, etc…)  Système de lestage largable ou non

La Stab : différents designs

« Réglable » le plus fréquent Sanglage réglable Points d’attaches limités et plastiques -Volume partiellement enveloppant « Enveloppant » - le plus rare -Sanglage non réglable peu ou pas de point d’attache Volume entièrement enveloppant « Dorsale » - Courant Sanglage réglable points d’attache inox - Volume dorsal libre des contraintes du harnais « Wing » Standard en « tek » Sanglage réglable finement Attaches très nbrses - Volume dorsal libre Double enveloppe Chaque élément s’achète séparément

La Stab : l’inflateur

  Sert à gonfler et purger lentement l’enveloppe 2 types: avec tuyau annelé (le plus fréquent) , intégré à l’enveloppe (« airtrim ») 

!!! Jeter un œil sur le type d’inflateur de votre binome avant la plongée !!!

La Stab : l’inflateur

Inflateur Inflateur + octopus

 2 boutons (gonfler, purger), flexible déconnectable  1 embout (orifice de purge ou gonflage à la bouche en surface seulement)  seuls les modèles « octopus » (ex: air2) permettent de respirer dessus 

Bien identifier le role des boutons (independemment formes/couleur)

La Stab : l’inflateur

La Stab : les purges

Fenstop (on tire) ou Purge lente haute (« airtrim ») (très fréquente mais pas systématique) Purge rapide Haute (systématique / absente en plongée tek) Purge lente inflateur (systématique) Purge rapide Basse (systématique) 

!!! Jeter un œil sur les purges présentes avant la plongée !!!

La Stab : Méfiez-vous des purges hautes !

- Les purges hautes servent presque exclusivement en apprentissage (remontée incontrolée) ou pour s’immerger « par les pieds ».

Elles ne sont pas présentes systématiquement !

 Potentiellement problématique le jour où on les cherche… et qu’on les trouve pas !!

- Elles constituent potentiellement des points de fuites: vérifier qu’elles ne se dévissent pas elles peuvent rester grippées en position ouvertes - la tirette se coince facilement sous les sangles (rplc par balles de golf) le tuyau annelé peut être endommagé par une traction brutale pour utiliser le fenstop  Vérifier systématiquement leur bon fonctionnement 2 purges réellement indispensables: la purge lente de l’inflateur pour la remontée et l’assistance et la purge rapide basse pour la descente tête en bas et le rinçage intérieur

La Stab : les pannes

- Le bloc se barre  sangle pas assez serrée (

DANGER

) - Le plongeur coule - La stab ne gonfle pas   - La stab gonfle toute seule  panne de purge haute ou fenstop, tuyau annelé endommagé (

DANGER

) pointeau du flexible de DS endommagé, déréglé, bloc fermé si DS sur dét. secondaire Inflateur bloqué (

DANGER

) La stab se dégonfle lentement  petite fuite sur l’enveloppe, stab poreuse.

- Petite fuite sur le connecteur du flexible  joint interne usagé   L’inflateur s’entretient comme une pièce de détendeur (révision…) L’enveloppe se rince intérieurement et extérieurement, vérifier l’usure du flexible , tuyau annelé, état des purges.

L’ordinateur de plongée

Les ordis : Principe

 Un capteur de pression + un programme informatique embarqué qui calcule en temps réel la saturation des tissus et affiche les informations sur la remontée en conséquence  Pas rapport aux tables, une décompression optimisée… Profil équivalent MN90 Ordi : 7’ à 3m 6’ à 3m MN90 : 31’ à 3m 43’ à 3m 6’ à 6m 16’ à 6m 1’ à 9m

Les ordis : Principe

 …Mais des modèles mathématiques identiques sur le principe: les tables sont simplement éditées pour les profils les plus saturants et les plus simples: les profils carrés (toute la plongée est faite à la profondeur maximale) Profil équivalent MN90 Ordi : 0’ à 3m 6’ à 3m 3’ à 6m puis 9’ à 3m Fin de palier MN90 : 1’ à 3m 5’ à 3m 4’ à 6m puis 13’ à 3m Fin de palier 1’ à 6m  Il existe différents modèles de décompression. Aucun ordinateur n’intègre le modèle MN90 mais des variantes des modèles Buhlmann ZHL-8, ZHL-16 (Uwatec), Wienke RGBM (Suunto, Mares).

Les non ordis : la plongée aux tables

Profondeur Temps °C Prof max Tables immergeables Ou « runtime » défini en plongée très profonde En dépit des apparences, la plongée aux tables n’a pas disparu (plongeurs pro, tek…)

Les ordis : l’affichage

Affichage sans palier Profondeur P max Avec palier °C Temps restant sans palier Indicateur de saturation Temps Prof du prochain palier Temps total remontée Indic vitesse remontée Autres infos utiles: durée du palier éventuellement pression bouteille et autonomie en min info nitrox (gaz respiré, alerte PPO2max, info chg gaz)

Les ordis : Comment choisir ?

Je plonge aux tables  (profondimètre + montre) ou « digital » <150 euros Je ne veux plonger qu’à l’air  ordi air (occase) ou ordi air/nitrox standard <200 euros Je vais me limiter au nitrox élémentaire  ordi air/nitrox (cad sans changement possible de gaz en plongée)  Les produits les plus nombreux (Zoop, Gecko, Vyper, Puck…) <700 euros 1800 euros Je compte passer le nitrox confirmé   ordi air/nitrox avec sélection possible d’un autre mélange en plongée Ordi « Multimélanges » « Multigaz » (Vyper Air, Vytec, Galileo, Tec 2g, Frog …)  Les plus polyvalents J’envisage la plongée tek (trimix ou recycleur) ou veux le maximum d’options  Ordi « Multigaz » (capable du trimix),  open source pour certains (OSTC&DR5)  parfois connecteur étanche pour recycleur (OSTC, DR5, Predator, HelO2,…)

Les ordis : Comment choisir ?

 Autres points à considérer: - est-ce que je peux changer facilement la batterie, idéalement moi-même ?

- pile ou batterie rechargeable ?

- est ce que l’ordi peut-être mis à jour ?

- Puis je télécharger mon profil sur mon PC/Mac ?

- Ecran LCD ou couleur (OLED, TFT) ?

Certains modèles existent aussi en format montre… (zoop=>D4, Vyper Air=>D6i, HelO2=>D9tx) mais c’est plus cher… Ordi à gestion d’air: remplace le manomètre, indique l’autonomie et majore parfois la déco en cas de respiration « anormale »: sans fil (l’emetteur peut être acheté séparément de l’ordi) ou en console (implique d’acheter son détendeur) Boussole électronique: utilité et fiabilité variable (pas un bon critère de choix)

Les ordis : les pannes

L’ordi ne démarre pas, se bloque L’ordi ne s’éteint plus  L’ordi n’affiche pas la « bonne » profondeur   Pile presque morte ou bug (

DANGER

) Ordi non allumé avant de sauter à l’eau , problème de capteur, type d’eau.

Contacts humides non sec - Ordi en mode erreur  Procédure de remontée non respectée (vitesse, palier) (

DANGER

) Compas qui n’indique pas le nord  Environnement (épave, bloc), capteur à recalibrer Perte d’info de pression  Pile de l’émetteur morte, interférences electriques (phares à leds ou HID, flash, scooter electrique)  L’ordi se rince. Garder un œil sur les infos concernant l’état de la pile

Le petit matériel de sécurité

L’orientation: Compas vs Boussole vs Ordi

« Boussole » : une aiguille aimantée avec rose des vents fixe « Compas »: une rose des vents aimantée avec couronne rotative graduée « Compas » intégré à l’ordinateur  Doit disposer d’un système permettant de suivre un cap  Fonctionne sans pile, sans calibration  Chaque boussole/compas a une limite d’inclinaison  Mémorisation de caps  Les capteurs nécessitent d’être calibrés régulièrement  Pas de limite d’inclinaison sur les compas 3D, limite non visible sur les 2D

Couteaux, ciseaux, line cutter…

   Sert à couper une ligne, filet, saucisson... Fait office parfois d’outil (démanilleur…) Doit être accessible facilement Le système de verrouillage doit être manipulable avec des gants Eezy-Cut Ciseaux JESCO Line-Cutter

Couteaux, line cutter…

  Lame en titane ou céramique: aucun entretien nécessaire Lame en inox: rinçage et graissage car l’inox rouille quand même !

Graisse silicone Saucisson post plongée

Parachute

 2 types: levage , signalisation  Soupape de surpression sur les modèles à « bec de canard » ( restent gonflés en surface )  gonflage par un détendeur, par DS, par mini-bouteille  Obligatoire: 1 parachute par palanquée (idéal: 1 parach/plongeur car 2 parachutes côte à côte = besoin d’assistance et en cas de perte de binome) Type levage gonflage par détendeur (utile pour remonter une ancre mais peu visible en surface) Signalisation sans purge Signalisation à soupape Signalisation à purge et gonflage par direct system

Parachute et bout

 L’important est d’avoir au moins 10m de bout entre le parachute et le plongeur pour effectuer les paliers les plus courants Le plus classique: La corde enroulée sur un plomb de parachute. Le plus versatile: Le dévidoir. Permet le largage en profondeur du parach. Nécessite un peu d’entrainement mais peut servir également de fil d’Ariane en eaux chargées (genre établir un chemin entre l’ancre du CDF et une épave) NB: toutes les marques courantes (Scubapro, Mares, etc) sont à éviter sur ce type de produit.

D’autres équipements de sécurité qu’on peut avoir sur certaines destinations

Flasheurs Fait mal aux yeux en plongée mais visible de très loin en surface. Piles changeables Fait pas mal aux yeux en plongée mais invisible en surface. Piles non changeables Miroir avec visée, sifflet (nautisme) Système de détresse satellite (EPIRB) en caisson étanche VHF étanche en plongée (Nautilus lifeline) Et aussi feux de détresse, fumigènes, pointeurs laser étanche…

Bonus: le « Save-A-Dive » kit !!

Les petites pièces et outils qui pourront vous sauver une plongée

Consommables (l’essentiel) - Sangle de masque - Sangle de palme - Joints toriques bouteilles Joints toriques détendeur DIN - Joints toriques flexibles MP/HP pivot HP (petite pièce mobile entre le manomètre et flexible HP) - insert bouteille - adaptateur DIN/Etrier (si detendeur DIN) bouchons de ports HP/MP de détendeur - pile de remplacement pour ordinateur - colliers rilsan embout de détendeur - graisse silicone marqueur indélébile Outillage - Pince multifonction Outil multifonction plongée XScuba Jeu de clés allen Clé(s) à molette ou outil spécial

Le tout dans une boîte hermétique et résistante (pelicase, otterbox, etc…)

fixe palme (pour les détendeurs qu’on arrive plus à retirer du bloc)

Le mot de la fin

Noel approche !!

 L’hiver est la période idéale pour s’équiper… (les fêtes, les soldes)  Ne pas hésiter à se faire plaisir / faire plaisir (n’oubliez pas vos formateurs…)

Et apprendre à connaître son matériel avant les plongées du printemps !