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FORMATION BOURSE
PARTIE II
La Mifid et les produits non complexes
Louvain School of Management Conseil
Agenda
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La Mifid et ses nouvelles obligations
L’appel public à l’épargne
Les obligations
Les actions
Les indices
Les sicavs
Les sicafis
Les trackers
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 2
La Mifid et ses nouvelles obligations (1/3)
•
Compétition entre les marchés financiers, d’où obligation de
moyen de Best Execution pour les intermédiaires financiers (voir
première partie).
•
Classification des services d’investissement prestés par des
intermédiaires financiers (pas par les PCP ou les ASBI) :
–
–
–
•
Classification des instruments financiers :
–
–
•
Execution simple
Conseil en Placement
Gestion de portefeuille
Produits non complexes (obligations, actions, sicav, trackers)
Produits complexes (warrants, options, futures, produits structurés, forex …)
Classification des investisseurs :
–
–
–
Clients non professionnels ou de détails (investisseurs particuliers)
Clients professionnels (investisseurs qualifiés)
Contreparties éligibles (autres intermédiaires financiers ou émetteurs)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 3
La Mifid et ses nouvelles obligations (2/3)
•
Profil d’investisseur à établir pour les clients en conseil en
placement et en gestion de portefeuille, basé sur :
–
–
–
–
Objectifs d’investissement du client
Capacité et superficie financières du client
Horizon de placement du client
Expérience et connaissance du client
•
Profil d’investisseur à établir pour les clients en exécution simple
basé sur l’expérience et la connaissance du client
•
Pour tous les clients, vérifier si le client a l’expérience et la
connaissance du risque inhérent à la transaction ou à
l’instrument financier dans lequel il souhaite traiter (test sur le
caractère approprié).
•
Si le client n’a pas la connaissance, obligation de refuser la
transaction. En pratique, les clients en exécution simple ont très
peu accès aux produits complexes.
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 4
La Mifid et ses nouvelles obligations (3/3)
•
Pour les clients en conseil et en gestion, tests d’adéquation du
profil du client par rapport au profil de l’investissement
•
Exemple : Le portefeuille d’un investisseur au profil défensif doit
être composé de :
• Maximum 20 % d’actions
• Maximum 5 % de produits complexes
• Le reste en produits à rendement fixe
•
Si l’investisseur veut réaliser une opération engendrant une
prise de risque excessif, le client est considéré comme passant
un ordre en “exécution simple” et doit signer une décharge
avant de passer son ordre.
•
Responsabilité accrue dans le chef de l’intermédiaire financier.
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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L’appel public à l’épargne
•
Législation contraignante applicable aux émetteurs
•
Valable pour tout type d’émission (tout instrument financier)
•
Principe général : moins de 100 investisseurs particuliers
•
Dans tout autre cas, nécessité de déposer un prospectus rédigé
dans une langue nationale auprès de l’autorité de chaque
marché où l’appel public à l’épargne aura lieu (en Belgique,
FSMA).
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les obligations (1/7)
•
Obligation : capital prêté par un investisseur à un émetteur,
offrant un intérêt, et dont le montant sera intégralement reversé
par l’émetteur à l’échéance.
•
Est considéré comme un produit non complexe par la Mifid
•
Plusieurs types d’obligations :
–
–
–
–
•
Obligations avec un coupon annuel : souscription au pair ou à un prix
légèrement inférieur ou supérieur, remboursement à 100 % à l’échéance,
paiement d’un coupon chaque année.
Obligations convertibles : possibilité de convertir dans certaines conditions
définies lors de la souscription l’obligation en actions de la société.
Obligations zéro coupons : souscription à un prix en dessous du pair,
remboursement à 100 %.
Attention : Une Reverse Convertible n’est pas une obligation, il s’agit d’un
produit structuré.
Quatre éléments à contrôler sur une obligation :
–
–
–
–
Qualité du débiteur
Rendement de l’obligation
Duration de l’obligation
Devise de l’obligation
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les obligations (2/7)
• La qualité du débiteur :
- Conditionne le bon remboursement de votre capital à l’échéance
- Différence entre l’Etat belge (AA) et l’Etat grec (B-)
• Indicateur : le rating de l’obligation, donné par une agence de
notation indépendante indique la qualité du débiteur :
- Exceptionnelle : meilleure qualité : Aaa ou AAA.
- Haute : très bonne, plus volatile : Aa1 ou AA+, Aa2 ou AA, Aa3 ou AA- Bonne : service de la dette et intérêts assuré, mais sensible à la dégradation
de la situation économique : A1 ou A+, A2 ou A, A3 ou A- Satisfaisante : assurance suffisante de paiement des intérêts et de
remboursement du principal qui a une forte probabilité d’être affaiblie dans
des situations économique défavorables : Baa1 ou BBB+, Baa2 ou BBB,
Baa3 ou BBB-
• A éviter :
-
Instable : Ba1 ou BB+, Ba2 ou BB, Ba3 ou BBFaible : B1 ou B+, B2 ou B, B3 ou BTrès faible : Caa, Ca, C ou CCC (+, , -)
Défaillance : D
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les obligations (3/7)
• Le rendement de l’obligation :
- n’est pas égal au taux d’intérêt de l’obligation !
- est également fonction du prix d’achat et de la durée de l’obligation.
• Exemples : obligation offrant un coupon de 5 % sur 5 ans :
- Emise au pair : rendement de 5%
- Achetée à 103 % : rendement de 4,33 %
- Achetée à 97 % : rendement de 5,70 %
• En pratique :
• Si le marché de l’obligation est liquide, le rendement pour un risque
identique et une durée identique sera le même pour toutes obligations,
indépendamment du taux d’intérêt.
• Un bon indicateur du rendement dans le marché : le taux du dernier bon
d’Etat (placement dit sans risque)
• Se méfier des obligations avec des rendements nettement plus
importants.
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les obligations (4/7)
• La duration de l’obligation (ou durée de l’obligation) est
importante.
• Principe : à l’échéance, remboursement à 100 %.
• Quid si revente avant échéance ?
- Si les taux d’intérêt montent, la valeur de l’obligation à la revente sera
moindre.
- Si les taux d’intérêt baissent, la valeur de l’obligation à la revente sera
plus élevée.
- Si la qualité du débiteur diminue, la valeur de l’obligation à la revente
diminue.
• En pratique : les taux d’intérêt sont actuellement bas. Donc,
n’acheter des obligations à long terme que si votre horizon
temporel est plus long ou égal à la durée de l’obligation.
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les obligations (5/7)
•
•
•
Bon d’Etat émis en novembre/décembre 2011 à 100% sous le
gouvernement en affaires courantes Leterme
Spéculation à l’époque contre la dette publique belge
Baisse des taux d’intérêts depuis lors
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les obligations (6/7)
• La devise de l’obligation est finalement importante.
• L’investisseur belge vivant dans un environnement en Euro,
la majorité de son portefeuille obligataire doit être en Euro
(entre 70 et 80 % des obligations).
• Les autres devises (maximum 10 % par devise étrangère)
doivent être choisies en fonction de la situation
macroéconomique de leur pays (exemples de critères :
exportations de matière première qui soutient la devise,
politique monétaire, …).
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 12
Les obligations (7/7)
• La fiscalité sur les obligations :
• Précompte mobilier sur les intérêts
• Le fisc belge considère que la différence entre le prix de souscription et
le prix de remboursement d’une obligation est un intérêt déguisé. La
différence est donc soumise au précompte, indépendamment du prix
d’achat réel du client.
• Exemple :
•
•
•
•
•
Emission à 97 % d’une obligation offrant un coupon de 4% sur un an.
Remboursement après un an des 100 %.
Paiement d’un intérêt de 4% brut.
L’investisseur achète l’obligation après 6 mois à 99,5%.
L’investisseur paiera à l’ échéance :
•
•
1% de PM sur l’intérêt, soit 25% sur l’intérêt de 4% .
0,75 % de PM sur la différence entre 100% et 97%, soit 25% de 3%
• Attention à la fiscalité nationale : code ISIN
• Si code XS, seule la fiscalité du résident joue : Euro-obligation
• Si code national (FR, IT, BE …), la fiscalité du pays d’émission intervient
également (risque de double précompte)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les actions (1/4)
•
L’action représente une partie du capital de la société émettrice.
Le détenteur d’une action devient propriétaire d’une part de
l’entreprise. Aucune garantie sur l’évolution de sa valeur.
•
Les actions font partie de la partie risquée du portefeuille.
•
Est considéré comme un produit non complexe par la Mifid
•
La notion de capitalisation boursière : cours * nombre d’actions
•
Deux catégories d’actions en fonction du risque :
–
–
•
Risque moyen : les blue chips sont les grandes capitalisations, faisant partie
des indices, et actives dans les secteurs traditionnels de l’économie.
Risque élevé : les mid caps et les small caps sont des petites et moyennes
capitalisations, ainsi que les sociétés actives dans les secteurs innovants de
l’économie : risque lié à l’activité et à la liquidité du titre
Deux types de revenus :
–
–
Le dividende (rendement = montant du coupon / prix d’achat de l’action)
La plus-value (différence entre prix d’achat et prix de vente)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les actions (2/4)
•
Attention à la liquidité d’un titre : quid si vente de 5000 titres ?
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les actions (3/4)
•
Diversification du risque :
-
•
Deux types d’analyses des actions :
–
–
•
Maximum 10 % du portefeuille investi dans le même secteur
Maximum 5 % du portefeuille investi dans la même valeur
Analyse fondamentale
Analyse technique
Différence d’approche entre le court et le long terme.
–
–
Long terme : privilégier la diversification du risque et l’analyse fondamentale
Court terme : privilégier l’analyse technique
•
Plus grande difficulté : revendre une position
•
Eviter à tout prix le piège de la théorie de l’ancre
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les actions (4/4)
•
Fiscalité sur les revenus des actions :
–
–
•
Fiscalité sur les opérations sur actions :
–
–
–
–
–
•
Précompte mobilier sur le dividende (25 %) en Belgique
Précompte mobilier sur le dividende dans le pays d’émission (double
précompte)
TOB sur le montant brut à l’achat et à la vente
En France, taxe de 0,2 % sur l’achat
En Grande-Bretagne, Stamp Duty de 0,5 % sur l’achat
Aux USA, taxe de 0,00174 % sur la vente
Etc …
A titre de rappel, pas de taxation de la plus-value pour les
investisseurs particuliers à titre accessoire
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les indices (1/2)
•
Indices boursiers nationaux :
–
–
–
–
–
–
–
–
–
–
–
–
–
–
–
•
CAC 40 : 40 plus grandes capitalisations françaises
BEL 20 : 20 plus grandes capitalisations belges
AEX : 25 plus grandes capitalisations néerlandaises
DAX : 30 plus grandes capitalisations allemandes
FTSE : 100 plus grandes capitalisations anglaises
MIB : 40 plus grandes capitalisations italiennes
IBEX : 35 plus grandes capitalisations espagnoles
SMI : 20 plus grandes capitalisations suisses
RTS : 50 plus grandes capitalisations russes
Nikkei : 225 plus grandes capitalisations japonaises
Hang Seng : 45 plus grandes capitalisations de la bourse de Hong-Kong
ASX : 200 plus grandes capitalisations australiennes
Dow Jones : 30 plus grandes capitalisations américaines
Nasdaq : toutes les valeurs cotées sur le Nasdaq
TSX : 60 plus grandes capitalisations canadiennes
Indices boursiers continentaux ou mondiaux :
–
–
–
Eurostoxx 50 : 50 plus grandes capitalisations en Europe
Eurostoxx 600 : 600 plus grandes capitalisations en Europe
MSCI : plus grandes capitalisations mondiales (plusieurs indices)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les indices (2/2)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les sicavs (1/6)
•
Sicav : société d’investissement à capital variable.
•
Fait partie de la famille des OPC (Organisme de Placement
Collectif) avec les fonds de placements, les sicaf et les pricafs.
•
Produit non complexe (à quelques exceptions près)
•
L’investisseur peut entrer et sortir de la sicav à une fréquence
déterminée (définie dans le prospectus). Le capital de la sicav
varie en fonction des souscriptions et des remboursements
(marché primaire).
•
Le capital de la sicav varie à chaque calcul de la VNI, valeur
nette d’inventaire, et est calculée à chaque fréquence.
•
Les investissements réalisés par la sicav sont décidés par le
gestionnaire de la sicav qui peut être :
–
–
Soit le conseil d’administration, si la sicav est autogérée
Soit un gestionnaire agréé par la FSMA, si le conseil d’administration décide
de sous-traiter la gestion du portefeuille
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les sicavs (2/6)
•
Le prospectus de la sicav détermine le thème d’investissement
effectué par la sicav :
–
–
–
–
Sicav d’obligations : investit principalement en valeurs à revenu fixe dont
l’échéance est supérieure à 3 ans.
Sicav monétaire : investit de façon prépondérante en liquidités et en valeurs à
court terme (dépôts à terme, certificats de trésorerie, obligations …)
Sicav d’actions : investit essentiellement en actions
• Soit par une gestion active : le gestionnaire tente de battre l’indice
• Soit par une gestion passive : le gestionnaire reproduit l’indice (voir les
trackers)
Sicavs mixtes :
• Défensifs : 75% en obligations, le reste en actions
• Neutres : répartition entre obligations et actions
• Dynamiques ou agressives : 75% en actions
•
La sicav peut être investie en ligne directe, ou en d’autres sicavs
(on parle alors de fond de fonds).
•
La sicav peut choisir une thématique régionale (pays
émergents, Amérique du Nord …) et/ou sectorielle (Biotech …)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les sicavs (3/6)
•
La sicav subit des frais :
–
–
–
–
–
–
Frais de gestion
Frais d’opérations
Frais de conservation des avoirs (droits de garde)
Frais de révisorat
Frais d’agrément auprès de la FSMA
Taxes diverses
•
Pour que l’investisseur soit bien informé, obligation de publier un TER
(Total Expense Ratio) donnant le coût total en pourcentage de la valeur
du capital.
•
Pour les fonds de fonds, les TER des fonds dans lesquels la sicav a
investi doivent être intégrés dans le TER de la sicav.
•
Attention : une sicav peut également demander des droits d’entrée (à la
souscription) ou des droits de sortie (au remboursement). A vérifier dans
le prospectus.
•
Obligation de remettre le KIID (Prospectus simplifié) à l’investisseur
avant tout investissement dans une sicav européenne (Sicav UCITS)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 22
Les sicavs (4/6)
•
Distribution des bénéfices de la sicav :
–
–
–
•
Sicav de capitalisation : les bénéfices sont réinvestis
Sicav de distribution : les bénéfices sont distribués
Sicav à distribution variable : les bénéfices sont réinvestis ou distribués
Fiscalité : en fonction du mode de distribution du bénéfice
–
TOB : taux différent si sicav de capitalisation ou de distribution :
•
•
0,09 % du montant brut pour les sicavs de distribution cotées en Bourse
1,32 % du montant brut de la vente pour les sicavs de capitalisation non cotées en
Bourse
–
Précompte mobilier de 25 % sur le dividende distribué
–
Précompte mobilier 19 Bis de 25% sur la différence de TIS entre le TIS à
l’achat et le TIS à la vente, pour les sicavs de capitalisation dont plus de 25%
du capital est investi dans des obligations (Attention : calcul du précompte
différent si la sicav dispose d’un passeport européen ou non).
–
Rappel : TIS = Partie de la VNI correspondant aux intérêts touchés et aux
plus-values des obligations détenues par la sicav.
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 23
Les sicavs (5/6)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 24
Les sicavs (6/6)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 25
Les SIR (anciennement SICAFI)
•
Société d’investissement à capital fixe dans le secteur
immobilier
•
Régime fiscal particulier
•
Cotée sur Euronext Brussels
•
Exemples :
–
–
–
–
–
–
–
–
–
•
COFINIMMO
BEFIMMO
RETAIL ESTATES
WAREHOUSES ESTATE
WAREHOUSES DE PAUW
LEASINVEST
AEDIFICA
MONTEA
IMMO MOURY
A ne pas confondre avec les certificats immobiliers ou certificats
fonciers
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les trackers ou ETF (1/4)
•
Il s’agit d’Organismes de Placement Collectif (OPC),
généralement sous forme de SICAV, adoptant une gestion
passive visant à répliquer la performance d’un indice.
•
Peut être un produit complexe en fonction de sa structure et
surtout de son sous-jacent. Si indice boursier traditionnel,
produit non complexe. Si indice plus complexe, produit
complexe.
•
Deux volets :
–
–
•
Sur le marché secondaire, un Liquidity Provider assure un volume important à
l’achat et à la vente afin de rester proche de la valeur de l’incide.
Au sein de la sicav, le gestionnaire achète effectivement les valeurs qui
composent l’indice.
Influence sur le marché :
–
–
Lorsque une valeur rentre dans un indice, toutes les sicavs ou ETF suivant
l’indice doivent acheter le titre en question. Tendance à la hausse sur le
cours.
Lorsque une valeur sort d’un indice, toutes les sicavs ou ETF suivant l’indice
doivent vendre le titre en question. Tendance à la baisse sur le cours.
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 27
Les trackers ou ETF (2/4)
•
Les trackers ou ETF peuvent être de distribution (ils distribuent
le dividende payés par les actions qui composent l’indice) ou de
capitalisation.
•
Attention à l’influence sur le cours si capitalisation (diffère de
l’indice, d’où moins de transparence)
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 28
Les trackers ou ETF (3/4)
•
Exemple : LYXOR ETF CAC 40
Formation boursière LSM : Deuxième partie
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Les trackers ou ETF (4/4)
•
Pas très simple de faire une analyse fondamentale sur un indice
•
Dans le cas des trackers, on se base principalement sur
l’analyse technique.
•
Exemples :
–
–
•
Tracker iShares MSCI Emerging Markets
Proshares VIX Short Term Futures
On peut se baser également sur une analyse technique d’un
indice boursier. Exemple :
–
Stoxx Europe 600
Formation boursière LSM : Deuxième partie
Page 30